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L’écologie est-elle uniquement une question de bon sens et de gestes citoyens ? L’écologie est-elle de gauche ou de droite ? Une organisation écologiste comme Greenpeace doit-elle se mêler de politique ou au contraire s’en éloigner le plus possible ?
Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, répond à ces épineuses questions et revient sur le rôle d’une organisation engagée à la veille d’échéances électorales clés telles que les élections législatives des 12 et 19 juin.
ÉLECTIONS LEGISLATIVES : le climat a besoin de vous https://www.greenpeace.fr/elections-legislatives-le-climat-a-besoin-de-nous/
- Pour vérifier votre inscription sur les listes électorales et connaître (ou modifier) votre bureau de vote (service public) : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16396
- Quels sont les candidats dans votre circonscription ? (France TV Info) https://www.francetvinfo.fr/elections/legislatives/legislatives-2022-decouvrez-la-liste-officielle-des-candidats-dans-votre-circonscription_5154112.html
- Comment faire une procuration pour voter aux Législatives ? https://www.maprocuration.gouv.fr/
POUR ALLER PLUS LOIN :
- De quoi se mêle Greenpeace ? https://www.greenpeace.fr/politique-de-quoi-se-mele-greenpeace/
- Sur les actions individuelles : https://www.greenpeace.fr/climat-changer-nos-habitudes-ou-le-systeme/
- Sur la pollution des plus riches : https://www.greenpeace.fr/milliardaires-et-climat-4-chiffres-qui-donnent-le-vertige/
- Précarité énergétique et environnement : l’exemple des logements passoires https://www.greenpeace.fr/precarite-et-climat-stop-aux-logements-passoires/
- ISF climatique : https://www.greenpeace.fr/largent-sale-du-capital-pour-un-isf-climatique/
- Alliance Plus jamais ça : propositions pour un plan de rupture sociale et écologique : https://plus-jamais.org/nos-propositions/
CHAPITRES
00:00 : Intro
01:08 : Le piège des “petits gestes”
02:14 : Et Greenpeace là-dedans ?
02:37 : “Apartisan” ou “apolitique” ?
03:06 : La pollution des un·es…
04:17 : … fait le malheur des autres
05:03 : Des mesures plus justes
06:29 : Agir aux élections législatives
08:01 : Conclusion
Tr.: ... faire émerger un contre-pouvoir à la politique d'Emmanuel Macron qui manque d'ambition sur les questions climatiques. ... avoir un maximum de députés qui portent des mesures ambitieuses d'un point de vue écologique et social, à la fois pour notre planète et le quotidien ... Face à un président reconnu coupable d'inaction climatique, c'est à nous de donner à l'écologie une véritable place dans la politique ...
Connu / TG le 25/03/23 à 11:07
Samedi 18 février, alors que la nuit était tombée, des militants associatifs ont collé des avertissements ...
Connu / TG le 19/02/23 à 19:20
Durée de lecture : 8 minutes - Clés : Déchets nucléaires Nucléaire
Des dizaines de tonnes d’uranium issu du retraitement ont été envoyées par la France en Russie, révèle Greenpeace. Des exportations jugées « injustifiables », tant du point de vue économique qu’environnemental.
La France a recommencé à envoyer ses rebuts radioactifs en Russie, un commerce discret qu’elle avait stoppé en 2010 pour des raisons environnementales. C’est ce que révèle Greenpeace dans son dossier Déchets nucléaires français : aller simple pour la Sibérie, publié ce mardi 12 octobre. Ce même jour à 8 h 30, des militantes et militants de l’ONG ont disposé une quinzaine de fûts métalliques marqués d’un symbole radioactif devant l’entrée du groupe nucléaire Orano à Châtillon, au sud de Paris, pour protester contre ces expéditions.
L’ONG a découvert que plusieurs dizaines de tonnes d’uranium issu du retraitement (URT) avaient été chargées à bord du navire Kapitan Lomonosov à destination de Saint-Pétersbourg, les 20 janvier et 12 février 2021. Interrogée par Reporterre, l’entreprise Orano a reconnu être à l’origine de ces expéditions et qu’elle avait vendu plus de 1 000 tonnes d’URT à l’entreprise nucléaire russe Rosatom. Un autre transport de cette matière radioactive est prévu d’ici la fin de l’année.
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le Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN)
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face à cette reprise du transport d’URT entre la France et la Russie. « Nous avons saisi la présidente du HCTISN pour que ce comité prépare un rapport sur les flux de matière incohérents entre la France et la Russie — car nous avons aussi repéré des importations d’uranium appauvri en France alors que nous en disposons d’un stock de 300 000 tonnes inutilisées », indique M. Rousselet. Par ailleurs, l’ONG demande à l’État qu’il exige la fin des transports d’URT entre la France et la Russie, la requalification de l’URT comme déchet et le rejet du nucléaire de la taxonomie verte européenne.
Les critiques du passe sanitaire dénoncent unanimement un « danger autoritaire ». Assez justement, la CNIL elle-même présente ce danger comme « le risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de…
Connu / https://twitter.com/laquadrature/status/1428318701472858116
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GFLC a aimé La Quadrature du Net @laquadrature · 6h
Le passe sanitaire banalise une certaine forme de surveillance de masse. Oui, mais laquelle ? Pour combattre ce risque, tentons d'en affiner l'examen.
On va parler visa, titres de séjour, détection automatisée de comportements "anormaux" et #Technopolice
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Temps de lecture 10 min
Et si les géants de la technologie numérique étaient concurrencés et peut-être remplacés par les nains des technologies modestes et respectueuses des êtres humains ?
Telle est l’utopie qu’expose Aral Balkan ci-dessous. Faut-il préciser que chez Framasoft, nous avons l’impression d’être en phase avec cette démarche et de cocher déjà des cases qui font de nous ce qu’Aral appelle une Small Tech (littéralement : les petites technologies) par opposition aux Big Tech, autrement dit les GAFAM et leurs successeurs déjà en embuscade pour leur disputer les positions hégémoniques.
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la vision utopique d’une ressource commune décentralisée et démocratique s’est transformée en l’autocratie dystopique des panopticons de la Silicon Valley que nous appelons le capitalisme de surveillance
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Alors que la conception éthique décrit sans ambiguïté les critères et les caractéristiques des alternatives éthiques au capitalisme de surveillance, c’est l’éthique elle-même qui est annexée par les Big Tech dans des opérations de relations publiques qui détournent l’attention des questions systémiques centrales2 pour mettre sous les projecteurs des symptômes superficiels3.
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antidote Small Tech
- conçue par des humains pour des humains 4 ;
- n’a pas de but lucratif 5 ;
- créée par des individus et des organisations sans capitaux propres6 ;
- ne bénéficie d’aucun financement par le capitalisme de la surveillance des Big Tech7 ;
- respecte la vie privée par défaut8 ;
- fonctionne en pair à pair9 ;
- est copyleft10 ;
- favorise les petits plutôt que les grands, les simples plutôt que les complexes et tout ce qui est modulaire plutôt que monolithique11 ;
- respecte les droits humains, leurs efforts et leur expérience12 ;
- est à l’échelle humaine13.
Ces critères signifient que la Small Tech :
- est la propriété des individus qui la contrôlent, et non des entreprises ou des gouvernements ;
- respecte, protège et renforce l’intégrité de la personne humaine, des droits humains, de la justice sociale et de la démocratie à l’ère du numérique en réseau ;
- encourage une organisation politique non-hiérarchisée et où les décisions sont prises à l’échelle humaine ;
- alimente un bien commun sain ;
- est soutenable ;
- sera un jour financée par les communs, pour le bien commun.
- ne rapportera jamais des milliards à quiconque.
- Lectures suggérées : La nature du « soi » à l’ère numérique, Encourager la maîtrise de chacun et la bonne santé des biens communs, et Nous n’avons pas perdu le contrôle du Web — on nous l’a volé
- Nous avons un système dans lequel 99.99999 % des investissements financent les entreprises qui reposent sur la surveillance et se donnent pour mission de croître de façon exponentielle en violant la vie privée de la population en général
- « Attention » et « addiction ». S’il est vrai que les capitalistes de la surveillance veulent attirer notre attention et nous rendre dépendants à leurs produits, ils ne le font pas comme une fin en soi, mais parce que plus nous utilisons leurs produits, plus ils peuvent nous exploiter pour nos données. Des entreprises comme Google et Facebook sont des fermes industrielles pour les êtres humains. Leurs produits sont les machines agricoles. Ils doivent fournir une façade brillante pour garder notre attention et nous rendre dépendants afin que nous, le bétail, puissions volontairement nous autoriser à être exploités. Ces institutions ne peuvent être réformées. Les Big Tech ne peuvent être réglementées que de la même manière que la Big Tobacco pour réduire ses méfaits sur la société. Nous pouvons et devrions investir dans une alternative éthique : la Small Tech.
- La petite technologie établit une relation d’humain à humain par nature. Plus précisément, elle n’est pas créée par des sociétés à but lucratif pour exploiter les individus – ce qu’on appelle la technologie entreprise vers consommateur. Il ne s’agit pas non plus d’une technologie construite par des entreprises pour d’autres entreprises
- Nous construisons la Small Tech principalement pour le bien commun, pas pour faire du profit. Cela ne signifie pas pour autant que nous ne tenons pas compte du système économique dans lequel nous nous trouvons actuellement enlisés ou du fait que les solutions de rechange que nous élaborons doivent être durables. Même si nous espérons qu’un jour Small Tech sera financé par les deniers publics, pour le bien commun, nous ne pouvons pas attendre que nos politiciens et nos décideurs politiques se réveillent et mettent en œuvre un tel changement social. Alors que nous devons survivre dans le capitalisme, nous pouvons vendre et faire des profits avec la Small Tech. Mais ce n’est pas notre but premier. Nos organisations se préoccupent avant tout des méthodes durables pour créer des outils qui donnent du pouvoir aux gens sans les exploiter, et non de faire du profit. Small Tech n’est pas une organisation caritative, mais une organisation à but non lucratif.
- Les organisations disposant de capitaux propres sont détenues et peuvent donc être vendues. En revanche, les organisations sans capital social (par exemple, les sociétés à responsabilité limitée par garantie en Irlande et au Royaume-Uni) ne peuvent être vendues. De plus, si une organisation a du capital-risque, on peut considérer qu’elle a déjà été vendue au moment de l’investissement car, si elle n’échoue pas, elle doit se retirer (être achetée par une grande société ou par le public en général lors d’une introduction en bourse). Les investisseurs en capital-risque investissent l’argent de leurs clients dans la sortie. La sortie est la façon dont ces investisseurs font leur retour sur investissement. Nous évitons cette pilule toxique dans la Small Tech en créant des organisations sans capitaux propres qui ne peuvent être vendues. La Silicon Valley a des entreprises de jetables qu’ils appellent des startups. Nous avons des organisations durables qui travaillent pour le bien commun que nous appelons Stayups (Note de Traduction : jeu de mots avec le verbe to stay signifie « demeurer »).
- La révolution ne sera pas parrainée par ceux contre qui nous nous révoltons. Small Tech rejette le parrainage par des capitalistes de la surveillance. Nous ne permettrons pas que nos efforts soient utilisés comme des relations publiques pour légitimer et blanchir le modèle d’affaires toxique des Big Tech et les aider à éviter une réglementation efficace pour mettre un frein à leurs abus et donner une chance aux alternatives éthiques de prospérer.
- La vie privée, c’est avoir le droit de décider de ce que vous gardez pour vous et de ce que vous partagez avec les autres. Par conséquent, la seule définition de la protection de la vie privée qui importe est celle de la vie privée par défaut. Cela signifie que nous concevons la Small Tech de sorte que les données des gens restent sur leurs appareils. S’il y a une raison légitime pour laquelle cela n’est pas possible (par exemple, nous avons besoin d’un nœud permanent dans un système de pair à pair pour garantir l’accessibilité et la disponibilité), nous nous assurons que les données sont chiffrées de bout en bout et que l’individu qui possède l’outil possède les clés des informations privées et puisse contrôler seul qui est à chacun des « bouts » (pour éviter le spectre du Ghosting).
- La configuration de base de notre technologie est le pair à pair : un système a-centré dans lequel tous les nœuds sont égaux. Les nœuds sur lesquels les individus n’ont pas de contrôle direct (p. ex., le nœud toujours actif dans le système pair à pair mentionné dans la note précédente) sont des nœuds de relais non fiables et non privilégiés qui n’ont jamais d’accès aux informations personnelles des personnes.
- Afin d’assurer un bien commun sain, nous devons protéger le bien commun contre l’exploitation et de l’enfermement. La Small Tech utilise des licences copyleft pour s’assurer que si vous bénéficiez des biens communs, vous devez redonner aux biens communs. Cela empêche également les Big Tech d’embrasser et d’étendre notre travail pour finalement nous en exclure en utilisant leur vaste concentration de richesse et de pouvoir.
- La Small Tech est influencé en grande partie par la richesse du travail existant des concepteurs et développeurs inspirants de la communauté JavaScript qui ont donné naissance aux communautés DAT et Scuttlebutt. Leur philosophie, qui consiste à créer des composants pragmatiques, modulaires, minimalistes et à l’échelle humaine, aboutit à une technologie qui est accessible aux individus, qui peut être maintenue par eux et qui leur profite. Leur approche, qui est aussi la nôtre, repose sur la philosophie d’UNIX.
- La Small Tech adhère au manifeste du Design éthique.
- La Small Tech est conçue par des humains, pour des humains ; c’est une approche résolument non-coloniale. Elle n’est pas créée par des humains plus intelligents pour des humains plus bêtes (par exemple, par des développeurs pour des utilisateurs – nous n’utilisons pas le terme utilisateur dans Small Tech. On appelle les personnes, des personnes.) Nous élaborons nos outils aussi simplement que possible pour qu’ils puissent être compris, maintenus et améliorés par le plus grand nombre. Nous n’avons pas l’arrogance de supposer que les gens feront des efforts excessifs pour apprendre nos outils. Nous nous efforçons de les rendre intuitifs et faciles à utiliser. Nous réalisons de belles fonctionnalités par défaut et nous arrondissons les angles. N’oubliez pas : la complexité survient d’elle-même, mais la simplicité, vous devez vous efforcer de l’atteindre. Dans la Small Tech, trop intelligent est une façon de dire stupide. Comme le dit Brian Kernighan : « Le débogage est deux fois plus difficile que l’écriture du premier jet de code. Par conséquent, si vous écrivez du code aussi intelligemment que possible, vous n’êtes, par définition, pas assez intelligent pour le déboguer. » Nous nous inspirons de l’esprit de la citation de Brian et l’appliquons à tous les niveaux : financement, structure organisationnelle, conception du produit, son développement, son déploiement et au-delà.
Connu / https://framasphere.org/posts/6753792 "Jef Monnier 1 J'aim 1 repartage"
Ndlr : idem que low tech ou non (big tech = high tech) ? ACT
28 commentaires
La loi de Brandolini, ou principe d’asymétrie des idioties (en anglais, bullshit asymmetry principle), est un aphorisme énonçant que :
La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des idioties est supérieure d’un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire.
La littérature sur la loi de Brandolini est relativement pauvre, et pour cause : elle est née lors d’un tweet d’Alberto Brandolini en janvier 2013
...
Quand doit-on répondre aux cons ?
...
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?jnpEgQ
Transports
...
dont
Stockage du carbone : une étude confirme que les principales forêts équatoriales comme la forêt amazonienne deviennent émettrices de gaz à effet de serre à cause du réchauffement climatique.
Également développé dans l'émission LATAC https://www.franceinter.fr/emissions/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-05-mars-2020
Transcription :
... les forêts "tropicales" ? s'assèchent ... ACT
=>
Transcrire, CHERCHER d'autre réf + complètes ACT
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Nantes Bordeaux Toulouse Paris Lyon
Ndlr : We craft the future ~= Accroche futur ?!
Traduction de l'anglais Quantitative easing (QE) - désigne un type de politique monétaire dit « non conventionnel » consistant pour une banque centrale à racheter massivement des titres de dettes aux acteurs financiers, notamment des bons du trésor ou des obligations d'entreprise, et dans certaines circonstances des titres adossés à des actifs comme des titres hypothécaires.