Le mouvement des gilets jaunes a mis en avant le besoin incompressible de concilier transition écologique et justice sociale. Sans justice sociale, il n’y aura pas de transition écologique. Sans transition, les impacts du dérèglement climatique, dont les populations les plus pauvres sont déjà les premières victimes, seront exacerbés.
Et les plus précaires risquent de rester piégés dans notre dépendance collective aux énergies fossiles.
Face à cette situation, le Réseau Action Climat appelle le Gouvernement à mettre en œuvre un nouveau contrat qui s’articule autour de 6 réformes fondamentales à engager pour faire émerger une société plus écologique et plus juste.
Pour toutes celles et ceux qui ont des difficultés à boucler leurs fins de mois, qui ne peuvent pas faire autrement que d’utiliser leur voiture ou se chauffer au fioul, ce contrat propose des solutions concrètes que le gouvernement pourrait adopter dès cette année.
Plusieurs de ces propositions ont déjà été portées auprès de ce Gouvernement et des précédents, mais ceux-ci ont préféré jusqu’à présent faire la sourde oreille. Pour que ce nouveau contrat se concrétise, nous appelons les Français à le soutenir massivement que ce soit à travers le débat officiel lancé par le Gouvernement ou en rejoignant les mobilisations qui s’organisent partout en France, pour exiger une action de l’Etat qui soit à la hauteur du défi climatique et qui ne se fasse pas au détriment de ceux qui ne peuvent pas faire autrement.
-> https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2019/02/nouveau_contrat_ecologique_juste.pdf
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Conférence de presse de Jean-Luc Mélenchon et des députés de la France insoumise le 19 février 2019 à l'Assemblée nationale. Le président du groupe « La France insoumise » a dénoncé les actes antisémites commis, notamment contre M. Finkielkraut. Il a expliqué que la lutte contre l'antisémitisme et le racisme était au fondement de l'engagement humaniste des insoumis et qu'il était « impossible d'être raciste et membre de la France insoumise ». Jean-Luc Mélenchon a également dénoncé l'instrumentalisation politique de la lutte contre l'antisémitisme faite par la République en Marche pour s'en prendre aux insoumis et aux Gilets jaunes. Il a affirmé que le mouvement des gilets jaunes n'était ni raciste, ni antisémite, ni homophobe et qu'il fallait en chasser les éléments qui s'appropriaient la lutte sociale portée par ce mouvement pour tenir des propos indignes. Jean-Luc Mélenchon a également appelé à participer le 16 mars aux mobilisations pour la justice sociale et pour la sauvegarde du climat.
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Actualités et politique
743 commentaires
Cemil Choses A Te Dire il y a 9 heures
A chaque fois que je vous écoute, monsieur Mélenchon, mais aussi les camarades députés ici, je suis à la fois heureux et en souffrance.
Heureux car l'intelligence qui s'exprime ici me rempli de joie.
En souffrance car vous n'êtes pas au pouvoir.
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Michelle Tirone
il y a 10 heures
Excellente prestation. Je crois que tout a été dit et bien dit. J'irai à la manifestation ce soir à Limoges mais surtout pour protester contre l'ensemble des discriminations.
.#jpeuxpasjaiclimat #onatoujoursclimat #jenesuispasvotreotage
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DIMANCHE 27 JANVIER. BRUXELLES.
Après la marche historique pour le climat du 2 décembre 2018, après le mépris politique de cette mobilisation citoyenne sans précédent dans l'histoire de notre pays, il est encore temps de réclamer une justice Climatique, sociale et fiscale.
.#jpeuxpasjaiclimat #onatoujoursclimat #jenesuispasvotreotage
Une production Le Biais Vert
Réalisation : Elias Sanhaji et Ilyas Sfar
Scénario : Félicien Bogaerts et Elias Sanhaji
Chef opérateur : Baptiste Maryns
Montage : Yoal Desurmont
Son : Léo Fleurant
Plans drone : Lucas Ruyssen
Traduction NL : Pierre Paulus et Jolan de Hertogh
Un grand merci à Pépin de Citron, Pierre et Stéphanie, Philippe Henry, Xavier Verhaegen, Mr Mondialisation, Terry Gilliam et la ville de Charleroi pour leur aide précieuse.
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People et blogs
19 commentaires
okko tv
il y a 19 heures
Bravo ! Bravo pour le message, le courage, l'image... On a besoin de profondeur et de sincérité, "on ne joue plus"... Manifestons ! ET BOYCOTTONS ! PRODUISONS L'OMERTA TOTALE... Ne laissons pas les Gilets Jaunes dans la rue sans les rejoindre : PRODUISONS un retrait massif de nos vies dans leur système qui s'en alimente. CESSONS MASSIVEMENT de leur donner le levier par lequel ils nous plongent dans l'abîme. FISCALEMENT (on ne paie plus rien, on retire l'argent des comptes), SOCIALEMENT (grève générale totale), ECOLOGIQUEMENT (omerta totale des supermarchés, par ex). MANIFESTONS, mais voyons que ce n'est qu'une manière d'agir, et multiplions nos actes de non-résignations : nous ne sommes pas leur otage !
Connue /
https://twitter.com/PartagerCSympa/status/1087416845399965697
"
Partager C'est Sympa @PartagerCSympa 11 hil y a 11 heures
"Je ne suis pas votre otage" : superbe vidéo des copains belges sur Le Biais Vert, qui hausse le ton et le niveau de la mobilisation.
Faisons avec eux de 2019 une année de lucidité, de radicalité et de solidarité !
0 réponse 16 Retweets 18 j'aime
"
12 672 vues - 1,3 k - 28
On les croyait résignés. On disait la situation politique verrouillée jusqu’à la fin du quinquennat Macron. On pensait que rien ne leur ferait plus jamais battre le pavé. Ils se sont levés pourtant dans la France entière. Smicards, employés, apprentis, ils sont venus de Bretagne, des Hautes-Alpes, du Languedoc pour rappeler que la France existait encore avec son histoire révolutionnaire, qu’il y avait encore un caillou dans la chaussure du néolibéralisme mondial.
Après cinq semaines de lutte sur les ronds points ou dans les beaux quartiers de la capitale, que vont faire les Gilets Jaunes ? Comment peser sur le pouvoir lorsque celui ci est décidé à ne céder que des miettes et ce après une répression d'une violence inouie ? Doivent-ils se structurer politiquement, lancer des listes européennes ?
Invités :
- Emmanuel Todd, historien, démographe
- Jean-François Barnaba, gilet jaune
- Geoffrey Denis, gilet jaune, fonctionnaire territorial
- Sophie Wahnich, historienne spécialiste de la Révolution française
- Eliot Donz, gilet jaune, étudiant en bijouterie, originaire de La Réunion
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Actualités et politique
65 commentaires
Transcription :
...
Geoffrey Denis, GJ, fonctionnaire territorial, pro-liste européennes
Jean-François Barnaba, GJ, fonctionnaire territorial, inadmissible que les dgf en capagne 1/2 des villes
Eliot Donz, GJ, apprenti bijoutier
E Todd, le GJ ont montré que la France existait toujours. Le pouvoir : ils ont peur et ils sont perdus. Il se sont ridiculisés à lâcher ~10 M€
/magie de noël, reste 70% de soutiens
Sophie Wahnich spé révolution fr : en 1795, les révolutionnaires étaient déjà installés dans la vie. /juste prix /se nourrir éminemment politique, orga / réu de quartier, now, les ronds-points, la révolution fr, imaginaire référent, donne du courage, fabriquer des espaces de délibération plus pérennes, /écarts de salaires, ya une vraie dynamique. réélaborer.
JFB : ns allons essayer de le faire nous-mêmes installer les moyens techniques sous la haute autorité d'un magistrat ++
les députés sont les élus de la nation
/intérêt général : retrouver des structures qui ont existé à la révolution fr; une loi tyranique n'est pas une loi. on sort de l'espace démocratique
Eliot /RIC ça peut être une solution
/tx d'abst peu de gens ont vraiment lu le prgm présidentiel, on fait la chasse à la fuite fiscale, pas à la réussite sociale
/rnd-point /pj politique jeter les bases de la société qu'on veut pj exemplaire => investir le champ électif et maintenir la pression, ce gouv s'est imposé par son idéologie, ça ne viendra donc pas de lui.
ET : l'euro va bloquer toute réforme. La sortir de l'euro est une sorte de 1er référendum macron n'a aucun pouvoir, car pas le pouvoir de création monétaire,
SW : Le mot révolution disqualifié jusqu'au printemps arabe. Comment on conçoit un autre régime ? inventer.
rapports entre GJ et médias
Geoffrey Denis : on n'a pas vu le fait que les GJ gazés on ne les voit que qd ils se mettent à arracher les pavés, manque d'impartialité
La violence est avant tout celle de l'État. lE TAUX d'arrestations, d'envois en prison est inquiétant car la prison rend fou, fabrique du radicalisme. => dem amnistie dans l'intérêt de tous, à commencer par les députés. briserait le cycle de la violence.
SW : recycler cette violence sur une périonde plus longue, DEJPUIS La mise en place de l'état d'urgence qui produit le chaos. outil de guerre, on est le seul pays d'europe à le faire...
JFB ya eu une évolution, gestion orientée vers la création d'incidents ex prétexter n'importe quel mvt de foule qui s'exprime la solidarité. être gazé rend violent, tirs tendus de flashball, la sem suiv volonté de cibler les casseurs
ET : avec Macron ya un risque de fascisme 2.0
Mme W /libéralisme ex chiliens ne pensaient pas avoir affaire à une telle répression. enjeu à s'assurer que police ou armée avec la révolution.
---L'avenir---
JFB n'a pas voulu se rendre à l'élysée /la suite phase de structuration coordination des acions élire ou non des délégués ou autre approche complémentaire investir le champ politique s'agréger avec d'autres apporter leurs compétences, /européennes ya que la voie électorale, la voie institutionnelle mais on n'est pas maîtres du calendrier
si GJ pas présents, représente vraiment la fr, arguments simpliste et dangereux, jouer un rôle pour pas être dévoyé.
ya une structure à mettre en place, horizontalité tout le monde révocable à tout moment.
Mme W : /éduc popul discuter, asso destination démocratie cf ACT
DÉsir de trouver de l'inédit. transformer le métier de citoyen.
des GJ hostiles à faire une liste aux élections : des espaces de vigilance, assemblées primaires de tous, sociétés fraternelles surveillent, assemblée nationale qui fabrique les lois.
/RN non les GJ ne sont pas politisés, ni des militants, lieux de débat, propos xénophobes, racistes, etc. Affronter ces gens là pour la faire disparaître=>être là dans l'action avec. investir là où se trouvent les fr en difficulté, etc.
Unité nationale et internationaliste
/dissolution de l'AN
la fr atomisée, macron en est le produit, en occupant une place centrale, chacun reconnaitra les siens.
quelle définition de la nation ? en 1789, c'est l'unité.
Les GJ c'est plus lutte des classes que RN !
---Conclusion
espoir, courage, continuons.
Julien Delalande @JulienDelalande 6 min il y a 6 minutes
Julien Delalande a retweeté L'affaire du siècle
.#JusticeClimatique #JusticeSociale @AudreyPulvar #LAffaireDuSiecle
Accompagnons cette démarche juridique++/#ChangementDéchelle #PressionSociale
ex.#Jaune+#Vert #JauneVert #VertJaune #GiletsVertsJaunes #GiletsJaunesVerts=>#zadPARTOUT+#GILETJaune #ToutLeTEMPS symbole de l'#Urgence
Julien Delalande ajouté,
L'affaire du siècle
@laffairedusiecl
« Climat et justice sociale même combat car le changement climatique amplifie les injustices sociales. » @AudreyPulvar #LAffaireDuSiecle 🌍
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Le mouvement des Gilets jaunes est remarquable, à bien des titres, spécialement parce que les aspirations à plus de justice sociale y apparaissent fortement associées à l’attente d’une transformation profonde de la démocratie, dans toutes ses dimensions. Le système institutionnel bien sûr, mais aussi la représentation de toutes les catégories sociales, ou encore les formes multiples de la participation démocratique et la prise en charge d’intérêts structurellement marginalisés sont questionnés.
Nous, chercheuses et chercheurs en sciences humaines et sociales assemblé·e·s au sein du Groupement d’intérêt scientifique « Démocratie et participation », sommes interpellé·e·s par ce que nous interprétons comme un appel à une république plus « participative » et par des pratiques qui s’attachent d’ores et déjà à la mettre en œuvre au quotidien, entre citoyennes et citoyens. Sans être formulé dans ces termes – la démocratie participative n’étant pas explicitement revendiquée – cet appel prend cependant forme au croisement de propositions plus ou moins creusées qui s’y rattachent fortement : assemblée citoyenne, référendum d’initiative populaire, débats décentralisés. Ces revendications démocratiques, leur émergence comme leur structuration via l’usage des réseaux sociaux ou l’organisation d’assemblées populaires, témoignant d’une profonde défiance à l’égard de la représentation et d’une aspiration à l’horizontalité, ne sont pas en elles-mêmes nouvelles. Ce qui est plus original, c’est qu’elles ne sont pas portées par le petit cercle de leurs promoteurs habituels. Autrement dit, alors que nous observons et contribuons depuis des années à des expériences participatives souvent pensées et pratiquées du haut vers le bas, une forme de demande sociale s’exprime sous nos yeux.
Il serait tentant d’annoncer aux Gilets jaunes que les dispositifs participatifs ne manquent pas et que nous sommes prêt·e·s à leur en livrer le mode d’emploi. Ce serait pourtant contraire à notre posture de chercheuses et chercheurs en participation, et présomptueux, de considérer que les réponses institutionnelles et procédurales aux attentes démocratiques des Gilets jaunes existent, que nous n’avons pas besoin de leurs propositions et qu’il suffirait d’élargir ou de généraliser ce qui se fait déjà. De surcroît, l’aspiration à une vie démocratique ne saurait être enfermée dans quelques solutions procédurales vite digérées. D’autant moins que de multiples expériences participatives, aussi étudiées et renseignées soient-elles, montrent d’importantes limites tant dans leur capacité à élargir le spectre de « ceux qui participent » que dans leur influence réelle sur les décisions. Par contre, l’observation et l’étude de ces dispositifs, que les chercheuses et chercheurs réuni·e·s au sein du Gis mènent depuis plusieurs années, peuvent fournir de précieux éléments sur les opportunités mais aussi sur les risques de ce qui va se construire dans les semaines et les mois qui viennent.
Prise au sérieux, la participation conduit d’abord à ouvrir de vraies possibilités de débats pluralistes, d’interpellation et de proposition pour les citoyennes et citoyens, et à garantir leur indépendance en dehors des échéances électorales. Cela peut concerner l’ensemble des politiques publiques (notamment économiques, fiscales et monétaires), et ce à tous les niveaux. Elle conduit ensuite à reprendre à nouveaux frais la question de l’articulation de cette démocratie participative avec la démocratie représentative, dont les limites sont bien établies à tous les échelons territoriaux, de la commune à l’Europe. De plus, la participation ne saurait conduire à délégitimer les autres formes d’expression ou d’expérimentation démocratiques, y compris celles qui s’expriment sur un mode radical. Nos recherches montrent à cet égard que la vitalité des formes plus conflictuelles d’interpellation est bien souvent une condition d’épanouissement des dispositifs participatifs comme d’aboutissement de décisions mieux ajustées à l’état réel de notre société. Enfin, pour être crédible, la concertation à venir doit s’entourer de toutes les garanties désormais bien identifiées (marges de manœuvre politique, moyens financiers et humains cohérents, animation neutre et indépendante, calendrier réaliste…). La réunion de ces conditions suppose à minima l’assurance de la transparence des échanges et un contrôle démocratique sur le traitement, les synthèses et les comptes rendus de l’immense matériau qui sera rassemblé, ainsi qu’un retour sur l’usage qui en sera fait dans les décisions publiques, justifiant ce qui est gardé ou non des propositions faites dans le débat.
Au-delà de cette expérimentation à laquelle nous sommes prêt·e·s à contribuer, nous réaffirmons l’urgence sociale, politique et environnementale d’une vie démocratique, parce que celle-ci conditionne la capacité de nos sociétés à aborder de front les déchirures qui la traversent et à relever les défis à venir.
La direction collégiale et le Conseil scientifique
du Gis Démocratie et Participation
ndlr :
- connu / Loïc Blondiaux @LoicBlondiaux https://twitter.com/LoicBlondiaux/status/1073896519076667392
- de nombreux attributs de la médiation sont présents.
- ne serait-ce pas une manière de tirer la "couverture" "gilets jaunes" à eux ? => questionner ACT
Depuis l’élection présidentielle, ce ne sont que des consultations de façade qui sont menées par le gouvernement, préférant écouter les intérêts des lobbies privés plutôt que les organisations de la société civile et les citoyens. Résultat : les inégalités s’aggravent, la transition écologique se fait contre les classes populaires et moyennes, et les orientations économiques et sociales néolibérales se poursuivent. Face à ce constat, le Crid, collectif de 50 organisations de solidarité internationale appelle à de véritables politiques de justice sociale et climatique, et à la réhabilitation du dialogue. Voici leur appel.
...
le président et le gouvernement doivent changer de méthode face aux attentes de la société française. Encore plus que leurs prédécesseur∙e∙s, les dirigeant∙e∙s élu∙e∙s en 2017 ont privilégié le passage en force, sans négocier ni même écouter celles et ceux qui défendent leurs droits, ni les associations ou les syndicats qui relaient leurs revendications.
Depuis l’élection présidentielle, les appels au dialogue de nos organisations n’ont reçu pour réponses que des consultations de façade menées au pas de charge. Dès juin 2017, lorsque plus de 350 organisations de la société civile ont réclamé une véritable concertation pour définir des conditions d’accueil des migrant∙e∙s dignes et humaines, le gouvernement a rejeté cet appel au dialogue et fait voter une loi qui prône la chasse aux migrant∙e∙s, faisant fi des conventions internationales et européennes ratifiées par la France.
Les orientations économiques néolibérales ont considérablement aggravé les inégalités
...
Il y a une crise des politiques publiques et du dialogue public, qui ont été confisqués par les plus riches.
Pour nos organisations qui défendent la solidarité tant nationale qu’internationale, la transition écologique ne pourra pas se faire contre les classes moyennes et populaires, mais avec et pour elles, à travers de véritables politiques de justice sociale et climatique.
Limiter le pouvoir d’influence des lobbies privés et favoriser celui des citoyens
...
CRID, collectif de 50 organisations de solidarité internationale
Tags : Climat Démocratie ! Inégalités
CLIMAT Reportage
Des milliers de personnes ont marché pour le climat en France et ont appelé à converger avec les gilets jaunes. Pour elles et eux, pas d’écologie sans justice sociale. « Les classes précaires sont les plus touchées par le changement climatique », insiste une manifestante.
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Dans cette troisième édition de l'émission "Culture Pop et Justice Sociale", animée par Danièle Obono, nous nous demandons cette fois si les jeux vidéos peuvent allier industrie de masse et divertissement politique.
Invité·es :
Ugo Bernalicis, député du Nord de La France Insoumise
Adrien Carlier, éditeur et line designer chez Ubisoft
Brice Dubat, directeur créatif chez TeamTO et membre du collectif Klondike
Lola Guilldou, game designer et youtubeuse : "la développeuse du dimanche"
Avec également Baptiste, membre du Discord Insoumis, collectif créateur de "Fiskal combat"
Bon visionnage, réagissez, partagez!
00:12 - introduction à l'émission
02:00 - zapping de jeux vidéos
08:50 - écosystème et histoire
28:20 - Comment devient-on un·e professionnel·le du jeu?
34:08 - représentation et diversité
43:30 - le contenu politique des blockbusters
52:12 - conditions de travail des professionnel·les du jeu
59:00 - Fiskal combat, jeu du Discord Insoumis
01:06:00 - les jeux préférés des invité·es
Rédaction : François Quirier
Réalisation : Christophe Masson
Prise de son : Laurence Meyer
Organisation : Team Obono
Catégorie Actualités et politique
6 commentaires
Offshore
il y a 3 jours
Superbe initiative, j'ai trouvé la vidéo très intéressante, dommage qu'elle n'ait que si peu de visibilité :( (j'ai pu y avoir accès via le partage de la développeuse du dimanche, pour info)
C'est très compliqué de croiser les avis de tous ces milieux sur ces questions concernant le jeu vidéo.
Des "petits" points sinon, j'espère que la vidéo (enfin l'extrait de jeux en fait) ne sera vu que par des connaisseurs de jeu vidéos parce que les extraits de jeux montrent vraiment les extrêmes du jeu vidéo et de la société, et les joueurs le savent mais pas forcément les non-joueurs qui verront la vidéo, ça aurait valu le coup de le préciser avant de lancer l'extrait.
Un tout petit manque de structuration, 1h14 c'est très long pour youtube et on se perd un peu parfois.
Sinon perso je pense pas qu'il y grand chose à faire niveau discrimination dans les jeux, ils reflètent la société au final, et la quasi totalité de la visibilité est occupée par des géant multinationaux à qui on ne peut rien dire. Et les jeux concentrés sur le gameplay sont tout à fait paritaires et non discriminatoires (world of warcraft, league of legends, fortnite, overwatch, etc..) sans parler des jeux où l'on créer nous même notre personnage, ou où l'on a au moins le choix du genre du héro.
Très bonne initiative, merci encore ;)
nous sommes un mouvement politique. face aux urgences, rejoignez-nous !
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Démocratie
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Europe
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Olivier Dubuquoy se mobilise avec le mouvement citoyen Nation Océan et l’association ZEA qu’il a fondée pour protéger l'océan et le climat, en luttant contre l'accaparement des mers, la prédation des ressources, et les pollutions qui accroissent les inégalités et la disparition du vivant. Il a bloqué des projets pétroliers et gaziers, obtenu des moratoires contre l'exploitation des énergies fossiles en mer et mène la lutte contre les pollutions de boues rouges en mer et à terre. Il est aussi engagé sur différentes initiatives citoyennes et projets de recherche sur la démocratie et les sciences participatives.
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Née en 1984, Judith Aquien est porteuse de cause pour l'hospitalité au sein de Place publique. Après une carrière dans l'édition puis dans le web, Judith Aquien a changé sa vie en profondeur après avoir passé plusieurs mois sur des campements de réfugiés, à Paris. Elle a ainsi cofondé l'école Thot et est aujourd'hui déléguée générale d'Action Emploi Réfugiés.
Les personnes arrivant en France depuis les voies de l'exil ne sont pas accueillies dans la dignité qui s'impose à notre humanité. Chaque individu est oublié pour entrer dans un vocabulaire déshumanisant ("les migrants"). Il s'agit de réhabiliter les valeurs essentielles d'humanisme, d'accueil et de fraternité, et permettre aux personnes d'être soignées de leurs blessures, traitées comme des personnes à part entière, et d'entrer au plus vite dans une autonomie sur tous les plans.
En 2015, Judith Aquien a cofondé Thot, l'école de français diplômante pour les exilés, lauréate de la fondation La France s’engage en 2016. C'est une des rares structures qui mette de “vrais” professeurs face aux personnes en exil, et qui les prépare au diplôme d'État de langue française, facilitant ainsi l'accès de ces dernières à la vie professionnelle et à l'autonomie sociale en général. Son engagement pour une société humaniste et fraternelle l’a conduite à rejoindre la direction générale d'Action Emploi Réfugiés en 2018, travaillant réellement à l’intégration des réfugiés à la vie économique et sociale française. En 2018, elle a été distinguée du titre de Chevalier des Arts et Lettres pour la création de Thot.
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Né en 1966, Jérôme Karsenti est avocat depuis 1995.
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Jérôme Karsenti a été l’avocat de SOS Racisme, de la Maison des Potes et aujourd’hui de Rom Europe, qui regroupe des associations et collectifs de défense des personnes originaires d’Europe de l’Est, Roms ou présumées Roms, vivant en bidonvilles, squats ou autres lieux de survie. Depuis 2007, il est l’avocat de l’association Anticor. Il est également membre du Syndicat des Avocats de France depuis son entrée dans la profession et est élu au Conseil national des barreaux où il siège dans les commissions Libertés publiques et Égalité. Depuis mars 2018, il siège au Comité d’éthique du journal Le Monde en qualité de personnalité indépendante. Il intervient régulièrement à l’occasion de divers colloques sur les thèmes de la lutte contre la corruption.
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Diana Filippova
Née en 1986 à Moscou, Diana Filippova est entrepreneur et auteur, spécialiste des questions technologiques.
S’inscrivant dans la tradition des humanités numériques et de l’analyse critique de la technologie, Diana cultive une approche de la technologie comme expression d’une idéologie et d’une vision des rapports sociaux.
Diplômée d’HEC, Sciences Po et Paris I Panthéon-Sorbonne, elle a cofondé et animé OuiShare entre 2012 et 2017, think tank autour des modèles distribués, au sein duquel elle a construit une pensée critique et politique de l’économie collaborative. Responsable de l’écosystème startup chez Microsoft entre 2015 et 2018, elle y a lancé KissMyFrogs, un magazine critique sur la technologie et l’entrepreneuriat. En 2018, elle a co-fondé l'agence éditoriale Stroïka avec l’ambition de faire rimer « numérique » avec « rigueur intellectuelle et pédagogie ». Elle anime des salons et un club de lecture autour de la question technologique.
Diana analyse quotidiennement les effets concrets de ces nouvelles technologies et leur mainmise sur nos libertés publiques et privées. Elle promeut un gouvernement démocratique des nouvelles technologies pour mettre celles-ci au service de la reconstruction de cadres collectifs, d’un espace de délibération et d’un vivre ensemble.
Son premier livre, Société Collaborative, la fin des hiérarchies paraît en mai 2015. Elle contribue régulièrement aux magazines généralistes et économiques (Le Monde, les Échos, Alternatives Économiques, la Tribune, Socialter, etc.) ainsi qu’à France Culture. Elle prépare un essai sur le pouvoir, la politique et la technologie.
contact@place-publique.eu