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Le samedi 28 novembre 2020, Jean-Luc Mélenchon était place de la République pour la marche des libertés contre la loi sécurité globale. Il a dénoncé les violences policières et a appelé à entièrement refonder la police pour retisser le lien de confiance entre la police et la population. Pour cela, il a notamment proposé la dissolution de la BAC et de l'IGPN.
Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a également demandé la démission du préfet Lallement dont les méthodes violentes sont régulièrement mises en cause dans les débordements policiers. Il a expliqué que les nassages devaient être arrêtés car ils provoquent régulièrement du désordre et des situations de tension où les manifestants peuvent être blessés.
Jean-Luc Mélenchon a demandé à ce qu'Emmanuel Macron retire la loi « Sécurité globale » dont l'ensemble des mesures créent une véritable « cage électronique » de surveillance généralisée de la population.
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Après l'affaire Théo, après l'affaire Chouviat, après les gilets jaunes, qu'elle est la réponse du gouvernement ? La Loi de la Sécurité globale, ne plus filmer les policiers, casser le thermomètre. Alors qu'hier soir la police s'en est encore pris à des journalistes, des militants, des migrants, je demande la démission du préfet Lallement.
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ASSEMBLÉE NATIONALE
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Mercredi 24 juin, la commission d'enquête sur les obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire présidée par Ugo Bernalicis auditionnait Didier Lallement, préfet de police de Paris.
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Mediapart s’est procuré plusieurs notes de la gendarmerie nationale et de CRS qui remettent en question la légalité des ordres donnés par le préfet de police de Paris. « Des pratiques contraires à la législation ainsi qu’à la réglementation » et « des emplois disproportionnés de la force » y sont pointés.
Bien que vivement critiqué, le préfet de police de Paris Didier Lallement continue de bénéficier du soutien du ministre de l'intérieur Christophe Castaner qui affirmait le 19 février : « Il n’y a pas de problème Lallement. » ...