Un film de Claude Barras - Sortie le 16 octobre 2024
À Bornéo, à la lisière de la grande forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outan trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï, son jeune cousin, vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée. Mais pour Kéria, ce combat sera aussi l’occasion de découvrir la vérité sur ses origines.
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La campagne d’impact est l’ensemble des actions menées autour du film afin d’obtenir un changement positif sur la situation exposée à l’écran. Créée en collaboration avec des partenaires associatifs, acteurs reconnus pour la protection de la biodiversité et contre la déforestation et pour une alimentation responsable (Foodwatch, Fonds Bruno Manser, Greenpeace France, Kalaweit,…) la campagne d’impact de « Sauvages » repose sur leur expertise associée à l’intention du réalisateur Claude Barras de protéger le vivant et appeler à des mesures plus ambitieuses pour lutter contre la déforestation et les projets écocides à Bornéo. Vous aussi, rejoignez la mobilisation autour du film.
Stop aux scandales alimentaires : plus de contrôles, de transparence et de sanctions !: Foodwatch FR
61 369 ont déjà participé - Cette pétition sera envoyée à :
- Monsieur Marc Fesneau, Ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
- Monsieur Bruno Le Maire, Ministre de l'Economie et des Finances
- Monsieur François Braun, Ministre de la Santé et de la Prévention
Viande de cheval, œufs au fipronil, graines de sésame contaminées, affaire du lait contaminé Lactalis, listeria dans les légumes, étiquettes trompeuses… Et plus récemment des œufs Kinder probablement contaminés par des salmonelles et des pizzas Buitoni par E.coli. Ces dernières années en France, les scandales alimentaires s’enchaînent dans un schéma qui se répète, encore et encore. Il est temps d’y mettre fin.
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Opacité, impunité, ça suffit ! Exigeons des autorités qu’elles renforcent la traçabilité, les contrôles, les sanctions et, surtout, la transparence des informations pour tout ce qui concerne notre alimentation. Il est temps de briser la chaîne des scandales alimentaires, qui se répète au détriment de notre santé.
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
Il y a 5 jours Public
https://www.foodwatch.org/fr/actualites/2022/lactalis-disclose-revele-que-les-ingredients-d-un-nouveau-scandale-alimentaire-sont-toujours-reunis/
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
Il y a 5 heures Public
Votez pour la pire arnaque de Noël !
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#Malbouffe #Nourriture #Scandale - 130 234 vues - 6,3 k - 94 - 326 k abonnés - 874 commentaires
La fraude alimentaire est beaucoup plus invasive et malfaisante qu’on ne l’imagine : dans les supers et les hypers, dans les marchés bios, les restaurants étoilés, les chaînes de fast food, les plats cuisinés, les hangars chinois, les fermes piscicoles, chez les maraichers, les épiciers, dans les rizières camarguaises. Partout. Faux miel, fausses épices, poissons piqués aux nitrites, farines animales interdites mais consommées y compris en France, faux pesticides, faux bouillon cubes, fausses carottes, fausses tomates. Ce zoom arrière avec une journaliste spécialisée en malbouffe peut filer la nausée mais il est surtout formidablement instructif.
Denis Robert cuisine Ingrid Kragl à petit feu et on comprend l’ampleur des dégâts. Les contrôles sont largement inefficaces et les mafias (principalement italiennes) l’ont compris puisque, d’après les stats de Foodwatch, une ONG en pointe sur ces questions depuis 2002 et la crise de la vache folle, la Camorra et Cosa Nostra gagnent aujourd’hui plus d’argent en supervisant ces trafics alimentaires qu’en vendant de la drogue. Pour eux, et c’est une des explications du désastre de santé publique, les risques sont moindres. Vendre de la nourriture contrefaite, contaminée, adultérée, illégale, des appellations d’origine protégée qui n’en sont pas, des imitations de grands crus ou des faux pesticides est devenu un business très juteux où le risque de se faire coincer reste minime. Industriels et politiques le savent mais le sujet, tabou, est occulté en France et un peu partout en Europe. C’est ce que révèle le livre « Manger du faux pour de vrai. Les scandales de la fraude alimentaire » écrit par Ingrid Kragl (Robert Laffont, 2021), en charge des investigations à Foodwatch.
Denis Robert s’appuie sur cette enquête fouillée pour révéler ces questions de salubrité publique trop oubliées par les grands médias et les politiques. Pendant une heure dense, il détaille les magouilles, explique pourquoi les raisons de frauder nos aliments sont légion. Outre le désintérêt des ministères concernées (agriculture, santé), l’autocontrôle des hypermarchés et la baisse des effectifs à Bercy expliquent en grande partie le développement de ce marché international du faux, dont les effets -épidémies, cancers ou gastroentérites-, sont trop méconnus. Ce qui ne peut qu’inquiéter.
Les consommateurs -y compris ceux qui pensent être épargnés en mangeant bio- sont sous informés et victimes de ces trafics : quels sont les produits concernés ? Quelles marques ? Où sont-ils vendus ? En quelle quantité ?
« Le bio coute cher, il est donc en premier lieu l’objet de trafic parfois indécelable, sans moyen d’enquêter, explique Ingrid Kragl, qui ajoute : « La fraude alimentaire est un phénomène croissant mais savamment occulté tant par nos autorités que l’industrie agroalimentaire et la grande distribution qui sont parfaitement au courant. Face à l’ampleur des fraudes, l’opacité de nos autorités françaises qui sont, sinon complices, complaisantes avec les contrevenants - est insupportable ».
Les faits sont implacables et filent le bourdon. Et des migraines. En France, une épice sur deux est frauduleuse. 43% des miels chez nous présentent des défauts de composition, de qualité, sont faussement étiquetés français ; certains n’ont jamais vu l’ombre d’une ruche tant ils sont adultérés chimiquement. Des vins du Languedoc sont frauduleusement rebaptisés Pomerol, Margaux ou Saint-Julien. Un produit bio sur douze contrôlé en France n’est pas aussi bio qu’il le prétend. Dans les Alpes maritimes, ce chiffre monte même jusqu’à un produit bio contrôlé sur trois.
Des chevaux impropres à la consommation, bourrés d’antibiotiques, pénètrent aujourd’hui encore la chaîne alimentaire en catimini. Côté volailles (poulet, dinde, canard, oie et pintade), environ un vendeur sur deux triche – notamment sur les labels de qualité fermier, AOP, IGP, label rouge. En Europe, un pesticide sur sept est contrefait et ces sinistres imitations de produits phytosanitaires sont utilisées dans l’Hexagone. De l’huile de tournesol à un euro le litre se transforme en huile d’olive vendue dix fois plus cher grâce à l’ajout de… chlorophylle. Du thon avarié est injecté d’additifs dangereux pour avoir l’air frais et être ensuite revendu comme si de rien n’était.
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation - Il y a 2 jours Public
Enquête édifiante de l'ONG Foodwatch sur les fraudes alimentaires, organisées en mafias.
Injecter des nitrites dans du thon pour qu'il ressemble à du poisson frais, déguiser de l'huile de tournesol en huile d'olive à l’aide de chlorophylle, des usines à faux miel aux conditions d'hygiène très douteuses... Le long travail d’enquête d’Ingrid a permis de lever le voile sur de bien scandaleuses pratiques, qui alimentent un juteux business.
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51 047 ont déjà participé
En finir avec le glyphosate en Europe… enfin !
Clés : Alimentation et santé Pesticides
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La substance active déclarée du célèbre Roundup de Monsanto-Bayer a été réautorisée pour 5 ans fin 2017, après de nombreux scandales : Monsanto papers, procès outre-Atlantique, fichage illégal… Les débats sont déjà lancés pour prolonger cette autorisation et la bataille est loin d’être gagnée.
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pétition a été lancée avec : Foodwatch France, Générations Futures, Greenpeace France, Agir pour l'Environnement, Ligue contre le cancer, WECF, France Nature Environnement, FNE Auvergne-Rhône- Alpes, Amis de la Terre, ATTAC France, BLOOM, Combat Monsanto, Justice Pesticides, Confédération paysanne, CCFD-Terre-Solidaire, Réseau Action Climat, Union Nationale de l'Apiculture Française, Syndicat national d'apiculture, Terre d'abeilles, Terre & Humanisme, Cantine sans plastique France, Réseau Environnement Santé, FNAB, Mouvement de l'Agriculture Bio-Dynamique, SOL, Institut Veblen, Commerce équitable France, UFC Que Choisir, Ligue des droits de l’Homme, Ingénieurs sans frontières agriSTA, ActionAid France, Secrets Toxiques, WWF, SumOfUs, WeMove Europe, Campagne Glyphosate, Alerte des Medecins sur les Pesticides, RESOLIS, Notre Affaire à Tous
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Notre dossier contexte "C'est quoi le problème avec le glyphosate?"
- Le glyphosate est génotoxique et « cancérogène » pour l’animal et « cancérogène probable » pour l’homme selon l’expertise collective du CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), agence de l’Organisation mondiale de la Santé. Rapport « Some Organophosphate Insecticides and Herbicides. IARC Monographs on the Evaluation of Carcinogenic Risks to Humans Volume 112 » mars 2015.
- Sur les questions de santé, voir également l’expertise collective de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) « Pesticides et effets sur la santé : Nouvelles données », juin 2021.
- Sur les alternatives aux pesticides, lire l’INRAE et notamment les rapports « Usages et alternatives au glyphosate dans l'agriculture française », décembre 2017