Connu / TG le 25/06/25 à 16:16
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Le programme de « Poitiers Populaire » pour les prochaines élections municipales à Poitiers
A l’approche de son Forum de l’écologie populaire, samedi après midi à l’îlot Tison (ci-dessous), Poitiers Populaire publie une première version de son programme, en toute transpa…
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Manifestation "Défendons l'eau" à Poitiers - 07/06/2025 - 10 juin 2025 / Collectif Bassines Non Merci
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✊ Retour sur la manifestation de samedi à Poitiers !
Retrouvez en image les moments forts de cette mobilisation 👉 • Manifestation "Défendons l'eau" à Poitiers...
À l’appel de plusieurs organisations (la confédération paysanne 86, Collectif Eau Smarves, Greenpeace Poitiers, XR Poitiers, NPA 86, Les Ecologistes, LFI, PCF86, UD CGT 86, Gauche Eco Socialiste, Attac 86), environ 400 personnes ont manifesté pacifiquement ce samedi 7 juin à Poitiers. L’objectif était de dénoncer la mauvaise gestion de l’eau du Préfet Boulanger qui n’est pas de nature à régler les problèmes sur le bassin ni à faire face au dérèglement climatique. Une mobilisation joyeuse et déterminée malgré un dispositif policier massif.
⚠️ Rappelons que la CLE (Commission Locale de l’Eau) reste dominée par l’agro-industrie, et que l’étude HMUC, base scientifique sérieuse, est ignorée. Le semblant de concertation que constitue le PTGE vient à peine de débuter. On y voit déjà l'omniprésence des intérêts de l'agro-industrie (FNSEA, ADIV, Terrena...) soutenue par certains élus locaux et qui cherche à capter l'argent public au profit de ses projets destructeurs
Pourtant, le préfet Boulanger récemment en place continue les passages en force :
🔹 Signature d’un arrêté pour 6 bassines dans la Clouère
🔹 Volumes d’eau délirants autorisés pour 8 ans (AUP)
🔹 Chantiers imminents dans la Vienne qui seraient financés en partie par des collectivités
Il est donc clair que le préfet Boulanger veut réaffirmer le soutien indéfectible de l’Etat au lobby agro-industriel, au mépris de la science, de la démocratie et du vivant. Mais notre mobilisation est venue lui rappeler que nous ne lâcherons rien et que nous continuerons à faire entendre nos voix pour défendre l’eau comme commun, une gestion juste et la fin des projets de bassines !
Le préfet Boulanger qui n’a visiblement pas souhaité nous rencontrer aux portes de la Préfecture a proposé par le biais de sa directrice de cabinet une réunion de travail... mais à huis clos.
Or, le collectif BNM 86 réclame un débat public et transparent, pas des discussions confinées. Toujours est-il que des membres du Collectif BNM 86 ont remis à la directrice de cabinet du préfet une proposition de formation sur l’étude HMUC, pour exiger une gestion de l’eau réellement adaptée aux besoins du territoire et du vivant.
Les suites seront donc à découvrir au prochain épisode !
Toutes les infos sur bassinesnonmerci.fr
Tr.: ... Laurence Guichard, paysanne, membre de la Confédération Paysanne 86 ... irrigants ... Anne-Morwenn Pastier, co-porte-parole de BNM86 ... Julien Le Guet, co-porte-parole de BNM79 ... Christiane Queyreix, membre de Greenpeace Poitiers ... rapport "démocratie à sec" Greenpeace ... 18 stratégies déployées par les lobbyies agricoles pour s'imposer ...
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🗓️ RDV le dimanche 15 juin à 19h
➡️ • NUCLÉAIRE, comment il va ruiner la France
🗓️ 🎞️ Avant-première à Paris, au Studio des Ursulines dans le 5ème, le 11 juin à 19h, à prix libre.
Réserver : https://l.reporterre.net/BlJ
🔎 En matière de nucléaire, Emmanuel Macron dépense sans compter. La facture se chiffre en dizaines de milliards. Mais qui va payer ? Enquête sur une faillite annoncée.
✅ Un documentaire en accès libre, sans publicité et financé uniquement par les dons.
Soutenez la réalisation de documentaires indépendants : https://reporterre.net/dons
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Épinglé par @reporterre_media @reporterre_media il y a 2 jours
Rendez-vous ce dimanche 15 juin à 19h pour regarder le documentaire "Nucléaire, comment il va ruiner la France", une enquête menée par Laure Noualhat pour Reporterre.
Soyez au rendez-vous ! 📆
Activez la cloche 👉 https://www.youtube.com/watch?v=rjfHyhkpef8
"Hypocrisie, egotrip, coup de com" : je reviens sur les accusations contre la Freedom Flotilla - 10 juin 2025 / Clément Viktorovitch
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Programme :
00:00 : Intro
01:10 : Rappel des faits
04:40 : Les derniers éléments
05:42 : Analyse
Connu / https://bsky.app/profile/argawl.bsky.social/post/3lrd3obdbjk2d
64 896 ont signé
Lettre ouverte aux sénateurs et sénatrices
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voter une proposition de loi essentielle qui peut faire une vraie différence dans la vie des Français et Françaises : la mise en place d’un impôt minimum sur les grandes fortunes. Ce texte vise à assurer une contribution plus équitablement répartie pour faire face aux défis que nous devons relever ensemble, en étant fidèle au principe d’égalité devant l’impôt consacré par la Constitution française.
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Aujourd’hui, les ultra-riches paient proportionnellement moins d’impôts : chez les 0,1 % les plus riches, le taux peut chuter jusqu’à 0,2 % de leurs revenus. Il est urgent d’agir pour que chacun contribue à hauteur de ses moyens.
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Ce texte ne pénalise ni l’investissement ni l’entrepreneuriat, et ne risque pas d’engendrer d’exil fiscal à grande échelle mais au contraire assure que les contributions fiscales soient proportionnelles aux ressources de chacun·e. C’est un enjeu de responsabilité et d’efficacité économique : un système fiscal plus juste permet de renforcer la stabilité sociale et économique du pays à court et moyen terme.
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Connu / https://bsky.app/profile/attac.org/post/3lrd6nfaaj22w
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@attac.org
S'il n'aime pas les impôts, il n'aidera pas à faire respecter l'égalité fiscale, pourtant une obligation constitutionnelle !
#TaxTheRich ⏰ Plus que quelques heures pour signer la pétition pour taxer les ultra-riches avant le vote au Sénat du 12 juin 👉 france.attac.org/se-mobiliser...
Une capture d'écran d'un snipet de Mediapart, avec une photo d'Eric Lombard "Le ministre multimillionnaire "d'une gauche qui n'aime pas l'impôt". Le sous-titre indique qu'il dispose d'un patrimoine proche de 21 millions d'euros.
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11 juin 2025 à 12:19
97 reposts 5 citations 207 ont aimé
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Par Stéphane Barnoin Publié le 11 juin 2025 à 09h32 •
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Sébastien Lemoine, l’un des fers de lance du camp des résistants.
Le quinquagénaire installé à Gouzeaucourt (Nord) produit céréales et légumes dans les plaines des Hauts-de-France. Il a fait le choix de la betterave sucrière bio « il y a treize ans », par conviction
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des rendements moindres – « de l’orde de 55 tonnes par hectare, contre 80-85 en conventionnel » – et une charge de travail très supérieure en matière de désherbage. Sur ce volet, Sébastien Lemoine s’appuie sur des bras extérieurs, partagés avec un groupement d’employeurs du secteur, et un robot dernier cri, dans lequel il vient d’investir. « Les outils à notre disposition sont en nets progrès. Contrairement à ce qu’on entend, le bio n’est pas une agriculture d’arrière-garde, on est même à la pointe… »
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La suite réservée aux abonnés
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Republié par Dominique C
Isidore Poireau @isidorepoireau.bsky.social· 16 h
«"À un moment, j’en ai eu marre de déverser des 'phytos' dans mes champs. C’est une catastrophe pour la faune et la flore, et au-delà pour les générations futures". Il se lance donc avec l’espoir, à l’époque, "de montrer que l’on peut faire autrement"» www.lamontagne.fr/gouzeaucourt...
Les betteraviers conventionnels sont en première ligne pour réclamer le retour de certains insecticides aujourd’hui interdits, selon eux indispensables à la survie de la production française. Une (pet...
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Entretien
texte publié initialement sur le site de Tails parlant de sécurité numérique avec un militant antinucléaire.
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en créant une séparation nette entre son militantisme (en utilisant Tails) et sa vie personnelle (en utilisant une Debian chiffrée).
Chez lui, de nombreux activistes nomades utilisent des clés USB Tails au lieu d’avoir des ordinateurs personnels, ce qui leur permet de préserver leur vie privée tout en utilisant des appareils partagés.
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pratique de base de chiffrer toutes vos données. Lorsque nous formons les gens à crypter leurs données, il est plus facile de leur apprendre Tails que de crypter leur ordinateur, par exemple, car ils devraient réinitialiser toutes leurs données et cela prend beaucoup plus de temps.
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Pour la sécurité d’un groupe, ce qui compte, c’est le niveau de sécurité le plus bas au sein de ce groupe
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PDF Arranger ... KeePassXC ... Tor ... Mumble ... XMPP ...
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11/06/2025
Antirépression
Connu / https://bsky.app/profile/mediaslibres.skyfleet.blue/post/3lremt4ztqm2s
Pour des écoles dignes, rénovons-les !
L'économiste Gabriel Zucman en 2024 ©AFP - Joël Saget
Au menu ce samedi : un débat sur les finances publiques, un crochet par Londres, une questions sur l'amour au travail et un focus sur les ultra-riches. Reportage sur les vies et stratégies des fameux 0,01% et entretien avec Gabriel Zucman, l'économiste qui veut les soumettre à un impôt plancher.
Avec
- Gabriel Zucman, directeur de l’Observatoire européen de la fiscalité, professeur à l’Ecole d’Economie de Paris
L'entretien
Ce jeudi, la "taxe Zucman" sur le patrimoine des "ultra-riches" sera examinée et débattue au Sénat après avoir été adoptée par les députés en février. Son principe : un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des "ultra-riches", inspirée par les travaux de l'économiste Gabriel Zucman. Interrogé à ce sujet il y a deux semaines à la télévision, Emmanuel Macron estime que cette taxe n'a de sens que "si elle est mondiale", craignant un mouvement massif d'exil fiscal en réponse à une potentielle imposition de la fortune en France.
Faut-il imposer aux "ultra-riches" un impôt plancher sur leur patrimoine ? La taxe Zucman est-elle une nécessité ou une illusion ? Pour en parler ce samedi, Gabriel Zucman, professeur d'économie à l'Ecole d'économie de Paris et directeur de L'Observatoire européen de la fiscalité, est l'invité d'Alexandra Bensaid.
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De Paris à Washington, les politiques veulent-ils vraiment assainir les finances publiques ?
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La Commission européenne a annoncé mercredi mettre en suspens la procédure pour déficit excessif qui visait la France. Alors que François Bayrou doit toujours trouver 40 milliards d'euros d'économies pour le budget 2026 d'ici à ses annonces du 14 juillet prochain, le gouvernement ne se prononce pas sur les pistes étudiées pour réduire la dette. TVA sociale, année blanche, quelles sont ces "multiples pistes" évoquées par la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet ?
Aux Etats-Unis, le projet de loi estampillé "One Big Beautiful Bill" ("grande et belle loi") de Donald Trump, qualifiée d'abomination par son ex-conseiller Elon Musk pourrait creuser encore plus le déficit américain.
Alors de l'Europe aux Etats-Unis, quelle est la détermination politique pour assainir les comptes publics ? Qui veut vraiment réduire la dette ? Eric Heyer, directeur du département Analyse et prévision de l’OFCE, et Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express, ouvrent le débat.
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Vies et stratégies des ultra-riches
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Pour intégrer le club des 0,01% des français les plus riches, il faut gagner au moins 70 879 € par mois après impôt selon les derniers chiffres publiés cette semaine par l'Observatoire des inégalités. Le rapport basé sur des données de l'OCDE fait le constat d'une France dans laquelle la "fracture sociale" se creuse avec des disparités de revenus et de patrimoine, de conditions de travail et de vie ou encore de réussite scolaire.
Que signifie être "ultra-riche" ? De qui parlons-nous exactement et quel est le mode de vie de ces citoyens ultra-fortunés ? Yachts, conciergerie, parking blindé, cabinets de gestion…
Notre journaliste Léa Guedj commence son reportage dans une villa de la Côte d'Azur, région parmi les plus prisées des milliardaires de la planète.
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Au Royaume-Uni, le distributeur d'eau Thames Water surendetté et... bientôt nationalisé ?
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Thames Water, le plus grand distributeur d'eau du Royaume-Uni, approvisionne 16 millions de consommateurs à Londres et sur la vallée de la Tamise. L'entreprise privatisée en 1989, lestée aujourd'hui par une dette de 19 milliards d'euros, est en train de couler et n'intéresse plus le fonds d'investissement américain KKR qui devait y investir plus de 4 milliards et demi d'euros.
Alors que le contrôle des deux derniers hauts-fourneaux de l'aciériste British Steel a été rendu au gouvernement anglais par une loi adoptée d'urgence au Parlement le 12 avril dernier, la perspective de renationalisation de Thames Water serait-elle également d'actualité ? Explications depuis Londres avec notre correspondante Laura Kalmus.
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Cette semaine, Colette a écrit à Sandrine Foulon parce qu'un couple de collègues se dispute tous les jours dans l'open space au bureau et elle n'en peut plus !
L'employeur a-t-il le droit de se mêler de la vie privée de ses salariés et de leur demander d'arrêter ?
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7 juin
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Clés Économie Info
Un quart des entreprises utilise désormais l'intelligence artificielle pour automatiser des processus, un chiffre en augmentation constante. ©AFP - Ricardo Milani
A la maison, à l'école, dans la sphère professionnelle : l'intelligence artificielle est devenue, pour nombre de d'entre nous, un partenaire du quotidien. Avec quelles conséquences ?
En 2013, "Her" -le film de Spike Jonze- affichait sur grand écran les tribulations d'un humain amoureux d'une intelligence artificielle, qui face à ses doutes, lui répondait: "vous vous habituerez".
Peut-être sommes nous en train de nous habituer plus tôt que prévu. Ce futur qu'on imaginait lointain s'est installé dans nos vies. Avec, partout, des circuits imprimés, des caméras qui permettent de voir, des micros pour entendre et des haut-parleurs pour calquer les interactions sur le comportement humain.
C'est notre rapport aux machines que ce numéro d'Interception explore et interroge. Avec des métiers qui disparaissent, des adolescents qui demandent à Chat GPT de faire les devoirs à leur place et à Perplexity ou Gemini des conseils pour gérer leurs relations amicales ou leurs déboires amoureux.
Il y a aussi ces éleveurs, qui gèrent leur exploitation laitière comme un jeu vidéo grandeur nature, avec des animaux suivis, contrôlés, surveillés par des algorithmes. Au total un quart des entreprises françaises utilisent désormais d'intelligence artificielle. Nous sommes près d'un tiers de la population à interagir de manière régulière voire quotidienne avec une IA.
C'est à Cagnes-sur-Mer que commence ce reportage, dans la voiture de Patricia, 37 ans, guidée -pour faire ses courses- par son smartphone.
L'IA dans nos vies, un reportage de Lorélie Carrive
Prise de son: Nicolas Matthias
Réalisation: Guillaume Girault
Attachée de Production: Martine Meyssonnier
Mixage: Jason Taouss
Clés : Info Société
né le 16 mai 1958 à Boulogne-Billancourt, est un chef d'entreprise et homme politique français.
Dirigeant de BNP Paribas Cardif de 2004 à 2013 puis directeur général de Generali France de 2013 à 2017, il est directeur général de la Caisse des dépôts et consignations à partir de 2017.
Il est ministre de l'Économie et des Finances au sein du gouvernement Bayrou depuis le 23 décembre 2024.
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fils d'Alfred Lombard, cadre dirigeant aux Nouvelles Galeries, et d'Annie Lévy, graphologue et fille de Pierre Lévy[1], industriel ayant fondé à Troyes le groupe Devanlay[2].
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Marié à une plasticienne[5], Françoise Carré[6], Éric Lombard est père de trois enfants[7].
Éric Lombard est diplômé d’HEC Paris[8] en 1981.
Études et débuts dans la banque
À l'issue de ses études, il intègre la banque Paribas au département des affaires internationales, puis à la gestion financière.
Carrière en cabinet ministériel
En 1989, il devient conseiller technique pour le porte-parolat du gouvernement au cabinet de Louis Le Pensec, alors également ministre des Départements et Territoires d'Outre-mer. En 1991, il est nommé conseiller auprès de Michel Sapin au ministère délégué à la Justice, puis au ministère de l'Économie et des Finances de 1992 à 1993[9].
Retour dans la banque et évolution vers l’assurance
...
Autres engagements
En 1991, il adhère au Parti socialiste (PS)[8].
De 1995 à 2001, il a été conseiller municipal de Fontenay-sous-Bois[24] (ville de 50 000 habitants dans le département français du Val-de-Marne, en proche banlieue de Paris).
Membre du Cercle des économistes, il fut également cofondateur et trésorier jusqu'en 2017 des Gracques, groupe de réflexion socio-libéral français[25],[8] qui était intervenu dans la campagne présidentielle de 2007 pour faire dialoguer Ségolène Royal et François Bayrou, initiative rejetée par la candidate PS[24].
En 2014, il est nommé administrateur de la banque publique d'investissement Bpifrance, dont il préside le comité d’audit et des risques[26],[27], puis devient président de son conseil d'administration en 2017[28].
Il conserve par ailleurs plusieurs engagements à Troyes, membre notamment du conseil stratégique de la South Champagne Business School et parrain de la promotion 2013[1].
Selon Romaric Godin, journaliste économique pour Médiapart, Éric Lombard a toujours défendu des positions néolibérales et austéritaires[29].
Eric Lombard ©AFP - Thomas SAMSON
Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a estimé que ce n'était pas "le bon moment" d'introduire une part "obligatoire" de capitalisation dans le système des retraites, comme l'a proposé l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.
Le ministre de l'Economie, Eric Lombard a estimé dimanche que ce n'était pas "le bon moment" d'introduire une part "obligatoire" de capitalisation dans le système des retraites, comme l'a proposé l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. "En faire un élément obligatoire, je ne suis pas sûr que ce soit le bon moment. On a des priorités plus brûlantes sur la question des retraites", a déclaré Eric Lombard lors d'un entretien sur France Inter/France Info/Le Monde. "Le problème de la capitalisation, c'est que dans l'organisation actuelle, c'est inégalitaire : ce sont ceux qui ont de l'argent donc ceux qui ont des revenus plus élevés qui peuvent le placer", a-t-il souligné.
"Et si on devait faire une capitalisation obligatoire, qui le financerait ? Les entreprises, on voit bien que les marges sont serrées et il y a pas de quoi prélever. Donc cela demanderait une réflexion plus large sur l'organisation", a-t-il ajouté, privilégiant aujourd'hui une "incitation à investir".
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Candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle, Edouard Philippe a évoqué mercredi 15% de part de capitalisation à introduire dans le système des retraites car "notre société vieillit" tout en faisant face à "la dénatalité". Par ailleurs, Eric Lombard a réitéré la volonté du gouvernement de maîtriser la dépense publique dans le cadre du prochain budget pour 2026, qui nécessitera environ 40 milliards d'euros d'efforts par rapport à l'évolution des dépenses si aucune mesure n'était prise.
Pas d'augmentation d'impôts
"Nous n'augmenterons pas les impôts dans leur ensemble", a-t-il affirmé. "On est dans la stabilisation d'ensemble (de la dépense, NDLR), donc cela veut dire qu'on va pas faire de l'austérité de façon générale", a-t-il expliqué. Concernant la piste d'une "année blanche", soit un gel budgétaire, son éventuel périmètre d'application nécessiterait "des décisions politiques au cas par cas", a estimé le ministre.
"On est obligé de tout distinguer suivant les secteurs", a-t-il développé. "Si on doit avoir des fonds pour la défense, il faut que d'autres ministères contribuent. De la même façon, dans le domaine social, il y a des prestations probablement (qu')on peut stabiliser" alors que d'autres bénéficient aux "personnes les plus modestes, même si l'inflation est très basse cette année".
"Il faut qu'on engage la baisse du nombre de fonctionnaires", a-t-il aussi indiqué, mais "les nombres ne sont pas encore fixés". Dans un entretien au Journal du dimanche publié samedi soir, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a aussi affirmé que le gouvernement voulait "revoir cette tendance" de hausse du nombre de fonctionnaires ces dernières années,
Clés : Politique Économie Fiscalité Impôts Dépenses publiques – Budget de l'État Croissance économique Crise financière Crise économique
L'équipe Carine Bécard, Production Amaury Bocher, Chargé(e) de programme Fabienne Le Moal, Coordination
L'historien Pierre Rosanvallon et la présidente du comité de gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vie, Claire Thoury sont sur Inter ce dimanche. ©AFP - Joël Saget / Claire Thoury
vidéo
8h20 - Baddou - L'hour
Provenant du podcast L'invité de 8h20
Le forum "Reprendre le pouvoir sur nos vies" aura lieu les 13 et 14 juin à Nantes, avec l'historien et sociologue Pierre Rosanvallon, et Claire Thoury. Elle a présidé le comité de gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vie.
Claire Thoury est présidente du Mouvement associatif, elle a présidé le comité de gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vie et elle est membre du Pacte du Pouvoir de Vivre.
Pierre Rosanvallon est historien et sociologue, et directeur d’études de l’EHESS en histoire et philosophie du politique.
Tr.: ... faire vivre une démocratie civile, ce que vivent les gens ... faire vivre l'oeil du peuple ... rassembler des citoyens tirés au sort ... on a du mal avec les désaccords ... peur du conflit ... se mettre à la place de l'autre ... créer des espace de désaccord ... le pb, ne pas tenir ses engagements ... /référendum trancher sur question claire ... on avance quand on s'interroge en commun ... vote préférendaire ou préférendum, manifester la diversité des opinions, de la vie réelle ... cahiers de doléance ... les fr ont pris la parole, écoute, dignité ... donner de l'importance aux gens ... reprendre le pouvoir sur nos vies ...
Ehud Olmert ©AFP - BERND VON JUTRCZENKA / DPA / dpa Picture-Alliance via AFP
Ehud Olmert, ancien Premier ministre d'Israël de 2006 à 2009, était l'invité de Sonia Devillers ce mardi. Il dénonce la politique de Benyamin Nétanyahou, qui mène selon lui une "guerre à des fins personnelles" à Gaza, "et ça c'est un crime".
La guerre menée par Israël dans la bande de Gaza n'est "pas légitime et c'est un crime", dénonce ce mardi sur France Inter l'ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert. "Quand la guerre a commencé, c'était la guerre la plus juste et la plus compréhensible, il n'y avait pas d'autre façon de réagir aux meurtres menés par le Hamas", explique-t-il. "Mais depuis mars 2025, cette guerre n'est pas acceptable, pas légitime", poursuit-il, car "l'État d'Israël n'a pas respecté l'accord qui aurait pu permettre la libération d'autres otages". "En Israël, il y a presque un consensus pour dire que Nétanyahou mène cette guerre à des fins personnelles et ça c'est un crime", insiste-t-il. "Quand on mène une guerre de cette sorte, c'est une guerre pas légitime et c'est un crime."
À écouter
Elie Barnavi : "Si on n'arrête pas Benyamin Nétanhayou", "on se sera rendu coupable d'un crime contre l'humanité massif"
L'invité de 7h50
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Ces derniers jours, il a déclaré dans la presse qu'Israël commettait "des crimes de guerre". "Ça ne m'a pas rendu très populaire. Des gens ont été très fâchés mais il y en a autant qui m'ont remercié et encouragé", dit-il. Ehud Olmert utilise également le terme de "crimes de guerre" pour qualifier les agressions commises par certains colons israéliens en Cisjordanie. "Il y a une partie des colons qui font des choses vraiment inacceptables aux Palestiniens en Cisjordanie, ils brûlent leurs maisons, leurs champs, ce sont des crimes de guerre, qui sont faits sous le nez de la police et de l'armée israéliennes", dénonce-t-il.
Il réfute en revanche le terme de génocide, qu'il considère comme "pas justifié, pas valable, pas juste", "Il n'y a pas de politique de génocide", insiste-t-il.
L'ancien Premier ministre israélien milite depuis toujours pour la reconnaissance d'un État palestinien, "deux pays, l'État d'Israël et un État palestinien, sur la base des frontières de 1967", confirme-t-il. Il attend que l'administration Trump se mobilise pleinement pour mettre fin à cette guerre. "Je vais me réjouir si Trump invite Nétanyahou à la Maison-Blanche et qu'il dise dans le bureau ovale, devant les caméras, et qu'il va dire comme ça : 'Bibi, ça suffit, c'est fini, c'est fini, c'est la fin.'"
Blue Economy and Finance Forum - BEFF
Un forum international qui s’est tenu samedi et dimanche derniers à Monaco, réunissant des entrepreneurs engagés dans des activités durables liées à l’océan, et des acteurs financiers avec pour objectif de donner une impulsion nouvelle à l'économie bleue, Pascal Lamy co-président du forum...
"L'idée était d'intéresser bien davantage le secteur bancaire, le secteur des assurances. Donc il y a aujourd'hui de la finance privée qui a intérêt à investir dans l'économie bleue, évidemment, ceci étant fait de manière soutenable. Et la conclusion de tirer des acteurs, que ce soit des acteurs privés ou des acteurs des banques publiques ou des organisations internationales de financement de l'océan, c'est que ça marche. Et donc il suffit de faire davantage et de convaincre davantage le secteur privé dans le monde. C'est une manière intelligente d'associer une rentabilité économique à une production de biens et de services dans l'énergie, dans les biotechnologies, dans la décarbonation aussi, contribuant à la régénération dont nous savons que si on ne fait pas ça, on détruit un peu davantage tous le jours le milieu océanique et maritime." Pascal Lamy
site : beff2025monaco.org
Malgré la gravité des enjeux écologiques, peu d’articles des grands médias sont consacrés à l'écologie ou au climat, et quand ils le sont, les sujets contiennent souvent des informations biaisées ou erronées….
Avec
- Eva Morel, secrétaire générale de l'association Quota Climat
- Thomas Huchon, journaliste, auteur, réalisateur, spécialiste du web, des infox et des théories complotistes
Invisibilisation des enjeux, allégations fausses ou trompeuses, polarisation du débat… Sur les sujets écologiques et climatiques, la désinformation a plusieurs facettes.
Parmi les thématiques les plus exposées: l'énergie, la mobilité, et tout ce qui touche de façon indirecte à un changement des modes de vie…
Dans un monde où l’information circule plus rapidement que jamais, la diffusion intentionnelle de fausses informations relatives au changement climatique et à l'écologie retarde l’action et menace nos démocraties.
Comment en est-on arrivés là ? D’où nait la désinformation et comment se propage-t-elle ?
On décrypte la mécanique de la désinformation écologique et climatique avec nos invités, Eva Morel co-fondatrice et secrétaire générale de QuotaClimat et Thomas Huchon journaliste, auteur, réalisateur, spécialiste du web, des infox et des théories complotistes, auteur de Résister aux fake news. Comment faire face aux théories du complot les plus courantes ? éditions First
Invités :
- Estérelle Payany, journaliste culinaire (Télérama sortir, Régal) et autrice de nombreux livres dont l’Encyclopédie de la cuisine végétarienne (Flammarion, 2015) ou, plus récemment, La cuisine végétarienne (Flammarion, 2025).
- Dr. Jérôme Bernard-Pellet, médecin nutritionniste, il est le co-fondateur de l’APSARes (Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable) dont l’un des buts est de promouvoir la santé de ses concitoyens par une meilleure nutrition.
- Angèle Ferreux-Maeght, naturopathe, cheffe. Elle est l’autrice de Ma cuisine végétarienne (Marabout, 2024).
Le réalisateur Thomas Lafarge a suivi pendant de longues semaines Arnaud Svrcek, maire de Courmelles, petite commune des Hauts-de-France. Un maire qui s'oppose à l'implantation d'une multinationale. Un documentaire très réussi à voir sur France 3
Il est grand, a des épaules carrées, des mains robustes, et la voix qui porte fort. Arnaud Svrcek cultive des pommes de terre depuis des années dans sa campagne natale.
Quand il n’est pas dans son champ, il est à la mairie de Courmelles, un village de 1830 habitants.
Arnaud Svrcek est monsieur le maire. Et monsieur le maire est très en colère depuis qu’il a appris la prochaine installation à Courmelles de l’usine Rockwool, une multinationale spécialisée dans la laine de roche.
Il faut l'entendre lors d'une première manifestation auprès d’un millier de personnes : "On a commencé, on était un petit groupe, une petite section, une petite compagnie. Aujourd'hui, on est un bataillon. Demain, on sera une armée. Rien n'est fini. Aussi bien au niveau juridique qu'au niveau de la rue. C'est la conjugaison des deux qui va faire qu'on va gagner. Il y a une chose qu'il ne faut pas perdre de vue. Moi, en tant qu'élu, je ne suis pas là pour décider pour les habitants de mon village, je suis là pour porter haut et fort leurs attentes et leurs souhaits".
Menace de pollution
Si Arnaud Svreck s'oppose à l'implantation de cette usine, c'est pour une raison principale. Il redoute les effets des particules et des produits rejetés dans l’air, des substances toxiques et cancérogènes.
Il n’est pas le seul à s’inquiéter et à protester contre cette implantation. Les résultats de la consultation citoyenne qu’il a organisée sont clairs : 96,6% des habitants ne veulent pas de Rockwool.
Une bataille juridique s’engage alors pour tenter de faire annuler le permis de construire accordée par la préfecture.
Un combat long, épuisant, complexe, qui fait monter en pression le maire : "C'est un combat à mort. Faut qu'il y en ait un qui a la peau de l'autre. Ils sont partis pour avoir la nôtre, mais on va la vendre chère. Ca va résonner. On va faire du bruit. Ils arrivent ici, ils dictent leur loi... Mais ils ont rien compris au truc. Moi, je vais aller au bout. On va leur montrer que dans l'Aine, c'est une terre de résistance, une terre de bataille, et que le chemin des Dames, on va le déplacer de 30km et puis on va le mettre là. On va en prendre plein la gueule mais on va en donner. Parce qu'on va pas se laisser faire comme ça"...
Derrière la voix d'Arnaud Svrcek, c'est une musique de western qui se fait entendre. Parce que cette histoire tourne au western.
Après une première défaite juridique - cinq procédures sont en cours au moment du tournage du documentaire - le maire envisage sérieusement des actions plus violentes.
Il ne le fera pas, mais au fil des mois, on mesure son abattement.
Démocratie locale
Il ne lui a pas échappé que cette usine est la promesse de 120 emplois Une broutille dans une région qui souffre de la désindustrialisation depuis des années. Arnaud Srcek affirme : "je doute sur le fait de gagner cette bataille, mais pas sur la légitimité de mon combat. J'ai compris. C'est pas parce qu'on est contre l'implantation d'une usine polluante qu'on est contre le travail. Ou qu'on est contre la réindustrialisation. On veut des emplois respirables. C'est quand même pas sorcier".
Le documentaire réalisé par Thomas Lafarge est très réussi. Il parvient à filmer Arnaud Svrcek dans toute sa complexité, capte ses contrariétés, ses espoirs, son attachement à sa terre, ses relations avec ses proches…
Thomas Lafarge raconte aussi la démocratie à l’échelle locale, les batailles entre puissants et citoyens qui s’inquiètent pour l’avenir de leur famille.
Quel camp sort vainqueur de ce combat ? Début de réponse à la fin du documentaire auquel la direction de Rockwool a refusé de participer.
Le documentaire « Le maire contre la multinationale » est diffusé ce soir à 22.45 sur France 3 et sera disponible sur la plateforme France.tv