Durable, Enviro, Hydraulique - 0 Commentaires - 562 Vus
Les nouvelles éco-membranes à haut rendement de la start-up bretonne Sweetch Energy peuvent propulser l’énergie osmotique au rang des sources d’énergie renouvelable les plus compétitives pour la première fois en 50 ans.
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pionnière des nanotechnologies avancées et des éco-matériaux appliqués à l’énergie osmotique, a annoncé aujourd’hui avoir obtenu un financement de 5,2 millions d’euros pour lancer sa phase d’industrialisation et développer un premier prototype industriel. ... énergie renouvelable au potentiel immense, en particulier grâce à sa nature non-intermittente et son abondance.
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financement de sociétés industrielles à fort potentiel disruptif telles que Ÿnsect, Meatable ou McPhy Energy. L’opération a été dirigée par le nouvel investisseur Future Positive Capital et codirigée par les investisseurs existants Demeter et Go Capital. D’autres investisseurs tels que Dominique Gaillard, co-fondateur d’Ardian, et Fabio Ferrari, fondateur de Symbio, l’un des pionniers européens de l’industrie de l’hydrogène, ont également participé. L’ADEME apporte des financements complémentaires.
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La technologie de Sweetch Energy combine les récentes avancées des domaines de la nanofluidique et des matériaux écologiques à faible coût pour développer des membranes de nouvelle génération
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Lyderic Bocquet, chercheur au CNRS, directeur de l’Institut Pierre-Gilles de Gennes (Université PSL) et l’une des autorités mondiales de la science nanofluidique, est l’inventeur original de la technologie et l’un des cofondateurs de l’entreprise
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Nicolas Heuzé, PDG et co-fondateur de Sweetch Energy
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Alexandre Terrien, co-fondateur de Future Positive Capital et nouveau membre du conseil d’administration
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Olivier Bordelanne, associé chez Demeter
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Clés : catalyseur membrane nanotechnologie osmotique
Ndlr:
- "potentiel immense" à nuancer selon https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?IiACgA Suivre ACT
- bureaux rennais selon https://www.greenunivers.com/2021/04/sweetch-energy-leve-52-me-et-passe-a-letape-pre-industrielle-256684/
- tech de type PRO ou RED ? ACT
... consiste à reproduire et à améliorer les processus et mécanismes à l’œuvre dans les plantes ... août 2015, des chercheurs australiens de l’Université de Monash, à Melbourne ... nouveau record, en portant à 22 % le taux d’efficacité de leur « feuille artificielle » qui décompose l’eau grâce à la lumière du soleil pour produire de l’hydrogène ... cellules photovoltaïques multi-jonctions ... électrodes en mousse expansive de nickel ... avril 2016, des chercheurs danois et suédois de l’Université de Copenhague et de l’Université technologique Chalmers (Suède) ... méthode à partir de biomasse, produire des biocarburants et d’autres substances chimiques sans émettre de CO2 ... “photosynthèse inverse” ... ont eu recours à une enzyme synthétisée par certaines espèces de bactéries et de virus ... cycle CETCH ... feuille bionique ... nouveau catalyseur cobalt-phosphore ... montrer que les nanotechnologies pouvaient non seulement permettre d’augmenter l’efficacité du processus naturel de photosynthèse, mais pouvaient également être utilisées pour transformer la plante afin qu’elle puisse devenir un "capteur" très sensible pour détecter le monoxyde d’azote (NOx), un polluant nocif produit notamment par les véhicules thermiques ... intégrer de la chlorophylle à des transistors électroniques sur graphène, ce qui a donné naissance à un « phototransistor » ... "sandwich" moléculaire graphène-chlorophylle ... aux confins de la physique, de la chimie, de l’électronique de la biologie : les nanobiotechnologies ... faire d’une pierre trois coups : accélérer le basculement énergétique mondial vers les énergies propres, valoriser et recycler le CO2 pour en faire une « matière première » utile à l’économie et enfin produire massivement et de manière propre de l’hydrogène ... carburant, vecteur énergétique ... approche résolument transdisciplinaires et en favorisant le dialogue et l’échange ...
Composite à base d'hydrures de magnésium contenant 600 litres d'hydrogène (©McPhy)
La société grenobloise McPhy Energy, créée en 2008, travaille sur le stockage d’hydrogène sous forme solide. Sa technologie permet notamment de stocker des surplus d’électricité grâce à des installations combinant la production d’hydrogène et son stockage à basse pression.
L’hydrogène adsorbé par du magnésium
S’appuyant sur des travaux du CNRS (Institut Néel), McPhy Energy a développé une solution de stockage de l’hydrogène sous forme d’hydrures métalliques, c'est-à-dire de composés chimiques d’hydrogène avec un métal ou un alliage métallique. Certains métaux présentent la propriété de former des liaisons réversibles avec des atomes d’hydrogène. C’est le cas du palladium, du vanadium ou encore du magnésium qui a été retenu par la PME grenobloise comme principal matériau combiné à l’hydrogène.
Le magnésium est broyé en une poudre fine afin d'obtenir des cristaux d’une dizaine de nanomètres (1 nm = 10-9 m) offrant une plus grande surface de contact avec l’hydrogène. Des additifs y sont ajoutées afin d’accélérer le processus d'hydrogénation et de déshydrogénation du magnésium qui ne dure alors que quelques minutes. Les atomes d’hydrogène sont « absorbés » ou « désorbés » (c'est-à-dire se détachent des cristaux) en fonction de la température et de la pression du milieu. L’absorption s’effectue à une pression de 10 bars et la désorption à une pression de 2 bars. La réaction d’absorption dégage de la chaleur qui est captée pour ne pas bloquer la réaction(1). Elle est restituée ultérieurement pour faciliter la désorption de l’hydrogène. Le stockage est totalement réversible et la quasi-intégralité de l’énergie hydrogène stockée est récupérée au terme du processus(2).
Concrètement, l’hydrogène est ainsi stockée sous la forme de pastilles d’hydrures de magnésium (MgH2) de 30 centimètres de diamètre contenant chacune 600 litres d’hydrogène. Ces pastilles sont conditionnées dans des réservoirs cylindriques recouverts d’une couche d’isolant thermique.
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La technologie du stockage sous forme solide présente un avantage en termes de sécurité dès lors qu’elle nécessite des pressions faibles. De plus, la densité volumique atteinte sous cette forme est de 106 kg d’hydrogène par m3 contre 70 kg/m3 sous forme liquide et 42 kg/m3 sous forme de gaz comprimé (à 700 bar).
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d’autres hydrures métalliques que ceux de magnésium peuvent être employés pour des applications particulières comme le stockage embarqué pour les transports https://www.connaissancedesenergies.org/node/566.
McPhy Energy a déjà conclu des contrats avec de grands électriciens comme Enel en Italie et E.ON dans le nord-est de la France. La société a récemment racheté l’italien Piel qui dispose de près de 3 000 électrolyseurs en service dans le monde. Elle a d’autre part reçu une dotation de 5 millions d’euros du Fonds Écotechnologies, un fonds de la Caisse des dépôts à destination des PME innovantes dédiées aux technologies vertes.
dernière modification le 21 février 2013
Sources / Notes
(1) La température nécessaire au processus d'absorption devant être inférieure à près de 375°C et celle du procédé de désorption supérieure à près de 305°C.
(2) Près de 97% de l’hydrogène énergie stockée est restituée.
Clés: Gap Nanofil Photonique Silicium Théorie des bandes Semi-conducteurs
Matériaux
Une avancée technologique utilisant des nanofils hexagonaux ouvre la possibilité de concevoir des lasers et des dispositifs photoniques à base de silicium.
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La dissipattion réduite de chaleur dans les dispositifs photoniques permettrait aussi de diminuer la consommation d’électricité, un enjeu majeur pour les centres de calculs et les serveurs. Enfin, il serait aussi possible de concevoir une nouvelle génération de capteurs dont les éléments sensibles à la lumière seraient directement intégrés dans les puces qui traiteront le signal.
Ndlr : pourquoi clé à6 ? ACT
Clés : hexagonal, boron nitride, polymer derived ceramics, atomic layer deposition, sintering, nanosheets, 2D material
Boitumelo Matsoso1, Wenjun Hao1, Yangdi Li1,2, Victor Vuillet-a-Ciles1, Vincent Garnier2, Philippe Steyer2, Bérangère Toury 1, Catherine Marichy1 and Catherine Journet1*
c 1 2 Bernard Université Laboratoire
Lyon de des 1, Lyon, F-69622 Multimatériaux MATEIS, Villeurbanne, UMR et Interfaces, CNRS France.
5510, UMR INSA-Lyon, CNRS 5615, F-69621 Univ Lyon, Villeurbanne Université s
cedex, Claude
France
E-mail: catherine.journet@univ-lyon1.fr
Connue / https://twitter.com/StephanSroche/status/1245975901575225344
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INSA Lyon a retweeté Stephan Roche @StephanSroche · 3 avr.
Synthesis of hexagonal boron nitride 2D layers using polymer derived ceramics route and derivatives @UniversiteLyon @insadelyon @auvergnerhalpes @IOPmaterials @IOPPublishing @IOPscience #hBN #BoronNitride #openscience - 0 - 1 - 19
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