Les réserves, d’une capacité totale d’environ 3 millions de mètres cubes, devaient être installées dans la Charente, la Charente-Maritime, les Deux-Sèvres ainsi que la Vienne, où le tribunal administratif a considéré que « le projet n’est pas associé à de réelles mesures d’économie d’eau ».
👉 Article : 2 minutes
Connu / TG le 07/10/23 à 11:09
Le tribunal administratif devrait annuler l’autorisation accordée à la construction de six retenues de substitution.
...
Connu / TG le 20/09/23 à 13:21
L'annulation par la justice du projet de zone industrialo-portuaire au sud de Lyon tombe au moment où Emmanuel Macron a l'ambition de faire du Rhône un corridor ...
Connu / TG le 05/06/23 à 15:40
Les élections d'Eléonore Caroit (Renaissance) et Karim Ben Cheikh (Ecologiste), sont annulées par le Conseil constitutionnel "en ...
Connu / TG le 20/01/23 à 16:42
Ndlr : affilié Generation.s donc NUPES
24 185 vues - 1,7 k - 22 - 396 k abonnés - 196 commentaires
Ils travaillent dans la restauration, hôtellerie, ou encore l’évènementiel. Les intermittents de l’emploi sont cantonnés aux « extras », aux contrats courts. Mais contrairement à leurs cousins les intermittents du spectacle, ils ne bénéficient d’aucun régime spécial de l’assurance chômage. Une situation déjà compliquée en tant normal, elle tend à devenir dramatique, dans ce contexte d’épidémie mondiale, causée par le Covid-19.
Si la précarité frappe d’autant plus ces travailleurs en temps de crise, c’est aussi et justement parce que les réformes successives de l’assurance chômage ont largement contribué à fragiliser leur statuts et leurs droits. Basculés sur le régime général, obtenir et/ou maintenir leurs droits à l’allocation chômage devient un vrai parcours du combattant et laisse ces intermittents de l’emploi, soit au RSA, soit avec des revenus inférieurs aux minimas sociaux.
Ainsi, les revendications des intermittents de l’emploi sont claires. Ils demandent l’annulation pure et simple de la réforme de l’assurance chômage. Il réclament également le gel du décompte de leurs indemnités journalières et, pour ceux qui les ont épuisés, la reconduction immédiate de leurs droits au chômage.
.#Intermittents #Chômage #Covid
Connue / https://twitter.com/Federation_MNCP/status/1282661058570784769
"
MNCP @Federation_MNCP | REVUE DE PRESSE | 🎥 Reportage réalisé par @LeMediaTV sur la conférence de presse avec les collectifs du manifeste pour une nouvelle réforme de l'#AssuranceChômage. #LPPM #CPHRE - 3:00 PM · 13 juil. 2020·14 Retweets avec un commentaire 12 J'aime
"
58.201 signatures - 2.722 commentaires
Auteur(s) : AVES France, PAZ, One Voice, AOC, Dignité Animale, ASPAS
Destinataire(s) : Elisabeth Borne et Emmanuelle Wargon, Ministère de la transition écologique et solidaire
La pétition
Alors que tous les dossiers sur lesquels travaillent les associations de protection de la nature et des animaux sauvages sont bloqués depuis des mois, le Ministère de la transition écologique et solidaire est pleinement mobilisé depuis plusieurs semaines pour que la chasse puisse reprendre au plus vite.
...
Nous, organisations de protection des animaux et de la biodiversité, demandons l’annulation de l’article 1er du décret n° 2020-583 qui n’a aucune justification sanitaire et qui ne participe donc pas à la lutte contre la pandémie de Covid-19.
Liste des signataires :
AVES France
PAZ
One Voice
Dignité Animale
AOC, Alliance des Opposants à la Chasse
ASPAS, Association pour la Protection des Animaux Sauvages
ÉCA - Évolution Condition Animale
Connue / https://reporterre.net/Ouverture-precipitee-de-la-chasse-plus-de-56-000-personnes-s-y-opposent 22 mai 2020
Dans Le Monde quatre colonnes sur la pensée économique de la droite républicaine. ... Une fois de plus, c’est midi dans ma cour. « Pour stimuler la demande, Julien Aubert, député du Vaucluse imagine un système “où la banque centrale européenne pourrait injecter directement aux États de l’argent gratuit, via les banques publiques ou le budget des États afin d’avoir du pur financement monétaire de la dette donc de la planche à billet. Il va falloir revoir tout ceci”, prévient-il ». Le lecteur ne saura pas que c’est exactement cette solution que nous faisons depuis déjà quelques temps, disons à peine dix ans.
...
ces dettes ne seront jamais payées ... Les eurobonds sont une illusion. Car à la fin il faut les payer. ... Pour les annuler il y a plusieurs solutions. Les rembourser ? Impossible. La guerre ? Pour remettre les compteurs à zéro et reconstruire. Personne n’en veut. La banqueroute ? Ce serait un désastre et le chaos. L’inflation ? Personne ne sait plus la déclencher même en faisant tourner la planche à billet comme l’a fait la BCE pendant deux ans pour un montant équivalent à une année de production de la France. Mais sans faire un point d’inflation ! Car tout argent donné aux banques va à 90% dans la sphère financière, sans impact sur la production. Alors ? La solution de la dette perpétuelle BCE est la plus tranquille, la moins violente, la plus facile à maitriser dans le cadre d’une planification du redémarrage de l’économie après le collapse actuel. ... faire basculer la production et l’échange vers le monde de la règle verte. Sans oublier les grands travaux de salut commun à entreprendre pour les transports en commun, le ferroutage, la production énergétique alternative, la fermeture des centrales nucléaires. ... Sur tous les horizons de l’arc politique les mentalités changent. Ainsi quand Aurélien Pradié, secrétaire général de LR déclare sans que ce soit dans Le Monde : « Je crois à la planification : c’est un point d’accord avec la pensée communiste, qui l’a d’ailleurs appliquée avec les gaullistes. » Ou quand Aurore Lalucque, eurodéputée Place publique, affirme que le Plan est l’outil du futur pour le projet écologique. « Pour la gestion de la crise, la sortie du confinement et la transition écologique, il va nous falloir un outil permettant de mettre les forces du pays autour de la table, un « réducteur des incertitudes », à même de gérer court et long terme, cet outil, c’est LE PLAN » a-t-elle tweeté le 2 avril. Enfin ! Bravo ! Bienvenue au club.
...
L’Union européenne s’est méthodiquement employée à démanteler les États et leurs systèmes de santé publics. S’il manque des lits, des respirateurs, des personnels dans les hôpitaux italiens, espagnols ou français c’est de sa faute. Car c’est la Commission qui exige chaque année à ces États des baisses dans la dépense publique. Entre 2011 et 2018, elle l’a fait à 63 reprises ! Ce n’est donc pas un hasard si l’Europe est aujourd’hui l’épicentre mondial de l’épidémie et le lieu où elle fait le plus de mort. L’Union européenne a encouragé pendant des décennies la délocalisation de son industrie. 80% des médicaments aujourd’hui consommés sur le continent sont produits en dehors. La pénurie de masques révèle une dépendance organisée. Nous sommes devenus vulnérables. Cette catastrophe est la conséquence d’un modèle qui a mis la concurrence et le libre-échange en haut de la hiérarchie des normes et rangé l’intérêt général au placard.
Même sur le plan de la plus élémentaire solidarité, les États européens ont donné un spectacle piteux. ... Même les plus ardents défenseurs de l’Union se désespèrent. Pour Jacques Delors « le climat qui semble régner entre les chefs d’État et de gouvernement et le manque de solidarité européenne font courir un danger mortel à l’Union européenne». ... La Banque Centrale Européenne a annoncé qu’elle allait débloquer 750 milliards d’euros pour les banques privées et en rachat de titres sur le « marché secondaire ». Traduction : cela signifie qu’elle fera tout sauf prêter directement aux États. Ce qui permettrait pourtant d’orienter les investissements vers l’économie réelle et l’intérêt général.
...
Comme d’habitude, ils ont prévu de laisser faire la « main invisible » et tout ira pour le mieux. Mais qui a encore des nouvelles de la « main invisible », ces derniers temps ?
L'énergéticien français ne rémunérera pas ses actionnaires cette année, à commencer par l'Etat qui contrôle 24 % du capital, explique son président Jean-Pierre Clamadieu. Une économie de 1,9 milliard d'euros au moment où Engie est contraint de retirer ses prévisions financières en raison de la pandémie.
Énergie & Environnement
Ce n'était jamais arrivé depuis la naissance en 2008 de GDF-Suez, devenu Engie. L'énergéticien français a annoncé mercredi soir qu'il annulait le dividende de 80 centimes par action qu'il devait verser cette année. « C'est une décision difficile pour nos actionnaires, que nous prenons dans un esprit de responsabilité vis-à-vis de toutes nos parties prenantes, explique Jean-Pierre Clamadieu, le président d'Engie, aux « Echos ». Nous conserverons ainsi une meilleure flexibilité financière alors que nous abordons une crise d'une ampleur et d'une durée inconnue ». Le groupe a également suspendu ses prévisions financières, comme beaucoup d'entreprises cotées ces derniers jours.
L'annulation du dividende a été décidée lors d'un conseil d'administration qui s'est tenu en vidéoconférence mercredi après-midi. L'Etat actionnaire, qui détient près de 24 % du capital, a sans nul doute pesé dans ce sens au moment où le débat sur le recours des grandes entreprises à la solidarité nationale prend de l'ampleur. Les syndicats d'Engie avaient écrit au ministre de l'Economie Bruno Le Maire la semaine dernière pour demander la suspension du dividende.
...
19 ont signé
Julien DM a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.)
Suite aux exactions perpétrées par l'Armée de la République de Turquie en Syrie à l'encontre de la population kurde ayant entraîné des pertes civiles ainsi que la fuite de prisonniers affiliés à Daech ; nous demandons à ce que le match de football opposant l'Équipe nationale de France et l'Équipe nationale de Turquie organisé au Stade de France le 14 Octobre 2019 soit annulé. En effet, il serait intolérable au vu des circonstances politiques qu'un tel événement est lieu, qu'il s'agisse d'entonner l'hymne d'un État en conflit avec nos principaux alliés dans la lutte contre le terrorisme, ou du comportement que pourraient avoir les supporters de l'Équipe Turque. En soutien à nos alliés kurdes et en opposition avec la ligne politique du Président de la République de Turquie M. Erdogan, nous interpellons les instances politiques et sportives afin d'annuler le match.
L'An Zéro par L'An Zéro
Aérodrome de Guéret - Saint-Laurent
23000 Saint-Laurent France
Une question ?
Contactez l'association : Email coordinationanzero@gmail.com
Connu / https://twitter.com/helloasso/status/1140722074136260610
"
6 Mois Pour La Bascule a retweeté
HelloAsso @helloasso 17 juin
On vous aura prévenus : tout va commencer à l'#anzéro, fin août, sur le plateau de Millevache où vous êtes conviés par @Maxderostolan
fondateur de La Bascule. Objectif : repartir avec des outils, un réseau et des étapes pour accompagner votre engagement
✊ #AssembléesGénéreuses
"
ndlr : annulé mais ce n'est pas indiqué :-(
Le comité La Bouscule répond aux écolo-macronistes
L’An Zéro, saison 1, épisode 4. Après l’annonce de la tenue fin août d’un festival écolo macron-compatible sur la commune de Gentioux-Pigerolles, sur le plateau de Millevaches, diverses oppositions s’étant manifestées, dont celle du Comité La Bouscule, des bénévoles de la Bascule, le ’lobby citoyen’ porteur du projet, ont appelé en catastrophe à une rencontre avec les habitants du plateau sur la commune de Faux-la-Montagne (Creuse). Après cette rencontre, la Bascule a annoncé annuler la tenue du festival sur le lieu prévu, et son leader (absent ce jour-là comme toujours) s’est plaint que ses bénévoles se soient fait « insulter, menacer et violenter ». M. de Rostolan ayant eu tout loisir de faire avaliser son récit par la presse locale et nationale (La Montagne, Le Populaire, France Bleu, France 3, l’Opinion, "quotidien pro-business", etc.), lundimatin, fidèle à son souci d’impartialité, donne la parole ci-dessous au Comité La Bouscule qui, contrairement à M. de Rostolan, se trouvait sur place. D’ores et déjà, une question nous intrigue, à laquelle nous aimerions que les bénévoles répondent eux-mêmes : s’ils ont été brutalisés comme le raconte leur leader, comment se fait-il qu’ils soient après la réunion allés boire des bières avec leurs contradicteurs ? Ont-ils été pris du syndrome de Stockholm ?
Mais quand cesserez-vous de prendre les gens pour des cons ? Le grand ennemi d’un langage clair est l’insincérité… Notre temps est tel qu’il n’y a plus nulle part où l’on puisse se prétendre « hors politique ». Toutes les questions sont devenues politiques. Quand le climat général est mauvais, le langage aussi doit souffrir. George Orwell, Politique et langue anglaise, 1946
Nous nous sommes ainsi trouvés une soixantaine face à huit jeunes bénévoles de La Bascule plus ou moins perchés et à la chargée de com’, Lena Abbou, qui l’était beaucoup moins. Cette professionnelle des relations publiques a beau avoir exercé ses talents pour le compte du ministère israélien des Affaires étrangères autant qu’au Conseil régional Jeunes d’Ile-de-France, ... Avant de sortir de leur « écosystème », les basculeurs croyaient que leur invraisemblable sabir managérial à peine digéré de l’école constituait une façon de parler comme une autre, et non une insulte à l’intelligence. Que tous ces gens qui tentent de construire et d’expérimenter des sorties de la catastrophe qu’est cette civilisation, font cela bêtement dans leur coin en attendant que des basculeurs qui ne savent rien faire viennent les « relier entre eux » et « médiatiser leur expérience ». Que le « combat idéologique » à mener pour en finir avec le désastre pourrait se faire dans le langage de l’innovation, du management et des entrepreneurs, bref : de l’économie. Que déclarer « l’idée de gouvernance partagée, ça a changé ma vie », ou « les gilets jaunes, c’est la co-définition » va vous attirer autre chose que des sarcasmes bien mérités. Ou que concéder au final « c’est vrai qu’on a des points communs avec Macron » n’équivaut pas à clore la discussion en concédant la victoire à ses contradicteurs. ... Pour tout observateur sincère, ce qui s’est passé lundi 1er juillet autour du lavoir municipal de Faux la Montagne, au terme de deux heures d’argumentation vivace et serrée entre deux positions opposées - l’une qui soutient que c’est avec les catégories, les moyens et le personnel du capitalisme que l’on échappera au désastre où il nous a mené, et l’autre que ce n’est pas avec ceux qui ont détruit le monde qu’on va le réparer – c’est une victoire à plate couture de la seconde. ... le combat a été mené à la loyale, sans quoi les basculeurs ne nous auraient pas suivis au bar du village pour continuer le débat, ni ne se seraient réunis presque joyeux devant l’église, une fois le bar fermé, pour se dire « on annule ! ». C’est peut-être inadmissible pour Maxime de Rostolan, le député LREM, la préfète et les plumitifs aux ordres, mais le fait est que nos arguments ont porté. Ils ont touché juste parce qu’ils sont logiques, évidents, indéniables, bref : vrais. Au fur et à mesure de la discussion de Faux-la-Montagne, les basculeurs ont compris qu’il n’était tout simplement pas malin pour une entreprise qui doit cacher sa visée macroniste derrière un écran de bonne volonté et de confusion de faire sa mégateuf chez l’agriculteur le plus furieusement macroniste du coin. Et quand, en conclusion de la réunion, le propre frère de l’agriculteur, habitant du même hameau que lui, fait état de ce que personne n’a pris la peine de lui annoncer ce qui se profilait à deux pas de chez lui, ils ont soudain compris ce que veut dire le mot « hors-sol ». ... de Rostolan lui-même plutôt qu’avec ses seconds couteaux. Malheureusement, il ne pouvait pas : il devait préparer sa conférence du lendemain dans le VIIIe arrondissement de Paris, au siège de Arp-Astrance, une société de « conseil en immobilier, management de projet et programmation, aménagement d’espace, ingénierie environnementale et biodiversité ». Comme nous l’apprend le magazine Up, « le magazine d’actualité de l’innovation et des temps qui changent », il devait présenter la Bascule et l’An zéro à ses amis d’Ekodev, « le développement durable en action » et We4SDG, qui travaille tout de même à « helping the multitude to put in action the Sustainable Development Goals ». En même temps, pour une fois qu’il ne conseillait pas le groupe Carrefour…
Nous ne nous faisons aucune illusion : même si les défections ne font que commencer avec celle d’Extinction Rébellion, les intérêts tant politiques qu’économiques et idéologiques qui se cachent derrière Maxime de Rostolan sont si massifs que le festival doit avoir lieu, quitte à ce que ce soit ailleurs. Macron et LREM ne chantent pas par hasard sur tous les toits qu’ils sont en voie de verdissement accéléré. Le chaos climatique, le désastre écologique et l’irresponsabilité des responsables deviennent si patents que les gouvernants doivent absolument feindre de pouvoir et de vouloir y faire quelque chose. Les mises en scène grotesques de l’État-qui-nous-protège-de-la-canicule, de la police-qui-nous-prévient-contre-la-noyade (et bientôt contre les puces de lit), des multinationales-en-lutte-contre-le-réchauffement-climatique, du Président-au-côté-des-femmes-battues, etc., ... Le verdissement opportun des macronistes répond à l’aide effective que les « gilets citoyens » de Dion, Cotillard, Tubiana, Imer, etc. ont apporté à Macron pour « sortir de la crise des gilets jaunes ». Dion & Co. ont passé leur temps, ces derniers mois, à l’Élysée et dans les ministères, et ils s’en cachent à peine. Que Dion ait réagi de manière purement symbolique, en un pur geste de com’, au gazage des activistes d’Extinction Rébellion, souligne surtout son silence, des mois durant alors que partout, chaque semaine, des manifestants se faisaient mutiler par le pouvoir dont il fréquentait les salons. Cette écologie-là, celle des gouvernements, des partis, des indices statistiques et des grandes conférences, est le fourrier, sinon la cause, de la catastrophe en cours. Tout ce qui nous tombe dessus à présent était déjà prévisible, et prévu, dans les années 1970 – lisez Le jugement dernier de Taylor ou Apocalypse et révolution de Cesarano. C’est parce que cette écologie de malheur l’a emporté sur les tendances plus lucides, plus courageuses et plus révolutionnaires, que nous en sommes arrivés là – à redouter l’arrivée de l’été plutôt qu’à nous en réjouir.
L’arnaque de la Bascule et de l’An zéro est vraiment l’arnaque de trop.
...
Il n’y a jamais eu, il n’y aura jamais de transition. Il n’y a que des ruptures historiques. Élaborons ensemble le programme de démantèlement technique, existentiel et politique de toute cette société. Tout va devoir être bouleversé. Soyons impitoyables avec une civilisation qui entend nous emporter dans son naufrage. Abattons le système en place avant qu’il ne s’effondre sur nous. Hâtons le départ des maîtres pour leurs gated communities en Nouvelle-Zélande ou ailleurs.
Comité « La Bouscule », le 8 juillet 2019 (pour nous écrire : labouscule at riseup.net)