« Ne me parlez pas "d’acceptation", de "renoncement", mais posez-vous cette question : accepteriez-vous que l’on décide à votre place si vous avez le droit et le choix de vivre votre sexualité ? » C’est ainsi que Pascale Ribes, vice-présidente de l’Association des Paralysés de France et présidente de l’association CH(s)OSE, qui milite pour l’accès effectif à une vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap, interpelle les lecteurs du Républicain Lorrain dans une Tribune parue aujourd’hui et en ligne sur le site du quotidien régional. Une tribune où elle remet en cause les raccourcis et les arguments parfois fallacieux des opposants à la création de services d’accompagnement sexuel en France, mais aussi ceux de certaines associations féministes.
(Mise à jour dim. 31 janv. 2016)
Depuis mon dernier billet, une idée me trotte dans la tête : et s'il n'y avait pas de problème ?! (juridique, j'entends) !
http://blogs.mediapart.fr/blog/julien-delalande/310313/sexualite-des-handicapes-avant-le-debat-une-introspection-de-chacun-madame-la-ministre-marie-a
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