3 février 2025
Le vote de non-censure par le PS consomme son ralliement au gouvernement Bayrou. Pour l’instant sans participation. Mais qui s’en souvient : le refus du recours au 49.3 était une des lignes rouges du PS au début de sa danse du ventre devant Bayrou !
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À Villeneuve, l’évènement majeur était ailleurs. Il est resté enseveli médiatiquement par la campagne de sabotage du PS et de ses commensaux EELV et PCF. Comme les journalistes politiques pensent sur commande, il faut faire le travail à leur place. Faisons-le. À Villeneuve, le RN et Zemmour ont appelé à voter pour la liste LR. Les cerveaux sont tellement lepénisés que, dans les rédactions, certains se demandent déjà où est le problème. Il y a quelques temps cela aurait été l’actu pendant huit jours. En mars 1998, aux élections régionales en Rhône-Alpes, Charles Millon fut renié par Chirac, exclu de son groupe parlementaire et de l’UDF pour avoir accepté les voix du FN. Pour finir, ce ralliement de l’extrême droite avait entraîné l’annulation de l’élection. À l’époque, François Bayrou, député UDF, avait pourfendu Charles Millon. Aujourd’hui même la présence de Zemmour ne coupe pas l’appétit des muscadins et des merveilleuses de la presse et des partis « de gouvernement » ! Et comment oublier les hurlements devant les accords de désistements réciproques de Jean-Claude Gaudin avec le RN en 1988. Pendant des années, « Le Monde » et même Plantu ont représenté Jean-Claude Gaudin encerclé d’un vol de mouches à merde, lui-même à moitié dissimulé dans un imperméable entrouvert. Ces finesses montraient comment la bonne société réagissait à l’époque. Aujourd’hui : silence et bouches cousues. Adieu « le cordon sanitaire » !
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la raclée des macronistes d’une élection partielle à l’autre ...
dans la désormais ultra bourgeoise circonscription de Boulogne-Billancourt, la candidature macroniste hier titulaire du siège sombre en quatrième position. LR passe en tête ! Et le second est « Horizons », le parti d’Édouard Phillipe ... les candidats de Bardella reculent en voix. Au total, Retailleau se lisse les moustaches. LR est de retour et moissonne les semailles du RN. Tant mieux. Cela déstabilise le bloc de droite
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le NFP est réduit d’un parti. Il va nous falloir vérifier qui y demeure et comment fonctionner. Mais il est vrai qu’il y a encore quatre 49.3 en vue et 4 motions de censure ...
Cause commune avec le mouvement des agriculteurs - 25.01.2024 / Melenchon.fr
La mobilisation actuelle des agriculteurs me vaut des questions posées en mode privé par de nombreux amis dans l’expectative.
Il est frappant de voir de quel soutien bénéficie le mouvement dans l’opinion. Mais la récupération de la parole publique sur les chaines d’info, pour réclamer « moins de normes » en agriculture crée du doute chez mes interlocuteurs. Car souvent, ils expriment à leur manière la demande inverse, par exemple contre la diffusion de l’empoisonnement par le glyphosate et les autres pesticides. Sans oublier la dernière décision de l’Union européenne « libérant » de toute contrainte la propagation des OGM. Bref l’opinion générale a bien intégré les exigences écologiques qui s’imposent de façon vitale à notre époque. Mais à mon avis c’est justement sur ce point que se trouve actuellement l’opportunité politique la plus grande avec le mouvement paysan contrairement à la crainte qui peut s’exprimer.
Commençons par le plus simple. Les agriculteurs demandent à être payés suffisamment pour vivre dignement de leur travail. Comment le monde salarial pourrait-il contester une telle revendication ? Ne formule-t-il pas exactement la même pour lui ? Plus de 8 français sur 10 partagent ce ras-le-bol d’un monde où tout augmente, de l’essence à l’électricité, sauf les salaires. Le mouvement actuel contribue donc directement à la diffusion de l’exigence du juste partage qui est à la racine de la pensée insoumise en économie.
Il faut bien comprendre qu’une telle aspiration ne se résume pas à une question de survie. Elle touche plus profond. C’est l’exigence de reprendre le contrôle sur son existence. La misère, l’impasse économique sont vécues à juste titre comme des confiscation de soi, des soumissions à des contraintes injustes imposées de force. Ici est en jeu un fondamental des processus de révolutions citoyennes partout dans le monde. Le mouvement des gilets jaunes avait la même racine : reprendre le contrôle de son existence. Revendication moderne s’il en est.
Mais cela n’est pas la seule conjonction à observer. Il y a des raisons très profondes de soutenir et même de prendre appui sur le mouvement paysan pour porter et faire avancer très loin des objectifs généraux de grande portée en matière d’idéal de société. Nous sommes dans l’ère des mouvements opposés aux aspects fondamentaux du libéralisme. Au-delà des apparences il faut savoir le discerner pour construire du futur collectiviste. Le libre-échange, la « concurrence libre et non faussée », le marché en tout et pour tout sont ici mis en cause de plein fouet avec les mots simples de la vie quotidienne d’un double point de vue autant écologique que social. Les deux dimensions fusionnent en un processus unique dans cette mobilisation au-delà des mots, des postures, des modes d’action.
Les campagnes se vident à force de maltraitances sociales contre la partie la plus menacée du monde agricole soumis délibérément à la concurrence sauvage du marché mondial pour ses productions. La population totale des agriculteurs a été réduite à quatre cent mille personnes, 1,5 % de la population active…. Ce nombre s’interprète mieux par comparaison du nombre des autres catégories de population, quand on est dans un pays qui compte par exemple trois millions d’étudiants. Le retour à une agriculture vivrière, produisant les fruits et légumes dont nous avons besoin (pour ne citer que cela), est une urgence. La relocalisation de ces productions de fruits et légumes est le moyen essentiel d’une politique d’exigence sanitaire. Mais aussi une question de souveraineté et de sécurité des approvisionnements. Car en période de risque de guerre généralisée et de coupure des chaînes d’approvisionnement mondialisées (on l’a vu pendant l’épidémie de Covid-19) notre sécurité collective passe aussi par notre souveraineté alimentaire. Cela nécessite une classe agricole assez expérimentée et nombreuse pour être capable de porter cette bifurcation de la production. Liquider le monde paysan actuel comme le font les politiques européennes néolibérales est un contre sens.
Pourtant la politique néolibérale en cours y conduit directement. Le lobby agro-industriel n’y voit que des avantages. La libre disposition d’espaces arables immenses dédiés aux productions vers le marché mondial et complètement intégrée au commerce et la finance mondiale est la « révolution verte » dont le lobby agroalimentaire a besoin. L’Union européenne y travaille sans trêve. Ce n’est donc pas un hasard si le mouvement paysan est en cours sur tout le territoire de l’Union. Les gouvernements français ont laissé faire comme ils l’ont déjà fait pour l’industrie. Parce que cela coïncide avec les intérêts de la finance qui domine tous les secteurs d’activité aujourd’hui.
L’Union européenne aggrave volontairement la situation. Elle prépare une catastrophe supplémentaire avec l’adhésion prévue de l’Ukraine à l’Union européenne. Nous y sommes déjà opposés pour protéger les salariés de nos pays. En effet ils seraient soumis à une compétition salariale insupportable quand on sait que le SMIC ukrainien est de moins de 150 euros mensuels. Il en irait de même aussi brutalement dans l’agriculture. Les coûts de production sont déjà trois à cinq fois moindre qu’ici. On a déjà une assez ample expérience des résultats de ce contraste. Le miel de là-bas sort à 3,50 euros, contre 6 euros en France. On consomme donc davantage de miel importé que de miel des terroirs locaux. L’apiculture en déroute vide la population active des zones qu’elle anime. Depuis l’ouverture du marché à leur volaille, la consommation de celle-ci a été multipliée par cinq en France, au détriment des productions locales. Avec le système actuel de la politique agricole commune l’Ukraine absorberait une énorme part des subventions agricoles européennes pourtant financées d’abord par la France.
Le fléau de la politique libérale européenne rapproche donc de fait dans un combat commun possible, salariés des villes et des champs. Une convergence tout à fait décisive est possible entre les deux non seulement dans la situation présente mais dans des revendications communes sur le fond du projet de société. Le libéralisme n’a aucune réponse positive possible face à la demande des agriculteurs. Au contraire. La logique du libre-échange promet de nouvelles concurrences, et donc de nouvelles baisses des rémunérations.
À l’inverse, seule la politique de désobéissance européenne prônée par les Insoumis ouvre une issue. Dommage que les partis de centre gauche de la NUPES y aient renoncé et brisé l’union pour cela. Ils l’avaient pourtant adoptée dans le programme partagé de l’Union populaire. Il faut comprendre l’ampleur de cette idée. Elle crée un contexte. Cela commence déjà par le changement des objectifs de production agricole. Pour nous la production vivrière doit avoir la priorité. Je viens de le rappeler. Mais cet objectif ne peut pas être dissocié des mesures qui l’accompagnent nécessairement. Je parle ici de la « clause de sauvegarde sanitaire » mise en avant dans nos rangs par Aurélie Trouvé députée insoumise ingénieure agronome. La relocalisation de l’agriculture vivrière est le premier moyen dont nous disposons pour pratiquer une politique intense de prévention sanitaire contre la marée de pesticides, et des autres raisons de dégradation de la santé des populations. Aucune marchandise agricole ne pourrait être vendue en France si elle n’est pas conforme aux normes sanitaires que fixerait notre pays.
Ainsi, on voit que la lutte « contre les normes » portée par l’agrobusiness libéral serait le contraire de ce qu’il faut faire. Sans norme sanitaire, pas de protectionnisme sanitaire possible. Et surtout ce protectionnisme sanitaire ne pourrait plus s’adosser sur les normes et règles internationales qui le rendent possible et légal. Les agriculteurs se tireraient une balle dans le pied s’ils suivaient les revendications des libéraux en agriculture. Cela les conduirait au contraire de leurs objectifs. Et ils se couperaient de surcroit du monde des familles qui ne veulent plus subir la loi des consommations actuellement imposées par l’agroalimentaire. Le principal dirigeant du syndicalisme agricole dominant étant lui-même un dirigeant de l’agroalimentaire, il illustre certes l’évolution constante depuis des années des élites dirigeantes du monde agricole. Sur ce point, dans une autre profession, on parlerait de conflit d’intérêts. Car l’agro-alimentaire a une responsabilité non négligeable dans la détresse actuelle des agriculteurs. Cette industrie a augmenté de plus de 50 % ses marges de profit. Elle porte la responsabilité quasi-totale de l’inflation sans cause du prix de l’alimentation. Et cela se paie sans discussion possible à un bout de la chaîne sur le dos des producteurs, et à l’autre bout sur celui des consommateurs.
Ce lien qui unit la politique agricole des Insoumis et les revendications du monde paysan, a été magnifiquement établi par la proposition de loi défendue par Manuel Bompard, député insoumis des Bouches-du-Rhône et coordinateur de notre Mouvement. Il avait fait adopter avec le groupe parlementaire insoumis à la majorité de l’Assemblée nationale deux mesures directement impliquées dans le dénouement possible de la crise actuelle. C’est le blocage des marges de profit de l’agroalimentaire, d’une part, et la fixation de prix planchers pour les produits agricoles, d’autre part. La majorité obtenue sur ce plan en novembre au cours de notre niche parlementaire était un événement dont nous avons beaucoup parlé à l’époque. Comme on le sait pour finir, il a manqué six voix pour le vote final de cette loi. Les macronistes et LR avaient remobilisé leurs députés pour voter contre nous. Mais l’absence des leaders de la « gauche d’avant », comme Fabien Roussel du PCF, par exemple, avait permis à cette manœuvre d’aboutir.
Dans la lutte actuelle la Confédération paysanne joue un rôle positif ou elle cherche à faire le lien entre les revendications écologiques et sociales. On voit alors comment une bataille de cause commune est possible unifiant la population. A l’inverse du corporatisme affiché par le syndicat dominant qui ne tient aucun compte des demandes de la société dans son ensemble en réclamant l’abolition des normes anti-pesticides ou des restrictions des gaspillages de l’eau, ou l’extension des zones d’épandage de produits contestés par exemple. Mais si l’on met de côté ces demandes qui ne font nullement l’unanimité, on peut dire que du point de vue des objectifs comme du point de vue des moyens gouvernementaux pour régler les problèmes, il peut n’y avoir aucune contradiction entre les revendications du mouvement social agricole actuel et notre programme écologique et social. La question d’actualité posée au gouvernement par Mathilde Hignet député insoumise en a fait la démonstration. Dans ces conditions, le moment est donc bien celui où faire cause commune avec le mouvement des agriculteurs et construire une convergence citoyenne.
Ensuite, le mouvement agricole a permis de faire une démonstration politique de masse. On se souvient des accusations « d’écoterrorisme » contre les militants et la tentative de dissolution des « Soulèvements de la terre » à propos des bassines ! Ici, rien de semblable. Le gouvernement, les médias, les chroniqueurs ne pipent mot. Donc le mouvement des agriculteurs a fait reculer les appels à la violence policière et judiciaire habituels du pouvoir macroniste comme on les avait constatés face aux Gilets jaunes et aux révoltes urbaines. Tout le monde voit des autoroutes bloquées, un bâtiment public explosé, des voies de chemin de fer comme l’accès à une centrale nucléaire bloqués, des arbres coupés. Ni les médias ni les responsables politiques « n’appellent au calme ». Ainsi la raison et le droit à la dignité des gens commencent à être prioritaires dans la parole publique pour régler une crise. Ou bien faudrait croire que les donneurs de leçons de morale d’hier, leurs leçons, la classe médiatique qui les a relayés sans limite et qui se tait à présent, est faite de manipulateurs sans vergogne. Faisons le pari de croire à leur bonne foi et à leur compréhension désormais de la vigoureuse stratégie de la conflictualité portée par les agriculteurs. D’ailleurs le pouvoir macroniste recommande publiquement « la plus extrême modération » à la police. Comment ne pas approuver cette consigne. Personne ne doit être abattu pour « refus d’obtempérer ». Pas d’œil crevé non plus, pas de comparution immédiate, pas de recommandations pour condamner à de la prison ferme. Comme je l’avais fait avec mes camarades à l’époque des révoltes urbaines, il faut faire triompher d’abord la justice sociale si l’on veut retrouver la concorde civile.
Nous allons voir à présent comment le Waouuuu super Premier ministre va faire face au problème grâce à son jeune âge et ses talents de communicants déjà mille fois célébrés par les médias enamourés. Macron ferait bien de se préparer à trouver une idée de « grand débat » supplémentaire ou des « chèques survie agricole » selon son inépuisable habitude des pratiques cosmétiques. Mais ce temps-là est passé, je crois bien. Et je m’en réjouis. Le pays regarde et réfléchit. Il finira par comprendre ce que veut dire le libéralisme, la concurrence « libre et non faussée », le libre échange sans règles sanitaires, l’élargissement sans fin de l’Union européenne et la financiarisation de l’agriculture : le chaos. Un ordre nouveau est à construire et il peut faire un avenir en commun pour notre pays.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1750483102814629917
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Jean-Luc Mélenchon @JLMelenchon
La CGT voit juste. La convergence est possible et nécessaire avec la lutte des agriculteurs. Un front écologique et social peut s'exprimer. Voir ma note de blog.
12:37 PM · 25 janv. 2024 · 97,4 k vues
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Entretien — Pollutions - Durée de lecture : 7 minutes
Clés : Pollutions Europe Santé Quotidien
Un rapport dresse un constat inquiétant sur la présence de PFAS, ou polluants éternels, dans l’environnement. Nicolas Thierry, député EELV, dénonce le manque d’action des pouvoirs publics.
On les appelle « polluants éternels », car ces substances ne se dégradent pas. Les per- et polyfluoroalkylés (PFAS) sont présents dans de nombreux produits et objets du quotidien https://reporterre.net/Le-papier-toilette-contient-des-polluants-eternels-toxiques. Face aux risques sanitaires qu’ils présentent, Nicolas Thierry, député Europe Écologie-Les Verts (EELV) de Gironde, a déposé le 13 avril une proposition de loi visant à les interdire. Le lendemain, le ministère de la Transition écologique publiait un rapport de l’Inspection générale de l’environnement et du développement durable (Igedd) sur la présence de ces substances dans l’environnement. Un rapport réclamé depuis plusieurs mois par les députés verts et des associations écologistes.
https://www.igedd.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/014323-01_rapport-publie_cle518a1c.pdf
https://reporterre.net/Polluants-eternels-Des-donnees-potentiellement-explosives-bloquees-par-Matignon
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quasiment tous les emballages au contact d’aliments en contiennent en raison de leurs propriétés antitaches et de résistance à l’humidité. On en trouve aussi dans les vêtements déperlants, les chaussures imperméabilisées, les poêles antiadhésives, les tissus antitaches… Même dans le papier toilette, selon une récente étude.
La mousse anti-incendie concentre elle aussi beaucoup de PFAS. Utilisée pour lutter contre les feux d’hydrocarbures, par exemple dans les bases militaires, elle est rejetée en pleine nature et pollue l’eau et les sols.
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On sait que les perfluorés ont des effets néfastes sur les systèmes cardiovasculaire, reproductif et hormonal. Ils entraînent un risque de cancer, notamment des testicules et des reins. Des études récentes ont aussi montré qu’ils ont un impact sur la fertilité et qu’ils réduisent l’efficacité des vaccins chez les enfants. Pourtant, alors que la France — tout comme les autres États européens — connaît le danger depuis vingt ans, rien ne s’est passé. On est peut-être face à l’un des pires scandales sanitaires depuis des décennies.
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obtenir ce rapport est déjà une petite victoire, car nous avons dû batailler et mettre une forte pression pour qu’il soit publié ... était bloquée par Matignon https://reporterre.net/Polluants-eternels-Des-donnees-potentiellement-explosives-bloquees-par-Matignon
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manque d’ambition cruel du plan PFAS du gouvernement https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/22261_Plan-PFAS.pdf
... a été rendu en octobre 2022. Le gouvernement avait donc déjà ces informations lorsqu’il a élaboré et annoncé son plan d’action en janvier. Celui-ci n’était qu’une diversion pour encore gagner du temps. On est là face à une inaction coupable des pouvoirs publics.
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il existe des milliers de substances perfluorées différentes, entre 4 000 et 12 000. C’est grâce à cette stratégie que les industriels ont réussi à enliser les choses aux États-Unis.
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Ingénieure géologue minier, spécialisée dans les risques environnementaux et sanitaires des filières minérales.
Tr.: ... SYSTEX, association que je représente aujourd'hui "Systèmes extractifs et environnement", née en 2009, qui est principalement composée de personnes du secteur ou proches du secteur. Ça peut être des ingénieurs miniers, des chercheurs, géographes, hydrogéologues, association de solidarité internationale qui a pour but 2 choses : - sensibiliser et apporter de la connaissance et de l'information dans la sphère publique pour qu'il y ait un véritable débat sur les questions minérales, et une réappropriation par tous de ces questions. - Et d'être en capacité d'utiliser nos connaissances, nos savoirs, nos expériences, en tant que professionnels du milieu, ou proches du milieu, pour pouvoir aider la société civile qui est en difficultés, ou qui a besoin de réponses simples à ses questions losqu'elle est confrontée à des projets miniers ou à des questions minières. Ça peut aller jusqu'au bout des filières minérales. Elle est financée par deux grandes fondations : la fondation CHarles Léopold-Meyer pour le progrès de l'homme, et la fondation Un monde par tous. Ça représente 75% de nos financements et ce sont deux fondations familiales privées à but philantropique qui sont sous l'égide de la Fondation de France. Et donc les 25% manquants, ce sont des adhésions, des dons et aussi une partie des activités commerciales qu'on peut mener quand on intervient par exemple sur de l'expertise ou des études qu'on va réaliser, par exemple pour des collectivités ou autres où là on pourra être rémunérés un petit peu sur cette activité là.
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externalités positives ou négatives ... sur les usages ... appareils numériques ... tout notre quotidien est fondé sur des métaux ... boucles complexes de rétroactions ... acide sulfurique + phosphate fait du super phosphate par exemple ... ya une surminéralisation de notre quotidien ... carrières ... relèvent du code de l'environnement ... les mines, du code minier ... expérience de terrain ... visite mine en espagne ... sexisme ... machisme ... on a la même passion, la géologie, les minéraux ... phénomènes des forces telluriques ... ex. ruptures de digues ... on dénonce les pratiques inacceptables ... /transition énergétique point de non retour ? oui, changement de paradigme. 2 transitions : numérique et énergétique. Rapport banque mondiale 2017. indium et lithium seulement ... campagne climate smart mining ... énergivore ... déployer des enr sur les sites miniers ... >80% én / broyage ... équivalent conso én 30000 personnes ... cuivre, nickel, etc modèle bizarre ...
terminer >1:00:03 ACT
Des éleveurs de volailles en plein air ont fait irruption dans la cité administrative de Tulle ce lundi.
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Connue / TG le 14/12/22 à 08:08
« RÉVOLTEZ-VOUS ! » FACE AUX SCANDALES SANITAIRES, LE CRI DU CŒUR D’UN NEUROCHIRURGIEN
Publié Il y a 10 heures • 34 vues
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Le Média Par lemediatv
C’est l’histoire terrible qui bouleverse de larges pans de l’hôpital public en France. C’est l’histoire de Claudette, 77 ans, admise au CHU de Dijon après s’être cassée la jambe, et qui est finalement morte… après avoir été non alimentée pendant de longs jours.
Morte de faim selon ses enfants qui ont décidé de porter plainte.
Une autopsie est en cours, et c’est elle qui pourra confirmer les causes de ce décès. Mais cette histoire témoigne du cauchemar dans lequel s’enfonce l’hôpital public en France. Le Pr Laurent Thinès, célèbre neurochirurgien, tire la sonnette d’alarme et appelle les usagers, les citoyens à se révolter contre cet état de fait. Il a bien voulu répondre aux questions du Média.
Visibilité Publique
Publié originellement 08 novembre 2022
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu Étiquettes
Durée15min 52sec
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Le 28 juillet 2022, les députés Ugo Bernalicis, Emeline K/Bidi et Antoine Léaument de la #Nupes ont été auditionnés par le Conseil constitutionnel dans le cadre de leur recours devant le Conseil constitutionnel contre le projet de loi sanitaire.
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Intervention d'Antoine Léaument, député LFI-NUPES, le 25 juillet 2022 à l'Assemblée nationale. Voici la retranscription de son intervention.
Ce texte propose de « mettre fin aux régimes d’exception » liés la Covid-19. C’est un objectif louable. D’ailleurs, notre présidente Mathilde Panot avait défendu une proposition de loi sur le sujet en janvier 2022. Et vous l’aviez refusée. Nous nous félicitons que ce nouveau texte abroge les mesures les plus restrictives de liberté de l’état d’urgence, à savoir le pass sanitaire et l’enfermement à domicile du peuple par son confinement généralisé
Votre texte ne comporte qu’un seul autre point positif. Enfin, vous avez accepté l’évidence : le pass sanitaire ne sert à rien pour empêcher la propagation du virus et seul le test permet de savoir qui est contaminé et donc qui peut contaminer les autres. Il était temps ! Pour voyager, désormais, seul le test sera utilisé et c’est une excellente nouvelle.
Voilà pour les bonnes nouvelles. Il nous faut maintenant passer aux mauvaises.
Vous avez donc établi que seuls les tests permettent de savoir si on peut transmettre le virus. Mais vous ne rendez toujours pas ces tests gratuits ! Cela alors même que le Conseil scientifique précise qu’il faut « un accès gratuit au dépistage en autoprescription ».
Par ailleurs, votre texte ignore la volonté de l’Assemblée nationale sur un sujet. Nous avions décidé ici que les contrôles sanitaires ne pourraient pas s’appliquer aux personnes mineures. Vous avez rétabli le fait qu’ils le seront aux jeunes de 12 à 18 ans.
J’ajoute que ce texte aggrave le mépris contre les Outre-Mer. Et pourtant vous savez que ce point est central pour notre groupe et que nous n’acceptons pas qu’une différence de traitement soit faite entre nos compatriotes d’Outre-Mer et ceux de l’Hexagone. Or c’est tout l’inverse qui est fait !
Qu’on en juge par le dispositif. Car c’est en cas d’apparition d’un nouveau variant « susceptible de constituer une menace sanitaire grave » qu’il faudra présenter un test négatif pour aller des Outre-Mer à l’Hexagone. Mais dans l’autre sens, c’est « en cas de risque de saturation du système de santé » qu’il faudra le faire.
Ce texte dit donc que nos compatriotes ultramarins peuvent être un danger pour l’Hexagone avec des variants dangereux mais que l’inverse n’existe pas ! C’est un traitement différencié entre citoyens de la République qu’on ne peut accepter, et nous saisirons le Conseil Constitutionnel sur le sujet !
D’autre part, si la fin des dispositifs Si-Dep et Contact-Covid est confirmée au 31 janvier 2023, un dispositif de conservation de données de santé est maintenu jusqu’en juin 2023. Il aurait pourtant pu être remplacé par la simple délivrance des certificats de tests et de rétablissement. Le droit européen auquel vous vous référez sur ce point ne demande d’ailleurs rien de plus.
Enfin, le texte prétend ouvrir une porte à la réintégration des personnels non vaccinés. Mais le texte laisse la main au gouvernement par décret et la porte ouverte a donc déjà été claquée par le ministre de la Santé qui a dit la semaine dernière qu’il n’était pas pertinent de réintégrer les personnels suspendus.
Au global, ce texte n’est pas à la hauteur. Vous passez à côté de la vraie urgence. Celle d’un hôpital public épuisé par vos mesures libérales. Nous avons vécu par votre faute le crash sanitaire annoncé par Jean-Luc Mélenchon dans un meeting à Châteauroux en avril 2017. Et non seulement vous n’avez rien fait, mais vous avez aggravé les choses en fermant 17 000 lits en 5 ans, dont 5700 pendant la pandémie !
Ce texte est donc l’occasion de faire le bilan désastreux de votre politique sanitaire. Vous avez décidé en Conseil de Défense des mesures qui n’ont fait qu’épuiser nos soignants par votre inaction et votre mépris maquillé derrière des applaudissements.
Mais une autre politique est possible ! Voici ce qu’il faut faire :
Rouvrir les lits d’hôpitaux fermés
Réintégrer les personnels non vaccinés suspendus et demander aux soignants partis à quelles conditions ils seraient revenus,
Revaloriser de 10% le point d’indice,
Titulariser les contractuels
Et recruter les personnels administratifs nécessaires pour libérer du temps aux soignants
Et plus largement :
Installer des purificateurs d’air dans les lieux publics fermés, à commencer par les écoles pour protéger nos enfants
Rendre gratuits les masques FFP2 et les tests
Faire un pôle public du médicament, notamment en nationalisant Sanofi
Et vous battre à l’OMC pour obtenir la levée des brevets sur les vaccins contre la Covid-19
Voilà qui aurait été une politique sanitaire efficace ! C’est celle que nous avons proposée avec Jean-Luc Mélenchon dans les campagnes présidentielles et législatives. Bien sûr, nous ne l’avons pas emporté cette fois-ci. Mais les Français savent qu’avec nous, il existe un programme et un recours pour une politique sanitaire réellement efficace.
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Interventions des député.e.s de la #NUPES lors de la discussion, le 12 juillet 2022 à l'Assemblée nationale, de la politique sanitaire du gouvernement. Avec entre autres Ugo Bernalicis, Elsa Faucillon, Raquel Garrido, Emeline K Bidi, Antoine Léaument, Elisa Martin, Davy Rimane...
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Le vendredi 7 janvier, j'étais l'invité d'un débat sur CNews portant sur la politique sanitaire du gouvernement.
J'ai dénoncé l'incapacité d'Emmanuel Macron à planifier et j'ai demandé ce qu'était devenu le commissariat au plan dirigé par Monsieur Bayrou. J'ai ainsi expliqué que Blanquer avait été nul en envoyant son protocole sanitaire inapplicable la veille de la rentrée scolaire. J'ai aussi parlé du manque de planification du gouvernement en matière de production de tests, d'installation de purificateurs d'air ou encore de recrutement de personnels dans l'Éducation nationale.
Concernant la question des parrainages à l'élection présidentielle, qu'Éric Zemmour dit peiner à obtenir, j'ai rappelé la proposition des insoumis de permettre un parrainage citoyen de 150.000 personnes pour un candidat.
Enfin, j'ai de nouveau dénoncé les propos d'Emmanuel Macron disant vouloir « emmerder » les non-vaccinés. J'ai rappelé qu'en tant que président de la République, il était garant des institutions et ne devait pas tenir des propos qui vont contre la Constitution. J'ai dit que la situation actuelle était inquiétante sur le plan des libertés. Et j'ai aussi dit que s'il voulait « emmerder » des gens, Macron devrait s'en prendre aux fraudeurs du fisc.
Les 8 propositions sanitaires de Mélenchon à l'Assemblée nationale - 5 janvier 2022 - L'insoumission
... motion de rejet déposée par le groupe LFI à l’Assemblée nationale et a pu critiquer sans réserve la politique sanitaire du gouvernement, tout en proposant 8 solutions à la crise, pour la plupart déjà proposées depuis des mois
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contre le pass vaccinal
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le gouvernement ... dé-remboursement des tests aux non-vaccinés, c’est-à-dire ceux qui en ont le plus besoin !
1 – Rendre les tests gratuits
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2 – Levée les brevets sur les vaccins ... pour éviter que se développent de nouveaux variants plus contagieux comme l’actuel « Omicron » vacciner des milliards d’êtres humains
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3 et 4 – Équiper les salles de classe de purificateurs d’airs et les enseignants de masques FFP2
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5 – Relocaliser la production de masques FFP2
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6 – Faire un moratoire sur la fermeture de lits d’hôpitaux
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7 et 8 : s’attaquer à la déforestation et fermer les fermes usines à l’origine des zoonoses
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Connu / https://twitter.com/L_insoumission/status/1478675897561587713 "3 - 99 - 154"
Ndlr: pas les capteurs de CO2 ? Si, confirmé / https://twitter.com/melenchon_2022/status/1478308874100871168
Transmis par le CDGHNV (Comité de Défense du Groupe Hospitalier Nord Vienne), le Communiqué de presse de la Coordination Nationale des Comités de Défense de Hôpitaux et Maternités de Proximité daté du 2 juillet 2021.
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accès aux soins ... culpabilisation des personnels ... politiques de santé ... désagrégation de l'hôpital public ... passe sanitaire obligatoire ... contre-productif ... coût du contrôle ... gabegie ...
Durée de lecture : 9 minutes - Clés : Libertés Santé Politique Covid-19
« Société de contrôle », démocratie « suspendue »... Pour la philosophe Barbara Stiegler, les décisions du gouvernement contre le Covid-19 nous plongent dans une « impasse politique et sanitaire » inquiétante. Et elle interroge la façon dont est menée la politique de vaccination.
Barbara Stiegler est professeure de philosophie politique à l’université de Bordeaux. En janvier 2021, elle a écrit le tract De la démocratie en pandémie aux éditions Gallimard, vendu à plus de 80 000 exemplaires.
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Depuis le début de l’épidémie, le gouvernement n’a cessé de brandir des solutions miracles : le confinement d’abord, le couvre-feu, les nouveaux vaccins et maintenant le passe sanitaire. Mais cela ne fonctionne pas comme ça. En santé publique, il faut une stratégie diversifiée, une panoplie d’outils ciblés, de l’accompagnement, de la précision. Là, au contraire, les dispositifs mis en place sont extrêmement brutaux et simplistes.
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Le caractère « sanitaire » du dispositif n’est nullement démontré ... outre l’ivresse que procure l’excès de pouvoir, il refuse de revenir sur sa doctrine néolibérale ... il transforme les victimes de sa propre politique — à savoir les citoyens — en coupables ... Il privilégie toujours la répression, le contrôle et la mise au pas de la population. Il n’hésite pas non plus à manipuler les chiffres et à diffuser des informations fausses ou tronquées.
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Une politique sérieuse de santé publique impliquerait que l’on ait une discussion contradictoire et documentée sur la question de savoir s’il faut vacciner les jeunes et les mineurs [2] ... Promettre aux plus jeunes que nous reviendrons à une vie normale après leur vaccination est au mieux une illusion, au pire un mensonge. Même Jean-François Delfraissy [le président du conseil scientifique] et le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) le reconnaissent [3].
... la gauche et la société civile devraient se mobiliser dans la rue pour ne pas laisser l’extrême droite ramasser la mise ... Depuis un an et demi, une partie des classes supérieures semble avoir renoncé au modèle démocratique. Nos dirigeants sont fascinés par le modèle chinois et son approche technosécuritaire où tout est numérisé et où les autorités distribuent des permis de citoyenneté. C’est exactement l’esprit de ce passe prétendument « sanitaire » ... Je suis très étonnée de voir qu’Europe Écologie-Les Verts ne s’empare pas réellement du sujet https://reporterre.net/Les-candidats-ecolos-Batho-Governatori-Piolle-Rousseau-se-declarent-contre-le-passe
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Notes
[1] L’Agence nationale de sécurité du médicament a indiqué la possibilité de très rares cas de myocardites
[2] La communauté pédiatrique a pris position en faveur de la vaccination des jeunes, même si certains spécialistes estiment que ce n’est pas la priorité.
[3] Avis du 9 juin 2021 du CCNE : « Les adolescents, comme l’ensemble de la population, risquent d’être à nouveau confinés alors même qu’ils seront vaccinés. […] Le risque encouru ici est majeur : si les adolescents recourent à la vaccination avec la certitude qu’elle leur permettra un retour à la vie normale et que cette motivation finit par être déçue dans les faits, c’est leur confiance dans les institutions qui risque d’être ébranlée à long terme. »
Précisions
• MISE À JOUR — 3 août 2021 — Ajout de la précision sur les myocardites et la vaccination des jeunes.
Connu / https://twitter.com/CHANTALCUTAJAR/status/1428610264228929536
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Rapenne Jean a aimé CHANTAL CUTAJAR @CHANTALCUTAJAR · 18h
Barbara Stiegler a raison d’interpeler les écologistes sur la question du pass sanitaire via @Reporterre - 3 - 9 - 6
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Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Il est aussi spécialiste des sciences comportementales et de l’ingénierie sociale il a écrit plusieurs ouvrages dont:
- "Gouverner par le chaos", Max Milo
- "Neuro-pirates" Kontre Kulture
- L'Apartheid sanitaire
Quelles sont aujourd’hui les principales menaces sur l’intégrité humaine (au niveau physique, mental et psychique) et particulièrement dans le contexte du terrorisme viral? - La linguistique et sémantique du pouvoir gouvernemental et présidentiel pour manipuler et hypnotiser l'opinion
Dans l’histoire de la philosophie, remontant à la Grêce antique, il y a une guerre silencieuse mais mortelle entre Réalistes et Nominalistes vous pouvez nous expliquer de quoi il s’agit?
Tr.: ...
saussure??, cours de linguistique générale. ... perversion du sémantique politique. Ne pas s'exposer à ce flux ... cf Louis Foucher ... la croyance de ce que dit macron est déjà de l'hypnose ... conseils sur la situation pour entrer en résistance : s'incrire dans une orga maillage territorial, contre-pouvoirs institutionnels, Les Patriotes, filipo, le RN, hervé juvin lutte contre le transhumanisme qui vient par la ruse. Filipo la plus active. Pique-nique sans masque, avec autocollants, faire du collage, idem efficacité asselineau, réinfo aussi sur internet, faire feu de tout bois, être dans la rue, car le pouvoir avance comme dans du beurre.
Ndlr : crédible ? De gros doutes, vérifer
Proposition d'action / vanessa valade
Public dans le groupe Nouvelle-Aquitaine : événements & actus
Tags - géographiques France - thématiques Pesticides
... vis à Chaniers en Charente-maritime (17). 1er département utilisateur de glyphosate en France grâce à la VITICULTURE INTENSIVE INDUSTRIELLE notamment ! ... plusieurs parents viennent d'être informé que la plage créée par le maire dans notre commune ne fait l'objet d'aucune recherche de pesticides malgré l'état de pollution élevé du fleuve! c'est un scandale de faire prendre des bouillons de pesticides à nos enfants en toute impunité en plus d'hypothétiquement les laisser boire la tasse en jouant! Je viens d'envoyer un mail à l'ARS qui pratique les relevés pour les mettre en demeure de pratiquer les analyses des pesticides dans le cas contraire nous entamerons une démarche contre l'ARS censée nous PROTEGER des Risques Sanitaires ainsi que contre le maire à l'initiative du projet qui s'affiche aux élections avec des viticulteurs et qui a créé cette plage en tout état de cause, ... l'Etat français lui aussi a sa part de responsabilité avec ses lobbys en n'incluant pas la recherche systématique de pesticides. ... Je recherche l'appui d'associations connaissant nos droits et pouvant nous épauler car je suis seule à entamer la démarche. Merci ... "Texte envoyé à Greenpeace qui m'a orienté vers vous et d'autres structures locales." Je suis à la recherche de l'action Forte de communication, mais toujours dans un sincère objectif de protection et prise de conscience dans toute la France que ce soit un effet domino pour une plus grande sévérité envers les agriculteurs pollueurs de tous les fleuves de France.
Ndlr : Chaniers est à l'est de Saintes
Planète - Coronavirus et pandémie de Covid-19 - Temps de Lecture 5 min.
Contrairement aux attentes, le nombre de cas positifs a baissé de moitié depuis la levée des restrictions sanitaires le 19 juillet.
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Faute de certitudes, deux grandes explications à ce paradoxe sont avancées. La première vient de l’Euro 2020, qui s’est déroulé du 11 juin au 11 juillet. La compétition de football a vu l’Angleterre atteindre la finale, et chaque match poussait les Anglais à se réunir dans les pubs, les fan-zones ou simplement en groupe chez eux. Le jour de la finale, des hordes de supporteurs ont fait la fête toute la journée à travers le pays – jusqu’à la défaite de leur équipe –, essentiellement sans masque ni distanciation sociale. « Quand l’Euro s’est arrêté, on a vu un rapide déclin du nombre de contaminations », souligne Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia. Il en veut pour preuve que les contaminations en Ecosse, où l’équipe nationale avait été éliminée dès le 22 juin, avaient commencé à reculer trois semaines plus tôt.
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Connu / https://twitter.com/bloginfo/status/1425354018046582785
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Denis Szalkowski @bloginfo · 11 août
Et si c'était ça la solution, revivre normalement, vacciner les plus fragiles et soigner les gens ! #COVID #COVID19 #coronavirus Il faut arrêter cette imbécilité de #PassSanitaire
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POLITIQUE Parti pris - 743 commentaires
Au cœur de l’été, l’ampleur des manifestations contre la politique sanitaire face à la pandémie du Covid-19 est le prix à payer de son incarnation et de sa confiscation par une présidence autoritaire, mensongère et irresponsable. La question démocratique est plus actuelle que jamais.
Mots-clés covid-19 Emmanuel Macron Passe sanitaire politique sanitaire vaccins
... les premières mesures de protection sanitaire, parmi lesquelles le port obligatoire des masques, furent d’abord décrédibilisées par les gouvernants eux-mêmes, cachant leur imprévoyance par un mensonge d’État ... Jamais reconnue, encore moins sanctionnée, cette faute initiale a, en retour, définitivement ruiné la crédibilité de la parole officielle.
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en France, l’enseignement principal d’un an et demi de lutte contre le Covid-19 : un retour en arrière durable et systématique qui se surajoute aux autres régressions démocratiques que marque la récente cascade de lois sécuritaires (prévention du terrorisme, contre le séparatisme, sécurité globale – lire ici le récent billet de Paul Cassia).
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la voie qu’il aurait fallu suivre pour créer de la solidarité et de la fraternité, autrement dit de l’entraide. D’autant plus qu’elle était prophétique sur le risque de formation d’une « contre-société » sur Internet face à la crise, « révélatrice de la sensibilité d’une partie de la population aux contre-discours, fausses vérités, rumeurs et propos complotistes », réactivant ainsi « l’opposition entre le peuple/élites, gens d’en bas/gens d’en haut, en associant une partie du monde médical et du monde scientifique aux élites parisiennes ».
Pour éviter ce piège, le président du Conseil scientifique recommandait de susciter « l’adhésion de la population », de compter sur « l’expertise sociale » et de parier sur « les réponses locales ». Enfermé dans sa tour d’ivoire (et de courtisanerie), l’autoproclamé épidémiologiste en chef Emmanuel Macron a fait exactement l’inverse, ignorant superbement cette idée de bon sens que « même en situation d’urgence, l’adhésion de la population est une condition importante du succès de la réponse » : « La confiance des citoyens dans les institutions suppose que celles-ci ne fonctionnent pas exclusivement par un contrôle opéré d’en haut (élus, fonctionnaires, experts) mais puissent aussi assurer une plus grande implication de la société. »
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C’est peu dire que, depuis un an et demi, l’incohérence a été au poste de commande. Un an après l’immense mensonge cachant la pénurie de masques, Emmanuel Macron a pris, seul, la décision de ne pas reconfiner en février 2021, à l’encontre de tous les avis scientifiques, épidémiologiques et médicaux (lire l’avis du Conseil scientifique du 29 janvier). La lucidité que lui ont alors prêtée ses thuriféraires eut un terrible coût humain, évalué à plus de 14 000 morts (lire notre article ici), tandis qu’elle n’empêcha pas un troisième confinement, hélas trop tardif.
Mais, dans ce tableau peu enviable où l’irresponsabilité semble régner en maître, on peut aussi ajouter l’insuffisante priorisation des populations à risques pour la vaccination ainsi que le ciblage discriminant des quartiers populaires durant les confinements. Ou, encore, l’incohérence toute récente qu’il y a à ne plus imposer le port des masques dans les lieux soumis au passe sanitaire, ce qui revient à privilégier la surveillance plutôt que la prévention, autrement dit à lâcher la proie (les protections et gestes barrières) pour l’ombre (la coercition administrative et policière).
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La pandémie de Covid-19 en France - dossier
Dépassé, le gouvernement choisit d’imposer une vaccination tous azimuts qui laisse de côté les éternels oubliés. Une autre approche est possible : une politique de santé de proximité qui vise prioritairement les publics vulnérables, estiment la philosophe Barbara Stiegler, les députés François-Xavier Bellamy (LR) et François Ruffin (LFI) et des soignants.
Les signataires de la tribune appellent au retrait du pass sanitaire, à une approche proportionnée des besoins pour la vaccination et à une levée des brevets. (Sameer Al Doumy/AFP)
par Un collectif de chercheurs, de personnalités du monde médical, et d'élus.
Nous, soignants, acteurs et chercheurs en santé, nous, parlementaires et élus, nous, citoyens, appelons au retrait du «pass sanitaire» car il transgresse les principes fondamentaux de l’éthique biomédicale et du droit des personnes. Il fracture en outre le corps social en deux camps qu’il rend ennemis. En cela, il ignore les principes de santé publique. En cela, il n’a rien de «sanitaire» puisqu’il risque plutôt de nous conduire à une impasse en creusant encore davantage les inégalités et laissant les personnes les plus vulnérables à la fois sans protection face au virus et sans voix pour exprimer leurs doutes ou leurs inquiétudes. En réalité, il existe une autre option qui, jusqu’ici, n’a pas été prise : déployer une véritable politique de santé de proximité, dont la vaccination est un des outils indispensables, mais qui ne peut en aucun cas être présentée comme la panacée qu’il faudrait imposer à toutes et tous.
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GFLC a retweeté Ludivine Bantigny @Ludivine_Bantig · 8h
Symbole de point d'exclamation rouge Grave atteinte au secret médical
Les forces de l'ordre pourront avoir accès au fichier sanitaire des personnes dépistées.
"On change complètement la finalité d’un fichier. On l’a créé pour qu’il soit médical et il devient finalement un fichier policier."
La CNIL s’inquiète que le fichier des dépistages covid devienne un
Si la CNIL ne s’oppose pas à l’extension du passe sanitaire, sa présidente, Marie-Laure Denis, a alerté hier, les sénateurs de la commission des lois. Elle a demandé aux parlementaires de fixer des ... publicsenat.fr - 52 - 846 - 1000