Toute la journée, les enquêteurs contactent la magistrate du parquet, à gauche, qui travaille avec Émilie Robin, la greffière.
Photo Julie Desbois
a.beneytou@charentelibre.fr
24h/24, 7 jours sur 7, une magistrate du parquet d’Angoulême est de permanence pour traiter les affaires en cours. CL a pu passer une journée au cœur du traitement en temps réel.
C’est à croire que le téléphone n’arrête jamais de sonner. Un enquêteur du commissariat d’Angoulême au bout du fil pour faire le point sur des analyses ADN dans le cadre d’un trafic de stupéfiants. Un jeune homme à déférer pour un viol sur son fils de 3 ans. Un médecin des urgences qui appelle au sujet d’une victime tombée d’un étage et dont le pronostic vital est engagé. Puis pêle-mêle, le signalement de chats abandonnés dans des toilettes publiques, le placement d’un enfant à gérer ou encore un homme fâché contre son frère qui a lancé un cocktail molotov sur sa maison. Tout cela à traiter en moins de trois heures, au...
Actualité Justice Angoulême Charente Faits-divers Société Grand-Angoulême
Il vous reste 90% de cet article à lire Lisez la suite de l'article en vous abonnant à Charente Libre