Connu / TG le 11/09/24 à 8:42
la demande d'implantation de deux nouveaux réacteurs nucléaires sur le site de Golfech formulée par J.M. Baylet président de la communauté de communes des 2 Rives… constitue un profond déni de réalité
...
Clés : Nucléaire ; coûts du nucléaire ; réacteur nucléaire ; Sûreté nucléaire ; Rapports
Les fissurations sur des circuits essentiels de secours peuvent concerner d'autres modèles de réacteurs. Les paliers 900MW sont concernés.
Connu / TG le 7/11/23 à 0:05
Dans une décision rendue le 22 septembre 2023, le comité d’application des Nations Unies de la Convention sur l’évaluation de l’impact sur l’environnement dans un contexte transfrontière (dite convention “Espoo”) a décidé d’ouvrir une procédure contre la France en raison d’une “profonde suspicion de non-respect par la France de ses obligations”, compte tenu notamment de l’ampleur des travaux envisagés pour la prolongation des réacteurs et de leur coût. Une audition de la France par le comité Espoo aura lieu entre le 18 et le 21 juin 2024.
Cette décision intervient après une saisine du comité Espoo par Greenpeace France le 9 mars 2020. L’association reproche à la France de procéder à la prolongation de la durée de vie de 32 réacteurs nucléaires sans étude d’impact environnementale et sans consultation transfrontière des pays voisins, comme cela est pourtant exigé par la convention.
...
Laura Monnier, Responsable juridique à Greenpeace France ...
Après plusieurs années de retard et un coût de construction qui a doublé, l'unité 3 de la centrale Vogtle, en Géorgie, vient de commencer à fournir de l'électricité. Contrairement à l'objectif initial, il n'est pas certain que ce lancement sera suivi d'autres réacteurs nucléaires.
...
D'une puissance de 1.100 mégawatts, Vogtle 3 devait initialement entrer en service il y a sept ans lorsque le projet a été autorisé en 2012. "En cours de route, la compagnie n'a cessé de revoir à la hausse les estimations de coûts, repoussant les délais petit à petit", explique au Financial Times Bob Sherrier, avocat au Southern Environmental Law Center qui s'est opposé au projet.
...
À l'origine, le coût de la paire de réacteurs 3 et 4 de Vogtle était estimé à 14 milliards de dollars: il a finalement plus que doublé pour dépasser les 30 milliards de dollars dont plus de la moitié étant à la charge de Georgia Power qui détient une part de 45% du projet.
L'autre projet de paire en Caroline du Sud abandonné en 2017 ... après la faillite de l'entreprise Westinghouse
...
malgré le développement de micro-réacteurs et de petits réacteurs modulaires, aucun autre réacteur traditionnel à eau légère à grande échelle n'est en cours de construction outre-Atlantique. Et pour cause, les investisseurs sont découragés par les retards et surcoûts des derniers projets. "La seule raison pour laquelle on assiste à une renaissance du nucléaire est que le gouvernement fédéral y consacre des dizaines de milliards de dollars, confirme David Schlissel, de l'Institute for Energy Economics and Financial Analysis. Les investisseurs ne sont pas intéressés."
...
Connu / TG le 01/08/23 à 11:17
Connu / TG le 27/06/23 à 08:31
"
La censure partielle de la loi d’accélération des procédures de création de nouveaux réacteurs.
Loi relative à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants et au fonctionnement des installations
"
Nucléaire : neuf réacteurs pourraient être particulièrement difficiles à prolonger jusqu’à 60 ans
Dans un avis préliminaire, l’Autorité de sûreté nucléaire appelle EDF à étudier « deux sujets techniques prioritaires »
...
Connu / TG le 16/06/23 à 15:04
Lyon - Villeurbanne - Caluire Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, assistera à la conférence annuelle organisée par l’association industrielle européenne Nucleareurope. |
mis à jour hier à 16:43 - Temps de lecture : 2 min |
---|---|
Vu 447 fois - 0 commentaire |
La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher sera à Lyon ce mardi. Photo Progrès /Richard MOUILLAUD
Le gouvernement s’engage dans la relance du nucléaire en Europe. C’est dans ce cadre que la ministre de la Transition Énergétique, Agnès Pannier-Runacher, se rendra à Lyon, ce mardi. Elle assistera à la conférence annuelle organisée par l’association industrielle européenne « Nucleareurope », au Centre de congrès de Lyon.
Un partenariat pour soutenir le développement de nouveaux réacteurs
Après une réunion de travail en présence d’une trentaine de dirigeants d’entreprises de la filière nucléaire européenne, la ministre assistera à la signature d’un partenariat d’ingénierie entre les entreprises Assystem, VUJE et IDOM visant à soutenir le développement de nouveaux réacteurs nucléaires en Europe aux côtés d’EDF.
A lire aussi
- 100 % nucléaire, Robatel Industries surfe sur la relance du secteur
- La start-up Newcleo va investir 3 milliards d’euros pour le renouveau du nucléaire
Une visite de l’entreprise Edvance à Gerland
Agnès Pannier-Runacher se rendra ensuite sur le plateau d’ingénierie des EPR seconde génération d’Edvance, à Gerland, où elle ira à la rencontre des équipes qui travaillent sur la conception des réacteurs EPR2 pour faire un point sur l’avancement du projet. Le site de Gerland d’Edvance abritera une équipe d’ingénieurs et de techniciens qui atteindra 1000 à 1200 personnes d’ici 2025.
À l’issue de cette visite, la ministre rejoindra à nouveau la conférence annuelle de Nucleareurope pour la conclure.
Connu / article papier
La participation du public pour le projet de mise en service du réacteur EPR de Flamanville, avec mise à ...
Connu / TG le 05/06/23 à 17:40
ndlr : répondu CONTRE / anthropocène : coopération, sobriété, pas énergie abondante et bon marché etc
Connu / https://savoie-antinucleaire.fr/2023/05/18/civaux-detection-tardive-de-limplantation-de-parametres-errones-dans-le-systeme-de-mesure-de-la-puissance-nucleaire-du-coeur-rpn/
"
Mai 18 Classé dans Nouvelles de France
Le 11 mai 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Civaux a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif à la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans les systèmes RPN, cumulée à un défaut sur un capteur de pression d’un générateur de vapeur. En application des règles générales d’exploitation, cette situation a conduit EDF à replier le réacteur 2 le temps de corriger ces défauts.
Le système de mesure de la puissance nucléaire (RPN) permet d’assurer la surveillance permanente de la puissance du réacteur. En cas d’anomalie, ce système peut déclencher des alarmes en salle de commande ou l’arrêt automatique du réacteur.
Le 31 janvier 2023, une modification de paramètres informatiques a entraîné une erreur de calibration du système RPN. Cette erreur a été détectée par l’exploitant le 9 mai 2023.
Le même jour, de manière indépendante mais concomitante, le signal d’un capteur de pression d’un générateur de vapeur a été mis en défaut. L’exploitant a engagé le repli du réacteur conformément à la conduite à tenir prévue par les règles générales d’exploitation (RGE) en cas de cumul d’événements de ce type, pour corriger les défauts rencontrés.
Cet événement n’a pas eu de conséquence sur les personnes et l’environnement. Toutefois, il a affecté la fonction de sûreté liée à la maîtrise de la réactivité. En raison de la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans le système de mesure de la puissance nucléaire du cœur, cet événement a été classé au niveau 1 de l’échelle INES (échelle internationale des événements nucléaires et radiologiques, graduée de 0 à 7 par ordre croissant de gravité).
Le jour même, l’exploitant a implanté temporairement un facteur de pénalisation dans le calcul des marges de pilotage et il a basculé le suivi de la pression du générateur de vapeur vers des capteurs redondants, puis il a repris la production d’électricité. Le 12 mai, l’exploitant a implanté les paramètres corrects de calibration du système RPN.
Par ASN, publié le 17 mai 2023
Clés calibration, Civaux, cœur, détection tardive, erreur, erronés, implantation, mesure, niveau 1, nucléaire, paramètres, puissance, réacteur
"
13 soudeurs, avec des certificats de compétences falsifiés, ont été découverts sur le chantier ultrasensible du réacteur nucléaire Iter… C'est d'autant plus gênant que les réparations sur les vieilles soudures se multiplient dans les centrales d'EDF. ...
Connu / TG le 31/05/23 à 13:17
4.217 signatures - 12 commentaires
Nature et environnement
Auteur(s) : Gerdi/
Destinataire(s) : https://www.acro.eu.org
La pétition
L’opérateur de la centrale accidentée de Fukushima (Tepco) avait annoncé le 25 août 2021 vouloir déverser dans l’océan plus d’un million de tonnes d’eau contaminée, issue des opérations de refroidissement des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami géant en 2011.
Douze ans après Fukushima, la pollution radioactive reste très élevée et le Japon va déverser dans l’océan Pacifique ces plus de 1 000 réservoirs d’eaux usées produites par le refroidissement des réacteurs de Fukushima.
...
L'eau tritiée étant très semblable à de l'eau ordinaire, son importance en radiotoxicité dépasse celle du gaz tritium parce qu'elle est assimilée par l'organisme représentant un grave danger sur la santé publique des populations du pacifique : îles et archipels français d'Océanie, Australie...
Après la présentation du plan de relâchement des eaux, l’Institut océanographique américain de Woods Hole (Massachusetts) a signalé que les eaux traitées comprennent toujours des isotopes tels que le carbone 14, le cobalt 60 et le strontium 90. Ils sont toxiques et peuvent être incorporés dans la faune et la flore marines ou les sédiments du fond marin.
Aussi, le gouvernement Japonais n’a pas de retour fiable sur les études scientifiques, le gouvernement Japonais doit faire preuve de recul sur les conséquences à venir pour notre planète.
Des témoignages montrent que des habitants ont perdu leurs cheveux, ainsi que des enfants qui jouaient avec la poussière des retombées. Aussi, quelques années plus tard, les taux de cancers ou de malformations congénitales y sont toujours élevés.
La Polynésie française et des îles australiennes ont aussi souffert des retombées radioactives, moins intenses toutefois, cependant l’océan ne connaît pas de frontière et se chargera de mettre à la dérive l’intégralité de ses eaux usées dans l’océan du Pacifique.
James Bhagwan, un militant anti-nucléaire fidjien dit « Nous avons l’habitude d’être le dépotoir en ce qui concerne la question des déchets nucléaires » , récemment interrogé par le magazine « Vice américain ».
...
Mouvement pour la sécurité de la planète.
Connu / TG le 17/05/23 à 13:13
Le réchauffement climatique est une réalité à laquelle l’humanité sera confrontée tout au long du XXIe siècle et au-delà, comme le confirme le sixième rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publié hier. Ces conséquences du changement climatique affecteront à des degrés divers, mais croissants, les réacteurs composant le parc nucléaire français actuellement en service. A fortiori, elles doivent être prises en compte dans tous les projets de construction de nouveaux réacteurs qui sont susceptibles d’entrer en service à partir de 2035 et qui fonctionneront ensuite jusqu’en 2100, voire au-delà. Le parc nucléaire français comporte actuellement 56 réacteurs implantés dans 18 centrales. Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes vise à appréhender les effets prévisibles du changement climatique sur le parc nucléaire actuel et sur les nouveaux projets de réacteurs, ainsi que les conséquences de ces évolutions sur la sûreté et l’exploitation.
Un parc nucléaire qui cumule les défis sur le siècle à venir
La filière nucléaire française doit se préparer à la perspective de la prolongation, puis de l’arrêt du parc actuel ... moyenne d’âge d’environ 45 ans en 2030 ... mise en service du premier EPR français à Flamanville et préparer la construction d’un programme « nouveau nucléaire » de 6 à 14 EPR2. Ces défis techniques et industriels pour les décennies à venir devront être relevés dans un contexte où le parc nucléaire subit un accroissement en intensité et en fréquence des épisodes de chaleur et des extrêmes climatiques.
...
Les paramètres physiques dont l’évolution est la plus déterminante en matière de changement climatique pour le parc nucléaire ont été en particulier retenus : la température de l’air et de l’eau, la sécheresse et les étiages sévères, le niveau marin – ce risque concernant principalement le nouveau nucléaire –, ainsi que les phénomènes climatiques extrêmes et de long terme, c’est à dire à horizon 2100 et au-delà
...
Un dispositif de sûreté nucléaire qui intègre l’adaptation au changement climatique dans ses référentiels
...
Des effets limités mais croissants des évolutions climatiques sur la disponibilité du parc
...
normes environnementales de prélèvements d’eau et de rejets thermiques, propres à chaque site, conçues pour limiter les impacts sur le milieu aquatique en aval et permettre le partage de la ressource en eau pour d’autres usages. Ces normes, associées à des épisodes de canicule et de sécheresse de plus en plus fréquents, peuvent contraindre l’exploitation et réduire la disponibilité et la production du parc, notamment pour les sites thermosensibles en bord de fleuves. Les pertes de production qui en résultent demeurent limitées en moyenne annuelle (environ 1%) et l’essentiel du risque d’indisponibilité en cas de canicule ou de sécheresse concerne six sites. Mais ces indisponibilités sont concentrées sur des périodes brèves, estivales le plus souvent, et peuvent s’avérer critiques en accroissant les risques de tension sur le réseau.
...
Une conception et une implantation des nouveaux réacteurs nucléaires devant tenir compte des incertitudes climatiques à long terme
...
les innovations technologiques ne permettent pas encore de passer à des centrales sobres en eau. Les nombreux critères de choix d’implantation des nouveaux réacteurs, et notamment l’acceptation sociale des projets dans les territoires, amènent l’exploitant à faire preuve de prudence. Ainsi, les quatre sites identifiés pour déployer les six premiers EPR2 sont sur le littoral ou en bord de Rhône. Mais à ce stade, aucune visibilité n’est donnée sur l’implantation des huit EPR2 prévus en option. La Cour recommande d’éclairer au plus vite les choix d’implantation
...
Connu / TG le 12/04/23 à 22:07
"
Il traite de l'adaptation au changement climatique du parc des réacteurs nucléaires existants et des futurs EPR2 ... La conclusion est un peu critique et ce rapport contient des informations sur les consommations d'eau des réacteurs nucléaires, en particulier dans l'annexe 6 page 104. Il y a aussi des informations sur les différents systèmes de refroidissement possible, dont ceux en circuit fermé (p. 77).
"
Connu / TG le 08/03/23 à 18:19
1988 l’IPSN du CEA étudiait la situation d’un réacteur 900MW en cas d’indisponibilité du circuit d’injection de sécurité. Il y a évidemment des études plus récentes.
Les déboires des réacteurs nucléaires d’EDF se poursuivent. Deux d’entre eux ne pourront finalement pas redémarrer avant la fin de cet hiver, et six autres devront être arrêtés, à leur tour, en 2023 pour des réparations liées à des problèmes de corrosion. Au 19 décembre, sur les 56 réacteurs que compte la France, 16 étaient à l’arrêt, comme le montre l’outil de suivi EnergieBot de FranceInfo : Au total, 16 réacteurs nucléaires sur 56 sont à l'arrêt en France, d'après les données de production de la (...)
Connu / TG le 21/12/22 à 14:07
Electricité EDF Nucléaire
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement L'Usine Nouvelle - édition Abonné
EDF a fait savoir, vendredi 16 décembre 2022, que la mise en service de l’EPR de Flamanville (Manche) allait être retardée de six mois supplémentaires. Le chargement du combustible nucléaire est désormais prévu pour le premier trimestre 2024 au plus tôt. Et deux réacteurs nucléaires vont faire défaut plus longtemps que prévu cet hiver.
Réservé aux abonnés - 2 min. de lecture
EDF estime le surcoût du nouveau retard de l'EPR de Flamanville à 500 millions d'euros.
La nouvelle tombe très mal. Alors que la France comptait, notamment, sur l’EPR de Flamanville pour son approvisionnement en électricité à l’hiver 2023-2024 (qui s'annonce encore plus tendu que l'hiver 2022-2023), EDF a annoncé, vendredi 16 décembre 2022, que la mise en service de l’EPR de Flamanville (Manche) allait être retardée de six mois. Le chargement du combustible nucléaire est désormais prévu pour le premier trimestre 2024.
[...]
Sélectionné pour vous
«Nous avons écarté le scénario du pire» sur les coupures d'électricité, estime RTE
La Française de l'Energie veut accélérer l'exploitation du gaz de mine dans les Hauts-de-France
Ecowatt : que prévoit la météo de l'électricité dans les prochains jours?
SUR LE MÊME SUJET
- Deux systèmes de pilotage de l’EPR Flamanville 3 sont en panne
- L’EPR finlandais Olkiluoto 3 tourne (enfin) à 100% de sa puissance
- EDF annonce un nouveau retard et encore un surcoût à la centrale nucléaire Hinkley Point C
Sujets associés
EDF Electricité Nucléaire EDF/CNPE, FLAMANVILLE (50340) Normandie
Pourquoi EDF ne tient jamais son calendrier de redémarrage des réacteurs nucléaires
Depuis trois mois, BFM Business suit au jour le jour les arrêts des réacteurs nucléaires en France. Leur calendrier de relance n’est ...
Connu / TG du 08/12/22 à 8:36
La Russie possède la seule usine au monde capable de « recycler » l’uranium déchargé des réacteurs nucléaires français
Le groupe français Orano a continué à envoyer jusqu’en octobre de l’uranium en Sibérie, où se trouve une installation de conversion.
...
Connu / TG du 29/11/22 à 13:28