Transition environnementale : quelles nouvelles étapes pour l’Europe ? - 6 mai 2024 / La Fabrique Ecologique
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A l’approche des élections européennes du 9 juin, et suite à la publication de son dossier « Les enjeux écologiques des élections européennes », La Fabrique Ecologique a organisé un atelier-débat, le 25 avril de 18h à 20h à la Maison de l’Europe de Paris pour . Cet événement était proposé en collaboration avec Confrontations Europe, l’IDDRI, l’Institut Avant-garde, l’Institut Jacques Delors et le Lierre.
Après une présentation rapide par chaque Think Tank de ses travaux en lien avec « Europe et écologie », le débat s’est suivi d’un échange avec le public, autour des prochaines étapes de la transition énergétique et écologique pour l’Europe.
Les intervenant.es étaient :
Nicolas Berghmans - Responsable Europe, expert Énergie-Climat à l'IDDRI
Michel Derdevet - Président de Confrontations Europe et de la Maison de l’Europe de Paris
Adam Forrai - Secrétaire général du Lierre
Géraud Guibert - Président de La Fabrique Ecologique
Clara Léonard - Directrice générale et co-fondatrice de l'Institut Avant-garde
Phuc-Vinh Nguyen - Chercheur en politique française et européenne de l’énergie, Institut Jacques Delors
Un débat animé par Mathilde Boitias, Directrice de La Fabrique Ecologique.
Pour retrouver les travaux des think tanks sur l'écologie dans les élections européennes :
- Confrontations Europe : https://confrontations.org/30-idees-pour-2030-de-confrontations-europe ; https://confrontations.org/confrontations-europe-et-iep-strasbourg
- Institut Avant-garde : https://www.institutavantgarde.fr/elections-europeennes-2024
- IDDRI : https://www.iddri.org/fr/publications-et-evenements/decryptage/reinventer-le-deal-quel-nouveau-recit-pour-mettre-le ; https://www.iddri.org/fr/projet/lunion-dans-tous-ses-etats-reinventer-le-deal
- Institut Jacques Delors : https://institutdelors.eu/publications/pacte-vert-vers-une-pause-reglementaire-europeenne ; https://institutdelors.eu/publications/en-route-vers-lobjectif-de-neutralite-climatique-quelles-transformations-pour-2030 ; https://institutdelors.eu/publications/union-de-lenergie-2-0-pour-mettre-en-place-le-pacte-vert-europeen
- La Fabrique Ecologique : https://www.lafabriqueecologique.fr/dossier-6-les-enjeux-ecologiques-des-elections-europeennes
- Le Lierre : https://le-lierre.fr/note-europe/
En 2022, les PDG du CAC40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leur salariés. C’est ce qu’on apprend dans le dernier rapport de l’ONG OXFAM : « Cash 40 : trop de millions pour quelques hommes ». Et c’est en progression depuis 2019, cette année les patrons avaient gagné 111 fois plus. Depuis, crise covid, guerre en Ukraine, des épisodes bénéfiques pour les dividendes des actionnaires. OXFAM rapporte qu’en 2022, les entreprises du CAC 40 ont versé en moyenne 76 % de leurs bénéfices à leurs actionnaires. Une période bénéfique aussi, donc, pour les PDG. L’ONG explique que, « malgré une meilleure prise en compte des critères non-financiers, la rémunération totale des patrons du CAC 40 en 2022 était indexée à 19 % sur la satisfaction des actionnaires, contre seuls 5,8 % sur les objectifs climatiques ». Les entreprises du CAC40 qui s’enrichissent donc, pendant que l’écart avec les salariés se creusent. Thomas Porcher explique que les patrons des grandes entreprises ne prennent aucun risque, au contraire, et gagnent des milliers d’euros à délocaliser ou fermer des entreprises en France. L’économiste explique cette dynamique par la logique de financiarisation des entreprises, où l’intérêt des actionnaires passera avant l’intérêt français ou des salariés.
Depuis la politique plutôt protectionniste des chinois et des états unis vis à vis de leur propre industrie, Emmanuel Macron est soucieux de la politique industrielle française et européenne. Le chef de l’État remet au goût du jour le mot “réindustrialisation”. Le président chinois Xi Jinping est attendu en France ce lundi et mardi pour célébrer les 60 ans des relations diplomatiques entre notre pays et la Chine, lors d'une visite d'État. À l’occasion, Emmanuel Macron a appelé l'Europe à défendre ses « intérêts stratégiques » face à la Chine, dans une interview pour The Economist. Un des points de tension entre la Chine et le vieux continent, ce sont les voitures électriques, comme le rapporte La Tribune. Emmanuel Macron avance le pragmatisme (et le en même temps) : « Aujourd'hui nous devons avoir sur le plan commercial avec la Chine un comportement respectueux, mais de défense de nos intérêts, de réciprocité et de sécurité nationale ». La guerre en Ukraine sera aussi au programme de la rencontre, au cours de laquelle Emmanuel Macron demandera à son homologue chinois de contribuer à une "résolution" du conflit à nouveau. Le Moyen Orient sera aussi à l’ordre du jour. Une rencontre donc très politique. D’une part, l’interdépendance économique entre les investissements chinois en France notamment sur les batteries électriques d’un côté et la concurrence commerciale de l’autre. D’autre part, la géopolitique internationale, avec une Chine alliée des russes, ou qui entretient des liens de coopération avec l’Iran. Thomas Porcher raconte la “guerre froide” entre les États-Unis et la Chine, où, la France et l’Europe sont les “dindons de la farce de la mondialisation”.
Centre de culture scientifique qui sensibilise au lien qui unit l'homme à l'océan. Tous les amoureux de la mer et de l'océan, les mammifères marins, les poissons, aiment Nausicaa...
A Boulogne sur Mer, ... c'est aussi le « Blue Living Lab », présenté par Christophe Sirugue, le directeur général de Nausicaa : « Le « Blue living Lab » est une plateforme de soutien aux initiatives dans le monde maritime, de quelque nature que ce soit. Et donc, c'est un lieu où nous accueillons des porteurs de projets qui, à partir du monde maritime, ont la volonté de développer une activité économique, alors qu'elle soit liée à l'alimentation, qu'elle soit liée à la découverte des fonds marins
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-> https://www.nausicaa.fr
france-5 Politique 1 h 2 min Français tous publics Vidéo sous-titré Disponible jusqu'au 04/06/2024
avec
- Jean-Maurice Ripert, Diplomate, ancien ambassadeur de France en Chine (2017-2019)
- Dominique André, Journaliste à la rédaction internationale de Radio France, ancienne correspondante en Chine, productrice du podcast "Xi Jinping, le prince rouge"
- David Baverez, Investisseur, essayiste, chroniqueur pour l’Opinion, installé depuis 2012 à Hong Kong, auteur de "Bienvenue en économie de guerre !" aux éditions Novice (07.05.24)
- Jean-Philippe Béja, Sinologue, politologue, directeur de recherche émérite au CNRS-CERI / Sciences Po, auteur de la tribune "Xi Jinping ressemble bien plus à Staline qu’à Mao Zedong" dans Le Monde (02.05.24)
- Antoine Izambard, Grand reporter Challenges, co-réalisateur du documentaire “Chine : opérations secrètes”
- Nolwenn Le Fustec, Journaliste, co-réalisatrice du documentaire “Chine : opérations secrètes”.
Présenté par : Thomas Snégaroff
Maison de production : Together Media / France Télévisions
france-5 Interviews 54 min 26 s Français tous publics Vidéo sous-titré - Disponible jusqu'au 03/06/2024
Aux côtés d'Aurélie Casse, une bande de chroniqueurs.euses : Natacha Polony, Louis Amar, Victor Dekyvère, Matthieu Belliard et Eva Roque.
Israël/Hamas : les étudiants se font entendre
Vincent Lemire - professeur d'Histoire, auteur de "Histoire de Jérusalem" paru aux éditions Les Arènes
Le témoignage de la semaine
Isild Le Besco - actrice et réalisatrice qui vient de publier "Dire vrai" aux éditions Denoël
Présenté par : Aurélie Casse
Comment penser l'adaptation au changement climatique en fonction des différents scénarios climatiques et dans un monde profondément transformé par les chocs présents et à venir ?
Hausse des températures, montée du niveau de la mer, augmentation des tempêtes, des inondations ou encore des sécheresses, l’adaptation aux impacts du changement climatique est aujourd’hui un défi majeur pour nos sociétés. Consistant à anticiper les effets du changement climatique et à mettre en place des mesures pour s'adapter
... complémentaire à l'atténuation, qui vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement climatique
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sortir d’une vision technique de l’adaptation pour aller vers un nouveau projet en lien avec une vision globale du territoire.
À écouter : Les côtes françaises et les îles du Pacifique face à l'élévation du niveau de la mer / La Terre au carré
Faut-il déplacer des villes, des villages, des ports, des stations balnéaires ou des industries situées en bord de mer et qui seront les premières à devoir faire face à la montée des eaux ? Voilà une question concrète que de nombreux territoires doivent déjà se poser et qui sont au cœur de la réflexion sur l'adaptation. Mais qu'est-ce que cela veut dire s'adapter aux changements climatiques dans un monde qui se réchauffe ? Entre la montée des eaux, la hausse des températures, les incendies, les événements extrêmes ? Comment les territoires peuvent-ils rester habitable dans les prochaines décennies ?
Avec :
- Magali Reghezza-Zitt géographe, ancienne membre du Haut Conseil pour le climat.
- Gonéri Le Cozannet chercheur au BRGM (Bureau des recherches géologiques et minières) sur les risques côtiers et le changement climatique et co-auteur du volet II du 6ème rapport du GIEC.
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certaines villes de France comme Strasbourg, Lyon, ou Grenoble connaîtront plus d'un mois de canicule par an ... Les sécheresses, plus violentes. Et quand l’eau tombera du ciel, elle sera très concentrée avec du ruissellement urbain. Le réchauffement aura des conséquences sur le travail et les revenus. En 2035, votre budget, votre maison, votre véhicule, seront impactés par le changement climatique. De nouvelles maladies apparaîtront. On a déjà cette année 1600 cas de dengues autochtones. Le moustique qui transmet la maladie et vit normalement dans les tropiques, est né en métropole. »
À lire aussi : Agriculture, urbanisme : le Giec recommande d'accélérer les efforts pour s'adapter au changement climatique
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Des programmes de végétalisation pour atténuer la chaleur sont mis en place pour lutter contre ces îlots. Cela passe par un changement de matériaux, pour avoir des surfaces blanches qui réfléchissent la chaleur. L'adaptation passe par l’encouragement de la marche et du vélo : des gens en meilleure santé sont moins sensibles à ces vagues de chaleur. »
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Les forêts sont des puits de carbone naturels et de bons alliés pour capter le carbone et atteindre la neutralité. Aujourd'hui, elles sont menacées par les incendies, les espèces invasives, et les sécheresses. Magali Reghezza-Zitt : « On assiste déjà à des substitutions d'essences d'arbres. Certaines essences disparaissent et d'autres apparaissent. Des recherches ont lieu pour avoir des espèces plus résistantes. Des travaux étudient comment maintenir les vieux arbres, et des réflexions sur la plantation des arbres sont menées. C’est une véritable course contre la montre pour protéger nos forêts. »
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adopter des comportements de prévention, de bien nettoyer autour des maisons, de sécuriser les points d'eau
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on ne pourra pas lutter contre la submersion par la protection ... fondés sur la nature ... écosystèmes côtiers ...
Clés : Environnement Écologie Climat Changement climatique Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) Catastrophe écologique
C’est un critère de plus en plus scruté lors des vagues de chaleur : la température humide, qui mesure la température de l’air ambiant combinée au taux d’humidité. A partir de certains seuils, le corps humain lâche. Ces températures humides extrêmes sont de plus en plus fréquentes.
Et il est parfois nécessaire et même inévitable de lutter... contre la chaleur. Nos petits corps sont mis à rude épreuve quand le thermomètre s’affole, et à ceux qui seraient passés à côté je vous signale qu’une partie de l’Asie souffre en ce moment d’une vague de chaleur inédite, les Philippines, la Thaïlande, le Vietnam, le Cambodge, le Bengladesh, la Birmanie, l’Inde, il y a plus de 45° par endroits, une habitante disait dans les journaux « il fait chaud à en mourir » et c’est vrai. Savez-vous par exemple que si vous êtes exposé à une température de 35° dans une zone très humide, 100% d’humidité, pendant 6h, vous y passez ?
C’est ce qu’on appelle la « température humide », le « wet bulb » en anglais, dont on retrouve les origines dans l’US Navy, en 1956 précisément, comme me l’a expliqué la physicienne de l’atmosphère au CNRS Sarah Saffiedine : « Le terme « wet bulb temperature » a commencé à être vraiment utilisé par l’armée aux États Unis suite à plusieurs décès et maladies qui ont touché l’armée navale américaine dont la côte Est proche de l’Équateur. C’est là où on trouve les premiers essais d’utiliser la température humide comme un indice de confort thermique qui peut prédire les coups de chaleur e, activité en extérieur »
... quand l’air est sec, on peut transpirer et donc refroidir notre température interne, puisqu’on évacue la chaleur, alors que quand il fait humide, ben ça ne ventile pas. Donc on peut tomber en hyperthermie, c’est-à-dire que la t° de notre corps dépasse la normale, comme quand on a de la fièvre. Et la barre des 35°/100 d’humidité 6h, ou – variante – 38° 80% d’humidité, ou encore 41° 60% d’humidité, elle pourrait non seulement en fait être + basse, certaines études commencent à parler d’un danger mortel à 31° et 60% d’humidité, mais surtout, elle est plus fréquente, ces événements de t° humide extrême ont été multipliés par 2 depuis 40 ans. Et ça ne va évidemment pas aller en s’arrangeant avec le réchauffement climatique. Cathy Clerbaux est elle aussi physicienne de l’atmosphère au CNRS :
« Comme la température augmente, des zones du globe vont être de plus en plus chaude et comme la température augmente la vapeur d’eau il y a plus d’évaporation aussi. Des endroits combinent à la fois des températures élevées et une concentration en vapeur d’eau qui est assez élevée et humide. On pense qu’en 2050, si on fait des projections de la température, dans certaines régions du globe comme l’Asie du Sud, le golfe persique, tout ce qui est autour de la mer rouge, il va y avoir plusieurs jours par an où justement ces températures vont être difficiles à supporter parce qu’elles combineront à la fois température élevée et niveau d’humidité élevé aussi »
Voilà des zones à risque clairement identifiées, avec un critère un peu contre-intuitif, c’est qu’il pourrait être plus difficile à vivre en bord de mer, où il y a plus de vapeur d’eau et donc d’humidité, que dans les terres, les chercheuses citent l’Arabie Saoudite par exemple. Sarah Saffiedine prévient également que ce n’est que le début :
« Aujourd’hui on voit qu’il y a de temps en temps des extrêmes mais ces extrêmes seront la norme dans le futur. Dans cette norme du futur il y aura aussi des extrêmes. On ne sait pas encore vraiment. Chaque année il y a une canicule qui est plus extrême que celle de l’année d’avant. Il y aura peut-être des événements très extrêmes de chaleur, ça pourrait avoir des effets catastrophiques »
Des régions inhabitables, et même si l’Europe par exemple est moins concernée puisque le climat est tempéré et non tropical, elle est aussi surveillée. L’enjeu est d’anticiper, partout :
« La finalité est de regarder comment le corps humain supporte les variations de différents paramètres avec l’idée que si les températures autour du globe augmentent, comment les personnes qui vivent dans des pays qui combinent à la fois chaleur et humidité vont pouvoir supporter ça ? »
Et là c’est un travail à mener aussi avec la médecine bien sûr, les recherches en fait sont encore assez nouvelles, mais l’enjeu est grand, avec comme toujours dans ce monde qui change, la nécessité de s’adapter, et donc de penser aussi les choses politiquement, à une échelle locale, nationale, globale. En attendant, donc, les corps et les gens n’arrêteront pas de lutter, pour simplement pouvoir continuer à vivre.
L'équipe Camille Crosnier Production Suzanne Pacaud Stagiaire
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... autonomiser l’espace économique à finalité de Bien Commun, maintenant reconnu comme richesse prioritaire
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on examine les choses au fond sans frein selon le principe que :
- Si un projet à finalité de Bien Commun est collectivement souhaité et que la volonté de le réaliser est là.
- Si les connaissances du moment, les moyens techniques et énergétiques disponibles permettent d'y répondre.
- Si l'empreinte écologique prévisible est compatible avec les normes internationalement admises.
- Si les savoirs-faire et les ressources humaines nécessaires sont disponibles grâce au fait, entre autres, que le monde de la production a de moins en moins besoin de main d'œuvre.
- Si le projet ne se fait pas au détriment d’autres peuples.
Alors rien ne s'oppose à sa mise en œuvre car dans ce cas de figure c'est la faisabilité du projet qui conditionne la création monétaire au niveau nécessaire à sa réalisation et non l'importance du financement (quand on peut le trouver) qui conditionne le projet.
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C'est ici que le monde se meurt - Aurélien Barrau - 27 avr. 2024 / Festival d'Astronomie de Fleurance
50'56 - 18,8 k abonnés - 200+ - 12 215 vues - 126 commentaires FESTIVAL INTERNATIONNAL DU CIEL ET DE L'ESPACE
Aussi noble et légitime soit notre attirance pour les espaces lointains, c’est sans doute vers notre planète et le drame se précédent qui s’y déroule que nos yeux devraient aujourd’hui se tourner. Un bref état de la catastrophe écologique et des moyens d’y faire face sera présenté.
Aurélien BARRAU
Professeur à l’Université Grenoble-Alpes et chercheur au Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie du CNRS, Aurélien BARRAU est aussi membre honoraire de l’Institut Universitaire de France, lauréat du prix Bogoliubov de Physique théorique et du prix Thibaud de physique subatomique. Il est invité comme visiteur à l’Institut des Hautes Études Scientifiques de Bures-sur-Yvettes et à l’Institute for Advanced Study de Princeton.
*Connue / mel de PDR
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Devant un pare-terre de scientifiques et d'ingénieurs, Aurélien Barrau, astrophysicien, directeur du Centre de physique théorique Grenoble-Alpes passe en revue, sans ménager ses mots et sans crainte d'impopularité, les impasses où nous sommes engagés. Beaucoup de bon sens et de vérités qui laissent amer et pessimiste tant il est évident qu'on persiste dans des voies illusoires. À mon sens il oublie d'insister sur l'impasse systémique qui réduit la valeur de tout acte à son résultat financier. Cela conduit à donner de la valeur à ce qui est nuisible parce que ça rapporte de l'argent et à ne pas en donner à ce qui serait bénéfique parce que ça coûte. Tant que l'argent sera une fin et non un moyen on ne pourra que poursuivre ce chemin suicidaire. Les propos d'Aurélien ne peuvent qu'être acceptés par la majorité d'entre nous, mais dans la mesure où il ne met pas en lumière la cause des causes, on ne peut qu'en retirer un terrible sentiment d'impuissance
... mon engagement personnel à proposer des pistes de solutions économiques et monétaires qui permettent justement de mettre l'argent à la place qui devrait être la sienne, au service du Bien commun .
Un formation gratuite pour comprendre : https://lhed.fr/se-former
Un proposition: Le Bien commun doit avoir sa monnaie : https://lhed.fr/action-politique
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Bardella, Hayer, Glucksmann, Aubry, Bellamy, Maréchal, Toussaint... Sept têtes de liste sont réunies le dimanche 5 mai lors d'un Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Paris Première exceptionnel.
9,24 k abonnés - 300+ - 2 138 vues - 117 commentaires
Rima Hassan, candidate aux élections européennes du 9 juin sur la liste de La France insoumise était l'invitée de Benjamin Duhamel dans son émission C'est pas tous les jours dimanche sur BFMTV le 5 mai 2024
Les champs suivis d'un astérisque sont obligatoires
Objet Écrire à la Direction générale de l’enseignement scolaire - éduscol
Précisez l'objet
Besoin d'aide pour accéder à parcours Pix+ Édu
Vous êtes un(e)... Personnel/Enseignant X Particulier Association Entreprise
Civilité Mr
Prénom Jean-Luc
Nom Poitoux
Adresse électronique jluc.p
Adresse postale 19, Grand'rue
Code postal 16380
Ville Marthon
Pays
Message
"
Bonjour,
je souhaite m'évaluer avec Pix+.
Dans https://eduscol.education.fr/3839/developpez-vos-competences-numeriques-avec-pix-edu
il est précisé que
"
L’accès aux parcours Pix+ Édu s’effectue via un espace Magistère dédié, ouvert à tous en auto-inscription : https://magistere.education.fr/dgesco/course/view.php?id=2969
"
Je comprends donc que quiconque peut accéder à ce parcours d'évaluation en auto-inscription.
Je vous serais reconnaissant de bien vouloir m'indiquer comment avoir un compte car en suivant le lien, je n'ai pas réussi.
Sincères salutations
JLP
"
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?xLwqYw
Tous les niveaux et tous les enseignements mobilisent des outils et des ressources numériques qui participent à la construction des compétences numériques des élèves. Mieux repérer les situations où le numérique est adapté et maîtriser les compétences de base, les pratiques d’apprentissages et les risques liés constituent donc des enjeux forts pour chaque enseignant ou personnel d’éducation dans l’exercice de son métier.
Mis à jour : avril 2024
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Ces compétences sont définies dans le cadre de référence des compétences numériques pour l’éducation (CRCN-Édu), inspiré du DigCompEdu.
Ce dispositif est organisé en 3 phases et composé de défis ludiques et formatifs structurés en parcours. Il permet de se situer dans la maîtrise des compétences numériques avec un parcours d’auto-positionnement (Je découvre), d’approfondir ses compétences avec des parcours thématiques (Je m’entraîne), et de valider ensuite son niveau de maîtrise avec un parcours bilan (Je valide).
L’accès aux parcours Pix+ Édu s’effectue via un espace Magistère dédié, ouvert à tous en auto-inscription : https://magistere.education.fr/dgesco/course/view.php?id=2969
...
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?7z77iQ
=> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?_SiUWg
Les humains face aux microbes ©Getty - SERGII IAREMENKO/SCIENCE PHOTO LIBRARY
Les humains face aux microbes - Jeudi 2 mai 2024 / La terre au carré
Maladies émergentes, bactéries, virus et autres pathogènes… Depuis toujours l'espèce humaine a été confrontée aux microbes de toute sortes. Comment a-t-elle appris à les comprendre et à s'en protéger ? Quel est notre rapport aux microbes aujourd'hui ?
Ancien professeur à l'Institut Pasteur et au Collège de France, Philippe Sansonetti est un spécialiste internationalement reconnu des vaccins et des bactéries pathogènes. Dans son livre Microbes sans frontières (éditions Odile Jacob) il retrace l'histoire des connaissances actuelles sur les microbes et sur les moyens de nous en défendre.
Il nous rappelle que notre modèle de santé publique fondé sur l'hygiène, les vaccins, antibiotiques, et l'épidémiologie est relativement récent. En effet, si les virus, bactéries, champignons, parasites nous accompagnent depuis la nuit des temps, ce n’est que depuis un siècle et demi que la science et la médecine ont permis de pouvoir lutter contre les maladies infectieuses....
Or depuis quelques années, certaines maladies infectieuses et épidémies font leur retour en raison de l'antibiorésistance, la défiance vaccinale, l'émergence de nouveaux pathogènes, mais aussi du réchauffement climatique.... Philippe Sansonetti recense et analyse ces menaces qui ignorent les frontières nationales, géographiques, sociales et même les frontières entre espèces humaine et animales.
Les humains entretiennent avec les microbes une relation complexe, et il est urgent d'en comprendre les mécanismes et de développer de nouvelles stratégies face aux risques pandémiques.
Avec :
Philippe Sansonetti, professeur émérite à l’Institut Pasteur et au Collège de France, où il a été titulaire de la chaire « Microbiologie et maladies infectieuses », membre de l’Académie des sciences. Il publie Microbes sans frontières aux éditions Odile Jacob.
À écouter : Génie du vivant : microbes et virus avec Patrice Debré, médecin immunologiste Les Savanturiers 56 min
S’en défendre et préserver les microbes
Les virus, bactéries ou champignons et les microbes ignorent les frontières géographiques et sociales, mais aussi les frontières entre espèces humaine et animales. La pandémie de Covid nous a rappelé qu'à tout moment des micro-organismes peuvent menacer la santé des populations et bouleverser l'organisation de nos sociétés modernes. Cette menace potentielle, avec l'émergence de nouvelles maladies infectieuses, est un sujet de préoccupation majeure, amplifié par la mondialisation, les échanges environnementaux, et l'évolution des pratiques médicales et agricoles. Comment faire face à cette réalité microbienne pour protéger efficacement la santé humaine à l'échelle de la planète ? C'est l'objet d'un livre, Microbes sans frontières qui paraît chez Odile Jacob et dont l’invité de cette émission, Philippe Sansonetti, en est l’auteur. Dans cet ouvrage, il montre comment se défendre des microbes, mais aussi comment les préserver pour maintenir les équilibres de notre planète.
Quatre ans depuis l’apparition du Covid-19
... tournant dans la communauté scientifique : « Pour beaucoup, il a fallu se mettre à la virologie de manière à ne pas dire de bêtises. Ça a été une sorte d’aspiration dans la mesure où il devenait urgent, dans une atmosphère qui était hystérique, de mettre de l'ordre, de la sagesse et du rationnel scientifique dans ce qui se disait. On était en présence de quelque chose qui se transmettait de manière très efficace par voie aérienne. Et nous n’avons d’ailleurs pas tout de suite très bien perçus le danger alors qu'il était connu depuis la grippe espagnole et le SRAS de 2003. Clairement, la perception du danger de la transmission aérienne n'était pas au rendez-vous lors de l'émergence du Covid-19. »
À écouter : Philippe Sansonetti, titulaire de la chaire « Microbiologie et maladies infectieuses » au Collège de France
Une semaine en France
37 min
Des efforts considérables depuis la moitié du XXe siècle
Cet ouvrage de Philippe Sansonetti, c’est aussi une histoire des maladies infectieuses, des virus avec les pères fondateurs de la microbiologie. Ce qu'on constate, c'est que malgré le progrès, nous n’avons pas pour autant arrêté l'apparition de nouvelles maladies infectieuses : « Le thème de ce livre, c'est de dire qu'on a mis en place au XXᵉ siècle, sur la base des découvertes de nos pères fondateurs, un paradigme de santé publique miraculeux. Quand on regarde en particulier dans les pays à haut niveau de vie, on a éradiqué, ou éliminé, un certain nombre de maladies qui étaient la plaie des populations et qui pesaient très lourd, pas uniquement en mortalité, mais aussi en poids psychologique, ce qui était un quotidien en particulier avec la mortalité infantile. Il y a eu aussi un effort considérable à partir du milieu du XXᵉ siècle pour partager avec les pays à bas revenus, un programme élargi de vaccination et l'amélioration des soins primaires. »
Les antivax, une très vieille histoire
Dans son ouvrage, Philippe Sansonetti évoque aussi la défiance vaccinale à l’heure du Covid. Il rappelle que les antivax sont nés avec les vaccins : « Les premières ligues anti-vaccinales sont apparues au Royaume-Uni au milieu du XIXᵉ siècle, après la mise en place du Vaccin Act du parlement anglais, c'est-à-dire l'obligation vaccinale pour la variole pour tous les enfants de moins de trois ans. Dès cette époque, on a vu naître les ligues anti-vaccinale au Royaume-Uni. Ce qui est intéressant, c'est qu'elles ne sont pas nées à Londres, mais dans les villes du Nord comme Manchester, Liverpool, des zones loin du pouvoir avec une population prolétarisée par la révolution industrielle, et on a l'impression que, très vite, ce réflexe antivax est né à la fois sur une peur du vaccin parce qu’il avait aussi des effets secondaires, mais aussi un malaise social. Avec le Covid et le refus vaccinal du personnel hospitalier dans certaines régions, j'ai l'impression d'avoir retrouvé cette fusion du malaise social et du vaccin. L’anti-vaccination est quelque chose de beaucoup plus complexe qu'on ne le pense. »
Pour en savoir plus, écoutez l'émission...
À écouter : Exploration du système immunitaire avec l'immunologiste Yasmine Belkaid
15' de plus
12 min
Chroniques Camille passe au vert 4 min Les poules rougissantes Comme nous et tous les animaux, les poules ressentent des émotions. Mais comment les expriment-elles physiquement ? Une équipe d’Inrae a mené des recherches et établi que les poules domestiques rougissent, oui, elles piquent des fards, dans certaines situation de stress, ou de joie !
Clés : Environnement Écologie Biodiversité Coronavirus – Covid-19 Virus Philippe Sansonetti Collège de France
L'équipe Mathieu Vidard Production, etc
Tr: ... appauvrissement de la diversité du monde microbien ... les thérapeutiques sont de plus en plus ciblées ... système immunitaire ... variants des virus ... depuis 2010, panne des antibiotiques ... antibiorésistance ... H5N1, virus de la grippe aviaire, doute sur sa transmissibilité entre humain ... est-t-on prêts à ce que ça arrive ? Pas tout à fait, mais grace à l'arn messager, ça devrait faciliter la production de vaccins, on le voit avec les animaux ... tests au chevet du malade ... cistite ... éviter ou faire plus attention à la prescription ... donner le temps de guérir ... action collective pour sauver les antibiotiques ... mauvaises pratiques en élevage / antibiotique se retrouve dans les écosystèmes ... rejets des usines d'antibiotiques ... la moitié dans antibiotiques non dégradés part dans les eaux usées ... faire entrer ça dans la législation et chercher des solutions, dégrader les antibiotiques ... ex inde ... le réchauffement climatique facteur défavorable ... +10% infections anthériques ... les vecteurs des microbes comme les moustiques, premier tueur de la planète ... dingue, paludisme, épidémies possibles ... on va avoir des vaccins ... le risque est là ... réduction de la biodiversité ... épidémie de ?? porc et chauve-souris ... anthropocène ... alimentation moderne responsable par moins de fibres, etc liens de causalité microbiote ... biodiversité aussi pour les microbes ...
Heinz Wismann, philologue et philosophe franco-allemand, directeur d'études à l'EHESS
Le grand face à face snegaroff
Le Grand face-à-face inaugure son mois de l’Europe avec Heinz Wismann. Le philologue et philosophe franco-allemand publie “Lire entre les lignes. Sur les traces de l’esprit européen”, aux éditions Albin Michel. Une réflexion lumineuse sur l’Europe et ce qui la définit.
Avec Heinz Wismann Philologue et philosophe
Ndlr : La philologie, du grec ancien φιλολογία / philología, « amour des mots, des lettres, de la littérature », consiste en l'étude d'une langue et de sa littérature à partir de documents écrits. C'est une combinaison de critique littéraire, historique et linguistique. Wikipedia (FR)
Tr.: ... autocritique, autodérision ... ouvre sur un possible fermé par des certitudes ... s'ouvrir sur la possibilité de l'autre ... diversité des langues au coeur de l'esprit européen ... violence de l'incapacité de dire ce que l'on ressent ... langue de services, langue de culture ... d'abord bien maîtriser sa langue maternelle ... puis d'abord apprendre une langue ancienne ... esperanto, choix du dénotatif pur, on ne peut pas fabriquer une histoire ... renoncement plus grave que l'avantage de l'esprit univoque ... les grecs démocrates car ça augmente les synergies ... les allemands sauvages à l'état naturel puis expriment leur désaccord ...
3,51 M d’abonnés - 1,7k+ - 96 936 vues - 508 commentaires #Histoire #Kazakhstan #arte
Rediffusion disponible jusqu'au 25/05/2024
#Histoire #Kazakhstan #arte
Au coeur de l'Asie centrale, aux confins des actuels Kazakhstan et Kirghizistan, se joua, au milieu du VIIIe siècle de notre ère, une bataille sans vainqueur. Cette date symbolique marque d’une part l'extension maximale vers l'est de la première islamisation de l'Eurasie et établit d’autre part vers l’ouest la frontière de l'Empire chinois des Tang.
Mais si elle met un terme à des décennies de conflit sino-arabe, la "route de la soie" et la steppe, revendiquées par les deux mondes, restent des enjeux centraux.
Les dessous de l’histoire
Dans cette deuxième saison aussi passionnante et ludique que la précédente, l’historien Patrick Boucheron, professeur au Collège de France, poursuit son exploration alerte des dates marquantes de l’histoire, des trésors artistiques ornant la grotte de Lascaux, en 18000 avant notre ère, au coup d’État militaire contre le président chilien Salvador Allende, le 11 septembre 1973. Mobilisant son talent de conteur, associé à une animation qui s’appuie sur une riche iconographie, et convoquant éclairages de spécialistes et approche réflexive, l’historien bouscule notre regard sur vingt événements majeurs et les traces qu’ils ont laissées dans les mémoires, en les replaçant dans une perspective globale et en assumant les incertitudes de la science historique.
Série documentaire (France, 2020, 27mn)
Tr.: ...
la puissance véritable commence avec l'arrêt des conquêtes
29 613 signatures
Destinataire(s) : Gouvernement
Campagne lancée par Alliance écologique et sociale - PJC
Alors qu’il faudrait investir et relancer le secteur du fret ferroviaire, outil essentiel à la transition écologique, le gouvernement fait l’exact inverse. Il s'apprête à liquider le seul opérateur public de transport ferroviaire, Fret SNCF, d'ici la fin de l'année 2024. Pour éviter la déroute écologique, sauver le fret ferroviaire et éviter d'avoir plus de camions sur les routes, nous devons faire pression sur le gouvernement de toute urgence.
Non à la disparition de Fret SNCF ! Signez notre pétition pour sauver l’acteur public du fret ferroviaire et éviter d’avoir plus de camions sur les routes.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Alors que le transport est le secteur le plus polluant au monde, le ferroviaire est notre meilleur allié pour aider à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement déraille et roule une fois de plus à contresens de toute logique. Son nouveau projet ? Liquider Fret SNCF, l’acteur historique du fret ferroviaire, le transport de marchandises sur rail à faibles émissions. Avec comme seul crédo la concurrence, le gouvernement est en train de dilapider un outil clé de la transition écologique.
Liquider Fret SNCF, c’est :
- Menacer 5 000 emplois. 500 postes vont être supprimés et le reste va être fortement bousculé par la disparition de l’entreprise Fret SNCF.
- Augmenter les camions sur les routes. Faute de repreneurs sur certains flux, les entreprises préféreront changer de moyen de transport et repasser sur les routes.
- Privatiser les profits, socialiser les pertes. Les flux les plus intéressants seront repris par des entreprises étrangères mais l’entretien restera à la charge du contribuable.
Aux côtés de SUD-Rail, l’Alliance écologique et sociale et Alternatiba Paris demandent de :
- Créer un service public unifié et cohérent du transport ferroviaire et routier des marchandises ;
- Prélever 1 milliard d’euros par an sur les profits réalisés sur les sociétés d’autoroutes pour les investir dans le développement des infrastructures ferroviaires fret ;
- Fixer une écotaxe pour les poids lourds en transit qui refuseraient la solution du report modal, destinée à alimenter un fonds national d’investissement à destination de projets de fret ferroviaire et maritime ;
- Interdire les nouvelles constructions de zones logistiques si celles-ci ne sont pas embranchées au réseau ferré.
Vite, il y a urgence à agir : Fret SNCF pourrait disparaître d’ici la fin de l’année 2024 !
Pour le climat et pour l’emploi, je défends le fret ferroviaire et signe la pétition !
2 mai 2024 - 14H52 / Par Fabrice Wuimo
"Une propagande digne d'un régime autoritaire": peut-on être encore pro-Palestinien en France ? (Alain Gresh)
Auteur de “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent, Alain Gresh, journaliste, pose un regard un regard lucide et recontextualisé sur le génocide en Palestine.
Journaliste, essayiste, fondateur du média Orient XXI, spécialiste du Proche Orient et du Monde Arabe, auteur d’innombrables ouvrages sur cette zone, Alain Gresh était sur le plateau du Média pour parler du dernier en date et qui est intitulé “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent. Un regard lucide et recontextualisé sur la guerre d'Israël en Palestine. Il passe au crible tous les détails de la situation entre Israël et la Palestine, son histoire, surtout celle de la lutte des Palestiniens pour leur survie, leur Terre, le droit à l’autodétermination et la fin de la colonisation.
Il décrypte jusqu’à la sémantique utilisée dans les médias et par les autorités politiques soutiens d’Israël et qui tend à justifier le massacre indiscriminé qui court en ce moment dans la Bande de Gaza… Comme lorsque l’on parle de “guerre” entre Israël et le Hamas. Faire passer le colonisé et l'opprimé pour un terroriste pour mieux le déshumaniser et justifier son sort.