Connue / https://framapiaf.org/@cobi@mamot.fr/112931337338032103
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9 août cobi @cobi@mamot.fr @Monolecte @Moby_MicroDick
La colonisation : détruire la culture et l’identité des colonisés...
Une arme de destruction massive. Un très bon documentaire à voir sur ce sujet :
« Tuer l'indien dans le cœur de l'enfant » de Gwenlaouen Le Gouil : Au Canada, l’Indian Act avait pour but de faire des Amérindiens des citoyens de seconde zone séparés de la population blanche, et de sédentariser un peuple nomade pour mieux contrôler ses territoires et ses ressources.
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Ndlr : terminer >17:55 ACT
Les indiscrets de Nils Wilcke
Nouvel épisode des “Indiscrets” de Nils Wilcke, une plongée dans les coulisses de la politique française telle qu’on la raconte peu, c’est-à-dire sans fards ni éléments de langage. Au sommaire :
C’est un scandale sur lequel les médias dominants ont posé un voile pudique. Et pourtant, lors de son voyage récent au Canada, les services de l’Élysée, c’est-à-dire d’Emmanuel Macron, sont allés au bout du logiciel liberticide qu’ils expérimentent depuis des années face aux médias qui leur résistent : intimidations, menaces, séquestration…
Comment ne pas trop s’aliéner François Bayrou dans ces temps qui tanguent ? Emmanuel Macron a trouvé la solution : un poste en or pour faire taire ses éventuelles critiques… Un poste en or directement relié à Emmanuel Macron lui-même, ce qui va faire du bien à l’ego souvent contrarié du faiseur de roi de 2017. Et pendant que certains macronistes surjouent leurs différences avec la droite dure qui est en pole position au gouvernement en ré-endossant le costume des “progressistes”, ça magouille toujours très fort entre leur camp et le Rassemblement national pour des postes à l’Assemblée. Nils Wilcke nous raconte les détails de ces marchandages qui jurent avec toutes les promesses au sujet du “front républicain”.
Tr.: ... Alexis Lévrier, historien des médias ... fusion de France Stratégie et du Haut COMMISSARIAT au plan ... Marc Fesneau, député MODEM ...
Pétition - Jusqu'au 31.05.2024 - 11227 soutiens
L’entreprise TC Énergie soutenue par les gouvernements canadiens et de la Colombie-Britannique a entamé la construction d’un gazoduc sur les terres wet’suwet’en sans respecter le droit de contrôle des peuples sur l’utilisation de leurs terres ancestrales. Opposé.e.s au projet, les défenseur.e.s de la terre wet’suwet’en sont harcelé.e.s, intimidé.e.s et illégalement arrêtés.e. Nous devons porter leur combat à l’international. Soutenez-les !
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Climat - 1 recommander - 79 commentaires
Les feux de forêt qui font rage au Canada depuis début juin impactent énormément les territoires et les communautés autochtones. De grandes parties de leurs terres de chasse et de pêche sont déjà parties en fumée et leur isolement les rend encore plus vulnérables.
Allan Saganash est encore sous le choc des feux de forêt qui ont frappé sa communauté de Waswanipi, à plus de 700 kilomètres au nord de Montréal, au Québec. « J’ai été malade pendant plus de trois semaines. Je toussais et j’ai développé une infection pulmonaire à cause de la fumée. Je suis asthmatique et je fais partie des nombreuses personnes qui ont développé des problèmes pulmonaires à cause des cendres qui sont tombées sur notre communauté », explique cet autochtone de la nation crie.
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Guillaume Proulx, doctorant en géographie culturelle à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, explique que les familles autochtones ont souvent plusieurs camps et petits chalets dans différents endroits du territoire. Il rappelle que c’est la sédentarisation forcée qui les a parquées dans ce qu’on appelle aujourd’hui des réserves, des villages créés artificiellement. Mais le lien avec le territoire se poursuit tant bien que mal, et souvent les non-autochtones n’en comprennent pas l’importance émotionnelle ni matérielle.
« Ils ont leur motoneige, leur tronçonneuse, du matériel forestier… Ça représente beaucoup de dollars qui risquent de partir en fumée », explique encore Guillaume Proulx.
Une stratégie de lutte anti-incendie contestée
Au Québec, la priorité pour la Société de protection des forêts contre le feu (Sopfeu) est de protéger, dans l’ordre, les vies humaines, les infrastructures stratégiques et la forêt. Une stratégie que critique Constant Awashish, grand chef de la nation atikamekw. « La forêt passe en dernier malheureusement. Que les autochtones pensent à la forêt en premier est souvent mal vu. Ça passe parfois pour de la désobéissance civile. Protéger la forêt, c’est protéger la mémoire familiale pour certains autochtones », dit-il.
Un avis que partage Allan Saganash. « La Sopfeu ne s’est pas occupée des incendies isolés, ils les ont laissés brûler et se sont concentrés sur les incendies qui menaçaient les communautés ou les villes voisines », explique-t-il. Ces petits incendies ont finalement « fusionné et sont devenus énormes et incontrôlables », ajoute-t-il.
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Dans tout le pays, déjà presque 14 millions d’hectares ont brûlé depuis le début de la saison, soit un cinquième de la surface de la France. Les experts s’accordent à dire que cette saison est deux fois pire que la saison précédente et qu’elle risque de s’étirer jusqu’en septembre.
france-5 Magazines 1 h 4 min Français tous publics Vidéo sous-titré
Disponible jusqu'au 09/07/23 - Présenté par : Caroline Roux, Axel de Tarlé
Les méga-feux font rage au Canada. Le Centre interservices des feux de forêt du Canada (CIFFC) recense plus de 400 incendies en cours, dont la moitié sont hors de contrôle, dans ce pays où les immenses étendues boisées sont rarement accessibles par la route. Les fumées qui s’en dégagent couvrent un tiers des États-Unis à l’est du Mississippi et descendent jusqu’en Caroline du Sud, sur la côte. Ces fumées chargées de particules fines sont dangereuses pour la santé. Près de 100 millions d’Américains, concernés par une alerte sur la qualité de l'air, sont appelés à se protéger : port du masque, événements en extérieur annulés, école à distance...Une pollution qui a pris la forme, depuis mercredi, d'un épais brouillard orangé qui s'est répandu sur la ville de New York et sur une large partie de la côte est du pays. Des grandes villes canadiennes comme Montréal et Ottawa sont aussi touchées et des vols ont dû être annulés faute de visibilité. Cet épisode de pollution atmosphérique rare constitue "un rappel brutal des conséquences du changement climatique", a déclaré le président américain Joe Biden.
Les secours canadiens estiment que 50 % des départs de feux sont causés par l’homme – mégots de cigarette, appareils électriques…. - mais ils prospèrent davantage avec le réchauffement climatique, qui fournit le combustible et les conditions : des végétaux secs, des chaleurs extrêmes et un vent omniprésent depuis des semaines. Selon les climatologues, le Canada se réchauffe plus vite que le reste de la planète. "La moyenne mondiale est de 1,1 °C supplémentaire depuis l’ère préindustrielle. Ici, c’est globalement 1,7 °C, et 3 °C dans de nombreux endroits", explique le directeur de l’adaptation à l’Institut climatique du Canada. "La quantité de forêts brûlées devrait doubler d’ici à 2050 en raison de notre changement climatique", a affirmé le ministre canadien des Ressources naturelles.
Un réchauffement climatique qui s’accroît désormais à un rythme de plus en plus rapide, avec des émissions de gaz à effet de serre à un niveau inédit, selon une vaste étude internationale publiée ce jeudi dans la revue Earth System Science Data. "Sur la période 2013-2022, le réchauffement causé par l’humanité a augmenté à un niveau sans précédent de plus de 0,2 °C par décennie", écrivent une cinquantaine de chercheurs de renom, s’appuyant sur les méthodes du Giec, les experts climat mandatés par l’ONU. Les scientifiques préviennent que l’humanité se retrouve face à une décennie "critique" alors que le seuil de 1,5 °C pourrait être atteint ou dépassé au cours des dix prochaines années.
Et pour l’Arctique c’est un scénario noir qui est déjà annoncé. Même si nous réduisons nos émissions de gaz à effet de serre, la glace de mer d’été va disparaître dans les prochaines décennies, selon une autre étude publiée par la revue Nature Communications. Peut-être même 10 ans plus tôt que prévu par le Giec. "Les résultats indiquent que le premier mois de septembre sans glace de mer interviendra dès les années 2030-2050, quels que soient les scénarios d’émissions", écrivent les scientifiques. La disparition de la glace "accélérera le réchauffement arctique, ce qui peut augmenter les événements météorologiques extrêmes aux latitudes moyennes, comme les canicules et les feux de forêts". "Cela peut aussi accélérer le réchauffement mondial, en faisant fondre le permafrost, ainsi que la montée du niveau des océans en faisant fondre la calotte glaciaire du Groenland", ajoute les chercheurs.
Parallèlement, l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) vient d’indiquer que le phénomène météorologique El Nino a officiellement commencé et devrait « se renforcer graduellement » dans les mois qui viennent. C’est un phénomène qui se produit environ tous les deux à sept ans, caractérisé par des températures de surface plus chaudes que la normale dans l’océan Pacifique équatorial, mais qui a des conséquences pour toute la planète. En fonction de sa force, El Nino peut notamment accroître le risque de fortes précipitations ou de sécheresse dans certaines régions du monde.
Une sècheresse qui touche déjà un quart de l’Europe, notamment l’Espagne où la guerre de l’eau s’intensifie. Dans ce pays considéré comme le "potager de l'Europe", les effets de l’urgence climatique ont brutalement fait irruption dans la vie des espagnols avec la crise de l’eau et le pays s’interroge sur son modèle agricole, à savoir une agriculture intensive de plantations gourmandes en eau comme notamment les fraises et les avocats, qui absorbe près de 80 % des ressources hydriques du pays. Les autorités s'inquiètent également du détournement clandestin de l'eau. De nombreux agriculteurs sont en effet reliés illégalement au réseau et contribuent à appauvrir les réserves déjà faibles.
En France où plusieurs régions sont également déjà touchées par la sécheresse, on se prépare à connaître de fortes chaleurs durant l'été. Le gouvernement vient ainsi de dévoiler un plan canicule en "15 actions". Des SMS seront notamment envoyés à la population en cas de grandes chaleurs. "Il s’agit encore de mesurettes" a dénoncé Jérôme Frignet, directeur des programmes de Greenpeace France. "Ce n’est pas du tout ce qu’on attend du gouvernement. On attend de lui de se préparer au pire de manière beaucoup plus sérieuse que les mesures ne le laissent penser. Ils sont en réaction à l’actualité. Il n’y a aucune prévention, aucune anticipation là-dedans".
Lors de l’été 2022, deuxième été le plus chaud depuis 1900, avec trois vagues de forte chaleur et 33 jours de canicule au total, la France a enregistré une surmortalité de 10 420 morts par rapport à 2019 selon l’agence Santé publique France. En 2003, la canicule qui avait frappé la France du 1er au 20 août avait fait environ 14 800 morts.
Alors quelle est la situation au Canada et aux Etats-Unis ? Le phénomène climatique El Niño est de retour en 2023, quelles conséquences sur la météo ? Jusqu'où ira la guerre de l’eau en Espagne ? Enfin comment la France se prépare-t-elle aux fortes chaleurs attendues cet été ?
Nos experts :
- Nicolas Chateauneuf, journaliste sciences et environnement - “France Télévisions”
- Audrey Garric , journaliste au service Planète - “Le Monde”
- Emma Haziza, hydrologue
- Eric Brocardi, porte-parole de la Fédération nationale des Sapeur-pompiers de France
240 abonnés - 2+- 73 visionnages
Après 3 ans d'éclipse pandémique, 2023 ramène les enjeux environnementaux à l'avant-plan. Comme jamais auparavant, on parle des liens entre crise de la biodiversité, crise climatique, enjeux sociaux et modèles de développement. Quels en seront les impacts ici, au Québec et au Canada? Quels seront les principaux dossiers environnementaux à surveiller en 2023? Suite au grand succès de la première édition, nos analystes ressortent leur boule de cristal et se prononcent sur les principaux enjeux environnementaux qui risquent d’animer 2023.
Venez poser vos questions lors de ce webinaire le mardi 28 février à 19h00.
Dire adieu au goudron en ville. Comment ? En dépavant ! L’idée derrière ce projet canadien : retirer le bitume pour diminuer la chaleur urbaine et permettre au sol de mieux absorber l’eau de pluie ...
Connu / TG 9/09/22 à 22:18
3,545 personnes ont signé
Soutenez la protection de leur demeure arctique
Dans quelques semaines, le ministre des Affaires du Nord, Dan Vandal, prendra une décision concernant l'expansion d'une mine de fer au Nunavut, un projet auquel s'opposent fermement les défenseur·ses des terres inuit. La compagnie minière Baffinland est à l'origine de cette expansion, et va de l'avant avec cette dangereuse proposition concernant sa mine de fer. [1]
Cette expansion minière constitue une grave menace pour les Inuit de la région et la faune dont ils et elles dépendent pour leur alimentation, leur subsistance et leur culture.
En fait, la propre agence d'évaluation environnementale du gouvernement du Nunavut a recommandé de pas donner feu vert à cette expansion en raison du potentiel d'effets négatifs importants sur la faune et les Inuit. [2]
Les Inuit dénoncent vigoureusement ce projet. [3] L'année dernière, des défenseur·ses des terres inuit ont bloqué pacifiquement la mine pour s'opposer aux plans d'expansion, et des manifestations de solidarité ont eu lieu dans tout le Nunavut. [4]
Les Inuit ont maintenant besoin de votre voix pour les soutenir. Il est CRITIQUE que le plus grand nombre possible de personnes s'expriment en faveur des droits des Inuit et de la faune arctique.
Dites au ministre Vandal d'écouter les défenseur·ses des terres inuit, de protéger la faune arctique et de dire NON à cet dangereux projet d'expansion minière.
[1] Le projet d’expansion de la mine Mary River cause toujours des divisions au Nunavut
[2] Nunavut Impact Review Board rejects proposed Baffinland expansion
[3] Community reps oppose mine expansion at final day of Baffinland hearing
[4] Les manifestants ont quitté le site minier de Mary River, au Nunavut
Dites au premier ministre John Horgan de stopper leur destruction
... sous la gouvernance du premier ministre John Horgan, les forêts anciennes de la Colombie-Britannique sont abattues à un rythme alarmant. ... territoires de nombreuses Premières Nations, sont reconnues au Canada et dans le monde comme étant des sanctuaires naturels parmi les plus spectaculaires de la planète.
On y trouve plus de biodiversité que dans les autres provinces canadiennes, soit près de la moitié de toutes les espèces animales et végétales du Canada, dont plus de 2 000 sont aujourd'hui menacées de disparition. [4]
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[1] https://news.mongabay.com/2021/04/with-british-columbias-last-old-growth-at-risk-government-falters-critics
[2] https://consnorth.maps.arcgis.com/apps/webappviewer/index.html?id=d1620f43f9084a99a4921e5e8b9b98dd
[3] https://thenarwhal.ca/bc-forests-logging-nine-protected-areas
[4] https://thenarwhal.ca/bc-extinction-crisis
[5] https://engage.gov.bc.ca/app/uploads/sites/563/2020/09/STRATEGIC-REVIEW-20200430.pdf
[6] https://www.cbc.ca/news/canada/british-columbia/logging-climate-change-bc-report-1.5895220
[7] https://news.mongabay.com/2021/04/with-british-columbias-last-old-growth-at-risk-government-falters-critics
Connue / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1423011095292358656
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Greenpeace Québec @greenpeaceQC · 2h
"Nous avons besoin de restauration écologique, pas de couper dans ces forêts. S’il n’est pas possible d'identifier les secteurs à risque, alors toutes les forêts anciennes devraient faire l’objet d’un moratoire"
Signez >> https://act.gp/3fr1gtC
ici.radio-canada.ca
L’union des chefs autochtones demande un moratoire des coupes de forêts anciennes
L'UBCIC veut le temps d'adopter une déclaration pour la protection des arbres anciens.
0 - 1 - 3
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@laydgeur Les premiers travaux scientifiques d’analyse de la vague de chaleur historique de fin juin au Canada et aux USA ont été publiés, et les conclusions sont… Visage rougissantVisage rougissant
#Thread Image 12:47 PM · 9 juil. 2021 - 638 Retweets 51 Tweets cités 933 J'aime
- Les températures maximales observées dans la région étaient "virtuellement impossibles" sans le changement climatique actuel dû aux activités humaines.
- Les températures observées étaient tellement extrêmes que même dans le climat actuel réchauffé de +1,2°C, cet événement se produirait 1 fois tous les 1000 ans. (la quantification précise de la probabilité est très difficile vu la rareté du
- Il y a deux causes qui expliqueraient cet événement :
1- l’anomalie statistique "vraiment pas de chance", ou bien 2- des interactions inconnues du système climatique qui augmenteraient de beaucoup la probabilité.
Ce 2ème point est une hypothèse et nécessite des recherches. - Sans le changement climatique actuel (donc avec le climat d’avant la révolution industrielle), la probabilité d’avoir ce phénomène serait plus de 150 fois plus rare.
Soit statistiquement seulement 2 fois depuis l’apparition d’Homo Sapiens.
D’où le "virtuellement impossible".
Maintenant projetons-nous dans un futur avec une planète réchauffée de +2°C, que nous atteindrons au rythme actuel "au plus tôt en 2040".
- Donc dans un monde à +2°C, cet événement, qui a actuellement une fréquence d’apparition de 1 fois tous les 1000 ans, se produirait tous les 5 à 10 ans… Tête qui explose
Maintenant je vais juste traduire aussi fidèlement que possible le reste de la conclusion, et je vous laisserai méditer là dessus.
« Nos résultats constituent un avertissement fort : le réchauffement rapide du climat nous entraîne sur un territoire inconnu, avec des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et les moyens de subsistance. »
« L'adaptation et l'atténuation sont nécessaires de toute urgence pour préparer les sociétés à un avenir très différent. Les mesures d'adaptation doivent être beaucoup plus ambitieuses et tenir compte de l'augmentation du risque de vagues de chaleur dans le monde entier »
« Les décès dus aux chaleurs extrêmes peuvent être réduits de façon spectaculaire grâce des préparations adéquates. Les plans d'action contre la chaleur qui intègrent des systèmes d'alerte précoce en cas de canicule peuvent renforcer la résilience des villes et des populations. »
« Des plans à plus long terme sont nécessaires pour modifier nos environnements artificialisés afin qu'ils soient mieux adaptés au climat plus chaud que nous connaissons déjà aujourd'hui et au réchauffement supplémentaire que nous attendons à l'avenir. »
« Enfin, les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre devraient tenir compte des risques croissants associés à des conditions climatiques sans précédent si le réchauffement devait se poursuivre. »
#Fin
Source : https://worldweatherattribution.org/wp-content/uploads/NW-US-extreme-heat-2021-scientific-report-WWA.pdf
Greenpeace France @greenpeacefr · 14h
Et pendant ce temps-là en France:
Pouce baissé le Sénat vote loi une loi climat obsolète & jugée insuffisante par le Haut conseil pour le climat
Pouce baissé la France ne relève toujours pas ses objectifs de réduction des émissions de CO2
Pouce baissé le gouvernement est prêt à laisser couler #ChapelleDarblay
Citer le Tweet
Agence France-Presse @afpfr · 14h
Des dizaines de personnes sont mortes subitement ces derniers jours dans la région de Vancouver, dans l'ouest du Canada, une surmortalité attribuée par les autorités aux températures caniculaires record ayant atteint les 49,5°C #AFP
Image - 2 - 42 - 69
Alors que le dôme de chaleur qui a fait de nombreux morts https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1805398/deces-chaleur-canicule-grc-cb-burnaby et donné lieu à des records de température en Colombie-Britannique et en Alberta se déplace lentement vers l’est, des climatologues affirment que les phénomènes extrêmes s'intensifient et deviendront plus fréquents en raison du réchauffement climatique.
Mardi, la communauté de Lytton a fracassé, pour la 3e journée consécutive, le record de température canadien, avec 49,6 °C.
La situation étonne et inquiète Simon Donner, climatologue à l’Université de la Colombie-Britannique. "Nous nous attendons à voir davantage de vagues de chaleur extrêmes à l'avenir parce que nous ajoutons des gaz à effet de serre à l'atmosphère, mais cela dépasse ce à quoi je m'attendais."
Avoir une vague de chaleur aussi longue et aussi forte au Canada est complètement sans précédent dans l'histoire.
Une citation de : Simon Donner, professeur de climatologie à l’Université de la Colombie-Britannique
disponible jusqu'au 07.07.21 - magazines 67 min tous publics
L'Ouest du Canada et des États-Unis ont battu hier encore des records "historiques" de températures. Plus de 49 degrés ont été relevés du côté de Vancouver. Un nouveau record historique dans cette région où les températures avoisinent habituellement les 20 degrés à cette période de l’année. Mais depuis vendredi le mercure ne cesse de grimper, et au moins 134 personnes sont mortes subitement de cette canicule, selon les autorités qui appellent à la vigilance.
"Ce temps peut être mortel pour les membres vulnérables de notre communauté, en particulier les personnes âgées et celles qui ont des problèmes de santé sous-jacents", a affirmé un porte-parole de la GRC (police fédérale), Mike Kalanj. "Nous vivons la semaine la plus chaude que les Britanno-Colombiens n’aient jamais connue", a déclaré le Premier ministre de Colombie-Britannique, John Horgan. "Il y a des conséquences à cela, des conséquences désastreuses pour les familles et les communautés, mais encore une fois, la façon de traverser cette période extraordinaire est de se serrer les coudes, de vérifier (l'état de santé) des personnes que nous savons à risque", a-t-il ajouté.
Dans la région, les centres de vaccination et les écoles ont été fermés. Les adultes et enfants viennent chercher un peu de répit dans les centres de rafraîchissement ouverts dans l’urgence dans les grandes villes. Car beaucoup n’ont pas l’air conditionné chez eux, et les climatiseurs et ventilateurs sont en rupture de stock depuis l’arrivée de cette vague de chaleur inédite.
Un phénomène climatique que les spécialistes nomment le "dôme de chaleur". Rarissime dans cette région, il est censé se produire qu’une fois tous les mille ans. Mais selon les scientifiques il serait favorisé par l’augmentation des gaz à effet de serre et lié au réchauffement climatique. Dans son dernier rapport, dont des extraits ont fuité récemment, les experts du Giec dressent en effet un tableau apocalyptique d’ici 2050 de l'avenir de notre planète et de ses habitants "en proie aux pénuries d'eau, aux exodes et à la malnutrition…". Ils appellent aussi à agir et à revoir les objectifs fixés par l'accord de Paris en 2015 (qui déterminent les engagements internationaux en matière de transition énergétique) car dépasser le seuil de +1,5 °C aura, selon eux, déjà des "impacts irréversibles pour les systèmes humains et écologiques".
Une publication qui sonne comme un retentissant rappel à l'ordre à l'heure où la loi Climat est examinée au Parlement et que les négociations internationales sur le climat reprennent poussivement. Les discussions préparatoires à la COP26, qui se tiendra à Glasgow à l'automne, se sont en effet achevées sans grandes avancées alors que de nombreux Etats, dont la France, sont très en retard sur leurs objectifs. A savoir pour la France : la neutralité carbone en 2050 et une baisse des émissions de gaz à effet de serre de 40 % d’ici à 2030 par rapport à 1990. Or pour y parvenir, le Haut Conseil pour le climat estime que le pays va devoir pratiquement doubler son rythme annuel de réduction des émissions, afin d’atteindre au moins 3 % dès 2021 et 3,3 % en moyenne sur la période 2024-2028.
Alors qu’est-ce qu’un dôme de chaleur ? Pourquoi l’Ouest du Canada et des États-Unis connaissent-ils ces températures records ? Quelles sont les conséquences prévisibles du dérèglement climatique selon le Giec ? Comment y remédier ?
Invités :
- Arnaud Gossement, avocat, spécialiste en droit de l’environnement
- Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction des Echos
- Françoise Vimeux, climatologue, spécialiste de la variabilité et de l’évolution du climat
- Audrey Garric, journaliste au service Planète - Le Monde
Tr.: ... faiblesse du jetstream ... Compression atmosphérique, blocage de la masse d'air chaud par l'anticyclone ... ya 600 projet de centrale à charbon sur la planète. Ne pas séparer changement climatique et effondrement de la biodiversité. ...
Ndlr : seul A.Gossement parle de sobriété !! ACT
Par contre, il considère que le pdt de la république fr n'a pas tant de pouvoirs et dévalorise la future élection présidentielle en 2022 :-(
Il croit plus au niveau européen qui définit le droit en cours et à venir, selon lui.
Par Marie-Josée Beliveau, Chargée de campagne Alimentation et nature - 2 Commentaires
Connu / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1386032507733299208
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Greenpeace Québec @greenpeaceQC · 24 avr.
Le soleil vous donne le goût de plonger vos mains dans le sol?
Soleil avec rayons Plant
Voici quelques astuces pour cultiver un magnifique #jardin intérieur et extérieur >>>
#autosuffisance #agricultureurbaine
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9,802 signataires
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cesser d’investir l’argent public dans les énergies fossiles en commençant par:
- Annuler la construction du pipeline Trans Mountain.
- Mettre fin immédiatement à tout soutien financier à l'industrie. Planifier la réduction et la fin de la production et de l’utilisation des énergies fossiles dès maintenant.
- Investir dans les communautés autochtones et celles qui subissent les effets néfastes des énergies fossiles.
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Connue / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1378076050555613188
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Greenpeace Québec @greenpeaceQC · 2 avr.
L'écoute sélective de la #ScienceduClimat
Visage avec les yeux levés au ciel
SIGNEZ LA PÉTITION le #Budget2021 tant attendu est à nos portes : dites au gouvernement fédéral d'écouter les climatologues et d'en finir avec le #pétrole et le #gaz >> https://act.gp/3wksedi
Source: https://nature.com/articles/nature14016
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12,352 signatures
L'enjeu est de taille : les choix que le Canada fait aujourd'hui détermineront notre façon de gérer la santé, la crise climatique et la justice sociale pour les années à venir.
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repenser l’économie pour aborder de front l’urgence climatique et la crise du vivant et mettre fin à l'enrichissement des pollueurs et des plus riches au détriment de tous les autres et de l'environnement qui nous fait vivre.
...
Le temps est venu de mettre en place une réponse forte, rassembleuse, pour prendre soin de nos communautés, restaurer la nature et ouvrir le champs des possibles de l’action politique. Les principes de la justice climatique doivent dicter cette réponse, de manière à atténuer les effets de la crise climatique, instaurer l’équité et le respect les droits de toutes et tous.
Comment pouvons-nous y parvenir ? Augmentons la pression sur les responsables politiques en envoyant dès maintenant un courriel à nos député·es et aux ministres du Cabinet.
Références
1 https://www.greenpeace.org/canada/fr/agir/ne-laissons-pas-les-lobbies-decider-de-notre-avenir/
2 https://www.ledevoir.com/politique/canada/584403/un-choix-bien-accueilli
Ndlr : signée mais semble pas prise en compte si résidant en Fr ? Car avec le code "G1S 2Y3" à MONCTON, c'est ok !
Catégories : Canada/Québec, Ecologie, Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe, USA
Plus de 40 femmes autochtones issues de communautés impactées par l’exploitation des sables bitumineux (dont de nombreuses amies et alliées de longue date du CSIA-Nitassinan) ont envoyé une lettre ouverte à 70 grandes banques, assureurs et gestionnaires d’actifs, leur demandant de respecter les droits des Autochtones et de cesser de soutenir financièrement l’industrie qui détruit leurs […]
12,398 signataires
L'année dernière, le monde entier a regardé avec horreur de vastes zones de la forêt amazonienne brûler. Cette année, la COVID-19 semble avoir changé la donne. Pourtant, au moment où vous lisez ces lignes, des flammes rugissantes continuent de menacer toutes formes de vie en Amazonie. En fait, le nombre d’incendies enregistrés en août sera probablement encore plus élevé que l'année dernière...[1]
Ces feux de forêt ne sont pas accidentels. L'Amazonie est incendiée délibérément afin de défricher des terres pour l'agriculture. L’objectif? Répondre à la demande mondiale de viande et d'autres produits bon marché. Alors que la forêt brûle, le gouvernement canadien doit faire preuve de leadership et faire comprendre que notre pays et les Canadien·nes n'accepteront pas de marchandises au prix des droits des peuples autochtones et de la destruction de la forêt tropicale.
Pourtant, il fait exactement le contraire. Le Canada négocie actuellement un accord de libre-échange Canada-Mercosur. Cet accord augmenterait massivement les exportations de viande du Brésil vers le Canada qui pourraient atteindre jusqu’à 1,8 milliard de dollars par an.[2] Ces exportations sont les principales responsables des incendies en Amazonie !
C'est urgent. Si la déforestation et les incendies se poursuivent, toute la forêt tropicale humide atteindra un point de non-retour.[3] Le Sommet sur la biodiversité des Nations Unies aura lieu le 30 septembre, donc très prochainement. Envoyons un message clair : le Canada ne peut pas négocier des accords commerciaux destructeurs et être un leader dans la protection de la biodiversité.
Dites au ministre des Affaires étrangères François-Philippe Champagne que le Canada doit immédiatement mettre un terme aux négociations de libre-échange Canada-Mercosur et protéger l'Amazonie.
Nous devons envoyer un message clair qui remontera jusqu'au président brésilien Jair Bolsonaro : le Canada ne conclura pas d'accords commerciaux dont le prix serait la destruction de l'Amazonie.
1 - https://www.reuters.com/article/us-brazil-environment-fires-exclusive/exclusive-brazil-amazon-fires-likely-worst-in-10-years-august-data-incomplete-government-researcher-says-idUSKBN25T349 (en anglais)
2 - https://www.greenpeace.org/canada/en/story/41711/amazon-bolsonaro-cattle-abcs-of-destruction/#ref-20 (en anglais)
3 - https://news.mongabay.com/2019/12/the-tipping-point-is-here-it-is-now-top-amazon-scientists-warn/ (en anglais)
La compagnie GNL Québec propose la construction d’un pipeline gazier de 750 km nommé Gazoduq, d’une usine de liquéfaction du gaz nommée Énergie Saguenay et d’un terminal maritime d’exportation par super-méthaniers. Ce vaste projet vise à exporter le gaz fossile de l’Ouest vers les marchés internationaux, en passant par l’Abitibi et le Témiscamingue, la Haute-Mauricie, le Saguenay Lac-St-Jean, le Fjord du Saguenay, le Saint-Laurent et les communautés de Matheson, Timmins et Kirkland Lake en Ontario. Le tracé proposé traverse un territoire occupé par les Premiers Peuples depuis des millénaires.
La science est claire : 80 % des réserves connues de pétrole, de charbon et de gaz doivent rester dans le sol. Nous ne pouvons pas construire de nouvelles infrastructures pour produire et consommer plus d’énergies fossiles. Le dernier rapport du GIEC nous a bien mis en garde en 2018, et depuis il nous reste dix ans tout juste pour tenter de rectifier le tir.
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Un pipeline gazier de 750 km dans nos milieux naturels
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Menaces pour le béluga et pas que!
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1 Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, 2013
2 U.S. EPA. Hydraulic Fracturing for Oil and Gas: Impacts from the Hydraulic Fracturing Water Cycle on Drinking Water Resources in the United States (Final Report). U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC, EPA/600/R-16/236F, 2016, https://cfpub.epa.gov/ncea/hfstudy/recordisplay.cfm?deid=332990 (en anglais)
3 Robert W. Howarth, Renee Santoro, Anthony Ingraffea; Methane and the greenhouse-gas footprint of natural gas from shale formations. Climatic Change (2011) 106: 679–690. doi: https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10584-011-0061-5 (en anglais)
4 Gail M. Atkinson, David W. Eaton, Hadi Ghofrani, Dan Walker, Burns Cheadle, Ryan Schultz, Robert Shcherbakov, Kristy Tiampo, Jeff Gu, Rebecca M. Harrington, Yajing Liu, Mirko van der Baan, Honn Kao; Hydraulic Fracturing and Seismicity in the Western Canada Sedimentary Basin. Seismological Research Letters (2016) 87 (3): 631–647. doi: https://pubs.geoscienceworld.org/ssa/srl/article-abstract/87/3/631/315665/Hydraulic-Fracturing-and-Seismicity-in-the-Western?redirectedFrom=fulltext (en anglais)
5 BlackRock Metals Foundry, Arianne Phosphate mine, GNL Jonquière, port on the northern shore of the Saguenay and GNL Québec (Plant and expansion of Grande-Anse port).
6 Investissement Québec has already agreed to pay $30 million to supply drinking water to the area where the GNL plant would be built. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1139707/conseil-municipal-saguenay-entente-eau (en anglais)
From: Department for Environment, Food & Rural Affairs, The Rt Hon Lord Zac Goldsmith, and The Rt Hon Theresa Villiers MP
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The 30by30 initiative, which is pushing for at least 30 per cent of the global ocean to be protected in Marine Protected Areas by 2030, has so far been supported by 10 countries including:
Belize Costa Rica Finland Gabon Kenya Seychelles Vanuatu Portugal Palau, and Belgium
The Global Ocean Alliance will push for the trebling of existing globally-agreed targets so at least a third of the ocean is safeguarded in Marine Protected Areas over the next decade.
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Connu / https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1718518/environnement-protection-faune-flore-planete-ecosystemes
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La Presse canadienne Publié le 9 juillet 2020
Le Canada se joint à un groupe international d'une vingtaine d'autres pays qui travaillent à protéger les océans du monde.
L'Alliance mondiale pour les océans, fondée par le Royaume-Uni l'année dernière, cherche à protéger 30 % des océans du monde d'ici 2030.
Ses 22 membres comprennent des pays européens tels que l'Italie, l'Allemagne et la Suède, ainsi que des États insulaires comme les Fidji et les Seychelles.
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connu / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1282707626829197313