Guillaume Faburel défend la thèse d'une nécessaire "fin des villes", au sens des métropoles tentaculaires que nous connaissons aujourd'hui et dont la subsistance quotidienne n'est possible que par la dépendance avec les espaces environnants qu'elles vident de leurs ressources.
Avec Guillaume Faburel Professeur à l'Institut d'Urbanisme de Lyon - Université Lumière Lyon 2
Guillaume Faburel est géographe et professeur à l'Université Lyon 2, il défend la thèse d'une nécessaire "fin des villes", au sens des métropoles tentaculaires que nous connaissons aujourd'hui et dont la subsistance quotidienne n'est possible que par la dépendance avec les espaces environnants qu'elles vident de leurs ressources.
Auteur de Indécence urbaine - Pour un nouveau pacte avec le vivant (Climats – essai), pour lui les grandes villes sont responsables des crises majeures de notre temps. Elles imposent des rapports consuméristes et productivistes au monde sans offrir en retour une écologie à la hauteur de la dévastation orchestrée par l’idéologie urbaine. Pour enrayer ce mouvement mortifère, il ne s’agit pas seulement de changer de civilisation, mais de changer ce qu’est la civilisation, de développer la recherche d’autonomie comme mode de vie, dans ce qu’elle recrée de proximité et de solidarités, en faisant le choix d’une autre abondance, celle de la vie. Le monde d’après est là.
Co-organisateur et participant aux états généraux du post-urbain, de la Fondation de l’Écologie Politique, il participera aux rencontres de l'An III qui se tient les 14, 15 et 16 juin. Ces rencontres accompagnent le travail sur les perspectives du post-urbain et poursuivront le travail engagé depuis maintenant quatre années autour d’une géographie alternative, désurbanisée et réempaysannée, déconcentrée et poly-centralisée, démarchandisée et relocalisée, avec un peu de décroissance à la clef, proposant une autre façon d’habiter, autonome et écologique cette fois-ci, affrontant toutes les oppressions, toutes les dominations.
La ville comme moteur du changement ?
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Pendant les états généraux du post urbain qui commence le 14 juin 2024, Guillaume Faburel co-organise notamment un atelier Se soigner avec la nature ou comment préserver les savoirs grâce aux herboristes.
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tr.: ... bifurcation écologique ... les résultats de européennes étaient attendues ... depuis 50 ans de métropolisation ... enjeu de retisser du lien ... l'avenir de l'humanité se joue dans la ruralité ... réunir, mettre en partage ...
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L’unité est prête à s’emparer d’une vaste gamme de thèmes liés à toutes les formes de médiations dans l’espace des sociétés. Le nom de l’unité renvoie aux formes les plus diverses et le plus larges des mises en relations. Par son étymologie même, il fait directement écho à tous les milieux et tous les environnements et à la place des femmes, des hommes et des sociétés.
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La MÉDIANCE, le concept popularisé par Augustin Berque (emprunté au fûdosei de Tetsurô Watsuji) peut éventuellement être mobilisé. Il renvoie à l’idiosyncrasie d’un certain milieu, c’est-à-dire la relation d’une société à son environnement.
Les patrimoines, la patrimonialisation et les trajectoires patrimoniales, les paléoilieux et les environnements de l’anthropocène sont particulièrement étudiés. C’est aussi le cas des circuits productifs et distributifs, de l’alimentation et des MÉDIATIONS sociales et culturelles qui lui sont associées.
Les différentes formes de MÉDIATIONS et d’INTERMÉDIATIONS autant que les processus et les politiques de REMÉDIATION sont abordés de façon concrète et appliquée, notamment dans le contexte de l’urbanisation.
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Des paléo-écosystèmes à ceux de l’anthropocène, de la géo-archéologie aux contextes actuels de l’urbanisation généralisée et des différentes formes de mondialisation, la fabrique des paysages s’inscrit dans des processus cumulatifs et dans des dynamiques complexes et en INTER-RELATIONS.
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La notion de MÉDIATIONS est de fait omniprésente. Les individus autant que les sociétés, les regroupements familiaux autant que les collectifs (fondés sur des appartenances territoriales, des métiers et des savoir-faire, ou encore le partage d’une ou de plusieurs ressources) assurent des transactions entre eux et avec leurs environnements ; ils évoluent ensemble et avec eux. Milieux et environnements sont
ainsi co-construits.
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coprésence dans un lieu (sociabilité de la pratique collective) ... La prégnance des internets et des réseaux sociaux vient complexifier en dotant les individus d’une projection continue dans de multiples lieux faisant passer du régime de double absence à celui des présences multiples et venant fortement renouveler le débat sur la participation effective à ce qu’est la vie en société.
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L’INTÉGRATION DE l’UNITÉ DE RECHERCHE MÉDIATIONS
DANS LE PROJET DE L’ÉTABLISSEMENT SORBONNE UNIVERSITÉ
ET DE LA FACULTÉ DES LETTRES
... objectif d’être au coeur ... Parce qu’elle est par définition une science à l’interface de plusieurs disciplines, la Géographie ... construction d'une société post-COP21 ... futur Institut de la Mer. ...
La Gouvernance de l’Unité
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LE LABORATOIRE JUNIOR DE MÉDIATIONS
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Un bâtiment de logements sociaux en cours d'isolation à Montreuil (Seine-Saint-Denis). ©AFP - Arnaud Paillard
47:00 mn
Dès l'an prochain, les logements classés en catégorie G devront avoir été rénovés pour pouvoir être loués. Suivront ceux classés F, qui devront avoir été mis aux normes avant 2028. Mais l'évolution et les incertitudes autour du dispositif MaPrimRénov' inquiètent une partie des propriétaires.
C’est un défi immense. Il ne reste que 9 mois pour respecter le calendrier de la loi Climat en matière de rénovation énergétique, et tout ou presque reste a faire: au premier janvier 2025, près de 600.000 maisons d’appartements , classés en catégorie G, devront avoir été rénovés ou inscrits dans un programme prévisionnel de travaux. Les logements classés en catégorie F, a peine mieux isolés, mal chauffés, mal entretenus, devront avoir été mis aux normes avant 2028. Au total, si rien n’est fait, près de 5 millions de passoires thermiques pourraient sortir du parc privé. Interdits a la location, avec à la clé, une aggravation de la crise du logement.
Les propriétaires et copropriétaires, ont souvent repoussé les travaux à faire aux calendes grecques, Pour éviter d’avoir de trop gros montants à investir. Ils découvrent aujourd’hui une montagne de devis, un Everest de la rénovation. Le projet global, il est a 1 million 200 mille, pour moi 50.000 c’est énorme.
Avec l’évolution de MaPrimeRénov', les ménages vont sans doute être mieux armés, mieux aidés dans les années qui viennent, mais le gouvernement hésite encore. Après avoir pris la décision ambitieuse de privilégier les projets de rénovation globale des passoires thermiques, les dernières annonces de l'exécutif autorisent finalement les propriétaires de bâtiments mal isolés à ne changer que leur système de chauffage, pour remplacer par exemple une vieille chaudière au fioul, sans toucher au reste.
A ces incertitudes, a ces inquiétudes, s’ajoutent une myriade de cas particuliers. Bâtiments trop fragiles, trop anciens, classés au patrimoine, avec de gigantesques chantiers de rénovation -longs et couteux- et un seul arbitre, le DPE, le diagnostic de performance énergétique. C’est cet indicateur qui classe les logements de la lettre A à la lettre G en fonction de leur performances et les fait basculer -lorsqu’ils sont trop mal isolés ou consomment trop-, dans la catégorie des passoires thermiques. Pour faire le calcul, plus question de prendre en compte les factures de travaux réalisés par les propriétaires, le diagnostic repose désormais uniquement sur les caractéristiques techniques des bâtiments.
Passoires thermiques, le grand chantier de la rénovation, un reportage de Claire Chaudière
Prise de son: Romain Luquens et Raymond Albouy
Réalisation: Jérôme Chélius, assisté de Martine Meyssonnier
Mixage: Bruno Mourlan
Clés : Environnement Arts et Divertissement Développement durable Arts visuels Architecture Logement - Habitation Urbanisme
L'équipe Aurélien Colly Production
Climat, la grande affaire locale 1 / 29
Publié le 12/03/2024 à 17h56 / Pascale Tessier
Sujets relatifs :
Dérèglement climatique, Aménagement urbain, Urbanisme
Pierre Moscovici présente le 12 mars 2024 le rapport annuel de la Cour des comptes. © Cour des comptes
Simplification des diagnostics, trajectoires claires et désignation d’un pilote dans l’avion : voilà ce que préconisent les magistrats financiers aux collectivités devant adapter la ville au dérèglement climatique.
Après la crise sanitaire en 2022 et la décentralisation en 2023, la Cour des comptes a choisi comme objet de son rapport annuel 2024 l’action en faveur de l’adaptation au changement climatique. Et au terme d’investigations menées auprès de 19 villes et intercommunalités de plus de 50 000 habitants, le président Pierre Moscovici a mis l’accent le 12 mars sur « l’ensemble des mesures à prendre pour continuer à vivre dans des conditions supportables », dans un contexte où, malgré ce qui a été engagé, le changement climatique reste « inéluctable et irréversible. » Après n’avoir pris, pour certaines, la mesure de l’urgence que face à la multiplication des épisodes météorologiques extrêmes et les implications sur les conditions de vie des habitants, les collectivités se voient rappelées à l’ordre par... des magistrats financiers.
Lire aussi L’heure de l’adaptation au changement climatique a plus que sonné pour les collectivités locales
Pour une simplification drastique
Pour Pierre[…]
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Hors-série 14 | septembre 2012
Biodiversités et paysages : de la connaissance et de la représentation des paysages à leur aménagement durable
Anthropisation, domestication, conservation et gestion de la biodiversité et des paysages
Le paysage au service de la biodiversité dans la ville durable
Pour une écologie urbaine soutenable
Alban Bourcier
Résumés Français
2010 ayant été l’année internationale de la biodiversité, il convient d’admettre qu’il n’est plus acceptable de dissocier l’appauvrissement de la diversité animale et végétale des activités humaines. Cette contribution a pour objectif de lister quelques pistes d’action à privilégier dans le cadre du développement soutenable des territoires, afin de préserver et d’améliorer le cadre de vie des sociétés en réhabilitant le patrimoine naturel comme une composante de première importance.
Une des finalités sera de démontrer la nécessité d’une approche multiscalaire des dispositifs d’aménagement afin de favoriser la prise en compte de la biodiversité et des paysages en adoptant une vue d’ensemble à l’échelle des territoires en sus des seules applications locales.
De la planification à la mise en œuvre opérationnelle, cette contribution tente de dresser le panel des dispositifs et modes d’action pouvant servir d’outils et de leviers de la biodiversité à l’échelle des territoires et des opérations d’aménagement.
L’objectif principal est de pointer les enjeux majeurs que les sociétés peuvent traiter au moyen d’une plus grande diversité faunistique et floristique en ville
Mots-clés : urbanisme durable, développement des territoires, biodiversité, paysages urbains, innovation écologique, actions soutenables
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?OYbB1g
Du même auteur https://shs.hal.science/file/index/docid/484338/filename/2007-12-07-GIZC-CIRTAI-CNRS.pdf
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Ce vendredi 7 juillet 2023, le groupe parlementaire de la France Insoumise - NUPES organisent des tables rondes autour des révoltes urbaines.
Introduction par Mathilde PANOT, présidente du groupe LFI-NUPES, et Aurélie TROUVÉ, députée de Seine-Saint-Denis.
Audition n°1 - 12h - Regards et expériences d'acteurs des quartiers populaires : les raisons des révoltes avec :
- Wiam BERHOUMA, professeure, militante de quartier et élue de Noisy le Sec
- Mahmadou DIALLO, responsable de l'asso Z'yva (Nanterre)
- Jeanne DEMOULIN, maîtresse de conférences à l'université de Nanterre en sciences de l'éducation
- Almamy KANOUTÉ, consultant et intervenant en cohésion sociale
- Inès SEDIKKI, responsable fondatrice de l'Association Ghett'Up
Audition n°2 - 13h - Répressions policières et judiciaires : comment ont elles alimenté la colère ? Quelles perspectives ? Quelles répercussions des peines prononcées ? Avec :
- Camille VANNIER pour le Syndicat des Avocats de France (SAF)
- Albertine MUNOZ et un responsable national du Syndicat de la Magistrature (SM)
- Patrick BAUDOUIN, Président de la Ligue des Droits de l'Homme France (LDH)
- Serena YAHMI, maire adjointe à la tranquillité public de Noisy le sec
- Norredine IZRASNI, militant des quartiers populaires (Nanterre)
Connu / https://mastodon.top/@mdiplo@mamot.fr/110649765341968355
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5 h Le Monde diplomatique @mdiplo@mamot.fr
Aujourd'hui emblématique des banlieues déshéritées, Grigny n'était en 1969 qu'un bourg paisible de trois mille âmes quand l'État décida, sans concertation avec les autorités locales, d'y implanter deux grands ensembles : Grigny 2, la plus importante copropriété privée de France ; et la Grande Borne, un (...)
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"Une nouvelle ère", plus écologique et sans énergies fossiles, s'ouvrira après la pandémie de coronavirus, estime l'architecte ...
Connu / TG le 16/06/23 à 09:16
Avec les éclairages de Gary Snyder, François Guerroué puis Emmanuelle Bonneau nous explorons les méandres, les réseaux et les affluents du biorégionalisme.
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Connu / TG le 21/05/23 à 21:33
1 888 signatures (23 180 au 23/7/23, 44415 au 27/8)
Destinataire(s) : Emmanuel Macron, Président de la République ; Elisabeth Borne, Première Ministre ; Bruno Le Maire, Ministre des finances ; Clément Beaune, Ministre des Transports
Campagne lancée par Oui au train de nuit !
Catégories Climat, sobrité, transports et urbanisme
... se mobilise depuis 2016. En 2021 un rapport officiel, le "rapport TET", a confirmé la pertinence de construire 600 nouvelles voitures de trains de nuit pour relancer un réseau complet. Mais, depuis, l’État a réduit l'ambition et il reporte l'investissement d'année en année... au point que les nouveaux trains de nuit risquent de ne pas rouler avant 2030. Face aux enjeux climatiques et énergétiques, il convient au contraire d'augmenter l'ambition et d'accélérer.
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Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État d’augmenter l’ambition pour les trains de nuit pour :
1) Financer dès 2023 la construction de 600 voitures, avec une extension optionnelle à 1200 voitures.
2) Créer de nouvelles lignes de nuit région-région, en particulier sur les transversales Est-Ouest.
3) Mieux desservir l’ensemble des territoires excentrés et de montagne.
4) Prévoir aussi du matériel pour relancer des trains de nuit internationaux en coopération avec les pays voisins et/ou les opérateurs.
Durée de lecture : 7 minutes
Étalement urbain Monde Eau et rivières
Reportage — Étalement urbain
Au sud de Mexico, le bassin de Xochimilco est l’une des dernières zones humides de la ville. Le tourisme et l’étalement urbain mettent en péril écosystèmes et savoir-faire traditionnels.
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Un rapport officiel expose les ratés du dispositif MaPrimeRénov’ : au lieu de financer des rénovations globales, il sert surtout à acheter de nouveaux chauffages.
Durée de lecture : 5 minutes
Habitat et urbanisme Énergie
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« L’objectif de diminution de la consommation d’énergie finale ne permet pas de répondre aux objectifs sociaux assignés que sont la lutte contre la précarité énergétique et l’éradication des passoires thermiques ». Dans un document très détaillé publié le 20 décembre https://www.strategie.gouv.fr/publications/comite-devaluation-plan-france-relance-deuxieme-rapport, le comité d’évaluation du plan France Relance, sous l’égide du Parlement, dresse le bilan de deux années de massification de la rénovation des logements privés au travers du dispositif MaPrimeRénov’.
Si le rythme engagé de plus de 600 000 dossiers retenus par an se maintient, et que l’aide cible bien en priorité les ménages modestes et très modestes, la majeure partie des actions de rénovation reste constituée de travaux uniques et isolés, principalement pour installer des chaudières à granulés ou des pompes à chaleur.
Moins de 65 000 logement rénovés
La stratégie nationale bas-carbone (SNBC) fixe le cap de 370 000 rénovations globales par an ? En 2021 et même au vu des projections pour 2022, ce sont toujours moins de 65 000 logements qui ont été véritablement rénovés.
Et c’est surtout grâce à un autre dispositif plus ancien et plus efficace destiné aux ménages modestes : « Habiter mieux sérénité », désormais rebaptisé « MaPrimerénov’ Sérénité ».
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Au même moment, le budget alloué au bouclier énergétique s’élève à 45 milliards d’euros. Le comble ? Une bonne partie de cette passoire budgétaire financera justement les factures de gaz, d’électricité et de fioul de 5,2 millions de logements « en situation de sobriété subie ».
Ce site ressources permet de mieux appréhender les enjeux de notre époque, découvrir ou mieux connaître les différentes initiatives concrètes et courants philosophiques inspirants ; et trouver des pistes pour passer à l’action.
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la parole à son fondateur, Jean-Christophe Anna, qui présente la raison d’être de son initiative et leurs nombreux projets.
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Les enjeux du XXIème siècles sont critiques et les défis à relever immenses
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L’objectif de notre site ressources est de leur permettre de mieux appréhender les enjeux de notre époque ; découvrir ou mieux connaître les différentes initiatives concrètes et courants philosophiques inspirants ; et enfin trouver des pistes pour passer à l’action et apporter leur propre contribution à la nécessaire bascule sociétale.
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En marge du système dominant – étatique, urbain et métropolitain – profondément mortifère, viscéralement suicidaire et puissamment écocidaire, l’émergence d’initiatives alternatives dans les territoires ruraux est foisonnante.
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Ces expérimentations qui préfigurent un monde nouveau sont disséminées dans nos campagnes sans être suffisamment reliées. Elles ne sont pas réellement organisées pour œuvrer collectivement à la structuration d’une véritable, souhaitable et salutaire alternative à ce système en fin de vie.
C’est pour répondre à cette réalité que nous avons imaginé notre ONG comme un catalyseur au service de ces initiatives – véritables ilots embryonnaires de ce monde nouveau – avec l’ambition de les interconnecter à l’échelle territoriale.
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Aujourd’hui, une trentaine de personnes sont associées à notre projet avec certaines qui apparaissent directement sur notre site et d’autres qui préfèrent pour l’instant conserver leur anonymat
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uniquement des dons sur notre page Tipeee.
Nous aspirons à initier et accompagner des expérimentations biorégionales dans une perspective de résilience locale, collective et systémique
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cet été avec la Société écologique du post-urbain au lancement de l’Appel « Concevoir une biorégion depuis son espace écologique de vie ». Nous proposerons début 2023 une offre de formation et d’accompagnement destinée à tous les collectifs ou personnes désireux·euses de s’engager dans cette dynamique biorégionale.
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L’Archipel du Vivant existe depuis mars 2020
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En 2022, nous sommes intervenus en conférences sur certains des plus grands événements écologiques (Salon Primevère, Foire ÉcoBio d’Alsace, Fête des Possibles). Nous avons également formé des étudiant·e·s en France et en Suisse ainsi que les scouts des Éclaireuses et Éclaireurs de la Nature lors de leur grand événement estival Jamboree Inspir’Action. Et nous avons aussi lancé le podcast Vivants https://archipelduvivant.org/nos-productions-livres-et-podcasts/vivants/.
à l'IGE Grenoble avec collaboration avec l'INRAE Lyon sur la Caractérisation des sources de contaminants dans un bassin versant à usage mixte (agricole, urbain) (Claduègne, Ardèche), dans le cadre d'un projet ANR et de l'Agence de l'Eau RMC.
Bien cordialement
Céline Duwig
IGE
Chargée de Recherche IRD
IGE (UMR CNRS, IRD, UGA)
CS 40700
38 058 Grenoble Cedex 9
http://www.ige-grenoble.fr (http://www.ige-grenoble.fr/)
Email: celine.duwig@ird.fr
tel: + 33 (0)4 76 63 58 92
Institut des Géosciences de l’Environnement - UMR 5001 (https://www.ige-grenoble.fr/)
L'Institut des Géosciences de l'Environnement (IGE) est un des laboratoires de l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble. Unité mixte de recherche du CNRS, de Grenoble INP, de l'IRD et de ...
Connu / TG le 12/10/22 à 12:19
Connu / TG 17/09/22 À 12:24
L’origine de la fragmentation du vote est-elle essentiellement liée au contexte économique local ou à la composition de ces territoire
Connu / TG 5/9/22 À 13:23
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Un article intéressant sur le vote en zone rurale et péri-urbaine
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1 117 signatures
Campagne lancée à Olivier S.
Categories Climat ; Transports & Urbanisme
Aménagement du territoire
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LuluBerlu / AdobeStock
L’Association des directeurs généraux des communautés de France veut couper « le robinet du pavillonnaire ». Les intercommunalités sont, à ses yeux, les mieux armées pour mener la transition écologique. Un plaidoyer qui s’accompagne de l’élection au suffrage universel direct sans fléchage des conseillers communautaires et de la dévitalisation de l’actuelle institution départementale. Disruptif.
Clés : Intercommunalité ; Urbanisme - aménagement
La plateforme programmatique tombe à pic, au moment où s’ouvre la nouvelle mandature parlementaire. Les propositions pour un nouveau modèle d’action publique territoriale de l’Association des directeurs généraux des communautés de France seront d’ailleurs détaillées ce 7 juillet au lendemain du discours de politique générale d’’Elisabeth Borne.
A l’occasion de ses universités d’été, les 6 et 7 juillet à Deauville, le cercle de territoriaux présidé par Yvonic Ramis fera de la lutte contre l’étalement urbain son cheval de bataille. « Depuis 1981, l’artificialisation des sols de notre pays a augmenté de 70 %. Dans le même temps, la population a cru de 70 % » : c’est, à partir de ce « constat implacable » que l’ADGCF poursuit « un objectif prioritaire » : « fermer le robinet du ...
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7 861 signatures Campagne lancée par Résistance Climatique
Destinataire(s) : Les Atterristes
Nous, Atterristes, prenons l’engagement de nous déplacer et de voyager sans avion.
Conscient·es de l’urgence climatique, nous choisissons d’aligner notre mode de vie avec ce que nous disent les scientifiques.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
C’est un engagement nécessaire.
Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l'intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2].
Engagement juste
Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ?
Engagement joyeux
Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c'est le début d'un autre rapport au monde.
Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large.
Ensemble, atterrissons.
[1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021
[2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone
[3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779
[4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone
Catégories Climat ; Justice sociale & environnementale ; Transports & Urbanisme
Connu / https://twitter.com/advocnar/status/1521461137681887235
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Oui au train de nuit !🚃🌙 a retweeté Association ADVOCNAR @advocnar · 9h
🌄🌠Arrêter de prendre l’avion, ils sont des milliers à faire ce choix en raison de l’urgence climatique❗️ ... Et tout va bien😎
👉Découvrez leur appel #lookup #JeSuisAtterriste - 0 - 8 - 12
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