Selon https://fr.wikipedia.org/wiki/Trello Trello est un outil de gestion de projet en ligne, lancé en septembre 2011, et inspiré par la méthode Kanban de Toyota. Il est basé sur une organisation des projets en planches listant des cartes, chacune représentant des tâches. Les cartes sont assignables à des utilisateurs et sont mobiles d'une planche à l'autre, traduisant leur avancement.
La version de base est gratuite, tandis qu'une formule payante permet d'obtenir des services supplémentaires. Le service est disponible en plusieurs langues (23 en juin 2016).
ndlr :
- Trello c’est bien gentil… mais c’est centralisé ! Trello, un service de gestion de projets, n’est sans doute pas le plus imposant des services que l’on souhaite voir « dégooglisé » mais il n’en reste pas moins un service propriétaire basé aux États-Unis. Les données qu’on lui confie sont donc transférées on-ne-sait-où et ça, en bons Gaulois que nous sommes, ça nous met hors de nous.
- n'est pas un logiciel libre contrairement à https://framablog.org/2015/10/07/framaboard-les-libristes-ont-reinvente-le-tableau-blanc-mais-en-mieux/ fondé sur le logiciel Kanboard, alternative LEDS à Trello
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Pour dépanner un proche ou pour le travail, TeamViewer est devenu un outil incontournable lorsqu'il s'agit de prendre le contrôle d'une machine à distance. Il se distingue par sa simplicité d'utilisation, sa fluidité et par ses fonctionnalités de partage de fichiers. S'il est difficile de lui trouver des défauts manifestes, les alternatives sont légion ! Revue d'effectif dans notre sélection
- AnyDesk : l'outil portable et réactif
- VNC : le préféré des professionnels
- Chrome Remote Desktop : la solution signée Google
- NoMachine : multiplateforme même sur mobiles
- LogMeIn : taillé pour le travail collaboratif
Logiciel propriétaire de télémaintenance disposant de fonctions de bureau à distance, de téléadministration, de conférence en ligne et de transfert de fichiers.
TeamViewer GmbH est une société fondée en 2005 à Uhingen en Allemagne. TeamViewer est un partenaire unique de GFI Software (en)1.
... fonctionne sous Windows, OS X2,3, Linux4, iOS5 (uniquement comme client), Android6, Windows Phone, Windows 10 Mobile et Windows RT7.
Un navigateur Web peut communiquer avec un ordinateur grâce à ce logiciel8.
Même s'il est conçu dans un but de contrôle à distance, il offre différents services facilitant la collaboration et la présentation9.
Il existe une version gratuite pour un usage privé.
Logiciel gratuit, mais pas libre. Nécessite Microsoft Windows avec Microsoft .NET Framework 4. Peut également fonctionner sous Linux et Mac OS X.
Principe de fonctionnement et aspect juridique du logiciel.
Captvty interroge les sites Web des chaînes et propose une liste des vidéos qui sont en libre accès sur ces sites, exactement comme le feraient Edge, Internet Explorer, Firefox, Chrome, Safari, Opera ou n’importe quel autre navigateur. Lorsque l’utilisateur exécute le programme sur son ordinateur et choisit de visionner ou de télécharger une vidéo, l’utilisateur se connecte par l’intermédiaire du programme au site de la chaîne sélectionnée et télécharge le fichier correspondant sur son ordinateur, en suivant simplement le lien d’accès à la vidéo proposé par ledit site.
En cela, il n’y a ni reproduction ni mise à la disposition du public sur Captvty.fr d’œuvres protégées par le droit d’auteur. Le contenu qui peut ainsi être téléchargé provient en effet exclusivement des sites interrogés. Il s’agit bien du contenu que les chaînes de télévision mettent elles-mêmes à la disposition du public et qui peut être consulté directement par les internautes.
Du point de vue juridique, Captvty est un outil légal eu égard aux législations française et européenne. Explications.
Comment faire pour utiliser Captvty sous Linux ?
Captvty a été conçu avec Microsoft .NET Framework, ce qui est incompatible avec Linux. Néanmoins, une solution, bien qu’expérimentale, reposant sur Wine 2.0.2, permet de contourner ce problème. La procédure suivante a été réalisée en février 2018 avec Ubuntu 17.10.1 (disponible sur le miroir OVH).
forge logicielle non libre, privative :-(
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Cet article est une traduction de la version anglaise d’un billet d’Investigate Europe publiée le 13 mai 2017
enquête réalisée par un consortium de neuf journalistes européens met à jour les risques qui dérivent de la dépendance des gouvernements à Microsoft — aucun n’est indemne…
Même si çà et là des efforts sont notés pour migrer vers des solutions open source voire libres, l’adversaire est impitoyable et utilise un arsenal bien rodé.
Combien faudra-t-il encore de telles enquêtes pour provoquer une prise de conscience et pour que les décisions nécessaires soient prises et mises en œuvre ?
L’addiction de l’Europe à Microsoft, un énorme risque pour la sécurité
La Commission européenne n’écoute pas ses propres experts
Les programmes de Microsoft sont confus et vulnérables
Déclasser l’Europe au rang de colonie numérique