une nouvelle victoire juridique pour le collectif Bassines non merci.
« La construction des bassines entraîne une augmentation des prélèvements en eau sur le territoire et ne permet en aucun cas de remplacer des prélèvements estivaux par des prélèvements hivernaux »Le principe de ‘’substitution’’ est pourtant la justification du financement public à 70 %, notamment par l’Agence de l’eau Loire Bretagne.
Connu / mel BNM16
Le tribunal administratif de Poitiers a annulé les arrêtés préfectoraux autorisant ...
Connu / TG le 12/07/24 à 21:06
David Colon, historien et chercheur spécialiste des questions de propagande, est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les phénomènes de manipulation de l’opinion. © Crédit photo : Éditions Tallandier
Mis à jour le 01/07/2024 à 21h01 - 6 Commentaires
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Depuis dix ans, le Kremlin manipule l’opinion des nations démocratiques, et cela s’est fortement intensifié depuis la guerre en Ukraine. La France est devenue une cible prioritaire depuis que le président Emmanuel Macron a déclaré le 16 janvier dernier que la Russie ne devait pas l’emporter en Ukraine et a mis sur la table l’option d’envoi de troupes françaises et de fourniture d’avions de combat.
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Connu / TG le 7/03/24 à 23:48
Les États-Unis sont devenus le premier fournisseur de gaz de la France en 2022, année du ...
Connu / TG le 28/09/23 à 06:39
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Connu / TG le 02/08/23 à 09:43
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Le site de la Timac fabrique des engrais à proximité de la Charente. © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet/archives « SUD OUEST »
Dans une enquête, le média d’investigation lancé par le journaliste Hugo Clément montre que l’usine d’engrais rejette des quantités anormales d’arsenic dans la Charente. L’association Pays Rochefortais alert’ a porté plainte jeudi 13 juillet, en parallèle de la diffusion de l’enquête
La Timac de Tonnay-Charente est cernée. Trois associations citoyennes (1) se sont unies au début de l’année 2023 pour mener la bataille contre l’usine d’engrais, avec Pays Rochefortais alert’ aux avant-postes. Elles accusent la filiale du groupe Roullier de polluer l’air, les sols et l’eau. Jusqu’à attirer l’attention du média d’investigation Vakita, dont l’enquête a été mise en ligne jeudi 13 juillet.
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La première commission de suivi de site de la Timac à Tonnay-Charente a eu lieu ce lundi 15 mai. À défaut de régler tous les problèmes de pollution, elle devrait apporter plus de transparence
Le 5 mai 2023, une équipe de Vakita se rend aux abords de l’usine en Zodiac. Guidés par Gérard Garder, membre fondateur de Pays Rochefortais alert’, les journalistes découvrent que de l’eau s’écoule dans un fossé partant de l’usine. Le ruissellement se jette dans la Charente. De retour sur terre, l’eau prélevée dans le fossé est analysée par le laboratoire indépendant Eurofins.
De l’arsenic dans l’eau
Les résultats sont sans appel. « Dans les échantillons, nous avons trouvé de l’arsenic à des taux quatre fois supérieurs au seuil prévu par la réglementation : 93,8 microgrammes par litre, alors que la norme stipule 25 microgrammes par litre », révèle Allan Henry, journaliste en charge de l’investigation. L’enquête n’identifie pas les risques pour la santé et l’environnement. « Il faudrait des études, notamment épidémiologiques, plus poussées, déclare-t-il. Notre travail est une photographie à un instant T. »
Dans un long mail adressé à l’équipe de Vakita, la préfecture de Charente-Maritime indique que lors des dernières inspections, réalisées en novembre 2022 et en avril 2023, le fossé était « presque à sec ». Elle n’a donc pas pu faire les mêmes constatations. Elle cite également un courrier de l’entreprise Timac qui assure que « depuis l’arrêt des activités de fabrication, début mars 2023, […] le site n’a pas rejeté d’eau ni dans les fossés ni dans la Charente ».
Cependant, en avril 2023 toujours, la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) a constaté un nouveau débordement des lagunes. Ce qui a entraîné la signature par le préfet d’une dernière mise en demeure le 5 juin. Il prescrit « d’éviter le déversement accidentel des eaux industrielles collectées dans les lagunes vers le milieu naturel ».
Contacté par Vakita, ni Timac ni Roullier n’ont donné suite.
(1) Pays Rochefortais alert’ (Rochefort), « Osons ! » (Saint-Malo), « Respir ! » (Tarnos).
Deux plaintes de PRA
Jeudi 13 juillet, Pays Rochefortais alert’ a porté plainte contre la filiale du groupe Roullier pour neuf infractions au code de l’environnement. « On veut que la Timac se mette en conformité avec la loi, que le code de l’environnement prime sur les pratiques industrielles », martèle Christian Laporte, coprésident de l’association.
Il compte « s’appuyer sur les conclusions de l’enquête de Vakita » pour déposer une seconde plainte auprès de l’Office français de la biodiversité, à partir du 17 juillet. « Elle sera spécifique à la pollution des eaux », indique Christian Laporte. La peine encourue est plus importante car « c’est un délit, passible du tribunal correctionnel ». L’association se réserve la possibilité de se porter partie civile et pourrait demander le versement de dommages et intérêts.
Connu / TG le 15/07/23 à 08:56
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Connu / TG le 09/06/23 à 07:51
La centrale nucléaire Tricastin en région Auvergne-Rhône-Alpes. © Crédit photo : AFP
Les parlementaires LFI et écologistes dénoncent entre autres la suppression, dans ce projet de loi adopté en mars 2023, de l’objectif de réduire la part du nucléaire à 50 % d’ici 2035
Les députés LFI et écologistes ont annoncé lundi le dépôt d’un recours devant le Conseil constitutionnel pour contester le projet de loi de relance du nucléaire, adopté définitivement par le Parlement le 16 mai.
Les deux groupes dénoncent « en particulier » dans cette loi « la suppression de l’objectif de réduire la part du nucléaire à 50 % à l’horizon 2035 et la suppression du plafond de capacité totale autorisée de production d’électricité d’origine nucléaire de 63,2 gigawatts ». Durant les débats dans l’hémicycle, ils avaient reproché aux deux dispositions de prendre de vitesse la future loi de programmation pluriannuelle de l’énergie, attendue au mieux cet été.
Le projet de loi de programmation militaire sera débattu à l’Assemblée nationale à partir de lundi. Le point sur ce qu’il contient
Dans leur recours, Insoumis et Verts arguent que ces deux mesures contreviennent aux « exigences constitutionnelles de clarté et de sincérité des débats » et y voient une « violation de l’article 7 de la charte de l’environnement relatif à la participation du public à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement ». Les deux groupes de gauche critiquent aussi la « criminalisation des militants et organisations écologistes », avec des peines durcies en cas d’intrusion dans les centrales.
Des dérogations « abusives »
Ils considèrent par ailleurs « abusives » des dérogations au code de l’urbanisme pour la réalisation de réacteurs nucléaires à proximité des sites existants. Les groupes LFI et écologiste sont les deux seuls à avoir voté contre ce texte de relance du nucléaire à l’Assemblée nationale.
Le projet de loi avait été largement soutenu par 399 voix contre 100 au Palais Bourbon, avec une coalition de voix du camp présidentiel, de LR, du RN et de communistes, pendant que le PS s’abstenait. Le Conseil constitutionnel dispose d’un mois pour statuer.
Connu / TG le 23/05/23 à 16:56
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Photo Le SIL a planté une haie de 100 mètres en face de la déchetterie et des arbres au niveau de la carrière et sur un terrain communal. © Crédit photo : archives Xavier Léoty
Publié le 24/02/2022 à 20h44 /Par Kharinne Charov
Mis à jour le 25/02/2022 à 12h34
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Le Syndicat intercommunautaire du littoral (SIL), qui gère l’incinérateur d’Échillais, a répondu à Pays rochefortais alert’ qui l’interrogeait sur les suivis environnementaux et le reboisement
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Quant au suivi scientifique, « un programme de surveillance de l’impact environnemental de l’installation a été mis en place en application de l’arrêté préfectoral du 16 janvier 2018. Il permet de suivre les évolutions des concentrations en polluants dans l’environnement. » Les contrôles portent sur les dioxines, les furannes et les métaux. « Les analyses sont réalisées par des laboratoires compétents et le suivi est confié à l’entreprise Biomonitor, située à Pagny-sur-Moselle (54) depuis 2018. »
Bientôt la commission
Le maire d’Échillais rappelle que les résultats sont présentés lors de la commission de suivi de site et ceux de 2019 et 2020 l’ont été lors de cette réunion tenue le 29 avril 2021. Et bien sûr, il précise que « les conclusions présentées montraient que tous les résultats des analyses étaient inférieurs aux seuils autorisés ».
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Jusqu’au début des années 1980, des pays européens dont la France, se sont débarrassés ...
Connu / TG le 18/03/23 à 21:01
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La réserve de substitution de Mauzé-sur-le-Mignon. © Crédit photo : « Sud Ouest »
Par Agnès Lanoëlle - a.lanoelle@sudouest.fr
Mis à jour le 03/03/2023 à 17h44
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Une contre-étude signée par une chercheuse indépendante souligne les lacunes du rapport porté par le bureau de recherches géologiques et minières, favorables aux bassines
Les réserves de substitution sont-elles bénéfiques aux nappes phréatiques et au débit des cours d’eau ? Oui, estime le rapport publié en juin dernier par le Bureau de recherches géologiques et minières(BRGM) commandé par la Coop de l’eau des Deux-Sèvres, qui porte le projet de seize réserves de substitution. Selon cette étude, les prélèvements hivernaux pour remplir ces réservoirs géants n’auraient qu’un impact...
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SudOuest.fr (https://www.sudouest.fr/gironde/braud-et-saint-louis/nucleaire-edf-a-inscrit-le-site-du-blayais-dans-la-liste-des-sites-etudies-pour-l-implantation-d-epr2-14039126.php)
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Le comité de suivi de la candidature du Blayais pour l’implantation de réacteurs ...
Connu / TG le 13/02/23 à 14:35
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Thierry Boucard, président de l’Association syndicale autorisée d’irrigation (ASAI) des Roches, devant la réserve de Laigne. © Crédit photo : Archives Jean-Christophe Sounalet/ « SUD OUEST »
Le Conseil d’État confirme l’interdiction de remplir les cinq réserves à usage agricole construites par l’ASAI des Roches à La Grève-sur-Mignon, La Laigne et Cramchaban
« On s’y attendait. C’est désolant… » Thierry Boucard ne cache pas son dépit alors que le Conseil d’État a rejeté, vendredi 3 février, le pourvoi de l’Association syndicale autorisée d’irrigation (ASAI) des Roches, qu’il préside, confirmant l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux du 17 mai 2022.
Pour ne résumer que le dernier épisode du long feuilleton juridique entre les irrigants du nord de la Charente-Maritime et l’association Nature environnement 17, les premiers se voient à nouveau interdire de remplir les cinq réserves d’eau à usage agricole construites en 2009 et 2010 à Cramchaban, La Grève-sur-Mignon et La Laigne. Leur détermination, pour autant, n’est pas entamée.
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Alors que ce week-end voit un rassemblement XXL contre la bassine de Sainte-Soline, ces réserves d’eau destinées à un usage agricole fracturent depuis des années le monde paysan. Une lutte qui se radicalise et qui témoigne de l’extrême difficulté de la filière à adapter ses pratiques au réchauffement climatique
« On va refaire une demande d’autorisation, encore une fois », annonce Thierry Boucard, qui n’a « aucunement l’obligation de reboucher les réserves ». « C’est leur utilisation qui a été déclarée illégale, pas leur construction, et on fera tout pour pouvoir les utiliser. Les irrigants ne sont pas entendus dans cette affaire, seuls les opposants sont écoutés. On veut juste pouvoir travailler pour nourrir les gens. » Francis Pineaud, membre de l’ASAI, précise que l’interdiction prononcée concerne l’arrêté préfectoral de 2015. « Le nouvel arrêté de 2018 rend légal le remplissage en été », assure-t-il.
Courrier au préfet
Le son de cloche n’est évidemment pas le même du côté de Nature environnement 17, pour qui la décision du Conseil d’État n’est pas non plus une surprise. « Il considère que la cour administrative d’appel est souveraine », relève Patrick Picaud, membre de l’association, justifiant cette décision par le fait que « le règlement du Sage [Schéma d’aménagement et de gestion de l’eau de la Sèvre Niortaise Marais poitevin, NDLR] est toujours en vigueur ».
Nature environnement 17 s’attend aussi à ce que l’ASAI des Roches persiste. « La première fois, ils ont mis quatre ans à déposer un nouveau dossier, souligne Patrick Picaud. Cette fois, dès que la décision du Conseil d’État nous sera parvenue par courrier, nous écrirons au préfet de la Charente-Maritime pour que l’État prenne enfin ses responsabilités. »
Plainte contre l’ASAI des Roches
L’association a également l’intention de porter plainte contre l’ASAI des Roches après avoir constaté que les réserves ont été utilisées l’été dernier, malgré l’interdiction. Patrick Picaud fait même le lien avec les projets de la Coop de l’eau 79, dans les Deux-Sèvres, la Vienne et la Charente-Maritime, sur lesquels le tribunal administratif de Poitiers se prononcera mardi 7 février.
« Dans l’arrêté préfectoral qui autorise la réserve de La Grève-sur-Mignon, l’une des 16 de la Coop de l’eau 79, l’État accorde les mêmes conditions de remplissage que les réserves de l’ASAI des Roches. Vu ce que le Conseil d’État vient de décider, je vois mal comment il pourrait maintenir cette autorisation. »
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Ndlr : quelle est la couleur politique de ces départements ? Leurs arguments sont entendables dans le context où MACRON a contribué à réduire les budgets des collectivités territoriales, comme la suppression de la taxe d'habitation. ACT