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Construire un Front de lutte contre le racisme et contre le fascisme (4/4) - Kahina - il y a 3 jours
Tribune 19.06.2024
Dossier Le journalisme, un sport de combat
Jamais depuis la Libération, l'extrême droite, en France, ne s’est trouvée si près de la victoire. Elle porte un projet de démolition sociale, de repli chauvin, de discrimination raciste, sexiste, homophobe, de guerre aux minorités, de basculement liberticide et de régression écologique.
Dans sa stratégie de conquête du pouvoir, elle a fait des médias un terrain privilégié, avec la prise de contrôle de titres, de chaînes de télévision, de radios par des milliardaires au service de son projet. Par ce maillage, elle impose dans le débat public ses fausses nouvelles et ses obsessions contraires aux droits fondamentaux. Le Rassemblement national annonce déjà la couleur pour l'audiovisuel public, voué, s'il l'emportait, à la privatisation.
La liberté de la presse est dans sa ligne de mire. Partout en Europe, dans le monde, où l'extrême droite gouverne, celle-ci est violemment attaquée : interdiction de publication, destruction du secret des sources, multiplication des procédures baillons, censure, pressions et intimidations, assèchement des aides publiques à la presse. En France, le terrain en a malheureusement été méthodiquement préparé par l'exécutif sous la présidence d'Emmanuel Macron, qui n'a eu de cesse de restreindre les protections et les droits des journalistes, par les atteintes au secret des sources et la primauté du secret des affaires, la loi sur la sécurité globale, la fusion programmée de l'audiovisuel public, et le laisser-faire en matière de concentration capitalistique des médias aux mains de grands industriels, au détriment du pluralisme et de l’indépendance.
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Les 90 premiers médias signataires :
Acrimed
Afrique XXI
A l’intersection
Alternative Libertaire
Alternatives Economiques
AOC
Arrêt sur images
Au poste
Basta!
Blast
Bondy Blog
Boukan
Citizen Jazz
Climax
Contretemps
Court Circuit
CQFD
Disclose
En attendant Nadeau
Fonds pour une presse libre
Frictions
Ghettup
Grand-Format
Histoirecoloniale.net
iHH™ Magazine
Inf’OGM
IPNS, journal du plateau de Millevaches
Là-bas si j’y suis
L'âge de faire
L’Alterpresse68
L’Empaillé
L'Oeil d'Olivier
La Clé des Ondes
La Deferlante
L'Humanité
La Lettre de l’Audiovisuel
La Marseillaise
La Messagère Libérée
La Revue Dessinée
La revue Pays
La Scène
Le Ch'ni
Le Courrier des Balkans
Le Crestois
Le Media TV
Le Mouais
Le Peuple Breton
Le Poulpe
Les Autres Possibles
Les Jours
Les Lettres françaises
Les Répliques
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Zéphyr
15-38 Méditerranée
L’essayiste états-unien Adam Shatz publie dans Mediapart une « lettre à ses amis français de gauche » dans laquelle il liste, en partant de son expérience de l’administration Trump, cinq défis à venir pour continuer de tenir face aux assauts de l’extrême droite.
101 signatures
Lancée le
11 août 2023
Pourquoi cette pétition est importante
Lancée par
Citoyen.nes engagé.es de la gauche écologiste .
Pétition ouverte adressée à :
Olivier Faure (PS), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (EELV), Jean-Luc Mélenchon (LFI).
Si nous ne faisons rien, les processus partisans des différents partenaires de la NUPES conduiront à enterrer l’objectif d’une liste commune aux élections européennes 2024. Or, tout comme aux législatives en 2022, il y a urgence politique et démocratique, urgence à gauche et pour l’écologie. Le danger de l’extrême droite est toujours là. Comme d’habitude, elle attend son heure, chaque échéance électorale lui fait marquer des points. En France, les discours de la droite de plus en plus ultra ou ceux similaires de la macronie ne font que l’alimenter.
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Les organisations de jeunesse montrent la voie. Les Jeunes socialistes, les Jeunes écologistes, les Jeunes Insoumis et les Jeunes Génération.s affirment qu’ils n’acceptent « pas la désunion de la Nupes comme une fatalité ».
Européennes : les jeunes socialistes, écologistes et Insoumis appellent à l’union de la Nupes
Tribune. "Europeennes : Les Jeunes de la Nupes veulent un projet commun pour l'union !"
Une procédure interne de Référendum d'Initiative Militante (RIM) est lancée par des militant.e.s EELV, déjà des centaines de signataires en quelques jours.
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Le nouvel espoir créé en 2022 par la NUPES ne doit pas s’éteindre dès la prochaine échéance en 2024. Pour gagner, à nouveau il faut s’allier. Le message envoyé aux autres pays européens serait fort, haut et clair, pour initier enfin un changement de politique.
La victoire aux élections européennes de 2024 est possible
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Enquête
Imaginé au début des années quatre-vingt-dix, le projet d’une nouvelle liaison ferroviaire entre Lyon et Turin n’en finit pas d’être repoussé. Largement critiqué de part et d’autre de la barrière alpine, il est sur les rails pour les uns, déjà mort pour les autres. Au cœur de la polémique, le tunnel transfrontalier de 57 kilomètres annoncé comme la première étape de ce vaste chantier.
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Les ambitions du Lyon-Turin
Si l’un des objectifs affichés par les partisans du projet est de faciliter les relations économiques entre la France et l’Italie – l’une pour l’autre deuxième partenaire commercial – l’ambition visée est plus grande. Avec la traversée des Alpes, la liaison Lyon-Turin deviendrait un maillon central du « corridor méditerranéen », l’un des grands axes prioritaires identifiés par l’Europe pour le transport des voyageurs et des marchandises entre la péninsule ibérique (Algesiras) et l’Europe centrale (Budapest). « La ligne Lyon-Turin ne relie pas que la France et l’Italie, elle replace la France au centre de gravité des réseaux transeuropéens en abolissant la frontière naturelle que sont les Alpes », déclarait Thierry Repentin le 18 novembre 2013 devant le Sénat, alors ministre délégué aux Affaires européennes. « L’effacement de la barrière alpine changera significativement la carte du continent », se réjouit aussi l’ancien ministre des Transports Louis Besson, l’un des instigateurs du Lyon-Turin, aujourd’hui président de la Commission intergouvernementale franco-italienne (CIG) chargée de mettre en œuvre le projet. « Ce projet est bon pour l’économie, et bon pour l’écologie », ajoute Éliane Giraud, vice-présidente déléguée aux Transports à la Région Rhône-Alpes. Car la principale justification du projet est aujourd’hui environnementale. Ses partisans affirment que la nouvelle liaison, plus performante que les lignes actuelles, permettra un report massif de la route vers le rail. D’où l’accent mis sur la composante fret du projet, alors que la communication des années quatre-vingt-dix tournait sur le thème d’une liaison à « très grande vitesse » pour les voyageurs. « J’ai toujours porté le volet “fret” autant que “voyageurs”, constatant la montée en puissance du trafic de poids lourds sous les tunnels routiers du Mont-Blanc et du Fréjus », déclare Louis Besson. Le schéma directeur des liaisons ferroviaires de 1991 mentionne « la mixité des circulations voyageurs et marchandises » pour le nouveau tunnel de base entre la France et l’Italie. Pour Hubert du Mesnil, président de Lyon-Turin ferroviaire (LTF), filiale de Réseau ferré de France (RFF) et de Rete Ferroviaria Italiana (RFI) et promoteur de la section transfrontalière du projet, « l’accident sous le tunnel du mont Blanc en 1999 a accéléré la prise de conscience sur la nécessité de mieux gérer la question du fret ». En matière de fret, la France accuse en effet un sérieux retard : la part du rail entre la France et l’Italie n’est que de 10 %, contre 25 % entre l’Autriche et l’Italie et 65 % entre la Suisse et l’Italie (source : Région RA). Les partisans du Lyon-Turin continuent aussi de présenter cette liaison comme « une avancée significative pour le développement de l’Europe de la grande vitesse (1) », annonçant un trajet de quatre heures au lieu de sept heures entre Paris et Milan. Affirmant aussi que la liaison améliorera la desserte régionale pour les voyageurs.
Depuis le 15 janvier 1996, date du premier accord franco-italien entérinant la création de la CIG, l’intention des deux pays est confirmée. Le 29 janvier 2001, Jacques Chirac déclarait à Turin : « Nous nous sommes fixé un objectif qui sera une mise en œuvre pour 2015. » Onze ans plus tard, l’accord du 30 janvier 2012 a défini le tracé définitif, les modalités de gouvernance du projet et du futur promoteur public ainsi que la part des coûts à la charge de chaque pays pour la section transfrontalière. Il est acté que la réalisation du Lyon-Turin commencera par la construction du tunnel transfrontalier, les accès au tunnel côté français et italien étant reportés à une phase ultérieure. Le 20 novembre 2013 à Rome, lors du 31e sommet franco-italien, le Lyon-Turin est évoqué comme un « chantier » et non plus comme un « projet ». Les déclarations d’utilité publique ont été prononcées le 7 décembre 2007 pour la réalisation de la partie française du tunnel de base, et le 23 août 2013 pour la réalisation de l’accès français au tunnel de base.
Sur le terrain, trois galeries dites « descenderies » ont été excavées dans la vallée de la Maurienne entre 2002 et 2010, dans le cadre des travaux de reconnaissance géologique, sur une longueur de neuf kilomètres. Elles sont situées sur les communes de Villarodin-Bourget/Modane, La Praz et Saint-Martin-la-Porte. Côté italien, le chantier de la galerie de reconnaissance de la Maddalena (Chiomonte) est en cours depuis juin 2011. Un peu plus d’un kilomètre a été creusé sur les 7,5 kilomètres prévus. Selon LTF, les travaux devraient être terminés d’ici début 2016, l’utilisation d’un tunnelier au-delà des 300 premiers mètres – constitués d’éboulis – permettant d’accélérer la cadence. Pour conclure la phase des « études et travaux de reconnaissance », le creusement d’une galerie de neuf kilomètres est prévu en Maurienne à partir de Saint-Martin-la-Porte début 2015. Il devrait durer huit ans sur ce secteur présenté comme géologiquement sensible. Selon LTF, cette galerie « sera excavée en direction de l’Italie, dans l’axe et au diamètre du futur tube sud du tunnel transfrontalier ». Il s’agira autrement dit des neuf premiers kilomètres du futur tunnel de base, qui pourraient donc être achevés d’ici fin 2022 si les délais sont tenus. LTF annonce dans le même temps l’achèvement des 57 kilomètres du tunnel de base à l’horizon 2025-2030. « Les acquisitions foncières liées à la réalisation de l’ouvrage sont en cours à Saint-Jean-de-Maurienne », annonce le président de LTF Hubert du Mesnil. Si le projet semble sur les rails, il n’en reste pas moins quelques étapes clé à franchir comme l’adoption du projet définitif de la section transfrontalière en territoire italien et la confirmation du financement de l’Union européenne ainsi que des financements nationaux par la France et l’Italie, sur la base d’un coût certifié par une expertise indépendante.
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environnement 52 min tous publics - présenté par : Hugo Clément
... dévoile la face cachée de la filière industrielle du biocarburant et du biogaz. Il rencontre des combattants qui se mobilisent partout en France pour davantage de régulation et pour que les méthaniseurs soient alimentés uniquement avec des déchets, et non plus avec des céréales spécialement cultivées ou des denrées consommables.
J’ai été à la fondation du Front de Gauche. J’ai été l’un des cofondateurs de cette organisation en 2005, et depuis j’ai toujours été considéré comme «l’un de ses leaders». En tout cas j’ai été élu à tous les organes de direction de toutes les Assemblées du Front de Gauche. J’ai partagé avec cette organisation les succès des manifestations de 2012, puis les années d’interdiction et de répression. Je prends la responsabilité de toutes les actions que nous avons menées, de toutes les mesures que nous avons prises au cours de ces 17 années. Et ce jusqu’à hier.
Aujourd’hui je quitte cette organisation. Bien sûr c’est lié à la guerre. Aujourd’hui, après d’âpres discussions, le Conseil du Front de Gauche a adopté à la majorité une résolution sur ce qui se passe en Ukraine. En dépit de toutes les manœuvres rhétoriques, cette résolution signifie le soutien à cette guerre criminelle. La résolution alternative que j’ai proposée et qui condamne catégoriquement la politique impérialiste du pouvoir russe n’a reçu que 20% des voix. Après cela, je ne peux plus rester membre du Front de Gauche.
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Le 22 février 2022, Jean-Luc Mélenchon tenait une conférence de presse à l'Assemblée nationale, après l'annonce faite par Vladimir Poutine de la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lougansk dans le Donbass et la voie ouverte à une mise en cause des frontières par la force.
Le candidat de l'Union populaire à l'élection présidentielle a condamné le coup de force russe. Il a expliqué que la position de la France ne pouvait pas être d'accepter qu'on touche aux frontières en Europe. Il a souligné le risque d'embrasement généralisé vers un conflit militaire d'ampleur sur le continent. Il a dit que cette « prise d'avantage » de Poutine se faisait après la mise en place d'un rapport de force de l'OTAN, de l'Europe et des États-Unis alors même qu'ils n'avaient pas les capacités de ce rapport de force. Il a par ailleurs évoqué la question gazière, au centre de cette montée des tensions, alors que les États-Unis veulent vendre leur gaz de schiste aux européens, pour l'instant dépendants du gaz russe. Il a répété qu'il ne fallait pas que l'Ukraine soit intégrée dans l'OTAN.
Jean-Luc Mélenchon a renouvelé sa proposition d'une conférence des frontières en Europe dans le cadre de l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) où siègent les États-Unis et la Russie. Il a expliqué que la voie de la paix exigeait un tel dialogue. Il a par ailleurs plaidé pour une réunion rapide du Conseil de Sécurité de l'ONU.
Les Soulèvements de la Terre a retweeté
Fatima Ouassak @FOuassak
Hier on a inauguré Verdragon, la maison de l'écologie populaire, située dans un quartier populaire du 93 entre Bagnolet et Montreuil, portée par @FrontDeMeres
et @Alternatiba Et c'était magnifique! Beaucoup de monde, beaucoup de joie, beaucoup d'espoir.
L'avenir c'est nous.
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3:24 PM · 54 Retweets 6 Tweets cités 171 J'aime
Shlomi @shlomishlomi198 · 16h
En réponse à @FOuassak @FrontDeMeres et @Alternatiba
Et c’était formidable ! Bravo pour cette initiative que nous viendrons soutenir
16h Merci et bienvenue Quốc Anh
@vietkrmpzh · 16h
Encore bravo, l'événement était top et c'est une très belle initiative. 🙏
... ma proposition de « fédération populaire » ... une idée neuve. En effet une telle formule n’a jamais été mise en œuvre. Neuve mais pas nouvelle venant de moi car il s’agit de constituer ce que dans de nombreux textes antérieurs et dans le livre L’Ère du peuple j’avais appelé « le front du peuple », puis il y a un an dans le même journal Libération le « nouveau Front populaire » ... l’implosion des anciennes structures sociales de notre pays sous la pression des politiques néolibérales s’est combinée avec l’effondrement des formes traditionnelles de la représentation politique populaire. L’idée est donc que ce n’est pas en partant des anciens partis et de leur coalition que l’on parviendra à construire une majorité populaire sur un projet alternatif pour notre société. En tous cas pour un projet à la hauteur des transformations du mode de production et d’échange que la crise climatique, notamment, met à l’ordre du jour. L’idée centrale tourne autour du mot « fédérer ». ... le processus visé n’est pas seulement électoral. Il engage pour les élections, certes. Mais le reste du temps, il engage pour l’action concrète dans la société en appui aux mouvements sociaux qui travaillent celle-ci. C’est donc en partant du travail de fédération des revendications écologiques et sociales et des mouvements qui les portent que l’on construit une nouvelle majorité. Les partis qui le veulent se mettent au service de la réussite de ce processus. Ils aident à sa construction, ils se rassemblent sous un label commun en vue de le soutenir.
Prenons un exemple de ce processus de fédération populaire. Les élections municipales. Le programme doit venir de l’action des collectifs citoyens dont les revendications doivent être réunies et inscrites dans la perspective globale écologique et sociale qui lui donne son sens. Les partis sont présents à travers leurs militants de terrain agissant dans ces collectifs et non « au nom du parti ». Ils se fédèrent sous un label commun pour appuyer la liste et soutenir sa campagne. La liste n’est donc pas celle des partis ou du personnage providentiel qui est tête de liste mais une fédération populaire de collectifs et de citoyens notoirement engagés dans les mouvements sociaux urbains. Voila pour les élections. Au fond c’est la méthode qui a prévalu pour la formation de la liste insoumise aux élections européennes : un mix de personnalités engagées syndicalistes, associatifs et militants politiques.
Autre versant de la construction d’une fédération populaire : l’action. La encore, le modèle est dans la vie elle-même. C’est la participation personnelle d’une part et le soutien collectif d’autres part à des actions comme celle des assises de Commercy ou l’appel à la marche du 27 avril prochain par des organisations syndicales, des gilets jaunes et des organisations politiques.
.#LaMidinale - 5 094 vues - 277 - 23
Lendemain de vote chez les communistes où la direction sortante a été battue par la motion du député André Chassaigne. Pierre Laurent peut-il rester à la tête d'une organisation divisée ? Où va le Parti Communiste français ? La députée Elsa Faucillon est l'invitée de #LaMidinale.
http://www.regards.fr
VERBATIM
Sur les résultats du vote sur les motions du Parti communiste français
« On peut constater qu’il y a toujours un peu moins de militants. »
« Le vote est net donc il faut l’acter et le respecter. »
« C’est un désaveu pour la direction sortante pour ses tergiversations, ses impasses, le flou voire l’absence stratégique depuis quelques années. »
« Il y a un côté rassurant au Manifeste [pour un communisme du XXIè siècle, le texte défendu par André Chassaigne]. »
« Il reste des ambiguïtés très importantes dans le texte [défendu par André Chassaigne.] qui sont à peu près identiques à celles du texte proposé par Pierre Laurent. »
Sur le secrétaire national du PCF Pierre Laurent
« Je suis certaine que Pierre [Laurent] va s’exprimer dans les prochains jours. »
« Celles et ceux qui ont signé le Manifeste veulent proposer quelqu’un d’autre. »
« Il serait très compliqué pour Pierre Laurent, vu le désaveu, de rester. »
Sur l’avenir du PCF
« On a eu des candidats à la présidentielle et ça n’a pas empêcher que l’on constate notre affaiblissement. »
« On a toujours été plus fort et plus audible dans le cadre du rassemblement : Front de Gauche, 2005… »
« Il faut trouver la démarche unitaire qui permette de construire l’élan que nous avons construit au fur et à mesure. »
Catégorie
Actualités et politique
133 commentaires
L'Archonte
il y a 1 jour
Il faut VRAIMENT distinguer la philosophie "porteuse" et identitaire (le marxisme-léninisme NECESSAIRE) ET l'action politique concrète ! Et là... force est de mesurer que la seule voie de rassemblement qui vaille est celle de la France Insoumise, qui - désormais - ne se résume plus à Mélenchon (avec tout mon respect à sa personne - mais ratisse beaucoup plus large : déçus du socialisme, radicaux de gauche, ex MODEM etc. etc. Donc... un large rassemblement REPUBLICAIN opposé à ceux qui se prétendent tels et ne sont - en fait - que l'expression politique du libéralisme, avatar "nécessaire" du capitalisme. Notre adversaire.