Durée de lecture : 6 minutes - Clés : Agriculture Alimentation Alternatives
... consommer moins de produits carnés et mieux agencer culture et élevage.
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Les engrais de synthèse ont permis l’avènement d’un modèle agricole intensif « largement déséquilibré », selon Gilles Billen, directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et coauteur de cette étude
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trois leviers
- changement global de régime alimentaire
- reconnecter la culture et l’élevage ... en finir avec l’importation de soja pour l’alimentation des animaux, l’un des principaux moteurs de la déforestation en Amérique latine.
- généraliser les rotations des cultures (que pratiquent déjà les agriculteurs bio) afin d’enrichir les terres de manière naturelle
... dix milliards d’êtres humains pourraient être nourris sans engrais de synthèse en 2050, à condition que leurs régimes soient composés de moins de 40 % de protéines animales. ... recyclage des excreta humains ...
La France insoumise @FranceInsoumise Cercle rouge Retrouvez une nouvelle vidéo des formations insoumises !
Boris Bouzol vous présente une formation consacrée à la #fiscalité locale.
Flèche vers la droite https://youtu.be/iRKeAgAwm44
Les formations insoumises - La France insoumise
5:52 PM · 30 juin 2021·- 21 Retweets 2 Tweets cités 43 J'aime
Connue / https://twitter.com/FranceInsoumise/status/1410264990985109507
Anticiper les risques en mangeant local avec Stéphane Linou
il y a 1 mois • 26 vues
adaptation radicale
LANDES
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Deuxième épisode de la web-série « A contre courant », qui vous emmène à la rencontre de celles et ceux qui font vivre Enercoop en Nouvelle-Aquitaine : http://ener.coop/a-contre-courant
Un épisode, un territoire, trois portraits.
Nous nous rendons cette fois-ci dans les Landes, sur le TEPOS (Territoire à Energie POSitive) de la Haute Lande, direction Escource où nous avons rencontré Patrick Sabin, maire de la commune et président de la Société d'Economie Mixte du TEPOS de la Haute Lande. Sur la commune, deux centrales solaires citoyennes produisent pour Enercoop.
Puis nous avons rendu visite aux charpentiers de la société Canopée Construction, cliente d'Enercoop depuis 2016 à Lesperon, ainsi qu'à la jeune militante Anaïs Bouzon, sociétaire et cliente de notre coopérative sur la commune de Mezos.
🎥 Une web-série produite en coopération avec la vidéaste Lycia Walter
Pour en savoir plus sur Enercoop Nouvelle-Aquitaine :
www.enercoop.fr/nos-cooperatives/nouvelle-aquitaine
A PROPOS DE "A CONTRE COURANT" ----------------------------------------------------------
On vous emmène à la rencontre de celles et ceux qui font vivre notre coopérative Enercoop Nouvelle-Aquitaine. Des élu.e.s, habitantes et habitants de la région, membres d’associations et entreprises, artisans, productrices et producteurs d’énergies renouvelables. Toutes et tous ont un point commun : s’engager pour une transition énergétique locale et citoyenne, à contre-courant des choix dominants.
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17 avril #stopreintox – ⭐déjà + DE 20 MOBILISATIONS aux 4 coins du pays pour la 3e VAGUE D’ACTIONS ... une large constellation de syndicalistes, paysan.nes, zads, associations, territoires en luttes, espaces autogérés, coopératives vont passer une nouvelle fois simultanément à l’action pour faire barrage au nihilisme marchand ainsi qu’aux dirigeants politiques qui continuent de s’y soumettre envers et contre tout et précipitent le monde vers l’abîme..
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?NpByHQ
Ndlr : "internet local" ne veut rien dire car l'internet est "le réseau des réseaux". C'est donc une infrastructure répartie interconnectée :-(
Ce qui pourrait vouloir dire quelque chose, c'est "L'INTERNET, RETOUR AUX SOURCES", "UN INTERNET RÉPARTI" !
C'est-à-dire cassé l'effet SILOS des GAFAM qui ont centralisé et concentré serveurs et données.
L'arnaque de la décentralisation dans un monde globalisé
Format 11X16 cm, 192 pages, 10 Euros, version numérique: 5,99 Euros. Collection «Ruptures»
Rapprocher le pouvoir du citoyen , instaurer la « démocratie participative, soutenir le développement territorial et l'économie « de proximité…
A l’approche des élections municipales, on assiste à une surenchère des mots d’ordre localistes et décentralisateurs. On les retrouve dans tous les discours politiques, de la gauche à l’extrême-droite en passant par la droite et les socio-démocrates.
La participation des habitants et les promesses de changement « par en bas » sont dans tous les programmes. Les démarches et les listes « citoyennes », plus ou moins instrumentalisées par les partis traditionnels, se multiplient. Même le président de la République s’affiche localiste : en réponse à la crise de « Gilets jaunes », il promet une nouvelle phase de décentralisation pour la deuxième moitié de son mandat. A en croire nos élites, c’est donc par l’action municipale ou régionale que les problèmes économiques, sociaux, environnementaux ou démocratiques pourraient être résolus...
Ce livre s’attache à déconstruire ce mensonge. Car la mondialisation, elle, ne rapproche pas le pouvoir du citoyen, mais l’éloigne considérablement. Les décisions économiques sont concentrées aux mains des grandes firmes et de leurs actionnaires, et s’imposent aux peuples par delà les principes démocratiques. Les droits sociaux sont en régression permanente à cause de la concurrence internationale. Et la classe politique n’en finit plus de se discréditer en obéissant aux injonctions des marchés.
La « mondialisation heureuse » ayant fait long feu, c’est le « localisme heureux » qu’à présent on cherche à nous vendre. Le terroir et les circuits courts pour compenser les ravages de la mondialisation. Le régionalisme pour masquer le désengagement de l’État, la destruction ou la privatisation des services publics.
Cette « illusion localiste » doit être dénoncée. Non pas que l’action de proximité soit négligeable, car s’engager dans la vie locale est tout à fait nécessaire. Mais pour sortir du piège de la mondialisation, cela ne suffit pas. Plutôt que d’opposer l’action locale et celle de l’État, mieux vaudrait les articuler.
Lire un extrait L'illusion localiste http://www.editions-utopia.org/wp-content/uploads/2019/11/Extraits-A.-Bernier.pdf
Lire l'ITW dans Socialter http://www.editions-utopia.org/socialter-1/
Aéroports, fermes-usines, barrages, entrepôts, centres commerciaux… Les grands projets inutiles et dévastateurs prolifèrent en France. Face à eux, des collectifs citoyens se mobilisent pour défendre leur environnement. Cette carte des luttes locales servira d'outil de mobilisation afin d'inciter celles et ceux qui veulent s'engager à rejoindre ces collectifs.
- Bétonnage
- Transport 3
- Énergie
- Industrie
- Agriculture 2
- Déchets 1
- Commerce
Carte réalisée par Reporterre, ~ le mouvement & Partager C'est Sympa
Ndlr : zad fiquet retirée ? ACT
66 886 ont signé
Francis PALOMBI a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.)
Catastrophe sanitaire, l’épidémie de Covid-19 a mis à l’arrêt le commerce qui fait la qualité de vie et le lien social dans nos villes et villages. Pendant les huit semaines de confinement, 70 % des commerces de proximité étaient fermés.
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à l’heure où il faut organiser la relocalisation de notre économie, comment peut-on accepter la concurrence déloyale d’une entreprise comme Amazon, qui ne respecte pas les droits des salariés, pratique l’évasion fiscale et dont la market place ne paye pas la TVA ?
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Nous vous demandons de protéger de toute urgence le commerce de proximité, en prononçant un moratoire sur la délivrance des permis de construire ou d’aménager des nouveaux entrepôts logistiques d’Amazon en France.
https://twitter.com/BVallauri/status/1252218245857280001
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Benoit Vallauri @BVallauri · 16h
http://produits-locaux.bzh se taille un beau succès
en mettant en relation plus de 44 000 consommateurs et 1 205 producteurs locaux inscrits pour faciliter l'échange de produits à proximité de leur domicile. Une initiative non marchande #Confiance #Médiation
Avec la crise sanitaire, la vente directe de produits frais explose
Le confinement a changé les habitudes. De nombreux consommateurs se rapprochent de leurs producteurs locaux pour faire leurs provisions de fruits, légumes, viande ou produits laitiers. Vente directe...
letelegramme.fr
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AQC #27 : SPÉCIAL MUNICIPALES, L'ÉCOLOGIE LOCALE, FACE AU RN & RACHLINE LE BÉTONNEUR ! / Manon Aubry
19:53 - 1 k vues
Ici, chacun s’investit à sa façon, en fonction de son temps et de ses envies pour sensibiliser le grand public, participer à des actions de terrain, interpeller les autorités et entreprises liées à nos campagnes, partager son expertise et bien plus encore.
rejoignez-nous
Prochaine réunion d'information
Les réunions d'accueil du groupe local ont lieu le deuxième lundi de chaque mois à 20h à la Maison de la Solidarité au 22 rue du Pigeon Blanc à Poitiers. Pour accueillir les nouveaux, on se retrouve vers 19h30 le temps d'engager les présentations et de présenter rapidement le groupe local. Il est donc important de nous prévenir un mois à l'avance le temps qu'on puisse s'organiser en interne pour commencer une réunion plus tôt et mobiliser un maximum de personne à celle-ci!
N'hésitez pas à nous contacter en cliquant sur le bouton jaune ci-dessous ou par téléphone au 0770101026 si vous êtes intéressés pour participer à nos actions locales! Vous pouvez également nous contacter via Facebook ou Greenwire.
La presse en parle
La Nouvelle république : Greenpeace veut moins de viande dans les assiettes des enfants https://www.greenpeace.fr/www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/greenpeace-veut-moins-de-viande-dans-les-assiettes-des-enfants
Sur France 3 Nouvelle Aquitaine : 2 fois trop de viande dans nos cantines... https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/greenpeace-veut-moins-de-viande-dans-les-assiettes-des-enfants
Pacte pour la Transition @PacteTransition · 8h
Dans nos communes on peut favoriser une agriculture locale, bio et rémunératrice pour les agriculteurs
🥕 @reseaucocagne, @miramap2, @FAIRequitable et @LGA_resilience ont rédigé la fiche technique de la mesure 5 du Pacte pour la Transition et te donnent les clés pour y arriver !
18 commentaires - À l’approche des municipales, Mediapart met en lumière nos partenaires qui font vivre une presse indépendante localement, et fait le bilan des initiatives citoyennes en cours ou qui se lancent actuellement.
Les ronds-points, ZAD, places qu’on occupe, où l’on conteste mais où l’on construit également… en quelques années, de nombreuses mobilisations semblent témoigner du retour au local pour proclamer et faire vivre l’idéal démocratique. Pendant ce temps, une presse numérique locale indépendante essaie également de s’implanter, pour jouer son rôle d’investigation et d’animation du débat public. Retour sur ces tendances, en deux plateaux Live.
Le combat pour la liberté et l’indépendance de l’information locale https://www.youtube.com/watch?v=CTCu12-jo6A
Animation : Stéphane Alliès
Avec nos partenaires : Jacques Trentesaux de Mediacités, Gilles Triolier du Poulpe, Lisa Castelly de Marsactu et Benjamin Téoule du D’Oc.
À lire : l’article de Mediacités sur l’hémorragie de la presse locale.
Le municipalisme : des expériences et des projets https://www.youtube.com/watch?v=6m9LsxtiW3g -> https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?apAsrw
Animation : Fabien Escalona et Mathilde Goanec
Avec Fathi Bouaroua (co-initiateur du Pacte démocratique pour Marseille) ; Guillaume Gourgues (maître de conférences en science politique à l’université Lumière Lyon-II) ; Fernand Karagiannis (conseiller municipal à Saillans) ; Steven Mathieu (« gilet jaune » de Commercy) ; Anne-Sophie Olmos (conseillère municipale à Grenoble) ; Vincent Verzat (vidéaste et youtubeur, co-initiateur de « Super local »).
plateforme internet trouver les fruits et légumes cultivés localement près d’un code postal, qu’ils soient en provenance des producteurs locaux mais aussi des jardins ou vergers de particuliers. L’objectif étant d’arriver à consommer local et donc responsable mais aussi de lutter contre le gaspillage alimentaire et de (re)créer des liens entre personnes d’un même quartier ou d’un même village.
Les producteurs eux aussi ont la possibilité de vendre leurs déclassés et surplus afin de lutter contre le gaspillage.
Comment soutenir cette démarche?
– Proposer vos surplus de jardins et arbres fruitiers, vous ferez des heureux(ses) c’est certain ! (si vous n’êtes pas intéressé(e) par l’aspect pécunier, vous pouvez reverser les gains générés à une association qui lutte pour la protection de l’environnement).
– Achetez les fruits et légumes sur Le Potager d’à côté c’est participer à la lutte contre le gaspillage alimentaire, consommer de bons fruits et légumes locaux et soutenir un producteur qui dédie son énergie et son temps à mieux vous nourrir.
– Parlez de la plateforme et motivez vos proches de passer à l’action 🙂
En 5 mois, près d’une tonne de fruits et légumes locaux vendus et 200 kilos de surplus pas allés à la poubelle
22 place du champs de mars Ruelle sur Touvre ( itineraire )
Aéroports, fermes-usines, barrages, entrepôts, centres commerciaux… Les grands projets inutiles et dévastateurs prolifèrent en France. Face à eux, des collectifs citoyens se mobilisent pour défendre leur environnement. Reporterre publie une carte de toutes ces luttes locales, réalisée avec Le Mouvement et Partager c’est sympa. Elle servira d’outil pour celles et ceux qui veulent empêcher la destruction du monde.
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Selon un rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), 50 à 70 % des solutions pour le climat se situent à l’échelle locale. C’est pourquoi cette carte des luttes, réalisée en partenariat avec l’ONG de mobilisation citoyenne Le Mouvement https://lemouvement.ong/ et l’équipe de vidéastes de Partager c’est sympa, va être utile. Elle s’inscrit dans le cadre du projet SuperLocal, dont l’idée est simple : soutenir les luttes locales pour gagner un maximum de batailles contre des projets et sites polluants partout en France. « Après plus d’un an de mobilisation intense pour le climat, on est très nombreux à faire le constat que l’échelon national est bloqué, que Macron nous enfume et continuera de le faire », explique Victor Vauquois, de Partager c’est sympa.
La campagne SuperLocal veut aussi peser sur les municipales de mars 2020 [1]. « Le temps des élections est une occasion unique parce que les maires sortants et les candidats sont obligés d’être à l’écoute de la population. Nous souhaitons les forcer à prendre position sur ces sites polluants », poursuit Elliot Lepers, du Mouvement.
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Ndlr : manque Lyon-Turin ? dem / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?QHJ_pg ATT
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Retrouvez la deuxième formation aux élections municipales du mardi8r octobre intitulée "Face au féodalisme local, faire vivre la démocratie dans le conseil municipal" présentée par Gabriel Amard.
Catégorie Actualités et politique 8 commentaires
Régis Bellande il y a 2 heures
Merci, c'est très bon et c'est indispensable pour tous celles et ceux qui entrerons dans un conseil municipal. Nous cherchons l’émancipation des citoyens qu'elle soit politique et/ou économique.
modèle d'ordinateur basique mais répondant néanmoins à la plupart de nos besoins quotidiens. Le tout, pour un prix n’excédant pas 30 euros ... l'impact sur l'environnement, notamment à cause de l'extraction des minerais nécessaires à leur construction qui, le plus souvent, sont très peu recyclés en fin de vie.
... la plupart de nos besoins quotidiens :
- Traitement bureautique classique (écriture de document, création de diaporamas, etc )
- Navigation sur internet (réseaux sociaux, envoi de mails, etc)
- Une utilisation multimédia basique (regarder/retoucher faiblement des photos, regarder des films, etc)
... le Raspberry Pi, dans sa version la plus simple le Raspberry Pi Zero W. Pour les autres composants de l'ordinateur (écran, clavier, souris) nous utiliserons du matériel de récupération.
... MicroSD 64GB avec Raspbian gravé dessus (si vous n’avez pas encore préparé votre carte SD, vous pouvez aller faire un tour sur le tutoriel pour Windows, et celui pour Linux http://raspbian-france.fr/creation-carte-sd-raspberry-raspbian-sous-gnulinux/)
...
KIWIX Hotspot vous permet de transformer un mini-ordinateur bon marché comme le Raspberry Pi en un relais pour distribuer du contenu gratuit, sans connexion internet, via un réseau local.
Débat. Écologistes dépités, ils dénoncent les comptes de la Métropole et les 1 020 hectares de terres que les élus proposent d’urbaniser dans le cadre du futur Plan local d’urbanisme. Un document qui n’a rien d’irréversible.
Réunis à la Friche Lucien, le collectif communique chaque mercredi son envie de voir conserver la vocation agricole de centaines d’hectares. (Photo Paris-Normandie)
Elles ne sont pas d’accord avec les chiffres de la Métropole Rouen Normandie. Du coup, une dizaine d’associations, réunies autour de Bouillons Terres d’Avenir, Effet de serre toi-même, Terre de liens ou Respire ont décidé de présenter leur analyse du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi).
Arrêté en juin 2019 par les élus métropolitains, le projet dicte les règles d’urbanisme pour la période 2020-2033. Il est soumis à l’avis des habitants depuis le 19 août dans le cadre d’une enquête publique qui se poursuit jusqu’au 1er octobre
Laids, inutiles, ruineux, toxiques pour l'environnement, les oreilles, les neurones et la dignité humaine, les produits dits "high-tech" sont de plus en plus souvent critiqués. D'où le louable projet de les remplacer par les mêmes en durables, sobres, inoffensifs… Le "low-tech" est-il une alternative plausible aux déviances de la vie moderne ?
Publié début mai, le rapport du « Giec de la diversité » (IPBES) a fait grand bruit*. De belles âmes ont poussé un cri de détresse : environ 1 million d'espèces animales et végétales sont menacées d'extinction, beaucoup d'autres pourraient à leur tour disparaître à plus ou moins long terme. Bon élève écologique, d'autant plus réceptif aux injonctions à la sobriété qu'il est soucieux de sa santé et de son tour de taille, le bobo des villes a déjà commencé à consommer plus local et plus bio, manger moins de viande et rouler à trottinette. Mais la cohérence n'est pas son fort. Sa consommation de produits high-tech a, en parallèle, explosé, trahissant son engouement infantile pour des jouets toujours plus connectés, énergivores, polluants et peu recyclables.
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