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Projet Collectivités Financement public
24 juin 2025
La méthode pour construire son plan pluriannuel d’investissement (PPI) aligné climat est un outil innovant, au service des collectivités, pour garantir la cohérence entre la stratégie financière et la stratégie climatique.
Elle s’adresse aux collectivités volontaires qui souhaitent s’assurer que leur stratégie climat dispose de moyens financiers suffisants pour être mise en œuvre tout en respectant la soutenabilité financière de la collectivité.
Une méthode pour définir combien coûte la stratégie climat pour la collectivité et comment assurer son financement
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permet à la collectivité de définir ses besoins d’investissement climat à partir de ses objectifs et de les intégrer à son PPI afin de garantir la réalisation des projets tout en assurant l’équilibre financier.
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Sont disponibles à ce jour :
- La synthèse pour décideurs, présentant les intérêts de la méthodologie, ses objectifs et les démarches à mettre en place dans la collectivité
- Le guide méthodologique pour réaliser son PPI aligné climat, détaillant le processus et les facteurs de réussite.
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Le cahier atténuation, composé de fiches méthodologiques de chiffrage par action climat, sur les compétences du bloc local
Sont aussi à paraitre :
- une annexe technique (format tableur) pour faciliter la prise en main du cahier atténuation ;
- un jeu sérieux pour sensibiliser aux enjeux du PPI aligné climat dans les collectivités ;
- des wébinaires explicatifs, en partenariat avec des associations d’agents, d’élus et de collectivités.
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Ce travail part de deux constats :
- Le mandat municipal et intercommunal 2026-2032 revêt une importance historique qui doit consacrer la montée en puissance de l’action publique locale de décarbonation, dans un contexte où l’ensemble des collectivités métropolitaines doivent doubler leurs efforts d’investissement climat d’ici 2030.
- Le deuxième constat est l’absence de communication systématique entre stratégies climatique et financière. Ainsi, les stratégies climat ne sont à ce jour presque jamais adossées à un véritable plan de financement permettant leur mise en œuvre exhaustive sur une base pluriannuelle.
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Contacts I4CE
- Marion FETET, Chercheuse – Collectivités, Finances locales, Budget vert
Email - François THOMAZEAU, Directeur de programme – Collectivités et Adaptation au changement climatique
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Connu le 3/7/25 / webinaire du RAC via GPF
Publications Collectivités Financement public
13 septembre 2024 - Étude Climat - Par : Aurore COLIN / Axel ERBA-ROUX / François THOMAZEAU / Julie MARCOFF / Alice MONTICELLI / Luc Alain VERVISCH
Un panorama complet et actuel des enjeux de financement de la transition bas-carbone à l’échelle locale
Les collectivités territoriales ont un rôle majeur à jouer pour l’atteinte des objectifs de neutralité carbone de la France à 2050, inscrits dans la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC). Du fait de leur patrimoine et de leurs compétences, elles doivent porter de nombreux investissements climat, mettre en place des stratégies et plans d’action, et déployer des actions d’animation des acteurs de leur territoire.
Si les leviers pour décarboner les territoires sont de mieux en mieux connus, le volet économique de l’action en faveur du climat à l’échelle locale reste quant à lui relativement inexploré : les communes, intercommunalités, départements et régions, à supposer qu’ils le veuillent, sont-ils en capacité d’investir à hauteur des besoins tels qu’ils découlent des documents de planification écologique de l’État lui-même ?
Dans la continuité de travaux antérieurs, cette étude vient dresser un paysage d’ensemble des enjeux économiques et budgétaires du financement de l’action climatique des collectivités locales. Ce faisant, elle cherche à alimenter plusieurs débats actuellement en mouvement :
- celui du financement de la transition bas-carbone, bien sûr, et de la répartition de l’effort entre acteurs publics et privés, et, au sein du secteur public, entre État et les administrations locales ;
- celui du pilotage national des finances locales, qui dorénavant, à l’image de celui de l’ensemble des comptes publics, doit tenir compte de façon systématique de l’urgence climatique et de ses impacts budgétaires ;
- celui de la nature du dialogue État/Collectivités et de son évolution, notamment dans le cadre de la « territorialisation de la planification écologique » entamée depuis quelques mois, et à laquelle il manque encore un volet financement.
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La France s’est fixé l’objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050 et s’est engagée à réduire de – 50 % ses émissions brutes de gaz à effet de serre (GES) en 2030 par rapport à 1990.
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Les principaux documents donnant une vision prospective des finances publiques dans le cadre institutionnel français sont les lois de programmation des finances publiques (LPFP), documents votés par le Parlement mais sans force contraignante, et les programmes de stabilité (PSTAB) établis au titre de la coordination des politiques économiques des États membres de l’Union Européenne. En toute logique, ce sont donc ces documents qui ont vocation à porter la vision française de la dynamique des investissements climat portés
par les acteurs publics dans leur ensemble, y compris les administrations publiques locales (APUL24).
Pour autant, il n’existe pas, à ce jour, de document officiel retraçant les besoins de financements publics
dédiés à l’atteinte de la neutralité carbone au sein de l’État.
- La catégorie des administrations publiques locales (APUL) regroupe les collectivités territoriales, les organismes divers d’administration locale
(ODAL, exemple : centres communaux d’action sociale) ainsi que des établissements publics nationaux ayant une action territorialisée (agences de
l’eau, Société des grands projets).
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la plus forte baisse du produit des droits de mutation à titre onéreux (DMTO)
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citoyenneté non reconnue officiellement que s'attribuent les citoyens du monde, personnes qui estiment que les habitants de la Terre forment un peuple commun avec des droits et devoirs communs, en dehors des clivages nationaux, et qui placent l'intérêt de cet ensemble humain au-dessus d'intérêts locaux ou nationaux.
Définition
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Le concept général de citoyen du monde trouve son origine dans le stoïcisme, dont les philosophes sont les premiers à s'identifier comme citoyens du monde. Il a des affinités avec l’existentialisme, courant philosophique qui met en avant la liberté individuelle, la responsabilité ainsi que la subjectivité, et considère chaque personne comme un être unique qui est maître de ses actes et de son destin.
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Notes et références
- L'anglais sert aujourd'hui de langue internationale par défaut, mais les mondialistes refusent d'en promouvoir 2. le statut officiel à cause de l'aspect hégémonique de l'Occident qu'elle peut symboliser aux yeux du reste du monde.
- p. 480
- « Multitudes Web - 2. Le nouveau prolétariat européen a intérêt à l'Europe unie », sur samizdat.net via Wikiwix (consulté le 10 octobre 2023).
Articles connexes
- Cosmopolitisme
- Mondialisme
- Monde (univers)
- Citoyenneté de l'Union européenne
- Citoyens du Monde (association)
- Stoïcisme
- Organisation internationale
- Supranationalisme
- Transnationalisme
- Internationalisme
- Fédéralisme
- Éducation à la citoyenneté mondiale
- Anationalisme, idéologie issue d'une partie du mouvement espérantiste
- Penser globalement, agir localement
Vol. LIV
No. 4
2017
Ce numéro traite de la citoyenneté mondiale, définie comme le concept que l'identité transcende, même si elle respecte les frontières géographiques et nationales, et que nos actions sociales, politiques, environnementales et économiques se déroulent dans un monde interconnecté. Les articles examinent, entre autres, le lien entre la réduction des inégalités et la citoyenneté mondiale, la sauvegarde de la diversité culturelle et linguistique, et les droits et responsabilités dérivant du fait d'être un citoyen du monde.
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Politique
Marion Maréchal sera jugée pour diffamation contre une école musulmane - Publié le 30/06/25 à 16:11 / La Provence avec AFP
PHOTO AFP / Thomas SAMSON
L'eurodéputée accuse l'association d'être affiliée à la confrérie islamiste des Frères musulmans et ces derniers d'avoir "le même objectif qu'Al Quaida et Daesh", selon un document judiciaire consulté par l'AFP.
L'eurodéputée Marion Maréchal, ex-Reconquête !, sera jugée le 2 septembre pour diffamation à l'encontre de l'association Valeurs et réussite, qui pilote une école musulmane hors contrat à Valence, a-t-on appris ce lundi 30 juin de source proche du dossier.
Elle devra répondre devant le tribunal de Valence de propos prononcés en 2023 sur les réseaux sociaux (TikTok et Instagram).
À lire aussi : Municipales 2026 à Aix : à l'extrême droite, le combat pour la tête de liste a commencé entre Geiger et Verny
Elle y accuse l'association d'être affiliée à la confrérie islamiste des Frères musulmans et ces derniers d'avoir "le même objectif qu'Al Quaida et Daesh", selon un document judiciaire consulté par l'AFP.
Le mouvement des Frères musulmans n'est pas interdit en France
Valeurs et réussite, qui a déposé plainte début 2024, gère une école accueillant une quarantaine d'élèves.
À lire aussi : La députée RN Caroline Parmentier, épinglée pour des propos racistes et pétainistes, rendait aussi hommage à un nazi
En 2022, elle a souhaité acquérir un terrain de la commune mis en vente, mais le magazine satirique Charlie Hebdo a publié un article faisant le lien entre l'association et les Frères musulmans.
Cet article a suscité la polémique et mené, selon l'association, à l'annulation de la vente du terrain, pourtant votée par la ville, après une intervention de la préfecture.
Valeurs et Réussite a alors poursuivi Charlie Hebdo, qui a été relaxé en appel. La justice a estimé que "l'imputation de proximité entre l'école et les Frères musulmans (...) relève du libre débat d'idées" et d'un "jugement de valeur infiniment subjectif". Elle a aussi rappelé que le mouvement des Frères musulmans n'est pas interdit en France.
Charles Darwin ©Getty
Théorie de l'évolution : le jour où Darwin a bien failli être doublé - Mardi 1 juillet 2025 / La vie à portée de main
Retour sur la première présentation de la théorie de l'évolution de Darwin en 1858. Une idée révolutionnaire qui a transformé notre compréhension du monde vivant.
Le 1ᵉʳ juillet 1858, à Londres, les membres de la Linnean Society ont assisté à la première présentation de la théorie de l'évolution de Charles Darwin. À part quelques visionnaires tournés en ridicule, personne n'imaginait que les espèces pouvaient changer. De l'avis général, les espèces étaient là, identiques à elles-mêmes depuis la création.
Vingt ans auparavant, le jeune Darwin avait observé la nature et vu que tout cela ne collait pas. Pour lui, il n'y avait plus aucun doute, les espèces changeaient d'une époque à une autre, et d'un endroit à un autre. Il partit à la recherche du mécanisme qui permettrait de comprendre pourquoi, et se mit en tête d'écrire un livre colossal qui expliquerait cette sélection naturelle, exemples et preuves à l'appui.
Mais au printemps 1858, quelques semaines avant la présentation devant la Linnean Society, il reçut une lettre en provenance de Borneo, écrite par un explorateur inconnu du nom d'Alfred Russell Wallace. Et d'après Darwin lui-même, cette lettre, qui contenait les idées de Wallace sur l'évolution, était le meilleur résumé qu'on aurait pu faire du livre que lui voulait écrire depuis vingt ans. Il s'était fait doubler...
À écouter
Alfred Russel Wallace : l’autre Darwin ?
Sciences chrono
30 min
Clés : Sciences et Savoirs Histoire Sciences Sciences naturelles Charles Darwin Animaux Nature
12 novembre 2024
Le 29 octobre 2024, des pluies diluviennes se sont abattues sur le sud-est de l’Espagne touchant particulièrement la ville de Valence et sa région. Éric Daniel-Lacombe(1) est architecte DPLG, Professeur titulaire de la chaire « Nouvelles Urbanités face aux risques Naturels : Des abris ouverts » à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Paris-la Villette. Entretien.
...
En France par exemple, les régions Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Normandie sont les plus exposées vis-à-vis de l’aléa inondation par submersion marine.
Que dit l’Architecte ?
Qu’il faut arrêter de lui demander de faire plus solide et plus étanche, ce qui nous rend aveugle aux mouvements de la nature.(artificialisation des sols).
Qu’il faut arrêter de bâtir des infrastructures illusoires (digues, barrages).
Qu’il faut cesser de reconstruire à l’identique.
Qu’il faut abandonner les projets immobiliers qui vulnérabilisent le site et en inventer qui ménagent les lieux.
Qu’il faut aménager les quartiers inondables de façon à faciliter les régulations naturelles des cours d’eau : savoir mettre la rivière à l’écart quand nécessaire, mais renaturer les berges.
Qu’il faut dessiner la métamorphose de la ville en prenant la température du passage de l’eau.
Quelles sont vos préconisations ?
Qu’il n’y a pas de solution homogène mais des catégories de pensées. J’en relève quatre.
1- Recherche de la sécurité dans les périodes d’exposition au naturel (jamais de voitures garées dans les creux ni dans les rues qui deviendront des torrents, ni dans les sous-sols. Les anciens rez-de-chaussée deviennent les garages ou des préaux frais pour les prochaines canicules).
2- Régulation naturelle (éviter l’addition de protections artificielles et laisser plus de place à la rivière).
3- Intégrer et mettre en scène les forces de la nature pour créer des espaces inspirants (A Malmö, Santiago Calatrava dessine Turning Torso, une tour composée de neuf cubes en spirales évoquant les mouvements organiques et la force du vent. A Malmö encore, Stig L.Andersson invente Anchor Parken, un jardin de formes évoquant la dernière glaciation).
4- Convoquer les habitants, transformer d’anciennes friches industrielles en parcs naturels, conserver la mémoire de l’inondation. Passer de la logique du risque à une culture de la prudence, développée avec et par les habitants.
Votre profession de foi ?
Maintenir une convivialité entre l’humain, les non-humains vivants, et la nature. Apprendre à vivre avec l’eau, observer le mouvement de la nature depuis des passerelles, montrer aux enfants le phénomène de l’inondation, regarder la crue depuis l’abri comme un spectacle pédagogique, intéressant. Le Monde est celui de l’habité, il ne faut pas regarder la nature en ennemi. L’eau est une cinétique.
...
Propos recueillis par Tina Bloch
(1)Retrouver toutes les chroniques de la catastrophe annoncée d’Éric Daniel-Lacombe
Dans notre article Livres – Entrelacements d’antinomies ?, découvrir Vers une architecture pour la santé du vivant, par Éric Daniel-Lacombe
La ministre de la Culture Rachida Dati, le 30 juin 2025 à l'Assemblée nationale ©AFP - Ludovic Marin
vidéo
Surtout ne pas l’enterrer trop vite. Ni la ministre, ni la loi audiovisuelle qu’elle porte et qu’elle rêve de brandir en trophée.
Disons-le crûment : le rejet de ce texte hier par les députés, n’est qu’un trompe-l'œil, une opération d’évitement qui permet à la ministre de la Culture de sauter la case Assemblée nationale, en s’épargnant de longs et incertains débats, et de rebondir directement au Sénat, où la loi devrait revenir dès lundi prochain, en commission de la Culture. Les opposants à la réforme de l’audiovisuel public auraient grand tort de crier victoire. La gauche n’a rien compris, elle n’a pas vu le coup venir : c’était un coup monté.
Rachida Dati souhaitait l’adoption de cette motion de rejet. Elle a tout fait pour, c’était son plan !
Faire une "Duplomb"
L’inflation des amendements déposés par les groupes de gauche, 1150, n’aurait pas permis d’achever l’examen du texte dans les délais prévus, c’est-à-dire avant demain soir. Et pas plus en rajoutant deux jours de débats, ce qu’elle avait obtenu, jeudi et vendredi, c’était trop court. La loi serait restée en plan.
D’où l’idée de se servir de la motion de rejet défendue par la gauche, pour faire une « Duplomb », expression désormais en vogue au Palais-Bourbon. Du nom de la loi Duplomb, qui avait été rejetée par ses propres défenseurs. Rejetée par le bloc central, dans le but de faire échec à l’obstruction de la gauche et de propulser cette loi directement en Commission mixte paritaire.
Ici, j'ouvre une parenthèse : la clarté et la sincérité des débats parlementaires étant considérées comme un principe constitutionnel, on est curieux de savoir ce qu’en dira le Conseil du même nom. Manœuvre astucieuse ou dévoiement irrégulier ? Je referme la parenthèse. Et je reviens à cette nouvelle « Duplomb », exécutée hier de façon moins voyante, plus subtile, mais tout aussi efficace. Simplement cette fois en laissant gagner la gauche.
Comment ? En désertant l’hémicycle. La gauche a eu la surprise hier de découvrir une Assemblée dont le centre était fort dégarni. C’était prévu ! 31 députés présents sur 163.
Deals avec l’extrême-droite
Et puis deuxième surprise : le RN jusque-là bienveillant pour cette loi, qui vote avec la gauche, pour le rejet du texte. Là aussi, théâtre d’ombres. Les marinistes se sont laissé convaincre que leur programme de privatisation de l’audiovisuel serait plus facile avec une seule entité – la holding – plutôt que deux ou trois. Et que l’accélération du changement de loi valait bien ce coup de billard à trois bandes.
Note pour plus tard : penser à interroger Rachida Dati sur ses deals avec l’extrême-droite.
Et maintenant ? Examen au Sénat la semaine prochaine. L’agenda y est plein comme un œuf. Mais Rachida Dati est prête, dit-on, à se rouler par terre pour obtenir un créneau. Là-bas, le débat ne sera qu’une formalité.
Et retour à l’Assemblée nationale le 23 septembre, avant le Budget. Si les débats ne s’enlisent pas, si le RN inverse son vote, la loi Dati aura toutes ses chances.
Ici me revient le titre d’une de ses premières biographies il y a une dizaine d’années : Rachida ne meurt jamais.
Clés : Politique Société Médias Rachida Dati Audiovisuel public
Connu / https://mastodon.top/@cnrs@social.numerique.gouv.fr/114776512780444605
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8 h CNRS 🌍 @cnrs@social.numerique.gouv.fr
Canicule ! Le spectre des chaleurs extrêmes et de longue durée revient désormais à chaque été, voire dès le printemps. Voici un dossier pour mieux comprendre ces épisodes, leurs effets et le rôle du changement climatique dans l’implacable montée du thermomètre.
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Présentation
Samedi 5 : 14h à 18h : expositions dans les granges et les jardins du village
18h30 : soirée concert, gratuit avec Jean-Louis Briolet
20h30 : repas festif 15€ - réservations : 06 78 87 81 74
Dimanche : 14h à 18h : expositions dans les granges et les jardins du village
en journée : animations musicales
Restauration sur place
Entrée libre.
Ouverture
Samedi 5 juillet 2025 de 14h à 18h.
Dimanche 6 juillet 2025 de 10h à 18h
Tr.: Au hameau de Montpaple ... stage Aquarelle / Dominique Fremy ... Création en mode récup / La Fabrique du hazART 06 07 04 17 23
Connu / image fournie /?
Publié Il y a 1 jour • 21 vues
Une guerre de longue durée aura-t-elle lieu à court ou moyen terme entre d’une part Israël et son allié américain, et d’autre part la République islamique d’Iran et ses fameux proxys ? Au moment où nous tournons, en tout cas, une sorte d’accalmie fragile semble s’être imposée, et il est temps pour toutes les parties de compter les points. Qui a gagné ? Qui a perdu ? Qui s’est renforcé sur sa scène intérieure ? Qui s’est a contrario affaibli ? Quelles leçons tirer de cette guerre de 12 jours, et de la “chorégraphie” trumpienne, le président américain ayant donné l’impression de voler au secours de Benjamin Netanyahou pour mieux le contraindre à une forme de retenue ? Pourquoi Trump tient-il tant à acter en interne une victoire qu’il exagère manifestement ? Quels sont les enjeux de politique intérieure ? La guerre des nerfs entre l’Iran et les monarchies du Golfe est-elle relancée ? Et Benjamin Netanyahou dans tout ça. Quel est le bilan de cette épreuve de force pour lui ? Que devient le concept de droit international, avec la banalisation du concept de guerre préventive ?
Bertrand Badie, politiste, professeur émérite à Sciences Po, auteur de nombreux ouvrages dont “L’Art de la paix” paru chez Flammarion, répond à ces questions. C’est l’heure du “Monde n’a pas de centre”, sa chronique internationale. Sur Le Média.
Visibilité Publique
Publié originellement 28/06/2025
Catégorie Inconnu
Langue Français
Étiquettes
Durée 35min 3sec
Commentaires désactivés
Tr.: ...
/droit international : nous sommes dans un temps où la parole du droit existe ... /sommet de l'OTAN à La Haye appeler "papa" d.Trump ...
Publié il y a 10 min • 0 vues
Le Sénégal se lance dans un bras de fer avec le plus important exploitant pétrolier du pays, l’australien Woodside Energy. “L’administration fiscale réclame 62,5 millions d’euros au groupe australien, qui exploite le champ de Sangomar. Contestant tout arriéré d’impôt, celui-ci a lancé une procédure d’arbitrage international.” explique Le Monde. Le journal ajoute que “Le cœur du litige serait dû à des évolutions dans le régime fiscal sénégalais. Le groupe pétrolier considère que les exigences sénégalaises contreviennent à des clauses contractuelles censées protéger les investisseurs en cas de changements fiscaux ou légaux. Or entre la signature du contrat de Sangomar, en 2004, qui s’appuyait sur le code pétrolier de 1998, et les revendications des contrôleurs d’impôts, le texte régissant le secteur des hydrocarbures a changé, en 2019.” Souvent, nous avons parlé dans l’Instant Porcher de ces grands groupes qui exploitent les ressources dans les pays africains. De cette relation d’interdépendance mais aussi de la mainmise de l’Occident sur le continent africain.
La procédure lancée par le groupe pétrolier peut durer des années. Et Le Monde rappelle : “l’Etat (sénégalais) est engagé dans une course contre la montre. Surendettement, note souveraine dégradée, gel du financement du Fonds monétaire international (FMI) à hauteur de 1,8 milliard de dollars ayant pour effet de suspendre d’autres financements comme ceux de l’Union européenne (UE)… Les marges de manœuvre du Sénégal, extrêmement limitées, contraignent les autorités à multiplier audits et redressements. Du français Eiffage au turc Summa, beaucoup de grands groupes passent sous les fourches caudines des inspecteurs des impôts.” Cela démontre dans quel étau l’Occident a placé les pays africains avec des ressources.
Le fameux “conclave” sur la réforme des retraites par François Bayrou a fini sur un échec… assez prévisible me direz vous. On l’avait dit ici. Le Premier Ministre voulaient laisser syndicats et patronat discuter, mais a mis des contours : ne pas revenir sur les 62 ans par exemple. La CGT comme d’autres avaient alors quitté la table des négociations. En dernière ligne, les “partenaires sociaux” restants ne se sont pas mis d’accord sur la pénibilité. François Bayrou a tenté de sauver les restes, et avance que le “travail s’est déroulé dans un climat de coopération”.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
Visibilité Publique
Publié originellement 30/06/2025
Catégorie Inconnu
Langue Français Étiquettes
Durée 19min 52sec
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Tr.: ...
la CFDT a lâché sur l'âge ... c'est une mascarade ...
Les petits matins
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Catalogue
Accueil Collections Essais Démasculiniser la justice
Date de parution : 07/05/2025
Collection : Essais
Thèmes : Société, Féminisme, Justice, Les incontournables
Genre : Essai
Nombre de pages : 320
Autrice : Magali Lafourcade
Une magistrate analyse les mécanismes qui, derrière l’apparente neutralité du droit, conduisent l’institution judiciaire, pourtant largement féminisée, à perpétuer les inégalités de genre et à préserver l’impunité des auteurs de violences sexuelles comme des discriminations.
Description
Pourquoi, tant d’années après le déclenchement du mouvement #MeToo, les violences sexuelles demeurent-elles si souvent impunies ? Pourquoi les discriminations de genre perdurent-elles en dépit des dispositifs de parité ? Pourquoi le divorce appauvrit-il autant les femmes ? Par quelle mécanique les filles se trouvent-elles lésées au profit de leurs frères au moment de l’héritage ?
Alors même que la profession de magistrat est aujourd’hui très féminisée, nombre de processus judiciaires restent défavorables aux femmes. La justice peine à s'affranchir de stéréotypes de genre tenaces, et reste trop souvent une affaire d'hommes.
Magali Lafourcade, magistrate engagée, propose dans cet ouvrage stimulant un changement d'approche en faveur d'une justice plus féministe, plus réaliste, davantage tournée vers l'égalité réelle. Elle livre aussi un témoignage personnel de son expérience des prétoires. Une réflexion salutaire, à l’heure où la question des droits des femmes et des enfants – procès de Mazan, affaire Bétharram, débats sur l’inscription du consentement dans la loi sur le viol – percute plus que jamais l'institution judiciaire.
La presse en parle
Libération
Magali Lafourcade, magistrate : « Être féministe, cela fait partie des devoirs du magistrat. » - 21.05.25
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Manuel Bompard, député LFI des Bouches-du-Rhône - Coordinateur Nationale de la France Insoumise est l'invité de Questions politiques ce dimanche.
Clés : Politique
COMMENT LES TRAVAILLEURS PEUVENT ENFIN GAGNER : CE QU'UNE VIE DE LUTTES M'A APPRIS | J.-L. DUPRIEZ
Publié Il y a 1 jour • 2 vues
Le Média
Par lemediatv
Comprendre le monde capitalisme pour en sortir et Construire un monde non capitaliste : ce sont les titres des deux ouvrages récemment publiés par l'invité de ce numéro d'On s'Autorise à Penser (OSAP), Jean-Luc Dupriez.
J.-L. Dupriez, ingénieur spécialisé en informatique de gestion, a participé tout au long de sa carrière aux luttes sociales en entreprise et poursuit aujourd'hui encore, après sa retraite, des activités syndicales. Les enseignements de son expérience, sur laquelle il réfléchit à la lumière de ses lectures autour de la tradition ouvrière socialiste et dans le domaine de la sociologie, sont tirés dans ses deux livres. Il en parle avec #JulienThéry, en soulignant ces deux points essentiels : c'est le combat de classe dans le monde du travail qui doit être au coeur de l'action politique, autrement dit la lutte syndicale, d'une part, et, d'autre part, les organisation doivent toujours viser à l'union, donc renoncer à l'hégémonie et accepter le pluralisme au sein du mouvement des travailleurs.
Visibilité Publique
Publié originellement 29/06/2025
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu Langue Français Étiquettes
Durée 45min 19sec
Tr.: ... Deleuze, Derrida, Foucault ... post-modernisme, pensée de la différence ... pas de pj commun qui permettrait de fédérer. Montée du fascisme, combat de classe négligé ... mettre la question de classe, articulation, domination de classe, traverse les questions (féminisme, etc) ... est militant à la CGT, reprendre les combats féministes, écologistes, etc ... bilan de Hollande, le mariage homosexuel, ... agir sur la base de leur situation sociale, défendre un projet socialiste de masse ... travaillait dans une PME de la métallurgie ... écouter d'abord ... l'action collective, moteur de l'émancipation ... quel que soit l'expérience militante, on a une dualité : salarié dominé a des insatisfactions permanentes des salariés ... transformer ces motivations individuelles en un mouvement collectif commun ... il faut une adhésion commune ... une démocratie directe ... être au service du collectif pour progresser ensemble ... du collectif ... en russie divorce avec les soviets, a débouché sur le stalinisme ... / conscience, prise de conscience, dialectique entre combat de classe et combat politique ... aujourd'hui, au moment d'une rupture sociale, construire une société ...
aujourd'hui : structurer démocratiquement les luttes de classes, les animer ... à côté, combat politique ...ex juin 2024 : alliance des partis de gauche ...
au milieu ? TERMINER ACT
Paysans et citoyens mobilisés partout en France pour alerter sur les dangers de la loi Duplomb
Publié le 29 juin 2025
Agriculture
Communiqué de presse de la coalition de 36 organisations contre la loi Duplomb
10 000 citoyennes et citoyens – paysans, scientifiques, médecins et victimes – se sont mobilisés dans plus de 60 villes en France pour alerter sur les dangers de la loi Duplomb, à l’approche de son examen en Commission mixte paritaire ce lundi 30 juin. Cette mobilisation fait suite à un appel national lancé par une centaine d’organisations paysannes, environnementales, syndicales et de défense des victimes de pesticides et des consommateurs. Alors que le texte sera soumis au vote final du Sénat le 2 juillet, puis de l’Assemblée le 8 juillet, nous, 36 organisations de la société civile et syndicats agricoles, appelons les sénateurs et les députés à s’y opposer.
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Médecins, scientifiques, victimes, organisations environnementales et syndicats de travailleurs ont aussi exprimé leur opposition à cette loi, fondée sur des preuves avérées des dangers de ce texte. Réintroduction des néonicotinoïdes, affaiblissement de l’Agence de sécurité sanitaire (Anses), destruction programmée des zones humides : cette proposition de loi aura un impact direct sur l’environnement et la santé publique. Les citoyens ont d’ailleurs interpellé plus de 200 000 fois les décideurs ces dernières semaines.
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La mobilisation ne s’arrête pas là. Elle se poursuit avec des conférences organisées ce dimanche soir à l’Académie du Climat à Paris, puis, ce lundi 30 juin dès 11h30, par un banquet paysan Place André Honnorat, près du Sénat.
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©Basile Barjon
Organisations signataires
Collectif Nourrir
Confédération paysanne
Réseau Civam
Union nationale de l’apiculture française (UNAF)
Syndicat national de l’apiculture (SNA)
MIRAMAP
Greenpeace France
Générations Futures
Cancer Colère
Terre de Liens
Médecins du Monde
Alerte des médecins sur les pesticides
Ligue pour la Protection des Oiseaux
Attac France
WWF France
Coquelicots de Paris
Combat Monsanto
SNETAP-FSU
France Nature Environnement
Foodwatch France
Agir pour l’environnement
Les Ami·e·s de la Confédération paysanne
SOL
Pollinis
CCFD-Terre Solidaire
Bio Consom’acteurs
Secrets Toxiques
Extinction Rebellion
Fédération Nationale Accueil Paysan
CGT
Union syndicale Solidaires
Notre Affaire à Tous
Collectifs Bassines Non Merci
Avenir Santé Environnement
Réseau Environnement Santé
Oxfam France
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Connu / TG le 30/06/25 à 9:34