Birgit Müller est Directrice de Recherche au Laboratoire d’anthropologie politique, CNRS/EHESS
« Peut-être nous allons prendre notre propre évolution en main, mais elle échappera à cette main au moment même où l’évolution ressentira l’impulsion ; et alors que nous étions libres de faire le premier pas, nous serons esclaves pour faire le second et tous les suivants » [1].
...
La revendication d’un brevet sur un organisme vivant exige la réduction des processus organiques à des processus mécaniques, la plante vivante est réduite à une « composition de matière » [7].
...
Avec la semence dont les cellules portent un transgène breveté, un nouveau faisceau de pouvoirs s’est introduit dans le champ de l’agriculteur. Définir la propriété comme un « faisceau de pouvoir », comme le suggère l’anthropologue du XIXème siècle Henry Maine, permet de comprendre les nouveaux pouvoirs privés qui découlent des contrats d’usage que les agriculteurs concluent avec les firmes semencières [8]. Ils sont fondés sur le droit des affaires et posent un défi au droit public. Le droit de propriété intellectuelle supplante le droit de propriété sur la terre et le droit de l’agriculteur sur le fruit de son travail. L’entreprise qui possède un brevet sur un gène implanté dans une semence est devenue capable d’agir sur les actions des agriculteurs grâce à son droit de propriété intellectuelle. L’entreprise détermine ce qu’ils récoltent, comment ils vendent, s’ils réensemencent ou non leur récolte, et même comment ils tiennent leur comptabilité. Nous observons alors un phénomène anthropologique nouveau : des agriculteurs qui deviennent esclaves de leurs semences.
Des responsabilités et des responsables à identifier et juger
...
L’agir politique visant à contrôler ce qui est mis sur le marché, et à refuser aux OGM le statut de marchandise, ouvre un nouveau chapitre dans les combats environnementalistes et climatiques. Cette démarche revendique une nouvelle démocratie économique qui s’étend à d’autres enjeux, tels que l’usage excessif des pesticides, des énergies fossiles et la mainmise des multinationales sur la chaîne alimentaire.
Clés : Responsabilité ; Transparence & Cie ; Perception des OGM ; Ethique
Connu / https://wegreen.fr/post/197071
Au-delà du logiciel libre 25 pages
Tous pirates ? C’est ce que la propagande contre les échanges de fichiers musicaux voudrait nous faire accroire. Mais ceux qui prennent aveuglément parti pour la « propriété informationnelle » devront lutter sans fin contre les nouveaux modes de création. Or ceux-ci, fondés sur la resocialisation de l’acte de créer et sur des coopérations inédites rendues possibles par l’avènement d’Internet, sont de plus en plus puissants.
...
Des chercheurs ont établi de façon convaincante la supériorité de la « production sociétale par les pairs sur la base des biens communs » pour une large classe de créations et d’innovations informationnelles (5). Cette formule de Yochai Benkler recouvre la production coopérative de résultats dont chaque étape est librement utilisable et modifiable par tout un chacun, et constitue en ce sens un bien commun, souvent protégé contre la réappropriation par un acteur particulier.
...
se réjouir de quelques succès : la résistance aux brevets logiciels en Europe ; l’émergence, à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et à l’Unesco, de coalitions regroupant organisations non gouvernementales d’intérêt général et pays pauvres ou émergents. Destinés officiellement à contrer les liens entre contrefaçon industrielle et criminalité organisée, des textes – comme la directive européenne dite « sur le respect des droits de propriété intellectuelle (10) », complétée, le 12 juillet dernier, par une proposition de « dispositif pénal européen contre les atteintes à la propriété intellectuelle » – facilitent en fait la multiplication des procédures abusives contre les médicaments génériques, les logiciels libres, le partage volontaire des créations ou la possibilité pour les citoyens de critiquer la télévision.
...
le facteur essentiel de crédibilité pour une coalition des biens communs tient dans la capacité de celle-ci à articuler son projet avec celui d’une redomestication générale du capitalisme. Il s’agit de mettre fin à cet étrange renoncement qui fait considérer le changement technique comme une donnée extérieure ne relevant pas de l’action et des préférences humaines.
Philippe Aigrain
Animateur du mouvement en faveur des biens communs, auteur de Cause commun, Fayard, coll. « Transversales », Paris 2005.
Connu / https://twitter.com/mdiplo/status/1414565773037776896
"
Le Monde diplomatique @mdiplo
2:42 PM · 12 juil. 2021·- 27 Retweets 2 Tweets cités 29 J'aime
·
10h En réponse à @mdiplo
Citer le Tweet
Jérémie Zimmermann Cœur croissant Plusieurs notes de musique Morceau de fromage @jerezim · 14h
Je viens d'apprendre le décès de Philippe Aigrain, dans sa maison à la montagne, près d'Argeles.. je suis si triste.
Philippe avait été mon inspiration pour mes recherches sur les brevets sur les logiciels lorsque j'étais étudiant.
1/..
Afficher cette discussion ...
"
La startup Mecaware, incubée par PULSALYS et portée par Arnaud Villers d’Arbouet, recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares. Ce procédé vert, unique au monde, se base sur le captage du CO2 et répond à deux problématiques environnementales : la réduction du CO2 et le recyclage des matériaux stratégiques non accessibles mais indispensables à l’industrie des nouveaux outils technologiques. Après avoir déjà séduit Lyon Vallée de la Chimie en 2021 lors de l’AMI « les Ateliers Cleantech », Mecaware effectuera sa première levée de fonds dans les prochains mois afin de poursuivre son développement.
Une innovation de rupture unique au monde issue de la recherche publique française
Le procédé chimique mis au point par le Professeur Julien Leclaire du Laboratoire Chimie Supramoléculaire Appliquée de Lyon (ICBMS : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, CPE Lyon et CNRS) fait intervenir des amines et du CO2 présent dans les fumées industrielles pour générer un ensemble d’extractants qui vont s’associer de manière distincte à chaque molécule métallique. Les caractéristiques physiques et chimiques différenciées de chaque métal permettent leur sélectivité et leur extraction.
...
ne rejette pas d’effluent et est peu énergivore, donc économiquement performante, mais également évolutive en s’adaptant au gisement. Simple à mettre en œuvre, elle permet de produire un métal compatible avec les filières industrielles.
...
A l’heure des nouvelles technologies, le recyclage de tous ces produits est déterminant pour assurer un cycle vertueux contribuant au développement durable. » souligne Sophie Jullian, Présidente de PULSALYS.
Le soutien décisif de 2 SATT pour aboutir à la création de la startup
... 3 brevets ... mise en relation entre le chercheur et l’entrepreneur ...
l’inventeur Julien Leclaire
...
Une levée de fonds pour industrialiser le processus dans une future usine
... la startup Mecaware, acronyme de MEtal CApture for WAste REcycling, apporte sa contribution à l’émergence de filières de production de produits technologiques et spécifiquement à la mise en place de la filière européenne de batteries de nouvelle génération dans une logique d'économie circulaire et de souveraineté industrielle.
... Son procédé ayant fait l’objet de plusieurs PoC (preuve de concept) ... les premiers partenariats industriels et commerciaux (2021-2022) ... la future usine (2022-2023) ...
Connu / https://twitter.com/Pulsalys/status/1390247468407873537
"
PULSALYS @Pulsalys
Ce matin, nous présentions à la presse la startup #Mecaware, boostée par @Pulsalys & @SATTse_, qui recycle les batteries pour récupérer écologiquement les métaux stratégiques et les terres rares. Elle s'appuie sur une innovation issue de @ICBMSLyon
Sophie Jullian et 9 autres personnes
12:10 PM · 6 mai 2021·- 12 Retweets 14 J'aime
"
Ndlr :
- "la startup MeCaWaRe créée en décembre 2020" selon https://www.pulsalys.fr/article/mecaware-le-recyclage-des-metaux-precieux-et-des-terres-rares
- est-ce l'heure des nouvelles technologiques comme le pense Sophie Jullian, ou plutôt celle de l'anthropocène ? En d'autres termes, la tech, centrale ou secondaire ? ACT
- usine en 2023 ? c'est donc du moyen-long terme. À suivre ACT
167 141 signataires - Fin de la période de collecte: 01/05/2022
Adresse internet https://europa.eu/citizens-initiative/initiatives/details/2020/000005
Site internet de la présente initiative (le cas échéant): https://noprofitonpandemic.eu
"
COVID-19 spreads like wildfire. Solutions must travel even faster. No one is safe until everyone has access to safe and effective treatments and vaccines.
We all have the right to a cure.
Sign this European citizens’ initiative, and ensure that the European Commission does everything in its power to make anti-pandemic vaccines and treatments a global public good, freely accessible to everyone.
"
Personnes de contact Anne Delespaul Manon Aubry
@ManonAubryFr
·
26 avr.
Notre mobilisation est essentielle pour obtenir la levée des brevets !
A l’occasion de la journée de la propriété intellectuelle & du début de la semaine mondiale pour la vaccination, signez et partagez l’initiative citoyenne #PasDeProfitsSurLaPandémie
Flèche vers le bas
Pas de profit sur la pandémie ! Signez maintenant!
Nous avons tous droit à la protection du COVID-19 #right2cure #noprofitonpandemic
noprofitonpandemic.eu
anne.delespaul@gvhv.be - Sara Anna Murawski sara@murawski.nl
Numéro d'enregistrement ECI(2020)000005
Début de la période de collecte 30/11/2020
Connue / https://twitter.com/ManonAubryFr/status/1386596729110282242
"
Manon Aubry @ManonAubryFr · 26 avr.
Notre mobilisation est essentielle pour obtenir la levée des brevets !
A l’occasion de la journée de la propriété intellectuelle & du début de la semaine mondiale pour la vaccination, signez et partagez l’initiative citoyenne #PasDeProfitsSurLaPandémie
Flèche vers le bas Pas de profit sur la pandémie ! Signez maintenant!
Nous avons tous droit à la protection du COVID-19 #right2cure #noprofitonpandemic
noprofitonpandemic.eu
"
68.531 signatures
Auteur(s) : Ibrahim YILMAZ
Destinataire(s) : Jean-Michel Blanquer (Ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse) ; Edouard Philippe (Ex Premier Ministre) ; Etudiants de BTS
... le Covid-19 a eu de nombreux impacts déplorables ... il n'est pas acceptable de passer des examens après avoir raté plusieurs semaines de cours. Nous devrions avoir le droit à une évaluation en CCF ...
Connue / https://twitter.com/MathildePanot/status/1384559136977920002
"
Mathilde Panot @MathildePanot · 5h Poing levé
Soutien aux étudiant·es en #BTS qui demandent à pouvoir passer leurs examens en contrôle continu comme c’était le cas en 2020
10 - 59 - 81
"
41 761 vues - 4,8 k - 94 - 518 k abonnés
Dans cette 135e Revue de la semaine tournée depuis l'Équateur, Jean-Luc Mélenchon parle de son déplacement en Amérique latine. Il explique dans un premier temps pourquoi il se rendra en Bolivie à l'invitation du président Luis Arce à l'occasion de l'anniversaire de la journée de la terre pour porter la question de la levée des brevets sur les vaccins. Une question qu'il a notamment portée avec l'ancien président du Brésil Ignacio Lula.
Dans un second temps, Jean-Luc Mélenchon revient sur les raisons de sa venue en Équateur et explique que son déplacement prévu de longue date en Bolivie coïncidait avec le second tour des élections en Équateur où le candidat de gauche Andrés Arauz a finalement obtenu 48% des suffrages. Le candidat insoumis à l'élection présidentielle française explique qu'il y avait à apprendre de ce qui s'est passé dans cette élection auprès d'Arauz, notamment sur les méthodes de campagne des adversaires et sur la pratique des « deep fake », des fake news montées de toute pièce avec des vidéos.
Jean-Luc Mélenchon parle aussi de la question du lawfare et de la persécution judiciaire des opposants politiques. Une pratique qui a cours partout dans le monde, y compris en France, et dont l'Équateur a particulièrement souffert, de même que le Brésil avec les accusations fallacieuses contre Lula.
Enfin, le député insoumis rappelle les liens entre l'histoire révolutionnaire française et l'Histoire de l'Équateur.
SOMMAIRE
00:00 : Intro
00:18 : La levée des brevets sur les vaccins est une urgence
04:17 : Les leçons de l'Équateur et le lawfare
LES LIENS
- Vaccin: Mélenchon, Lula et une cinquantaine de leaders de gauche appellent à lever les brevets : https://www.huffingtonpost.fr/entry/vaccin-melenchon-lula-et-une-cinquantaine-de-leaders-de-la-gauche-appellent-a-lever-les-brevets_fr_60311effc5b66da5dba1b562
- ENTRETIEN. Jean-Luc Mélenchon : « Les campagnes politiques sont de plus en plus sales » : https://www.ouest-france.fr/elections/presidentielle/entretien-jean-luc-melenchon-je-m-attends-a-etre-attaque-de-toutes-parts-7176297
- Au Brésil, la partialité de l’ancien juge Moro dans l’affaire Lula reconnue par la Cour suprême : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/03/24/au-bresil-la-partialite-de-l-ancien-juge-moro-dans-l-affaire-lula-reconnue-par-la-cour-supreme_6074305_3210.html
- Le Monde en Commun : https://lemondeencommun.info
912 commentaires
14 846 vues - 725 - 34 - 437 k abonnés
Pourquoi ne pas faire du vaccin contre le Covid-19 un bien public ? Échange dans « À l'air libre » entre François Ruffin, député de la France insoumise, et la docteure Sophie Crozier, neurologue, membre du Conseil national d’Ethique.
127 commentaires
Tr.: ... le modèle de l'entreprise pharmaceutique n'est plus la recherche, mais la finance ... thèse de chamallou montée de libéralisme autoritaire ... Macron, des paroles et des actes ... ya pas de volonté politique ...
Connu / https://seenthis.net/messages/870284
"
Articles repérés par Hervé Le Crosnier hier
Par :
- Jean-Francois Alesandrini - ancien directeur des affaires publiques à DNDi
- Benjamin Coriat - professeur émérite de sciences économiques
- Stéphanie Leyronas - chargée de recherche à l’Agence française de développement
Le coronavirus oblige à repenser les problématiques de la marchandisation de la santé. Et à permettre ainsi aux plus démunis d’accéder aux traitements et à un futur vaccin, soulignent trois chercheurs.
...
Révélatrice des inégalités sociales à travers le monde et des insuffisances des structures publiques de soins, le Covid-19 bouscule l’ordonnancement de la recherche en matière de santé publique. Elle appelle à des outils appropriés, au bénéfice du plus grand nombre, et d’abord des plus fragiles.
Revoir les règles du jeu pour construire une santé en commun devient un impératif moral, éthique, et même démocratique. En sortant du diktat de la propriété intellectuelle exclusive, des initiatives nous montrent la voie.
Jean-Francois Alesandrini, ancien directeur des affaires publiques à DNDi (Initiative médicaments pour les maladies négligées). Benjamin Coriat, professeur émérite de sciences économiques à l’université Sorbonne Paris-Nord. Stéphanie Leyronas, chargée de recherche à l’Agence française de développement
.#Communs #Médicament #Santé_publique
PS : Tiens, tiens, Jean-François Alessandrini était un des auteurs du premier livre publié par C&F éditions ( Pouvoir savoir , en 2005) et Benjamin Coriat dans une des dernières publications ( Discours de Stockholm par Elinor Ostrom, 2020, dont il a rédigé la préface).
"
Les laboratoires pharmaceutiques n’ont plus grand chose à voir avec ce qu’ils étaient il y a cinquante ans, ou même il y a vingt ans. De plus en plus gros et de plus en plus financiarisés, ils sont devenus des machines à siphonner des milliards d’euros ou de dollars pour les redistribuer aux actionnaires, notamment les grands fonds de Wall Street.
En 1955, Jonas Salk, père du premier vaccin contre la polio, à qui l’on avait demandé à la télévision qui détenait le brevet sur cette découverte, avait eu cette réponse demeurée célèbre : « Eh bien, au peuple je dirais. Il n’y a pas de brevet. Pourrait-on breveter le soleil ? »
...
l’évolution de 11 laboratoires pharmaceutiques parmi les plus importants au monde (Sanofi, Novartis, AstraZeneca, GlaxoSmithKline, Merck, Eli Lilly, Roche, Abbott, Pfizer, Bristol Myers Squibb et Johnson&Johnson) entre 1999 et 2017. Mis à part pour les quatre premiers, nous disposons même des chiffres depuis 1990 – une éternité à l’échelle de cette industrie. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes.
Entre 1999 et 2017, le chiffre d’affaires de ces onze laboratoires a été multiplié par deux, pour atteindre la somme record de 395 milliards d’euros en 2017 ! Parallèlement, la valeur de leurs actifs a été multipliée par 3,3 pour atteindre 873 milliards d’euros (un chiffre toutefois en repli par rapport au record de 2016 : 988 milliards). Les dividendes et rachats d’actions – autrement dit la part des profits directement redistribués aux actionnaires – ont été multipliés par 3,6 pour atteindre 71,5 milliards d’euros en 2017 – alors que les bénéfices nets n’ont augmenté « que » de 44 % sur la même période.
Pour les sept laboratoires que l’on peut suivre depuis 1990, les hausses sont encore plus spectaculaires. Leur chiffre d’affaires cumulé a été multiplié par plus de six, leurs bénéfices par cinq, leur actif par plus de douze de même que leurs dividendes et rachats d’actions (1)
...
Le secteur pharmaceutique a lui aussi sa propre forme de « garantie publique » : les systèmes d’assurance maladie, et le soutien gouvernemental à la recherche. C’est en grande partie grâce à cette garantie publique qu’ils sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui : des monstres hyper-financiarisés, qui se sont mis au service des actionnaires plutôt que des patients.
NOTES
(1) Pour les dividendes et rachats d’actions, nous ne disposons que des chiffres depuis 1991, et non 1990 comme pour les autres.
(2) Sanofi se situe dans la moyenne avec 91,2 % de ses profits redistribués aux actionnaires sur la période (mais 107 % pour la dernière décennie 2007-2017). Les champions sont Merck avec 114,7 % et Pfizer avec 107,7 %. Le plus modéré est Roche avec 58 % sur la période.
(3) Profitant de la réforme fiscale de Trump, Johnson&Johnson a rapatrié aux États-Unis une quantité importante de fonds localisés dans des paradis fiscaux, pour les distribuer à ses actionnaires dans des conditions avantageuses. D’où cette ardoise fiscale qui est bien moindre que ce qu’elle aurait été avant la réforme.
(4) Vanguard possède ainsi 7,2 % de Merck, 7,5 % de Bristol Myers Squibb, 7,7 % d’Abbott, 7,3 % de Pfizer, 6,5 % d’Eli Lilly, 7,6 % de Johnson & Johnson. Soit 3,04 milliards de dividendes en 2017. State Street, Capital Group et Wellington Management ne suivent pas loin derrière.
Connu / https://twitter.com/transnationales/status/1261239320557621248
"
Obs. Multinationales @transnationales
1000 milliards d’euros de profits en vingt ans
141% des profits aux actionnaires
Soutien massif des pouvoirs publics
Le modèle des grands labos comme #Sanofi décrypté dans les #PharmaPapers
Des alternatives existent à juste leur donner plus d'argent...
12:17 PM · 15 mai 2020 - 43 Retweets 28 J'aime
Entre 1999 et 2017, Big Pharma a engrangé 1019 milliards d’€ de profits.
De quoi investir pour trouver des remèdes et des vaccins ? Non
925 milliards ont été directement redistribués aux actionnaires, soit 90,8 %. En 2017, c'était 141,9 % #Sanofi
De fusions en licenciements massifs, de rachats en délocalisation, comment #Sanofi est devenue #BigPharma 12 Ko - 0 - 5 - 6
"
Depuis la mise en place de sa nouvelle plate-forme de dépôt de brevets, fin 2018, l’INPI exige l’utilisation d’un fichier bureautique dans un format propriétaire aux dépens des usagers et en totale contradiction avec le Référentiel Général d’Interopérabilité (RGI). Le CNLL demande que soit respecté le RGI et de permettre l’utilisation du standard international pour la bureautique Open Document Format (ODF) pour les dépôts de brevets en France.
...
L’ODF doit être systématiquement utilisé et pour cela il n’est pas nécessaire d’acheter de suite bureautique. LibreOffice étant un logiciel libre, une suite bureautique complète et gratuite, elle peut être installée sur tous les systèmes d’exploitations du marché.
Gabriel @ATLANTIS_ADONAI 7 minil y a 7 minutes
Gabriel a retweeté J-Baptiste Djebbari @Djebbari_JB
TOUS LES HAUTES TECHNOLOGIES DONT CELLES ISSUES DES RECHERCHES CREATIONS DE NICOLAS TESLA SONT PROTégés PAR DES BREVETS TOP SECRET DEFENSE DEPUIS SA MORT! alors que ça permettrait de se passer aussi bien de pétrole que de nucléaire!
.#stopmensonge #pentagone #ONPC
Gabriel ajouté,
J-Baptiste Djebbari Compte certifié @Djebbari_JB
C’est plus facile, à l'instar de @cecileduflot, de promettre 100% d’ENR sans jamais se confronter au réel. Dans la vraie vie, les projets d’éoliennes suscitent, par ex, bcp de contestations. Il faut + de démocrati…
0 réponse 0 Retweet 0 j'aime