C'était lundi dernier, le 28 novembre, un mois après le rassemblement contre la mégabassine de Sainte-Soline, cinq manifestants interpellés au hasard parmi les milliers de citoyens présents, ...
Connu / TG du 04/12/22 à 22:02
Récit de l’audience du 6 janvier au Tribunal judiciaire de Paris.
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"BERNARD ARNAULT A ACHETÉ LA JUSTICE" - FRANÇOIS RUFFIN - 18 déc. 2021 / BLAST, Le souffle de l'info
#FrançoisRuffin #BernardArnault #Justice - 119 991 vues - 8,7 k - 346 k - 862 commentaires
Ce mercredi, LVMH a accepté de signer, en toute discrétion, une convention judiciaire avec le parquet de Paris, acceptant de payer une amende négociée de 10 millions d’euros dans l’affaire Squarcini. Bernard Squarcini, "monsieur sécurité" de Bernard Arnault, est soupçonné d’avoir espionné François Ruffin.
François Ruffin, à l'époque journaliste, a réalisé le film documentaire Merci Patron ! sorti en 2016 où il ridiculisait LVMH et Bernard Arnault. En représailles, François a fait l'objet d'une surveillance pendant 3 ans. Par le biais de son "deal" avec la justice, le leader mondial du luxe échappe au procès. Entretien.
Journaliste : Antoine Etcheto Montage : Antoine Etcheto
Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven
Connu / https://twitter.com/blast_france/status/1472242754902102019
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Collet Didier a aimé BLAST, Le souffle de l'info @blast_france · 18 déc.
"Bernard Arnault a acheté la justice"
"C’est la justice française qui se laisse acheter par Bernard Arnault. Quand on a des milliards, on peut acheter la police et on peut acheter la #justice." Entretien avec @Francois_Ruffin
. #BernardArnault #LVMH
39 - 812 - 1300
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Les reportages
3ans. Cela fait 3ans que Zineb Redouane, une Marseillaise de 80 ans, a perdu la vie après avoir reçu sur le visage au moins un tir policier. 3ans d’opacité, 3 ans d’immobilité. Au final, 0 mise en examen et une procédure judiciaire enlisée.
Trois ans. Cela fait trois ans que Zineb Redouane, une Marseillaise de 80 ans, a perdu la vie après avoir reçu sur le visage au moins un tir policier en marge de l’acte III des Gilets jaunes. Trois ans d’opacité, trois ans d’immobilité. Autopsies aux conclusions différentes en France et en Algérie, expertises qui se contredisent. Au final, zéro mise en garde à vue, zéro mise en examen et une procédure judiciaire enlisée. Pour dire non à l’oubli, des centaines de personnes ont manifesté dans les rues de Marseille le samedi 4 décembre dernier. Pour Zineb, mais aussi pour d’autres… Toutes et tous victimes de violences policières et d’indifférence judiciaire. Taha Bouhafs était à leurs côtés.
Il nous revient avec des témoignages puissants. Des témoignages qui convergent presque tous. Et pointent du doigt une institution judiciaire considérée comme complice. Mathieu Rigouste, chercheur indépendant en sciences sociales, réalisateur et militant était lui aussi à Marseille. Il travaille notamment à la construction d’un réseau d’entraide et de soutien pour les familles de victimes de crimes policiers. Pour lui, les mécanismes qui aboutissent à l’impunité des forces de l’ordre sont construits par la police mais validés par les médias, la justice et les autres institutions. Les victimes n’ont pas le choix : elles doivent mettre en place un réseau de solidarité pour pouvoir organiser leur défense.
Tr.: ... affaire politico-judiciaire, les politiciens ont indiqué qu'il fallait protéger les forces de l'ordre et la justice refuse d'admettre et de fait protège le policier. ... déni de justice ... systémique ... institution judiciaire considérée comme complice ... mécanismes construits par la police mais validées par les autres institutions justice et médias ... réseau entraide-vérité-justice ... la violence policière, c'est aussi la violence judiciaire, et surtout, la violence de l'État.
Connu / https://twitter.com/CerveauxNon/status/1472224570996408322
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Le Média a retweeté Cerveaux non disponibles @CerveauxNon · 18 déc.
Des témoignages de familles de victimes de #ViolencesPolicieres recueillis par @T_Bouhafs
confirment le rôle central de la justice dans l'impunité policière.
« La justice est au service de la police, historiquement et institutionnellement » Michel Foucault
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Entretien — Covid-19 - Durée de lecture : 10 minutes
Selon le professeur de droit Guillaume Zambrano, le passe sanitaire est une atteinte aux droits fondamentaux ainsi qu’une sanction extrajudiciaire. Il a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme.
Guillaume Zambrano est maître de conférences en droit privé à l’université de Nîmes. Face à la loi imposant le passe sanitaire, il a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme.
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Le 5 mai 2021, le député Ugo Bernalicis intervient en discussion générale sur le projet de loi pour la confiance dans l’institution judiciaire défendu par Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice.
15 commentaires
... Mercredi 2 décembre 2020, l’information judiciaire visant dix personnes de la mobilisation antinucléaire contre le projet d’enfouissement des déchets radioactifs Cigéo à Bure (Meuse) pour des motifs variés — participation à un attroupement après sommation, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit, détention en bande organisée de produit incendiaire, dégradation d’un bien d’autrui par un moyen dangereux, etc. — a été close, après trois ans et demi d’une surveillance et d’une répression hors normes.
1 381 ont signé
Mélanie LUCE a lancé cette pétition adressée à Vidal frédérique (Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche) et à 3 autres
Lettre ouverte : Faire taire la jeunesse n’est jamais la solution. Renoncez à judiciariser les mobilisations étudiantes !
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La commission mixte paritaire a en effet modifié l’article 20 bis AA de la loi aggravant la restriction de liberté déjà proposée par le Sénat. Cet article punit maintenant d’une peine allant jusqu'à trois ans de prison et 45 000€ d’amende « le fait de pénétrer ou de se maintenir dans l’enceinte d’un établissement d’enseignement supérieur sans y être habilité en vertu de dispositions législatives ou règlementaires ou y avoir été autorisé par les autorités compétentes, dans le but de troubler la tranquillité ou le bon ordre de l’établissement ». C’est une atteinte grave à la démocratie universitaire, à la liberté d’expression, à la liberté syndicale, au droit de contester les décisions qui nous concernent, etc.
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L’université est un lieu d’émancipation intellectuelle qui nous pousse à re-réfléchir constamment notre société et à prendre part aux débats publics. La libre expression de la jeunesse ne saurait être réduite de la sorte.
Nos mobilisations auront lieu, nos actions continuerons. Les interdire ne fera que les amplifier.
Face à l’explosion de la précarité étudiante, la dégradation de nos conditions d’études, la mise en place de frais d’inscription différenciés pour les étudiant·e·s étranger·ère·s, la jeunesse ne saurait s’exprimer dans le calme, « la tranquillité ou le bon ordre » lorsqu’on la méconnait avec autant de force et qu’on la réprime.
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