Publié le 3 mars 2025
Désarmement, Énergies, Nucléaire, Paix et justice, Toxiques
Alors que cette nuit marquera les trois ans de l’occupation de la centrale nucléaire de Zaporijia, en Ukraine, par les troupes armées russes et l’entreprise russe Rosatom, Greenpeace France a repéré ce lundi 3 mars au matin, dans le port de Dunkerque, un nouveau déchargement d’uranium naturel d’un cargo en provenance de Saint-Pétersbourg. De plus, le bilan des importations d’uranium en 2024 montre que la France continue d’importer de l’uranium enrichi russe. Un quart de l’uranium enrichi importé par la France en 2024 provenait de Russie. Par ce commerce, la France alimente la guerre en Ukraine, en totale contradiction avec les positions officielles du gouvernement français sur son soutien au peuple ukrainien.
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Menace nucléaire russe : une équipe de Greenpeace visite la zone de première ligne en Ukraine - 6 févr. 2025 / Greenpeace France
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En février 2014 a débuté la guerre menée par l’armée russe en Ukraine qui s’est dramatiquement renforcée avec l'invasion en février 2022. Outre les ravages causés par la guerre, la population ukrainienne est aussi confrontée à la menace nucléaire, notamment en raison de l’occupation de la centrale de Zaporizhzhia par Rosatom, l'entreprise nucléaire d'État russe. Greenpeace, solidaire du peuple ukrainien, a organisé une mission dans la région de Dnipro, en novembre dernier.
Connu / TG le 24/02/25 à 12:01
1,09 k abonnés - 2+ - 22 vues - 0 commentaire ASSEMBLÉE NATIONALE - PALAIS BOURBON
Bien qu’expert en nouvelles technologies, François NICOLAS - / francoisnicolas44 - est un militant de la décroissance - https://mingata.eu/ - et se définit principalement comme un rêveur d’utopies concrètes. Depuis une dizaine d’années, il concentre ses efforts militants sur les revenus de base, sur la nécessité de décorréler le travail d’une part significative des revenus de toutes et de tous. En partageant son cheminement militant, il nous propose de réfléchir aux liens entre l’écologie et les revenus de base.
Tr.: ...
ZAD, zones à définir ... NDDL ... liberté d'inventer un avenir ...
Énergies
Près de 100 milliards d’euros d’investissements dans le réseau d’électricité, des usines qui pourraient consommer beaucoup plus d’énergie qu’aujourd’hui et un chef d’État qui appelle les industriels à se brancher sans limite : la transition énergétique à la française dévore les électrons et ne rêve que de nucléaire.
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L’oubli des limites planétaires
« L’électricité est disponible, vous pouvez vous brancher, elle est prête ! » : la petite phrase d’Emmanuel Macron au sommet de l’IA a fait rire l’assistance ... si l’électricité est majoritairement produite par les centrales nucléaires en France (67 % en 2024) et donc très peu émettrice de CO2, un critère essentiel pour protéger le climat, ses usages ont de multiples impacts sur l’environnement.
L’électrification des transports et de l’industrie requiert énormément de ressources en minerais et métaux (cuivre, terres rares, lithium, coltan, cobalt…) – jusqu’à parfois l’accaparement dans des pays en guerre, dont les techniques d’extraction sont très polluantes. Les data centers ont des besoins colossaux en eau pour les refroidir. Les centres de données augmentent en taille avec l’essor de l’IA générative – afin de gagner en puissance, on parle d’« hyper scalers » – et consomment beaucoup de foncier.
À lire aussi
IA : un puits sans fond de dépenses en énergie, en eau et en CO2
10 février 2025 https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/100225/ia-un-puits-sans-fond-de-depenses-en-energie-en-eau-et-en-co2
Tout cela génère aussi beaucoup de déchets, sans oublier l’enjeu des rebuts nucléaires. Un boom illimité des usages électriques en France aura inévitablement pour conséquences d’augmenter les émissions de CO2 ailleurs. « Si vous électrifiez les camions sans poser la question des usages, vous risquez d’augmenter le fret de la fast fashion », remarque Hélène Gassin, présidente de négaWatt, association experte en sobriété et prospective énergétique, pour qui « électrifier pour électrifier, c’est de la pensée magique ! Si vous ne maîtrisez pas les besoins, vous allez courir derrière pour y répondre. C’est une vision carbocentrée qui ignore plein d’autres paramètres ».
Lors de la présentation de son plan d’investissements qui conduira à la construction de nouvelles lignes à haute tension impossibles à enfouir, RTE n’a pas caché que le futur réseau « aura un impact plus fort sur l’environnement ».
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Pour Yves Marignac, porte-parole de négaWatt, une telle hausse de la consommation d’électricité est une façon de « forcer la trajectoire » des besoins en électricité et de justifier les investissements dans le nucléaire. Car « si vous projetez un développement raisonnable des énergies renouvelables et une électrification raisonnable, il n’y aura pas besoin de nouveaux réacteurs nucléaires », au mieux prêts à fonctionner dans quinze ans. « La seule manière de faire de la place pour cette nouvelle production nucléaire, c’est de projeter cette abondance en poussant tous les curseurs. »
C’est ainsi que la projection de consommation d’électricité en France selon les scénarios de RTE – qui font référence – explose littéralement après le discours d’Emmanuel Macron à Belfort en février 2022 annonçant la relance du programme nucléaire, comme l’indique malicieusement un graphique de négaWatt.
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L’aveuglement budgétaire
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c’est la grande absente des prévisions officielles vers le tout-électrique, sans étude d’impact économique sur ce qu’il faudra débourser pour payer la relance du programme nucléaire : les six réacteurs EPR, mais aussi la nouvelle usine de retraitement des déchets à La Hague (Manche), le site d’enfouissement de Bure (Meuse), le programme ITER – dont le laboratoire a reçu la visite d’Emmanuel Macron et du premier ministre indien Narendra Modi en marge du sommet sur l’IA… Aucun de ces mégaprojets n’a fait l’objet d’une évaluation précise par l’État des financements nécessaires. Et encore moins de lignes budgétaires. « La question des dérapages budgétaires associés » au nucléaire « devrait trouver plus de place dans le document de la PPE » demandent les scientifiques du Haut Conseil pour le climat. Notamment pour « ne pas fragiliser le financement d’autres solutions de décarbonation ».
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La Cour des comptes s’est livrée à l’exercice pour la filière EPR : elle estime le coût total du réacteur construit à Flamanville (Manche) à 23,7 milliards d’euros ... Le coût de production de son électricité s’établirait entre 110 et 120 euros/MWh, en valeur de 2015, pour une hypothèse de rentabilité – basse – de 4 % , soit entre 132 et 144 euros en comptant l’inflation. Il monterait à 176 euros par mégawattheure pour un taux de rentabilité de 7 %.
À lire aussi
La transition énergétique n’a pas eu lieu https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/280922/la-transition-energetique-n-pas-eu-lieu 28 septembre 2022
Ces chiffres sont globalement supérieurs au coût de production des énergies renouvelables aujourd’hui en France : le parc éolien en construction au large de Dunkerque a été attribué par appel d’offres en juin 2019 pour un coût de 44 euros le mégawattheure. D’ici à 2050, il devrait être de l’ordre de 30 euros le mégawattheure pour le solaire au sol, d’environ 45 euros pour les grandes toitures et, d’ici à vingt-cinq ans, l’éolien terrestre devrait produire des électrons à un peu moins de 40 euros, selon RTE.
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La Cours des comptes en conclut qu’il faudrait « retenir la décision finale d’investissement du programme EPR2 », à savoir les réacteurs de Penly, Gravelines et du Bugey, « jusqu’à la sécurisation de son financement ».
Pour Yves Marignac, prévoir de consommer autant d’électricité que le font les modèles de l’administration correspond à « une trajectoire auto non réalisatrice » car « pour augmenter à ce point et à cette vitesse, il faudrait tout augmenter : les investissements dans les EPR, les énergies renouvelables, la construction d’usines, etc. Tout cela à toute vitesse mais en restant compétitif. On risque en réalité de perdre sur tous les tableaux : industriel, économique, social et sur le climat ».
Connu / TG le 6/02/25 à 14:39
Le 19 mars 2024
Le gouvernement français s’obstine à vouloir relancer la filière nucléaire à travers le « nouveau nucléaire » d’EDF. De vieux modèles de réacteurs remis au goût du jour, les promesses d’une technologie qui pourrait sauver le climat, mais une réalité bien différente. Greenpeace France publie aujourd’hui un rapport montrant l’irréalisme total des prévisions d’EDF pour la construction de six nouveaux réacteurs EPR2 : Coût du « nouveau nucléaire » : l’insoutenable légèreté d’EDF. Coûts minimisés, délais fantaisistes et manque de transparence. Ce rapport investigue le fiasco des derniers réacteurs construits par la France.
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Connu / TG le 22/01/25 à 15:51
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pour les vibrations de Flamanville 3, ce problème était prévisible puisque cette anomalie c'est produite à l'EPR de Taischan 1. Le Criirad a lancé l'alerte en 2021 et publié un rapport en décembre 2022
https://www.criirad.org/wp-content/uploads/2022/12/2022-12-TU-96-Article-Scandale-EPR.pdf.
L'IRSN a confirme que l'origine du problème vient d'une mauvaise conception de la cuve
En tout état de cause, l’IRSN estime que la présence indésirable et non anticipée de FFN est la conséquence d’une anomalie de conception du plenum inférieur des cuves des réacteurs de type EPR.
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Connu / TG le 21/01/25 à 9:06
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En moins de 4 ans, d’importants dispositifs ont été mis en place pour relancer le nucléaire
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Des retours d’expériences qui mettent en évidence une dérive systématique des calendriers et des coûts
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La filière industrielle a commencé à s’organiser pour mettre en œuvre la stratégie annoncée en 2022
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La filière industrielle nucléaire reste cependant exposée à des risques persistants
Le programme EPR 2 est marqué par un retard de conception, une absence de devis abouti et de plan de financement alors qu’EDF demeure très fortement endetté. Les conditions de financement de ce programme n’étant toujours pas arrêtées, la rentabilité du programme EPR 2 reste à ce jour inconnue. Ces délais et incertitudes, qui portent également sur le nombre de centrales à construire, répondent imparfaitement aux attentes des acteurs de la filière et réduisent la visibilité dont ils ont besoin pour s’engager dans des projets industriels de cette ampleur. Bien qu’en évolution, la stratégie contractuelle d’EDF ne permet pas encore de garantir la responsabilisation des prestataires de la filière qui la jugent encore trop déséquilibrée et émettent d’importantes réserves en l’état de la maturité du programme EPR 2.
Les surcoûts de construction, retards et incertitudes sont nombreux et nécessitent des réponses d’EDF, des pouvoirs publics et de la filière pour asseoir la réussite du programme EPR 2.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?jp7VKA
Connu / TG le 14/01/24 à 13:13
plaidoyer pour le nucléaire et en particulier pour les réacteurs à neutrons rapides
Connu / TG le 10/01/24 à 11:32
Tr.: ... 30 millions de tonnes de CO2 / an ... 5% de l'empreinte carbone de la France ... et avec l'IA ... c'est notre usage qui s'emballe ... même s'il faut garder nos appareils plus longtemps ... ex les photos postées, les vidéos ... une recherche sur chat GPT est 1 fois plus énergivore ... hausse de plus de 75% ... les opérateurs investissent dans le nucléaire comme Microsoft ...
Ndlr : transcription intégrale sur le site
@ALEXANDRE121975
Plus petit qu'une pièce de 🪙, elle utilise des isotopes de nickel 63 pour générer de l'électricité
Citation
Mario Nawfal @MarioNawfal · 13h
🇨🇳CHINA UNVEILS MINI NUCLEAR BATTERY WITH 50-YEAR POWER SUPPLY
Beijing-based Betavolt has developed a nuclear battery that delivers continuous power for up to 50 years without needing a charge.
Measuring smaller than a coin, it uses Nickel-63 isotopes to generate electricity,
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6:42 PM · 10 janv. 2025 · 5 vues
53 min - Disponible jusqu'au 09/12/2025
Sous-titres Version originale Info et société Enquêtes et reportages Documentaires et reportages
Gros plan sur l'escalade vertigineuse du risque nucléaire depuis que la plus grande centrale du continent européen est tombée aux mains de la Russie, au début de la guerre.
Dans le sud-est de l'Ukraine, la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande de toute l'Europe, fait partie des territoires conquis par les troupes russes dans les premiers jours de l'invasion, tout début mars 2022. Ces dernières avaient au préalable occupé celle de Tchernobyl, non loin de la frontière avec la Biélorussie, avant d'en être chassées par l'armée ukrainienne. Assortie des menaces régulières de Vladimir Poutine sur une possible dévastation nucléaire, et des appels de certains de ses conseillers à recourir à l'arme atomique pour vaincre rapidement l'Ukraine, la guerre porte ainsi en germe une catastrophe qui dépasserait en ampleur celles de Tchernobyl et de Fukushima, en 1986 et 2011. La centrale a d'abord été visée par les tirs des assaillants, puis a fait l'objet d'un incendie d'origine indéterminée, avant que le gigantesque barrage de Nova Kakhovka, construit sur le Dniepr à une centaine de kilomètres en aval, ne soit détruit. Outre les immenses inondations occasionnées, son explosion, dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement, a fait craindre pour l'alimentation en eau de la centrale.
Arme fatale
Pour éclairer cet enjeu crucial du conflit, qui tend à être oublié chaque fois que décroît l’imminence du péril, Pavel Cherepin recueille les témoignages de deux anciens salariés ukrainiens – l'un expulsé après avoir été arrêté et torturé, l'autre ayant pris la fuite –, qui ont refusé de passer sous le contrôle du nouveau gérant russe de la centrale, Rosatom. Il confronte ces récits avec les analyses alarmantes de différents experts, dont le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, qui a pu se rendre plusieurs fois sur le site à l'issue de difficiles négociations, et s'efforce de maintenir avec Moscou un dialogue vital. Rappelant que Zaporijjia fournissait à l'Ukraine près de la moitié de ses ressources énergétiques, ce documentaire montre aussi combien le chantage nucléaire constitue pour le bellicisme russe une arme potentiellement fatale.
Réalisation Pavel Cherepin - Année 2024
Connue / https://x.com/ARTEfr/status/1877762326310359338
A la fin d’octobre, le spécialiste français de l’uranium avait annoncé « suspendre » sa production, faute de pouvoir « continuer à travailler » dans le pays, dirigé par un régime militaire issu d’un coup d’Etat perpétré en juillet 2023.
Le Monde avec AFP
Publié le 04 décembre 2024 à 10h37, modifié le 04 décembre 2024 à 13h59
Temps de Lecture 2 min.
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ingérences que le groupe subit dans la gouvernance de la Somaïr [Société des mines de l’Aïr], dont il est actionnaire majoritaire et opérateur au Niger [à 63,4 %, le reste étant détenu par l’Etat du Niger], écrit le groupe français
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Plus de 1 000 tonnes de concentré d’uranium bloquées
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en novembre, le ministre des mines nigérien, Ousmane Abarchi, avait invité des sociétés russes à venir explorer et exploiter les ressources naturelles du pays.
Lire le récit : Article réservé à nos abonnés En Afrique de l’Ouest, la France désavouée par les opinions publiques
Orano « entend défendre ses droits auprès des instances compétentes »
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Lire l’explication (2023) | A quel point la France est-elle dépendante de l’uranium nigérien ?
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2023/08/03/a-quel-point-la-france-est-elle-dependante-de-l-uranium-nigerien_6184374_4355770.html
Connu / https://x.com/bloginfo/status/1865769691848855979
2 191 signatures
La CRIIRAD alerte : EDF veut recycler des déchets nucléaires métalliques et les revendre à qui voudra. C’est le projet Technocentre (Fessenheim, Grand Est). Une première en France, où il était exclu de réutiliser des déchets nucléaires dans le domaine public. La dissémination irréversible de radioactivité dans notre environnement et dans les biens de consommation doit absolument être évitée.
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Aucune radioactivité ne doit être ajoutée dans les produits destinés au public. Les rejets courants de l’industrie nucléaire dans notre environnement sont déjà suffisamment contaminants.
1 - Rapport IRSN 2024-00203 : Synthèse des connaissances actuelles sur les risques sanitaires des faibles doses de rayonnements ionisants, mars 2024 ↩︎
2 -Compte-rendu de la 83ème réunion du GT PNGMDR, 17 juin 2024, pages 3 ↩︎
3 - Une substance valorisable n’est pas officiellement un « déchet » mais nous faisons le choix de conserver ce terme car avant le changement de réglementation en 2022, ces composants métalliques étaient bien des déchets. ↩︎
4 - Avis ASN 2016-AV-0282 du 13 décembre 2016 et 2020-AV-0356 du 30 juin 2020 ↩︎
5 - Décrets 2022-174 et 2022-175 du 14 février 2022 relatifs à la mise en œuvre d’opérations de valorisation de substances faiblement radioactives et aux substances éligibles à ces opérations ↩︎
6 - Compte-rendu de la 83ème réunion du GT PNGMDR, 17 juin 2024, page 6 ↩︎
Mots-clés déchets radioactifs ; démantelement ; Faibles doses; Pétition ; Technocentre
Ingénieur en génie climatique, énergétique et environnement
Abonné·e de Mediapart - 18 Billets - 0 Édition
En France, pays de l'atome roi, tout débat public à propos de l'industrie nucléaire civile et militaire est oblitéré par le "fait du prince". Pour y résister il faut dénoncer ses mensonges. Parmi ceux-ci il y a "la compétitivité du nucléaire".
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Du 28 janvier au 15 mai 2025, un débat public est prévu sur le projet d’EDF de construire une paire d’EPR au Bugey. Il sera organisé à la demande d’EDF par la Commission Nationale du Débat Public (CNDP).
Plusieurs organisations de la région opposées au projet, mais aussi à la poursuite de l’exploitation des réacteurs nucléaires du Bugey qui ont dépassé l’âge canonique, ont participé depuis plus de 10 ans aux enquêtes publiques, débats publics, concertations en tous genres, sans être entendues jusqu’à présent. Elles ont publié des études, des lettres ouvertes, des « cahiers d’acteurs » et organisé de nombreuses réunions publiques pour faire connaître leurs analyses. Des groupes d’élus ont également manifesté leur opposition au projet d’EPR sur le site du Bugey.
Ils ont besoin d’être soutenus pour éviter que notre pays s’enfonce dans la dette et qu’à la catastrophe économique s’ajoute une nouvelle catastrophe nucléaire.
Pour plus d’informations
- Coordination Stop Bugey : https://www.stop-bugey.org/
- Collectif national Arrêt du nucléaire : http://collectif-adn.fr/#cout-du-nucleaire
- Article de blog : Coût du nucléaire, prix de l’électricité, dette publique
https://blogs.mediapart.fr/francois-vallet/blog/251024/cout-du-nucleaire-prix-de-l-electricite-dette-publique
Après un essai concluant, l'énergéticien français devait confier durablement la gestion des données de maintenance de ses centrales à Amazon Web Services, la filiale cloud du géant de l'e-commerce. Mais ce partenariat décrié serait sur la sellette.
En tant qu'« opérateur d'importance vitale », EDF est dans l'obligation de protéger fermement ses données et de les stocker sur le territoire national. (Sameer Al-Doumy/AFP)
Publié le 26 déc. 2024 à 19:22Mis à jour le 27 déc. 2024 à 10:18 / Par Charles Plantade
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Connu / TG le 27/12/24 à 19:17