Société-Économie
Voici le nouveau "Netflix": gratuit, écolo et engagé
Le site ImagoTV mis en ligne en décembre 2018 regroupe des podcasts, documentaires et vidéos YouTube écolos et engagés. Une vidéothèque gratuite et participative.
Connu /
https://twitter.com/hervelc/status/1088064271567806465
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Hervé Le Crosnier @hervelc 6 hil y a 6 heures
https://seenthis.net/messages/754367 - Voici le nouveau « Netflix » : gratuit, écolo et engagé
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François BOCQUET a retweeté
Asma SK🌠 @AsmaStein 4 déc.
Vous êtes intéressé.e par les sciences participatives ?
Suivez ce cours @Le_Museum du 18 au 22 Fév 2019
Il s’adresse aux : étudiants en master,
doctorants, chercheurs, ingé, médiateurs scientifiques
C/ @EstimMediation @ADConnaissances @UnivParisSaclay @SorbonneUniv
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Le mouvement des Gilets jaunes est remarquable, à bien des titres, spécialement parce que les aspirations à plus de justice sociale y apparaissent fortement associées à l’attente d’une transformation profonde de la démocratie, dans toutes ses dimensions. Le système institutionnel bien sûr, mais aussi la représentation de toutes les catégories sociales, ou encore les formes multiples de la participation démocratique et la prise en charge d’intérêts structurellement marginalisés sont questionnés.
Nous, chercheuses et chercheurs en sciences humaines et sociales assemblé·e·s au sein du Groupement d’intérêt scientifique « Démocratie et participation », sommes interpellé·e·s par ce que nous interprétons comme un appel à une république plus « participative » et par des pratiques qui s’attachent d’ores et déjà à la mettre en œuvre au quotidien, entre citoyennes et citoyens. Sans être formulé dans ces termes – la démocratie participative n’étant pas explicitement revendiquée – cet appel prend cependant forme au croisement de propositions plus ou moins creusées qui s’y rattachent fortement : assemblée citoyenne, référendum d’initiative populaire, débats décentralisés. Ces revendications démocratiques, leur émergence comme leur structuration via l’usage des réseaux sociaux ou l’organisation d’assemblées populaires, témoignant d’une profonde défiance à l’égard de la représentation et d’une aspiration à l’horizontalité, ne sont pas en elles-mêmes nouvelles. Ce qui est plus original, c’est qu’elles ne sont pas portées par le petit cercle de leurs promoteurs habituels. Autrement dit, alors que nous observons et contribuons depuis des années à des expériences participatives souvent pensées et pratiquées du haut vers le bas, une forme de demande sociale s’exprime sous nos yeux.
Il serait tentant d’annoncer aux Gilets jaunes que les dispositifs participatifs ne manquent pas et que nous sommes prêt·e·s à leur en livrer le mode d’emploi. Ce serait pourtant contraire à notre posture de chercheuses et chercheurs en participation, et présomptueux, de considérer que les réponses institutionnelles et procédurales aux attentes démocratiques des Gilets jaunes existent, que nous n’avons pas besoin de leurs propositions et qu’il suffirait d’élargir ou de généraliser ce qui se fait déjà. De surcroît, l’aspiration à une vie démocratique ne saurait être enfermée dans quelques solutions procédurales vite digérées. D’autant moins que de multiples expériences participatives, aussi étudiées et renseignées soient-elles, montrent d’importantes limites tant dans leur capacité à élargir le spectre de « ceux qui participent » que dans leur influence réelle sur les décisions. Par contre, l’observation et l’étude de ces dispositifs, que les chercheuses et chercheurs réuni·e·s au sein du Gis mènent depuis plusieurs années, peuvent fournir de précieux éléments sur les opportunités mais aussi sur les risques de ce qui va se construire dans les semaines et les mois qui viennent.
Prise au sérieux, la participation conduit d’abord à ouvrir de vraies possibilités de débats pluralistes, d’interpellation et de proposition pour les citoyennes et citoyens, et à garantir leur indépendance en dehors des échéances électorales. Cela peut concerner l’ensemble des politiques publiques (notamment économiques, fiscales et monétaires), et ce à tous les niveaux. Elle conduit ensuite à reprendre à nouveaux frais la question de l’articulation de cette démocratie participative avec la démocratie représentative, dont les limites sont bien établies à tous les échelons territoriaux, de la commune à l’Europe. De plus, la participation ne saurait conduire à délégitimer les autres formes d’expression ou d’expérimentation démocratiques, y compris celles qui s’expriment sur un mode radical. Nos recherches montrent à cet égard que la vitalité des formes plus conflictuelles d’interpellation est bien souvent une condition d’épanouissement des dispositifs participatifs comme d’aboutissement de décisions mieux ajustées à l’état réel de notre société. Enfin, pour être crédible, la concertation à venir doit s’entourer de toutes les garanties désormais bien identifiées (marges de manœuvre politique, moyens financiers et humains cohérents, animation neutre et indépendante, calendrier réaliste…). La réunion de ces conditions suppose à minima l’assurance de la transparence des échanges et un contrôle démocratique sur le traitement, les synthèses et les comptes rendus de l’immense matériau qui sera rassemblé, ainsi qu’un retour sur l’usage qui en sera fait dans les décisions publiques, justifiant ce qui est gardé ou non des propositions faites dans le débat.
Au-delà de cette expérimentation à laquelle nous sommes prêt·e·s à contribuer, nous réaffirmons l’urgence sociale, politique et environnementale d’une vie démocratique, parce que celle-ci conditionne la capacité de nos sociétés à aborder de front les déchirures qui la traversent et à relever les défis à venir.
La direction collégiale et le Conseil scientifique
du Gis Démocratie et Participation
ndlr :
- connu / Loïc Blondiaux @LoicBlondiaux https://twitter.com/LoicBlondiaux/status/1073896519076667392
- de nombreux attributs de la médiation sont présents.
- ne serait-ce pas une manière de tirer la "couverture" "gilets jaunes" à eux ? => questionner ACT
L’Agence des participations de l’État connaît-elle la notion de conflit d’intérêts? Après l’affaire Kohler, la Cour des comptes pointe les dérives de l’organisme lors de la privatisation de l’aéroport de Nice. Le directeur de cabinet de Bruno Le Maire, Emmanuel Moulin, était partie prenante de ce dossier.
...
Mots-clés Aéroport Agence des participations de l'Etat banque d'affaires conflits d'intérêts Cour des comptes Emmanuel Moulin Mediobanca ministère des finances Nice privatisation Toulouse
Nos valeurs
L’objectif d’un atelier Saisir n’est ni de mettre tout le monde d’accord, ni de rétablir une hypothétique lecture objective des faits.
C’est un échange horizontal, qui se nourrit des expériences, des connaissances, des lacunes et contre-sens de chacun pour améliorer notre compréhension de l’actualité et de la place qu’on y occupe en tant que citoyen.
Aux valeurs d’objectivité et de neutralité qui présupposent l’existence d’une vérité exclusive, nous préférons celles de fiabilité, de réflexivité, de considération et d’émancipation – individuelle et collective.
L’équipe projet
Saisir est une association loi 1901 dont les membres fondateurs se sont réunis autour d’un intérêt commun pour les conditions d’émergence d’une citoyenneté active.
Forts de plusieurs années d’expérience professionnelle dans le champ de la participation citoyenne, ils ont piloté et animé de nombreux dispositifs participatifs : débats publics, jurys citoyens sur des politiques publiques, co-construction de projets urbains, formation de citoyens, d’agents territoriaux et d’élus à la participation, concertation sur des grands projets d’infrastructures…
Juliette Rohde
Damien Fauvel
Elian Belon
Le comité scientifique
a vocation à créer un dialogue entre représentants et praticiens de disciplines (scientifiques ou non), afférentes aux enjeux de Saisir : science politique, science de l’éducation, sciences de l’information et de la communication, éducation populaire, éducation aux médias…
Son objectif est double :
1) Croiser les expériences pour enrichir la méthodologie d’intervention
2) Travailler et garantir le positionnement idéologique de l’association
Systeme D
Saisir a reçu le soutien de Système D, premier incubateur de projets d’innovation démocratique, porté par le collectif Démocratie Ouverte. Un grand merci à eux, leurs partenaires et l’ensemble des intervenants qui nous ont aidé à penser les bases de Saisir le plus solidement possible.
Connu /
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Saisir @Saisir_org
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Lutte contre le découragement face à l'actualité ➡️ agit pour mieux la saisir et s'en saisir. #EcologieDeLattention #CommunicationEthique #Information
Ile-de-France, France
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Inscrit en août 2018
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La Fonda
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Origines du projet
En 2014, à l’initiative de la 27e Région, est né Superpublic. Conçu comme le point de rencontre de la communauté pionnière en matière d’innovation publique, ce lieu visait à développer de nouvelles formes d’innovation dans le secteur public en favorisant les croisements et les rencontres entre disciplines, compétences, structures publiques et privées actrices de la transformation des politiques publiques. Les rencontres entre cette communauté et d’autres, et son ouverture à des pratiques différentes (civic tech, participation citoyenne, urbanisme participatif,...) ont conduit à l’émergence du projet des Halles Civiques. Ce projet s’est concrétisé en 2018 par l’ouverture de la Halle Belleville, avec le soutien de la Ville de Paris.
Membres des Halles civiques
Les Halles civiques sont une association autogérée par les membres du collectif. Aujourd’hui, les Halles civiques est un collectif sans salarié : les structures participent à la gestion du lieu de manière bénévole, ou en étant indemnisée lorsqu’elles prennent en charge des fonctions supports indispensables au bon fonctionnement (réservation de lieux, gestion).
Co-initiateurs du projet. Ils ont porté le projet à ses débuts, sont membres et résidents.
Voxe
.#politiques-publiques #experimentation #civictech #démocratie, #démocratiecitoyenne #participation
Kawaa
La 27e Région
Démocratie Ouverte
Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne
Master Ingénierie de la concertation de l’Université Paris-I Panthéon-Sorbonne
Débatlab
Esopa Productions
Compagnie Un pas de côté
Indivisible
Les Beaux Jours
Coop Cité
L'accélérateur de la mobilisation
Agence Phare
Les résidents et coworkers. Ils travaillent à la Halle Belleville ou la Halle Superpublic et sont membres du collectif.
D21
Oyena consulting
Partie Prenante
Vraiment Vraiment
Direction interministérielle de la transformation publique (DITP)
Institut de la Recherche en Gouvernance
Fondation internet nouvelle génération
GIS Démocratie et Participation
Empreintes citoyennes
Les voies de la démocratie
Echo
MONONO | Territoires en Récits
Wink Design
Espaces compris
...
Avec le soutien de la Ville de Paris
En 2017, le collectif a gagné un appel à projet de la Ville de paris mettant à disposition un lieu qui est la Maison de l’air à Belleville, Paris 20e. Il a gagné le droit d’occuper temporairement le bâtiment de la maison de l’air (Halle Belleville) pendant 1 an. Il a bénéficié de 50 000 euros pour mettre au norme et aménager les 650m2 mis à disposition. La ville de Paris bénéficie d’un espace au sein de la Halle Belleville.
Nous contacter
→ mail : info@hallesciviques.org
→ locations d’espaces : location@hallesciviques.org
Venir nous voir
→ Superpublic, ouvert de 9h à 18h
4 rue de la Vacquerie
75011 Paris
→ La Halle Belleville, ouvert de 10h à 18h
27 rue Piat
75020 Paris
Les Halles Civiques @halles_civiques
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Réseau de tiers-lieux dédiés à l'expérimentation citoyenne, publique et démocratique à Paris.
Paris 20e
hallesciviques.org
Inscrit en janvier 2018
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Benoit Vallauri
Démocratie Ouverte
32 Photos et vidéos
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Vraiment Vraiment
@vrmtvrmt
19 nov.
.#AP2042 Numéro 2 - "Action publique et transhumanisme" - Introduction d'Etienne Grass (membre de l'IGAS, ancien directeur de la stratégie de l'AP-HP, directeur "Citizen Services" de @CapgeminiInvent), jeudi 20/12 @halles_civiques. Pour s'inscrire : https://vvdesign.typeform.com/to/uhsyUl
Etienne Grass et Yoan Ollivier
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/transhumanisme ?!
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Les Halles Civiques @halles_civiques
5 oct.
⚖️ Mercredi 10 octobre à 18h30 à la Halle Belleville, le @mvtcolibris organise un Tribunal pour les Générations Futures à l'occasion de la sortie de leur MOOC "Quelle Démocratie pour demain ?", en partenariat avec @OpenGovFr.
📝Inscriptions obligatoires : https://www.kawaa.co/fr/rencontre/7517 …
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&
https://twitter.com/GISDemoPart/status/1046733215283777536
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Les Halles Civiques a retweeté
GIS Participation
@GISDemoPart
1 oct.
Notre séminaire est demain ! Après Bruno Latour, nous recevons Alice Mazeaud (@UnivLaRochelle) & Magali Nonjon (@Sciences_Po_Aix) qui présenteront leur excellent livre:
Le marché de la démocratie participative
Le discutant sera @LoicBlondiaux
C'est aux @halles_civiques à 17h30
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...
https://twitter.com/halles_civiques/status/971759709186293763
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Les Halles Civiques @halles_civiques
8 mars
.#Inauguration La Halle Civique à Belleville vous ouvre ses portes lundi prochain à partir de 16h 🏢 ! Venez découvrir le lieu et rencontrer ses nouveaux résidents 👋 #HallesCiviques Inscrivez-vous ici http://www.kawaa.co/fr/rencontre/6039 …
Kawaa, Démocratie Ouverte, La27eregion et 5 autres
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Vous êtes à la recherche de financements (autres que bancaires) pour votre projet ?
Il est devenu possible aujourd'hui, grâce à internet, de solliciter des fonds auprès d'un large public via des plateformes de crowdfunding.
Ce type de financement peut prendre la forme d'un don, d'un prêt ou d'une prise de participation au capital de votre entreprise.
A vous de choisir la formule la plus adaptée à la nature de votre projet et à vos besoins !
Expertise
Le 11 août dernier, Cyril Lage était invité sur le plateau de l’émission de France Inter Des idées pour demain, présentée par Valère Corréard — également auteur du livre Changer d’ère, l’air de rien, directeur de ID L’info durable et rédacteur en chef de Ushuaïa le mag. Étaient également invités à cette émission : Romain Slitine, maître de conférences à Sciences Po et co-auteur du Coup d’État citoyen, Christian Proust, auteur du Guide pratique pour oser s’impliquer dans la vie politique locale et Sylvain Lapoix, journaliste et co-auteur du programme Datagueule.
L’entretien commence à 39’40
Bonjour Cyril Lage, vous êtes le fondateur de la plateforme Parlement & Citoyens. Comment fonctionne cette plateforme ?
Cette plateforme est à destination des parlementaires qui souhaitent associer les citoyens à la rédaction de leurs propositions de loi. Tout parlementaire peut nous solliciter pour ouvrir une discussion sur cette plateforme, à travers un processus un peu complexe […] qui va se situer en différentes étapes : la première étant la présentation d’un problème, des causes et des solutions identifiées par le parlementaire, pour permettre au citoyen de rentrer dans une réflexion avec lui, qui conduira par étapes successives à la rédaction d’une proposition de loi dans laquelle le parlementaire expliquera ce qu’il a retenu ou non des propositions des citoyens.
Tout le monde peut venir y écrire la loi avec le parlementaire qui a choisi de consulter le public ?
Absolument. C’est gratuit, ouvert à toute personne désireuse de s’impliquer.
Quel est le rôle du citoyen dans le processus d’échange avec le parlementaire ?
Son rôle, c’est plutôt de concrétiser un droit. À la base de ce projet, c’est l’article 6 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen qui, depuis 1789, reconnait le droit à chaque citoyen de participer à l’élaboration de la loi. Donc la question c’est d’abord de lui rendre ce droit, et de pouvoir rentrer dans une réflexion qui, face à un problème qui va le concerner, de pouvoir dire son analyse des causes et des solutions proposées par le parlementaire et les autres citoyens, et pouvoir à son tour développer sa propre argumentation. C’est la première phase, qui est une phase d’expression, de recueil des positions individuelles, qui va être synthétisée dans un deuxième temps par notre équipe et ensuite qui va faire apparaître des éléments d’accord et de désaccord sur lesquels les citoyens vont se réunir ensuite avec le parlementaire — virtuellement sur Parlement & Citoyens — pour avoir un débat beaucoup plus contradictoire et en profondeur sur les éléments qui ne sont pas d’accord.
Il y a souvent une question qu’on se pose avec ce type d’outil audacieux et innovant : comment prendre en compte la pluralité des avis et comment donner voix au chapitre à chacun quand on est dans un grand collectif ?
Vous avez raison, c’est un des points essentiels dès lors qu’on est face à une consultation qui va être intègre, c’est-à-dire dans laquelle on a un décideur qui a une véritable volonté de tenir compte de la parole citoyenne. Sur certaines opérations qu’on a pu mener avec 40, 50 ou 60 000 contributions c’est un véritable défi. On a expérimenté beaucoup de choses, tout ce qu’on fait est assez expérimental, et on s’est arrêté sur une approche de synthèse cartographique dont l’ambition n’est pas de faire une synthèse de 2 ou 5 pages pour dire au politique « Voilà ce qui est essentiel » mais de réussir à travers cette cartographie de lui montrer toute la diversité des opinions exprimées, sans les doublons. On va catégoriser le contenu pour réassocier tout ce qui est de même nature pour lui permettre d’embrasser la diversité des opinions qui vont s’être exprimées, et donc de lui permettre ensuite d’avoir une sorte de « map » (carte) [pour] rentrer plus en détails dans les sujets sur lesquels il va vouloir approfondir.
On parle beaucoup de « green washing », de « social washing », est-ce qu’il y a du « civic washing » ?
Bien sûr, évidemment. Vous avez aujourd’hui beaucoup de politiques — on entend les buzz words « intelligence collective », « civic tech » — qui se disent qu’ils peuvent gagner des points par le simple fait d’opérer un processus participatif.
Je consulte mais j’écoute pas…
Voilà c’est ça. Alors nous on a été très clairs et on est toujours très clairs avec nos clients et on est réputés d’être durs de l’éthique sur le marché. On présente notre outil comme une arme à double tranchant : vous vous en servez bien, vous gagnez des points ; vous vous en servez mal, c’est fait pour que ça se voit et pour que les citoyens puissent de façon éclairée savoir que vous vous êtes moqué d’eux.
A partir de la plateforme Parlement & Citoyens, combien de propositions co-écrites sont devenues loi ?
Trois consultations ont abouti à la rédaction de propositions de loi et sur les trois, une a été votée — elle vous intéressera, c’est celle qui est relative aux pesticides à usage non agricole, celle qui fait qu’aujourd’hui le Roundup est interdit à la vente aux particuliers et sur les espaces publics.
NDLR : le positif est en gras, mais des doutes sur le sens de "actif sans voter" => approfondir ACT
« L’éducation : c’est écrire, lire, compter.
L’éducation populaire : c’est écrire sa vie, lire entre les lignes, compter sur les autres »
...
Dans les pas du courant ouvrier : courant dans lequel se situe ma démarche d’éducation populaire politique festive : Il apparaît de façon évidente, suite à la présentation de ce courant que la participation responsable et citoyenne y est posée comme une posture incontournable. Et c’est bien cela qui m’intéresse dans ma démarche mais aussi dans la vie de tous les jours.
En reprenant les mots d’Olivier DOUARD8, je pourrai avoir une idée de ce qu’est l’Éducation populaire que nous nommons « politique » aujourd’hui. Je cite : « Si la « question ouvrière » du XIXe siècle ne se pose plus en ces termes, cette approche plus politique de l’éducation populaire se trouve réactivée, depuis quelques années, par la question sociale du moment, celle du développement massif de la précarité et de l’exclusion sociale. Face à cela, l’éducation populaire cherche à proposer aujourd’hui une réponse plus politique, comme le montre la référence à l’éducation populaire d’associations d’un type nouveau, comme Attac ou Droit au logement ».
Le premier numéro de notre dossier est consacrée à la décision publique et au rôle de la société civile dans la démocratie.
Quels changements à venir à l’aube de ce nouveau quinquennat ?
Comment la décision publique est-elle amenée à se transformer et quelle part prendra la société civile ?
La décision publique de demain se construit aujourd’hui.
...
Page 16 démocratie participative
Page 17 droit à la participation citoyenne ?
page 22 Le CESE hors les murs
la plateforme rse
Installée au sein de France Stratégie en juin 2013, la Plateforme nationale d’actions globales pour la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est une instance de dialogue et de concertation placée auprès du Premier ministre. Entrent dans sa composition des représentant.e.s du CESE. Elle est présidée par Hélène Valade.