Alors que s'achève ce 8 août, à Genève, le sommet du GIEC sur le changement climatique et l'utilisation des terres, Pierre Weill reçoit Cyril Dion, auteur, documentariste, militant écologiste et garant de la convention citoyenne sur le climat voulue par Emmanuel Macron et qui doit débuter à l'automne.
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Pour le militant écologiste, la décroissance est la seule issue possible pour éviter d'arriver à 5 degrés en plus d'ici la fin du siècle : "Aucun exemple ne montre qu’on peut continuer à avoir de la croissance sans destruction significative des ressources naturelles".
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Environnement
Tirage au sort, méthodologie, garants : comment va fonctionner la convention citoyenne sur le climat https://www.franceinter.fr/environnement/tirage-au-sort-methodologie-garants-comment-va-fonctionner-la-convention-citoyenne-sur-le-climat
Clés Info Environnement écologie Société Politique
Ndlr : n'est pas un fan du gouv, dénonce les violences policières, aller au référendum est la meilleure chance de ne pas attendre 2022, il élude la possibilité de faire tomber le gouv macron/philippe sans violence :-(
Mes chers amis et collègues,
En tant que membre de notre département de stratégie des risques, au sein de l'équipe de validation de modèle de trading algorithmique, je vous écris parce qu'il est de plus en plus évident que nous sommes confrontés à des risques dévastateurs dans les années à venir, sans aucune atténuation ou anticipation adéquate par le secteur financier dans son ensemble, et donc nos industries modernes.
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Des années après la création tant attendue de telles initiatives vertes, pourquoi les gouverneurs de la Banque d’Angleterre et de la Banque de France devraient-ils encore nous avertir en Avril 2019, que : « le système financier mondial fait face à la menace existentielle du changement climatique et doit prendre des mesures urgentes pour se réformer [...] doit être au cœur de la lutte contre le changement climatique (...] doit placer la barre très haut pour éviter la catastrophe " ?
Les superviseurs nous ont récemment incités à intégrer le changement climatique dans notre gouvernance et analyses de gestion des risques [40], comme l'a récemment réaffirmé William Nordhaus, co-lauréat du prix Nobel 2018 en Economie
« pour avoir intégré le changement climatique dans l'analyse
macroéconomique à long terme » [51], ce qui est une révolution conceptuelle au regard d'objectifs financiers aux horizons plus courts. Des années après que le Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) ait suggéré aux banques de suivre l’empreinte carbone de leurs investissements, afin de mieux gérer la réduction méthodique des émissions de gaz à effet de serre (GES), rien n'a été fait pour limiter nos appétits conflictuels de croissance.
Les risques évoqués sont connus depuis longtemps mais malgré de récents résultats prometteurs, nous refusons toujours
de prendre nos responsabilités et de collectivement questionner notre raison d'être. ... Des années après la création tant attendue de telles initiatives vertes, pourquoi les gouverneurs de la Banque d’Angleterre et de la Banque de France devraient-ils encore nous avertir en Avril 2019, que : « le système financier mondial fait face à la menace existentielle du changement climatique et doit prendre des mesures urgentes pour se
réformer [...] doit être au cœur de la lutte contre le changement climatique (...] doit placer la barre très haut pour éviter la catastrophe " ?
Les superviseurs nous ont récemment incités à intégrer le changement climatique dans notre gouvernance et analyses de gestion des risques [40], comme l'a récemment réaffirmé William Nordhaus, co-lauréat du prix Nobel 2018 en Economie
« pour avoir intégré le changement climatique dans l'analyse
macroéconomique à long terme » [51], ce qui est une révolution conceptuelle au regard d'objectifs financiers aux
horizons plus courts. Des années après que le Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) ait suggéré
aux banques de suivre l’empreinte carbone de leurs investissements, afin de mieux gérer la réduction méthodique des émissions de gaz à effet de serre (GES), rien n'a été fait pour limiter nos appétits conflictuels de croissance.
Les risques évoqués sont connus depuis longtemps mais malgré de récents résultats prometteurs, nous refusons toujours
de prendre nos responsabilités et de collectivement questionner notre raison d'être. ... Le découplage de la croissance économique et de la pression sur l’environnement est aujourd’hui impossible, quels que soient les efforts déployés récemment dans le domaine des énergies renouvelables: au niveau mondial 2 % se sont
rajoutés, non pas substitués, aux énergies fossiles, leur Energie Produite sur Energie Investie (EROEI) ou empreintes carbone complète pour la construction ou l’entretien ne sont jamais mesurées. Le sujet de recherche est unanimement considérée comme « inexploré ». Compte tenu de l'état de l’art actuel sur le découplage, d'une part, et la réduction drastique de la consommation de combustibles fossiles nécessaire pour respecter les accords de Paris, de l’autre, la communauté scientifique internationale a conçu des trajectoires d'émissions globales drastiques, ainsi que plusieurs ensembles de recommendations à suivre collectivement pour les années à venir.
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un seul et unique objectif à mettre au coeur de nos innovations:
les activités humaines doivent être neutres en carbone d'ici 2050, ce qui est absolument certain d’affecter la croissance économique mondiale, et donc notre utilité tel que nous l'avons toujours conçu. L'objectif intermédiaire pour maximiser nos chances d'atteindre 1,5°C consiste à réduire de 40 à 50% nos émissions mondiales d'ici 2030. Par conséquent, nous devons laisser dans le sol environ les deux tiers des réserves connues de combustibles fossiles pour atteindre nos objectifs climatiques mondiaux, soit moins de 20 ans de consommation au rythme actuel.
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PERSPECTIVE NEUROPSYCHOLOGIQUE
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Selon Sébastien Bohler, docteur en neurosciences :
« Cette incohérence de l'habitude face à l'évidence vient de la
structure profonde de notre cerveau. L'une des structures enfouies dans notre cerveau s'appelle le striatum. Il nous
envoie de la dopamine, donc de la récompense, ou du plaisir, lorsque nous accomplissons des tâches simples : manger,
avoir des relations sexuelles, un statut social élevé, avoir de la reconnaissance (domination), avoir autant d'informations
que possible sur notre environnement, et minimiser ses efforts (chercher le plus de confort possible).
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Nous devons passer d'une civilisation technologique à une civilisation de la conscience. Car la civilisation de la conscience peut se retourner contre elle-même, et considérer des chemins qui n'ont jamais été imaginés. »
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l'humanité aurait besoin de 1,7 planètes...
Penser la fin des énergies fossiles, explique l’enseignant en science politique Luc Semal dans cet entretien, c’est élaborer un projet de société avec des propositions politiques précises, le sentiment de la catastrophe à venir faisant office de carburant.
Luc Semal est maître de conférences en science politique au Muséum national d’histoire naturelle. Il est l’auteur du livre Face à l’effondrement (PUF).
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Quand le gouvernement a voulu alourdir la taxe carbone, il a en même temps supprimé l’impôt sur les grandes fortunes. C’est injuste et ce n’est pas viable, car cela implique de faire peser les efforts de sobriété sur les plus pauvres, pendant que les plus riches disposent d’encore plus de moyens pour y échapper ostensiblement. On ne peut pas enclencher la transition écologique sans que des efforts importants soient réclamés aux plus aisés.
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L’idée qu’il faille limiter les transports aériens, voire réduire notre mobilité, gagne du terrain. C’est important, car c’est un secteur où les perspectives de solutions techniques sont quasi nulles à moyen terme. Si on veut baisser les émissions, il faut limiter les avions. Donc le sujet est très clivant.
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D’abord, la contre-argumentation factuelle, pour dégonfler le mythe sans cesse renaissant de la solution technique : il faut rappeler les ordres de grandeur, expliquer qu’aucune solution technique ne suffira à réduire drastiquement les émissions dans les temps impartis. Il est absurde de prétendre que le secteur aérien pourra bientôt réduire drastiquement ses émissions au prétexte qu’un avion solaire a transporté une personne autour du monde. Ce n’est pas à la hauteur des enjeux et il faut le rappeler. Cela veut dire maintenir un contre-argumentaire fort face à des lobbies qui défendent leur secteur industriel. Et c’est vrai bien au-delà du seul secteur aérien : le discours écologiste assure qu’il n’y aura pas de solution purement technique. Les promesses de solutions techniques sont des illusions qui ne fonctionnent que quand on cloisonne artificiellement les problèmes. Par exemple, les scénarios de transition énergétique qui veulent nous faire passer à 100 % de renouvelables sans réduire le niveau de confort énergétique impliqueraient des conséquences dramatiques pour la biodiversité. L’écologie politique propose une approche complexe, tenant compte des interdépendances et des effets de rétroaction.
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travaux de Mathilde Szuba sur l’histoire et l’avenir des politiques de rationnement. Elle explique que le rationnement est une politique d’organisation du partage des efforts qui a souvent été acceptée, voire positivement réclamée par les populations dans les situations de crise ou de pénurie… à condition que cette politique soit perçue comme juste et justifiée.
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la démocratie. C’est celui qui est le plus à même d’accorder un peu d’importance à la voix des acteurs faibles que sont les générations futures et les non-humains. Je ne vois pas de système autoritaire et dictatorial faire cela. La dictature verte est une abstraction fictionnelle.
Propos recueillis par Laury-Anne Cholez
À l’occasion du colloque Dérèglement climatique - défi mondial, approches globales organisé par l’École normale supérieure (ENS) le 8 et 9 juillet à Paris, Reporterre a édité un magazine du même nom. Cet article, second d’une série d’entretiens autour du climat réalisées en partenariat avec l’ENS, en est issu. Relire le premier (avec Coralie Chevallier) Climat : « La culpabilité peut être un moteur pour changer de comportement »
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A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, des scientifiques sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. La "star" de ces "collapsologues" (du latin collapsus, effondrement), c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences et les ouvrages. Dans son sillage, de plus en plus de citoyens se mobilisent et tentent d'imaginer d'autres modèles. Comment se préparer à la fin du monde ? Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ?
La fin du monde n’a jamais été aussi proche… Date annoncée de "l’apocalypse" : 2030. Et cette fois-ci, ce n’est pas une prophétie qui le dit, mais des scientifiques très sérieux. On les appelle les "collapsologues", du latin collapsus, qui signifie effondrement.
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, ils sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. Leur "star", c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences. Dans ses livres vendus à plus de 100 000 exemplaires, il démontre "scientifiquement" qu’il est déjà trop tard pour lancer la transition écologique et qu’il faut réfléchir à l’"après". Certains disciples y croient dur comme fer et sombrent dans de profondes angoisses existentielles.
Catastrophes naturelles et réfugiés climatiques
Selon les collapsologues, les catastrophes naturelles vont se multiplier et les réfugiés climatiques déferler dans nos villes et campagnes. "Complément d’enquête" s'est plongé au cœur de ce mouvement catastrophiste qui mobilise de plus en plus de citoyens, de tous horizons. En France, le magazine a rencontré des cadres supérieurs ou des fonctionnaires qui migrent dans le Cantal. Ils s’initient très sérieusement à la permaculture pour assurer leur autonomie alimentaire.
Comment se préparer à la fin du monde ? Aux Etats-Unis, des activistes sont prêts à saboter des routes et des usines pour accélérer l’effondrement de la civilisation. Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? Le gouvernement a-t-il un plan de secours ? Pour évaluer la crédibilité de cette menace, "Complément d'enquête" a interrogé des experts, des climatologues, des ingénieurs, des démographes, et même le Premier ministre.
Un documentaire réalisé par Sylvain Pak
Catégorie Actualités et politique 4 161 commentaires
53 minutes
Quand la civilisation menace l'environnement... retour à la chasse et la cueillette. Entretien avec James C. Scott autour de son livre "Homo Domesticus, une histoire profonde des premiers Etats".
James C. Scott, anthropologue et professeur de sciences politiques à l'université Yale, USA. © Radio France / Giv Anquetil
On a tous en tête des souvenirs d’école sur les débuts de l’Histoire avec un grand H. Quelque part entre le Tigre et l’Euphrate il y a 10 000 ans, des chasseurs-cueilleurs se sont peu à peu sédentarisés en domestiquant les plantes et les animaux, inventant dans la foulée l’agriculture, l’écriture et les premiers Etats. C’était l’aube de la civilisation et le début de la marche forcée vers le progrès.
Cette histoire, James C. Scott, anthropologue anarchiste et professeur de sciences politiques, l’a enseignée pendant des années à ses élèves de l'Université de Yale. Mais les découvertes archéologiques dans l’actuel Irak des dernières années l’ont amené à réviser complètement ce « storytelling » du commencement des sociétés humaines, et par là même remettre en question notre rapport au monde dans son dernier livre : Homo Domesticus, une histoire profonde des premiers Etats (Ed. La Découverte).
Alors même que climat et biodiversité sont aujourd’hui plus que jamais menacés par les activités humaines, James C. Scott propose de réévaluer l'intérêt des sociétés d’avant l’Etat et l’agriculture. Car ces chasseurs-cueilleurs semi-nomades ont longtemps résisté face aux civilisations agraires, basées sur les céréales et qui, en domestiquant le monde, se sont domestiqués eux-mêmes, en appauvrissant leur connaissance du monde.
Un reportage de Giv Anquetil.
Les liens
James C. Scott : « Le monde des chasseurs-cueilleurs était un monde enchanté » (Le grand entretien) par Jean-Christophe Cavallin, Diakritik
Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce, Réflexions sur l’effondrement, Corinne Morel Darleux, Editions Libertalia
"Amador Rojas invite Karime Amaya" Chapiteau du Cirque Romanès - Paris 16, Paris. Prochaine séance le vendredi 14 juin à 20h.
Homo Domesticus, une histoire profonde des premiers Etats, James C. Scott (Editions La Découverte)
Eloge des chasseurs-cueilleurs, revue Books (mai 2019).
HOMO DOMESTICUS - JAMES C. SCOTT Une Histoire profonde des premiers États [Fiche de lecture], Lundi matin
Bibliographie de l'association Deep Green Resistance
Programmation musicale
"Mesopotamia"- B52's
"Cholera" - El Rego et ses commandos
16h40
Le focus de la semaine
La cueillette des aspergettes enquêtes et documentaires biodiversité écologie préhistoire nourriture cuisine
L'équipe Giv Anquetil Reporter Antoine Chao Reporter/producteur Charlotte Perry Reporter Clément Nouguier Réalisateur June Loper Attachée de production
Thèmes associés : Société biodiversité nature archéologie préhistoire fouilles archéologiques Environnement Histoire Sciences enquêtes et documentaires recherche écologie réchauffement climatique Gaz à effet de serre
Energies renouvelables : un enjeu de civilisation
Depuis sa première édition en 1999, le Colloque annuel du SER s’empare d’un sujet stratégique pour l’avenir de l’ensemble du secteur des énergies renouvelables et le met en débat.
Ces deux journées se sont articulées autour de sept tables rondes et la remise du Trophée des énergies renouvelables au Portugal.
Retrouvez l’ensemble des vidéos et des documents diffusés lors de ces deux journées qui ont réuni près de 1 750 participants et 70 intervenants.
Mercredi 6 février :
TR 1 - Le changement climatique à l’échelle de la Planète et le rôle des énergies renouvelables
TR 2 - Les énergies renouvelables, clé du développement
TR 3 - L’accès à l’énergie en Afrique
Remise du Trophée des EnR
Jeudi 7 février 2019 :
TR 4 - L’Europe aux avant-postes de la transition énergétique ?
TR 5 - Focus France : une transition énergétique, vecteur de transformation du pays ?
TR 6 - Les territoires : un rôle moteur pour mettre en œuvre la transition
TR 7 - Et demain ?
Déroulé du 20ème Colloque annuel du SER
Mercredi 6 février
Ouverture
Jean-Louis BAL, Président, Syndicat des énergies renouvelables (SER)
Keisuke SADAMORI, Directeur des Marchés et de la Sécurité Energétique, Agence Internationale de l’Energie (AIE) - Télécharger la présentation
Arnaud LEROY, Président, Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME)
Table ronde n°1 - Le changement climatique à l’échelle de la Planète et le rôle des énergies renouvelables
Animée par Philippe VIÉ, vice-Président, Capgemini et Directeur groupe du secteur Energy, Utilities & Chemicals - Télécharger la présentation
LE CONSTAT
Dominique BURGEON, Directeur de la division des urgences, Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) - Télécharger la présentation
Bruno LECHEVIN, vice-Président, Électriciens sans frontières - Télécharger la présentation
Valérie MASSON-DELMOTTE, Chercheur senior CEA, Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, membre du Haut Conseil pour le Climat - Télécharger la présentation
LES VILLES ET LES GRANDS CONSOMMATEURS D’ÉNERGIES
Introduction
Alain JUPPÉ, ancien Premier ministre, Maire de Bordeaux
Christophe BOUILLON, Député de Seine-Maritime et Président, Association des Petites Villes de France
Sam KIMMINS, Directeur général, RE100, Réseau mondial des entreprises engagées vers le 100 % EnR - Télécharger la présentation
Michèle SABBAN, Présidente, R20, Régions pour l’action climatique
Philippe SAUQUET, Directeur général Gas, Renewables & Power, Groupe TOTAL
L’ENGAGEMENT DES ACTEURS ÉNERGÉTIQUES ET LES FINANCEURS DE LA TRANSITION
Corinne de BILBAO, Présidente, GE France
Thibaud CLISSON, Analyste ESG Senior, BNP Paribas Asset Management
Edward NORTHAM, Directeur Green Investment Groupe Europe, Macquarie Capital
Marcus TACKE, Président directeur général, Siemens Gamesa Renewable Energy
Table ronde n°2 - Les énergies renouvelables, clé du développement
Animée par Philippe ROCHER, Directeur, Métrol
OUVERTURE
Marc Dèdèriwè ABLY-BIDAMON, Ministre des Mines et de l’Énergie, Togo
Introduction
Dario TRAUM, Directeur Politiques, Europe, Moyen-Orient et Afrique, BloombergNEF - Télécharger la présentation
Jean-Pierre BARRAL, Directeur du département Transitions énergétiques et numériques, Agence Française de Développement (AFD)
Nidhal OUERFELLI, Ancien ministre de l’économie, ancien porte-parole du gouvernement et secrétaire d’Etat à l’énergie, Tunisie
Cyril ROUSSEAU, Membre du Conseil d’Administration du Fonds Vert pour le Climat, Sous-Directeur des affaires financières multilatérales et du développement, Direction générale du Trésor
Bassary TOURÉ, vice-Président, Banque Ouest-Africaine de Développement (BOAD), ancien ministre de l’économie et des finances, Mali
Table ronde n°3 - L’accès à l’énergie en Afrique
Animée par Philippe ROCHER, Directeur, Métrol
Thierry BARBAUT, Responsable numérique et communication, Agence des Micro-Projets
Rosalie CONGO, Représentante de Barefoot College, Burkina Faso - Télécharger la présentation
Linda DAVIS, Présidente directrice générale (CEO), Giraffe Bioenergy et Directrice des partenariats stratégiques wPower, Kenya
Hélène DEMAEGDT, Présidente, Synergie Solaire
Bubacar DIALLO, Directeur, Benoo Energies
Astria FATAKI, Entrepreneuse franco-congolaise, Présidente, Energy Generation
Paul KEURINCK, Directeur International, URBASOLAR
Léonide Michael SINSIN, Président, ARESS, Bénin
Remise du Trophée des énergies renouvelables au Portugal
Représenté par João Pedro MATOS FERNANDES, Ministre de l’environnement et de la Transition énergétique, Portugal
Jeudi 7 février 2019
Ouverture
Jean-Louis BAL, Président, Syndicat des énergies renouvelables (SER)
François de RUGY, Ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire, France
Table ronde n°4 - L’Europe aux avant-postes de la transition énergétique ?
Animée par Philippe ROCHER, Directeur, Métrol
REGARDS CROISÉS
João Pedro MATOS FERNANDES, ministre de l’environnement et de la Transition énergétique, Portugal
Claude TURMES, Ministre de l’Energie, Ministre de l’Aménagement du territoire, Luxembourg
François BROTTES, Président du Directoire, RTE
Jean JOUZEL, Climatologue et ancien vice-Président, GIEC
Christian de PERTHUIS, Professeur, Université Paris-Dauphine et Fondateur de la Chaire Économie et Climat
Peter SCHUSTER, Directeur Europe Centrale et France, ENERCON GmbH - Télécharger la présentation
SYNTHÈSE
Anne HOUTMAN, ancienne Conseillère principale à la Direction générale de l’Énergie, Commission Européenne
Table ronde n°5 - Focus France : une transition énergétique, vecteur de transformation du pays ?
Animée par Patricia LAURENT, co-fondatrice et directrice de la rédaction, Greenunivers.com et David ASCHER, co-fondateur et directeur de publication, Actu-Environnement.com / Environnement & Technique.
Ouverture
Isabelle KOCHER, Directrice générale, ENGIE
LES ACTEURS HISTORIQUES DANS LA TRANSITION
Olivier DAUGER, en charge des dossiers Climat et Énergies, FNSEA
François JACQ, Administrateur général, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Philippe MONLOUBOU, Président du Directoire, ENEDIS
Edouard SAUVAGE, Directeur général, GRDF
Conclusion
Jean-Bernard LEVY, Président directeur général, EDF
NOUVELLES ENTREPRISES, NOUVEAUX MODÈLES ÉCONOMIQUES, NOUVEAUX MÉTIERS, NOUVELLES TECHNOLOGIES
Erwin GUIZOUARN, Président, Evolution Energie
Alain LOPEZ, Directeur général, NEoT CAPITAL
Stéphanie SAVEL, Présidente, Association Financement participatif France et Présidente, WiSEED
Ondine SUAVET, Directrice générale, MyLight Systems
Brieuc TURLUCHE, Directeur Général, RECOM SILLIA
Table ronde n°6 - Les territoires : un rôle moteur pour mettre en œuvre la transition
Animée par Patricia LAURENT, co-fondatrice et directrice de la rédaction, Greenunivers.com et David ASCHER, co-fondateur et directeur de publication, Actu-Environnement.com / Environnement & Technique.
Ouverture
Emmanuelle WARGON, Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire, France - Voir la vidéo
Laurent GERAULT, Conseiller régional, délégué à l’environnement, transition énergétique, croissance verte et logement, Région Pays de la Loire
Kristell GUIZOUARN, Directrice Énergies Nouvelles et Affaires Européennes, Groupe Avril - Télécharger la présentation - Voir la vidéo
Sylvie JEHANNO, Présidente directrice générale, Dalkia
Chantal JOUANNO, ancienne Ministre, Présidente, CNDP
Agnès LANGEVINE, vice-Présidente en charge de la Transition écologique et énergétique, Région Occitanie / Pyrénées- Méditerranée
Patrick LECANTE, Maire de Montsinéry-Tonnégrande, Guyane - Voir la vidéo
Vincent LE MEAUX, Président de Guingamp-Paimpol Armor Argoat Agglomération
Barbara POMPILI, ancienne Ministre, Députée de la Somme, Présidente de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, Assemblée Nationale
Table ronde n°7 - Et demain ?
Animée par Philippe ROCHER, Directeur, Métrol
OUVERTURE
Pascal CANFIN, ancien Ministre, Directeur général, WWF France
Elisabeth AYRAULT, Présidente du directoire, Compagnie Nationale du Rhône (CNR)
Célia BLAUEL, Adjointe au Maire, Chargée de la transition écologique, du climat, de l’environnement, de l’eau et de l’assainissement, Mairie de Paris
Jean-Charles COLAS-ROY, Député de l’Isère, co-président du groupe d’études « énergies vertes », Assemblée Nationale
Florence LAMBERT, Directrice, CEA Liten (Laboratoire d’Innovation pour les Technologies des Energies Nouvelles et des Nano-Matériaux)
Ghislain de MARSILY, Professeur émérite, Université Pierre et Marie Curie et à l’Ecole des Mines de Paris, membre de l’Académie des sciences
Cédric PHILIBERT, Division des Énergies Renouvelables, Agence Internationale de l’Energie (AIE) - Télécharger la présentation
Dimitri VOISIN, Responsable R&D, Mer Agitée - Télécharger la présentation
Clôture
Jean-Louis BAL, Président, Syndicat des énergies renouvelables
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Cette vidéo a pour but de faire découvrir et expliquer la forte possibilité d'un effondrement de notre civilisation à travers des extraits d'interviews d'experts parlant de grands phénomènes qui participent à cet effondrement. Que cela soit la pénurie de ressources, le changement climatique, le pic pétrolier, la non résilience de notre système financier et beaucoup d'autres phénomènes, il est important de comprendre que tout cela est interconnecté et "favorisera" l'effondrement de notre civilisation thermo-industrielle.
- P. Servigne & J. Blamont : Introduction au siècle des menaces [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=DwD4V... - Philippe Bihouix : Le mensonge de la croissance verte ? [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=Bx9S8... - Jean-Marc Jancovici : Anticiper l’effondrement énergétique ? [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=Fp6aJ... - Effondrement de la civilisation ? Pablo Servigne [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=5xziA... - Vincent Mignerot : Anticiper l'effondrement ? [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=CwXud... - Edgar Morin : L’effondrement ? [EN DIRECT]
https://www.youtube.com/watch?v=jiyMl...
Pour aller plus loin : - Bibliographie
Jared Diamond, Effondrement : Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie, Éd. Gallimard – Coll. Folio, 2009 (ISBN 978-2-0703-6430-5)
Piero San Giorgio, Survivre à l’effondrement économique, Éd. Le Retour aux Sources, octobre 2011 (ISBN 978-2-3551-2040-4)
Joseph Tainter, L’effondrement des sociétés complexes, Éd. Le Retour aux Sources, Paris, août 2013 (ISBN 978-2-3551-2051-0)
Pablo Servigne, Raphaël Stevens, Comment tout peut s’effondrer : Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes, Éd. du Seuil, avril 2015 (ISBN 978-2-02-122331-6)
Renaud Duterme, De quoi l’effondrement est-il le nom ?, Éd. Utopia, février 2016 (ISBN 978-2-9191-6021-1)
Dmitry Orlov, Les cinq stades de l’effondrement, Éd. Le retour aux sources, juin 2016 (ISBN 978-2-3551-2067-1)
Dennis Meadows, Donella Meadows, Les Limites à la croissance : Le rapport Meadows, 30 ans après, Éd. Rue Echiquier, août 2017 (ISBN 978-2-3742-5074-8)
Julien Wosnitza, Pourquoi tout va s’effondrer, Éd. Les Liens qui Libèrent13, (Préface de Paul Watson – Postface de Pablo Servigne), mai 2018 (ISBN 979-1-0209-0607-6)
Pablo Servigne, Gauthier Chapelle et Raphaël Stevens, Une autre fin du monde est possible, Éd. Le Seuil, coll. « Anthropocène », Octobre 2018, (ISBN 978-2-02-133258-2)
Catégorie
Éducation
Samedi 5 janvier 2019 à Lyon 1er arrondissement-
9 heures 30 - 19 heures (concert le soir)
Salle Paul Garcin 7, impasse flesselles, Lyon 1er arrondissement.
Métro Hôtel de ville - 15 minutes à pied (ou bus)
Inscription fortement recommandée car le nombre de places est limité
Prix conseillé : 10 euros la journée ou 5 euros la demi-journée (selon vos moyens et désirs)
Chèque à l'ordre de "Paul Ariès/OIG" à envoyer à l'adresse :
OIG/Paul Ariès - Inscription au Forum national de la gratuité 3, rue de Montferrat 69500 BRON
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Toute la journée : buvette de l'Observatoire de la gratuité
Nous vous recommandons en revanche d'apporter votre repas
Une salle annexe servira de village associatif et de lieux de repas.
L’Observatoire international pour la gratuité lance aujourd'hui un appel international en faveur de la gratuité comme nouveau chemin et projet de civilisation. Il est déjà signé par presque toute la gauche de gauche et l’écologie antilibérale.
L’Observatoire international pour la gratuité (OIG) lance une mobilisation continue avec trois premiers rendez-vous : septembre 2018 publication du livre-manifeste Gratuité vs capitalisme signé par Paul Ariès au nom de l’OIG, état des lieux de toutes les formes de gratuité existantes et à venir ; le 1er octobre, lancement d’un appel international en faveur de la gratuité comme nouveau chemin et projet de civilisation, déjà signé par presque toute la gauche de gauche et l’écologie antilibérale ; le 5 janvier 2019 tenue à Lyon d’un forum national de la gratuité.
Vous pouvez signer l’appel sur ce site http://appelgratuite.canalblog.com/
Vers une civilisation de la gratuité
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->
http://vivelagratuite.canalblog.com/
email : gratuitevscapitalisme@laposte.net
Site officiel de l'Observatoire International de la Gratuité du service public et des biens communs (OIG). Porte parole : Paul Ariès secrétariat international : Charlotte Belge
Créé en avril 2013, en présence de Jacques Delors, et présidé par le député Dominique Potier, cercle politique à l'interface de la société civile et des décideurs politiques, il réunit des élus, des personnes engagées dans le mouvement social et dans le monde de l'entreprise.
Héritier à gauche de la tradition du christianisme social, est ouvert à tous ceux qui, dans la diversité de leur sensibilité, de leur croyance ou de leur non-croyance, partagent la culture humaniste inspirée du personnalisme. Dans le sillage de la pensée de Mounier, Levinas et Ricoeur.
espritcivique@gmail.com
Bureau 7646, 126 rue de l’Université 75355 PARIS SP07