Lola Devolder construit et anime des stages de formation dans le champ social, médico-social et sanitaire. Elle accompagne les équipes dans leur réflexion sur les écrits professionnels, la transmission d’informations, ainsi que les questions éthiques.
Elle est co-autrice, avec Serge Escots, d’ouvrages et d’un outil d’intervention en protection de l’enfant.
Elle travaille sur la laïcité en contexte scolaire, judiciaire, pénitentiaire, et en institution sociales et médico-sociales, avec les professionnels et les usagers des services.
Elle assure des cours de méthodologie de la recherche au sein du DEIS (Diplôme d’état en ingénierie sociale) et au Diplôme Universitaire de Thérapies Familiales, à l’Université Jean Jaurès de Toulouse.
Formée à la sémiotique, elle participe aux recherches et études conduites à l’Institut d’anthropologie clinique, portant sur le sens des pratiques sociales.
Parcours
Lola Devolder est docteure en linguistique appliquée. Son travail de thèse porte sur la notion de registre de langue, illustrée à partir de la familiarité langagière (analyse des faits de langue et faits sociaux ; incidences réciproques des normes et pratiques sociales et linguistiques ; rapport langue et pouvoir symbolique ; imaginaires linguistiques).
Elle a enseigné pendant une dizaine d’années dans diverses universités (Paris V – Sorbonne, CUFR Champollion – Albi, Université Toulouse Jean Jaures) la linguistique générale, la sociolinguistique, la communication, la stylistique de l’énonciation et la rhétorique argumentative.
Elle est formée à l’animation d’atelier d’écriture par le réseau d’éducation populaire Culture et liberté.
Principales publications
Evaluer la pourvoyance des besoins en protection de l’enfant, co-élaboré avec Serge Escots, kit d’intervention, IAC 2019
En finir avec les parents toxiques : Parentalités empêchées, Carré de vignes éditions, 2016. https://www.i-ac.fr/wp-content/uploads/2020/04/EN-FINIR-AVEC-LES-PARENTS-TOXIQUES-PARENTALIT%C3%89S-EMP%C3%8ACH%C3%89ES.pdf
« Faut-il se former à la laïcité ? …et faire reculer la xénophobie d’où qu’elle vienne »., IAC, 2015.
« Assistant-es maternel-les : Quand l’espace familial et l’espace professionnel se mêlent, s’en mêlent, sans s’emmêler », Actes du colloque UDAFAAM, 2014.
Mes parents se font la guerre, Carré de vignes éditions, septembre 2014.
« Penser le fait laïque en institution : repères pratiques », IAC, 2014.
« Des femmes en mouvement aux études féministes : la conquête d’un champ disciplinaire », Projet PATOU : Patrimoine Immatériel du Toulouse Scientifique Moderne, 1960-1990, Centre d’anthropologie sociale, LISST, 2011.
Le foyer du May, 440 ans d’histoire solidaire au cœur de la cité toulousaine, Bodéva, 2010.
Étude sur les spécificités des services d’aide à la personne destinés aux adultes en situation de handicap, Handéo, 2009.
Max Wang, comme de nombreux employés de Facebook, s'est opposé frontalement à la direction du réseau social. Dans une vidéo, il explique les raisons de son départ - le réseau social en prend pour son grade.
...
Après l'avoir d'abord diffusée en interne le 1er juillet, l'ingénieur a décidé de la poster sur YouTube, à la manière d'un lanceur d'alerte.
Pendant dix-neuf minutes, l'ex-ingénieur logiciel étale les conflits en interne qui se sont intensifiés depuis le meurtre de George Floyd et les vagues de protestations comme de départs qui ont suivi le Tweet de Donald Trump appelant à des représailles contre les manifestants à Minneapolis. Le 1er juin, de nombreux employés s'étaient virtuellement mis en grève. Un mois plus tard, Max Wang démissionnait.
« Nous avons inscrit cet échec dans nos politiques »
... fustigeant l'attitude des dirigeants de Facebook courbant l'échine devant le pouvoir (le président des États-Unis) sans se préoccuper du monde réel (les manifestants et leurs revendications).
...
Il n'est pas le premier à alerter sur la crise de confiance que traverse l'entreprise. Le 26 juin, un autre ingénieur de Facebook, Dan Abramov, postait en interne :
« Je ne peux pas m’empêcher de penser que les dirigeants de l’entreprise ont trahi la confiance que mes collègues et moi-même leur avons accordée. »
... longue enquête, Buzzfeed News ... le réseau social a tardé à supprimer des publicités composées de contenu nationaliste blanc et nazi - alimentant la polémique à l'origine du boycott de grandes marques derrière le #StopHateForProfit contre Facebook. https://www.01net.com/actualites/stophateforprofit-le-boycott-s-intensifie-la-colere-gronde-contre-facebook-1944803.html
...
Yaël Eisenstat, l’ancienne responsable de l’intégrité des publicités électorales du réseau social, a confirmé que les préoccupations des employés reflétaient son expérience au sein de l’entreprise, qui, selon elle, est sur une voie dangereuse à l’approche des élections.
« Toutes ces mesures mènent à une situation où, en novembre, une partie des utilisateurs de Facebook ne feront pas confiance au résultat des élections parce qu’ils ont été bombardés de messages sur Facebook les préparant à ne pas lui faire confiance », a-t-elle déclaré.
...
La possibilité de faire de la publicité politique sur le réseau social est un sujet épineux pour Facebook - aux antipodes de la position de Twitter.
« Facebook n’est pas neutre »
Selon les employés, tout cela est permis par la sacro-sainte liberté d'expression défendue, bec et ongles, par Facebook. Mark Zuckerberg défend le statu-quo et la non-intervention dans le filtrage des contenus, assurant que cela permet une plus grande liberté. Or, les employés en colère démontent ce discours de façade.
« En tant qu’employés, nous ne pouvons pas nous permettre cette illusion », résume l'ingénieur Dan Abramov. « Facebook n’est pas neutre. Il n’y a rien de neutre à rapprocher les gens. C’est littéralement le contraire du statu-quo. »
Source : Buzzfeed News et The Verge
Connu / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?tC41fA
vidéo aussi à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?bGYkHQ
Le 8 juillet 2020, Île-de-France Énergies et Dorémi ont témoigné de leur expérience en matière d’accompagnement à la rénovation énergétique globale, lors d’un web-séminaire du CLER – Réseau pour la transition énergétique, organisé avec le soutien de l’ADEME.
Les structures du réseau FAIRE font actuellement face à un contexte mouvant, notamment avec le déploiement du programme SARE (Service d’Accompagnement pour la Rénovation Énergétique), qui implique des évolutions de leur métier, de leurs compétences et de leur organisation. Il est ainsi nécessaire de mettre les structures en capacité de s’organiser et de monter en compétences sur des thématiques données, sur lesquelles elles pourraient être amenées à se positionner dans le contexte actuel.
...
Présentation IDF ENERGIES https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-IDF-ENERGIES.pdf
Présentation Dorémi https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-Dore%CC%81mi.pdf
Avec la participation de :
- Raphaël Claustre, Directeur général d’Île-de-France Énergies ;
- Léana Msika, Chargée de projets chez Dorémi.
Animation : Etienne Charbit, Responsable de projets Efficacité énergétique
etienne.charbit[arobase]cler.org
Connue / https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?-MGqCQ
i à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?LqUIZw
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Le 8 juillet 2020, Île-de-France Énergies et Dorémi ont témoigné de leur expérience en matière d’accompagnement à la rénovation énergétique globale, lors d’un web-séminaire du CLER – Réseau pour la transition énergétique.
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Au sein de sa ferme, L’Escargotier, Yves Joignant cultive son bonheur
Dans le cadre préservé du Marais-Vernier, Yves Joignant vit son rêve d’un retour à la terre. Parti du Havre il y a cinq ans avec rien d’autre qu’une yourte, le jeune homme s’est découvert une âme de paysan. Fini la pose de planchers et les petits boulots. Aujourd’hui, il élève des escargots, produit son propre miel et développe ses cultures de champignons sur bûche.
Paysan plutôt qu’agriculteur
« Je me suis lancé dans l’héliciculture car les escargots nécessitent un investissement faible. Il faut simplement une cuisine aux normes. » Mais ce choix de vie, Yves Joignant ne l’a pas tenu très longtemps. « Au bout de trois-quatre ans, je me suis rendu compte que je ne voulais pas être agriculteur mais paysan. Je m’étais mis à mon compte avec une charge de travail énorme. Mon rêve premier avait été un peu effacé par cette installation agricole. »
30 000 à 40 000 escargots par an
Le trentenaire décide donc de réduire sa production et de ne faire plus que du bio. Disposant de 600 m² de parcs d’escargots, il fait une croix sur un parc et le remplace par un verger-poulailler. « Puis, j’ai supprimé un deuxième parc pour installer une yourte pédagogique. » Aujourd’hui, il ne produit plus que 30 000 à 40 000 escargots par an.
Permaculture
Derrière ces choix de vie planent la décroissance - « quel meilleur symbole pour la décroissance que l’escargot ? » -, la permaculture et d’autres concepts qui n’ont pas souvent voix au chapitre.
Avec des revenus en baisse, le nouveau paysan décide de revenir à l’essentiel, aux fondamentaux. Une chèvre, des poules, quelques lapins : de quoi subvenir aux besoins de son foyer composé de sa compagne et de leurs trois enfants. « Je fais beaucoup de militantisme », reconnaît Yves Joignant, qui se définit comme un « écologiste pur et dur » sans être un radical.
Devenu coprésident de l’Université populaire de permaculture, il dirige des stages pour enseigner cette autre agriculture. « Les trois principes éthiques de la permaculture sont le soin à la terre, le soin aux hommes et le partage équitable. Mais je fais partie de ceux qui estiment que ce n’est pas suffisant. Il faut créer l’abondance. » Objectif de la permaculture : « Rendre les gens autonomes. »
Des champignons sur BÛCHES
C’est en cherchant à cultiver le bon sens qu’Yves Joignant s’est lancé récemment dans les champignons sur bûche. L’idée a mûri au cœur d’une forêt. Plutôt que d’abattre les arbres et de transporter les grumes à l’extérieur du terrain, il décide, avec des amis, de transformer le bois sur place en ne s’autorisant pour seul outil moderne qu’une tronçonneuse.
Rien ne se perd, tout se réutilise : en voyant les bûches à terre, Yves Joignant imagine les utiliser pour cultiver des champignons : « On incorpore le champignon que l’on veut manger et celui-ci va coloniser la bûche. » L’ensemble s’intègre parfaitement au jardin : « Les champignons vivent en symbiose avec les plantes et favorisent leur croissance. En échange, les plantes font de la photosynthèse nécessaire aux champignons qui ont besoin de sucre et de nutriments. »
STUDIO D : un lieu de formations
Ces bûches à champignons, tout comme les escargots, le miel, les confitures ou des plantes sauvages, sont vendues à la boutique de l’association Studio D, créée en même temps que sa ferme. Le lieu accueille également des formations diverses comme des stages de cuisine, de poterie, de charpente, de vannerie ou de tour à bois. Le tout toujours dans un esprit de retour à la nature.
Yves Joignant participe, à son échelle, à transformer nos modes de vie. « On peut modifier les villes, créer des systèmes, affirme-t-il, convaincu. Je suis un utopiste mais ce sont les utopistes qui changent le monde. »
Infos pratiques Courriel : yvesjoignant@hotmail.com
Studio D, 622, chemin des Courtils à Bouquelon. Tél. 02 32 56 87 57. Internet : www.studio-d27.com
Lucile Fourtier & Yves Joignant. 18bis Bout d'Aval. 27680 Marais Vernier. 06 29 46 39 43---Yvesjoignant@hotmail.com. Lucile Fourtier : lesliensdusauvage@yahoo.com
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L'escargotier : Permaculture, vannerie sauvage, production de la ferme, animation, stage, chantier participatif, animation, "Et si on se Marais"...
L'ÉVEIL DE LA PERMACULTURE https://leveildelapermaculture-lefilm.com/intervenants/yves-joignant/
Yves Joignant travaillait dans le secteur du bâtiment et posait des revêtements de sol. Parti du Havre il y a cinq ans avec rien d’autre qu’une yourte, il est aujourd’hui paysan sur la ferme l’Escargotier. Dans le cadre préservé du Marais-Vernier, il y élève des escargots, produit son propre miel et développe ses cultures de champignons sur bûche. Il est l’initiateur et le co ...
defermeenferme.com/participant-655-n8-l-escargotiern°8 - L'ESCARGOTIER - La france de ferme en ferme https://leveildelapermaculture-lefilm.com/intervenants/yves-joignant/
(Analyse NESO de la ferme : Nature, Énergie, Sociale, Origine) Vente des produits de la ferme (escargots cuisinés, pain d’épices, plantes sauvages, cidre) Le samedi. Départ à 9h30 pour une balade découverte du Marais Vernier avec les ânes (6 km), en passant par le « Courtil les buttines », jardin partagé en permaculture. (co ...
https://www.escargotier.org/contactCONTACT | escargotier
Lucile Fourtier & Yves Joignant. 18bis Bout d'Aval. 27680 Marais Vernier. 06 29 46 39 43---Yvesjoignant@hotmail.com. Lucile Fourtier : lesliensdusauvage@yahoo.com
Yves Joignant - Champ Libre
https://ecole-champ-libre.fr/teacher/yves-joignant-2
Yves Joignant. Yves Joignant est paysan sur la ferme l’Escargotier au Marais Vernier, une conception en permaculture sur 2000 m² depuis 5 ans (habitat écologique et traditionnel, potager, verger, poulailler, toilettes sèches, phyto-épuration…).. Il est également: initiateur et fondateur de l’association « Si on se marais » au Marais Vernier (artisanat local, chantiers ...
https://www.larbreauxetoiles.fr/evenements/stage-d-initiation-a-la-permaculture-dec-2020 Stage d'initiation à la permaculture - dec 2020 - L'arbre ...
Yves Joignant. Yves Joignant est paysan sur la ferme l’Escargotier au Marais Vernier, une conception en permaculture sur 2000 m² initiée en 2009 (habitat écologique et traditionnel, verger-potager, verger-poulailler, phyto-épuration, accueil à la ferme, partage de savoir …). Il est également: initiateur et co-fondateur de l’association Studio D au Marais Vernier (art, artisanat ...
escargotier.canalblog.com/archives/2011/02/22/15081740.htmlElevage des escargots - L'Escargotier du Marais Vernier
escargotier.canalblog.com/archives/2011/02/22/15081740.html
A la ferme de l'Escargotier; Au jardin partagé "Les Butines" Liens. AMAP Risloise; Conservatoire du Littoral; Culture et Nature; Défis Ruraux; Enercoop; Ferme de la Grand Mare ; Kokopelli; Parc naturel régional; PILES; Sans OGM en Normandie; Studio D; WWOOF France; Newsletter. 4 abonnés. Pages. L'Escargotier du Marais Vernier > Les produits de la ferme > Elevage des escargots. 22 févr ...
escargotier.canalblog.com/archives/2014/05/18/29893380.html L'Escargotier et la permaculture : un désordre...très ...
Pour Yves Joignant, propriétaire de l'Escargotier, la permaculture est bien plus qu'une science, il s'agit du mode de vie qu’il a choisi et applique, à titre personnel mais également professionnel, en respectant l’environnement naturel et social du site de la ferme de l'Escargotier, ainsi que l’équilibre financier de l’exploitation et de ses partenaires.
societe.com/societe/monsieur-yves-joignant-477976260.htmlMONSIEUR YVES JOIGNANT (MARAIS-VERNIER) Chiffre d'affaires ...
societe.com/societe/monsieur-yves-joignant-477976260.html
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Les analyses des résultats du second tour des élections municipales 2020 ont souligné la victoire des écologistes. Mais ce succès a recouvert une tendance nouvelle, l’émergence de listes participatives et d’innovations démocratiques, qui ont remporté 66 communes.
...
derrière cette « vague verte » qui a attiré l’attention médiatique, se cache une autre réussite : celle des listes citoyennes et participatives. Soixante-six d’entre elles ont remporté une victoire au second tour [1].
Certes, leur succès reste minime à l’échelle nationale. Mais un mouvement de fond a su émerger, puis s’imposer dans certains territoires. « Ce sont des listes qui ont pour but de vraiment changer la posture de l’élu, de faire en sorte que le maire ne décide pas tout seul, qu’il décide avec les habitants », rappelle Thomas Simon, coordinateur de l’association Action commune qui accompagne ces listes participatives dans leur évolution.
Plus de 400 listes citoyennes en 2020
...
[1] 66 listes participatives ont gagné les élections, dont 10 communes de moins de 1.000 habitants, 33 communes entre 1.000 et 10.000 habitants, 18 communes entre 10.000 et 100.000 habitants, et une commune de plus de 100.000 habitants (Annecy).
Chronique
Si notre chroniqueuse se réjouit de la victoire des écologistes aux municipales, elle considère qu’on ne peut pas parler de « vague verte », notamment du fait de l’abstention record. La bataille culturelle est loin d’être acquise.
...
cela ne dit rien de définitif sur une victoire de l’écologie dans l’opinion. Il suffit de regarder les chiffres de l’abstention pour écarter l’idée de massification. Soit le sentiment d’urgence écologique et sociale ne se répand pas si largement — ce qui reste édifiant au regard des enjeux —, soit la désaffection pour les politiques se répand plus rapidement. Au croisement des deux, il y a la mobilisation d’un électorat restreint qui fait gagner des projets nouveaux. Cela ne veut pas dire qu’il y a une demande majoritaire d’écologie radicale, ni que les habitant-es et les acteurs économiques vont accepter demain sans broncher de municipaliser l’eau, d’accueillir dignement les migrants, de réduire la place de la voiture en ville, de renoncer aux grands stades ou aux partenariats publics-privés, de baisser significativement la consommation de ressources et la matière produite, de développer la sobriété dans tous ses aspects ni qu’on échappera à des phénomènes de gentrification.
...
L’écologie est de plus en plus attendue, non à droite sur son réalisme économique, mais à gauche, sur son anticapitalisme et sa radicalité. Elle est devenue clivante. Partout, que cela ait été impulsé ou non par les listes concernées, on a assisté à des levées de boucliers d’intérêts économiques et particuliers, à Toulouse ou Lyon comme sur certains plateaux télé. Ça avait commencé avec Greta Thunberg, ça se poursuit avec certaines propositions de la Convention citoyenne pour le climat : la violence des attaques oblige chacun à se positionner et révèle des projets politiques opposés, qui touchent de plus en plus aux grands projets d’infrastructure et à l’économie, bien au-delà de la vision consensuelle d’une écologie bio–vélo. On rentre dans le dur.
L’accélération et la dégradation brutale de la précarité, du climat, des pollutions et de la biodiversité
Cette bataille culturelle, nous en avons été les artisans par la réflexion intellectuelle qui s’est ouverte sur le lien indissociable entre justice sociale et urgence écologique, sur l’Anthropocène et notre rapport aux écosystèmes, par sa traduction politique, qu’elle soit institutionnelle ou en marge du système, dans des éléments de programme sur la fiscalité ou les traités de libre-échange, dans des manières différentes d’être terrestres, de vivre et d’habiter un lieu, par des actions de terrain, de l’entraide et de la désobéissance, par des opérations coups de poing destinées à ouvrir notre fenêtre d’Overton [1]. En bref, de manière générale par le trépied de la transformation sociale : un réseau de résistances, la construction d’alternatives et de l’éducation populaire.
...
Au-delà des analyses électorales et sociologiques, c’est probablement l’élément nouveau le plus décisif car c’est celui qui affecte nos vies et notre avenir bien plus sûrement que tous les scrutins passés et à venir.
Pour ces nouvelles équipes municipales, c’est maintenant que les difficultés commencent
...
considérer le réel avec lucidité et vertébration politique certes, mais sans fausse polémique ... parce qu’il y a — au mieux — urgence, je crois qu’on ne peut pas faire la fine bouche sur tout ce qui peut permettre de préserver ne serait-ce que quelques grammes de vivant et de justice sociale ... Il est très dur de gérer une ville de manière réellement écolo et sociale, même avec les meilleures volontés, quand on est englué dans un système capitaliste et productiviste. Les mairies ne sont pas des baguettes magiques et ne disposent pas de tous les leviers, en particulier fiscaux ou législatifs. Il ne faut pas donc y placer trop d’espoirs qui seraient fatalement déçus ... le Capitalocène ou la résilience ... débitumisation
...
que ce soit des élu-e-s citoyennes, Europe Écologie Les Verts, France insoumise ou je ne sais quoi, rien ne se passera de significatif sans mobilisation et réflexion du dehors, c’est-à-dire de nous. Une pression à la fois radicale car dégagée des tensions du pouvoir représentatif et amène, car l’objectif n’est pas d’affaiblir ni de braquer mais bien de pousser de potentiels alliés. Tout l’enjeu, selon moi, est désormais là. Et nous ne renoncerons à rien.
[1] Cette notion théorise un espace fluctuant, sous la forme d’une fenêtre dans laquelle se situe ce qui est politiquement acceptable par le public. Cela peut prendre la forme de ballons d’essai volontairement provocateurs pour voir comment l’opinion réagit ou de légitimisation de formes d’actions considérées comme violentes ou encore de rendre des choses jusqu’ici tacitement admises inacceptables.
[2] L’irénisme est l’attitude qui consiste à minimiser les désaccords et conflits pour parvenir à la concorde à tout prix.
Ndlr :
- espace d'Overton ~acceptabilité sociale ? ACT
- irénisme : acheter la "paix sociale" ? ACT
Accueil > Réseau > Présentation > Principes fondateurs
Promotion active du vélo
Les ateliers sont des lieux pour promouvoir l’usage du vélo en ville en facilitant l’entretien et la réparation des vélos. Ils ont comme vocation de multiplier le nombre de cyclistes quotidiens dans nos villes en offrant la possibilité d’acquérir un vélo et de l’entretenir à moindre coût.
Permettre un usage quotidien du vélo
Les ateliers souhaitent favoriser l’usage du vélo et permettre le développement de nouvelles pratiques cyclistes. En permettant l’acquisition de vélos d’occasion d’une part et la réparation à moindre prix, les ateliers ont vocation à faciliter la mise en selle de nouveaux cyclistes. Le fait d’avoir un lieu où on peut réparer son vélo quelque soit le problème garantie un usage plus fréquent du vélo.
En mettant à disposition un service collectif, les ateliers souhaitent voir augmenter le nombre de cyclistes et, par le nombre, pacifier les rues et rendre la ville plus agréable.
Les animations de rue
Une véloparade dans les rues de Grenoble
Des repères pour orienter les décisions vers un monde plus solidaire
Résumé
Les Agendas 21e siècle locaux (A21L) sont des processus participatifs de prise de décision participatifs. Les décisions humaines sont imprégnées d’une éthique ou de valeurs et quand elles sont prises en groupe. Ces valeurs peuvent se contredire. Les valeurs du développement durable peuvent offrir aux acteurs des A21L des points de repère pour orienter leurs décisions vers un monde plus solidaire.
- L’éthique : c’est abstrait et ça décrit toujours des utopies !
- L’éthique : c’est très général et ça ne s’applique pas aux situations concrètes
- Oui, mais comment faire pour savoir quelle est la meilleure décision dans les circonstances ?
- Qu’est ce que la « moraline ? »
- Y-a-t-il quand même des balises plus précises pour prendre des décisions qui vont dans le sens du développement durable ?
- L’éthique, c’est tellement compliqué, n’est-ce pas plus sûr de se tourner vers la science ?
- Que retenir ?
Extraits
...réflexion sur un idéal ... pratique quotidienne ... vise à changer le monde ... trouver une cohérence interne entre les croyances, les valeurs, les prescriptions culturelles et les choix personnels.
Alors que la science tente de démêler le vrai du faux, l’éthique s’occupe de distinguer le bien du mal.
... tente de définir des principes universels ... L’éthique dans l’action s’inspire de ces règles générales, mais accepte les contradictions entre les valeurs morales et oblige à faire des choix. Les éthiciens appellent cela : « prendre la meilleure décision dans les circonstances » et pas « prendre la bonne décision ». ... alimenter les réflexions des personnes impliquées dans des processus participatifs
- impartiale ?
- réciproque ?
- exemplaire ?
... « bien penser » et s’exercer par la « culture psychique » ... une auto-éthique qui responsabilise ... recherche la multidisciplinarité et la complexité, intègre les émotions et la raison, la science et l’éthique
En complément
L’environnement et la santé humaine http://demarchesterritorialesdedeveloppementdurable.org/environnement-et-sante-humaine/
Pour aller plus loin...
BEAUCHAMP, A. (2006). « Éthique du développement durable ». Dans VILLENEUVE, C. (dir) Le développement durable : quels progrès, quels outils, quelle formation ?, Actes n°6, IEPF, Canada, 225 p.
CAMERINI, C. (2003). Les fondements épistémologiques du développement durable. Entre physique, philosophie et éthique, L'Harmattan, Ouverture philosophique, Paris, 143 p.
JACQUARD, A. (1998). Surconsommation / appauvrissement : l'urgence d'agir !, Conférence organisée par l’ACEF de l’Est de Montréal, Cégep Maisonneuve, Montréal, 8 septembre 1998.
JACQUARD, A. (2003). Dieu ?, Stock/Bayard, Paris, 156 p.
JONAS, H. (1998). Pour une éthique du futur, Éditions Payot et Rivages, Paris, 144 p.
MORIN, E. (1999). Les sept savoirs nécessaires à l'éducation du futur, Seuil, Paris, 129 p. [Le document a été mis en ligne par l’UNECO]
MORIN, E. (2004). La méthode 6, Éthique, Seuil, Paris, 240 p.
REEVES, H., et F.LENOIR (2003). Mal de Terre, Seuil, Science ouverte, Paris, 272 p.
Par Nicole Huybens titulaire d'une maîtrise en communication de l'Université Catholique de Louvain en Belgique et d'une maîtrise et d'un doctorat en théologie pratique, option praxéologie. Sa thèse portait sur l’analyse des aspects éthiques et symboliques de la controverse socio-environnementale sur la forêt boréale du Québec. Elle a enseigné en Belgique, en France et en Suisse, avant de devenir professeure au département des sciences fondamentales de l’Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre des programmes d’enseignement en éco-conseil. Elle est spécialisée dans l'enseignement des matières liées au pôle social du développement durable.
Une structure innovante
Établissement Public de Coopération Culturelle (EPCC) destiné à pérenniser l’action de l’État, de la région Nouvelle Aquitaine et du Conseil départemental de la Dordogne, dans une démarche globale et commune de valorisation des ressources patrimoniales, culturelles, touristiques et paysagères de la vallée de la Vézère.
... pour développer une politique ambitieuse qui s’appuie sur le tourisme culturel, la pédagogie et l’animation ainsi que sur l’accès aux ressources documentaires et la médiation scientifique. Cette dynamique proposée à l’échelle de la vallée de la Vézère est appelée à être élargie à d’autres territoires, à commencer par celui de la région Nouvelle Aquitaine toute entière, et à d’autres partenaires à l’échelle nationale et internationale.
NOS MISSIONS
- transmettre un héritage universel : La Préhistoire
- promouvoir et valoriser les sites culturels et touristiques en Préhistoire à l'échelle locale, régionale, nationale et internationale
- favoriser la mise en réseau : sites, institutions, bibliothèques...
- collaborer à la mise en place d'équipements structurants et à la réalisation de projets innovants
- assurer une médiation culturelle pour TOUS les publics
- soutenir et associer les chercheurs scientifiques
- former et transmettre des compétences et savoir-faire
- valoriser la collection audiovisuelle "Les Gestes de la Préhistoire"
- animer et coordonner la démarche "Grand Site" de la vallée de la Vézère
S’INFORMER - Maquette et exposition permanente - Triptyque - Bornes d’accueil - Balades
COMPRENDRE - Salle de lecture et espace numérique - Expositions temporaires - Auditorium - Conférences - Colloques - Journées pédagogiques - Formations
S’INITIER - Module de fouille - PréhistoLab - PréhistoConte - Salles pédagogiques
... doté, en 2010, d’une structure d’accueil de 3 000 m2 ... bâtiment, dédié au service de tous les publics, s’articule autour de trois grands axes : s’informer, comprendre, s’initier. Situé aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil, au coeur de la vallée de la Vézère riche de 400 000 ans d’occupation humaine, il est une clé d’entrée, complémentaire de son voisin, le Musée national de Préhistoire, pour la découverte des sites préhistoriques.
Des contenus proposés aux visiteurs élaborés en concertation avec les scientifiques institutionnels :
- Musée national de Préhistoire - Centre national de Préhistoire
- Service régional de l’Archéologie - Service départemental de l’Archéologie
- Institut national de recherches archéologiques préventives
- Muséum national d’Histoire naturelle - Université de Bordeaux (Laboratoire PACEA)
Le Conseil d'Administration
... administré par un conseil d'administration et son président. Il est dirigé par un directeur et doté d'un conseil orientation scientifique.
- https://pole-prehistoire.com/images/PDF/Conseil_administration/Liste-membres-CA-EPCC-PIP-2020-1.pdf
- https://pole-prehistoire.com/images/PDF/Conseil_administration/Composition-COS-PIP-Mars-2018-2.pdf
Coordonnées :
contact@pole-prehistoire.com + 33 (0)5 53 06 06 97 - 30 rue du Moulin, 24620 Les Eyzies
Marque Qualité TourismeTM appliquée à la filière spécifique aux lieux de visite « Site Préhistoire »
Gilles Muhlach-Chen / Directeur - M : gilles.muhlach-chen@pole-prehistoire.com
Ndlr: partage le "pour tous" avec MpT, promesse intenable sans coopération => proposer coopération ACT
Le Pôle d’Interprétation de la Préhistoire et la Fondation Orange s’associent pour proposer un cours en ligne gratuit et ouvert à tous qui apporte un nouveau regard sur les modes de vie des hommes et des femmes préhistoriques.
... inscriptions ouvertes ... traite des sociétés de la préhistoire, en allant à la rencontre des chercheurs d’aujourd’hui.
De quoi allons-nous parler ?
Essentiellement de préhistoire européenne, des périodes Paléolithique et Mésolithique, réunies désormais sous l’appellation « Paléo-Mésolithique », en privilégiant le cœur de cette période, entre 400 000 et 6 000 ans environ. C'est le temps des chasseurs-collecteurs, presque toujours nomades, circulant et échangeant sur des territoires où ils trouvent leurs ressources et leurs lieux de vie.
Jacques Jaubert, professeur de Préhistoire à l'université de Bordeaux a assuré la direction scientifique de ce cours. Il en est l'intervenant principal. Des anthropologues, archéozoologues, pariétalistes et technologues interviennent également dans ce MOOC. Chacun, dans son domaine, fait connaître ces sociétés de chasseurs-collecteurs, Néandertaliens ou Hommes modernes. Ils partagent l’actualité de leurs recherches, leur façon de travailler et de construire leurs connaissances. la préhistoire est abordée à partir d’éléments concrets (sites archéologiques, objets...) permettant de percevoir le quotidien de ces hommes et femmes préhistoriques, loin des clichés encore trop souvent véhiculés aujourd'hui : non, les préhistoriques ne vivaient pas au fond des grottes, en butte à une nature hostile ! Ce MOOC propose de découvrir un univers beaucoup plus riche, sensible et complexe.
Les trois séquences centrales du cours permettent d’explorer les modes de vie des chasseurs-collecteurs :
- Les territoires de vie
Comment les chasseurs-collecteurs se sont-ils adaptés aux bouleversements climatiques ? Comment organisaient-ils leurs espaces et leurs déplacements ? - Les objets et activités du quotidien
À quoi ressemblaient les outils et les armes des chasseurs-collecteurs ? Comment se nourrissaient-ils ? - Le monde symbolique
Quelles furent les diverses formes d’expression artistique des chasseurs-collecteurs ? Comment traitaient-ils leurs morts ?
... une équipe d’animateurs et d’experts est disponible pour dialoguer avec les apprenants.
Que pouvait-on savoir et prévoir de l’actuelle pandémie et de son arrivée sur le territoire français ? Premiers éléments de réponse à partir d’un corpus bien défini : le très réputé magazine « Science », et les déclarations de l’OMS depuis fin décembre 2019.
...
Conclusion
Cette brève esquisse permet de décrire quatre moments dans l’appréhension de l’épidémie du coronavirus Covid-19 pour qui lit Science. Début janvier 2020, on apprend l’existence de cette nouvelle maladie dont les caractéristiques sont inconnues. Début février, on doit se rendre à l’évidence : les spécialistes ne peuvent exclure le scénario de la pandémie, voire semblent penser que ce scénario est le plus probable des deux (l’autre étant la réussite du containment). Le 25 février, il est désormais établi que la pandémie l’a emporté. Le 2 mars, l’analyse du rapport de la visite de l’OMS montre deux choses : il est possible d’arrêter la course folle du virus ; la manière de le faire est de procéder à des dépistages massifs et ultra-rapides, avec traçage et isolement immédiat des contacts des personnes positives.
Soulignons au passage que dès le 11 février, les lecteurs de Science sont alertés sur la possible pénurie de tests biologiques de dépistage. Le rapport de l’OMS du 28 février confirme qu’il existe d’autres techniques, à allier ou à substituer aux tests biologiques de dépistage en fonction des circonstances : la prise régulière des températures, l’examen des poumons par scanner.
D’autres travaux permettront aussi, je l’espère, de mettre en regard cette esquisse de chronologie avec ce qu’a fait et ce que n’a pas fait le gouvernement français. Je me permettrai une seule remarque sur ce point.
Le 28 février est publié le rapport crucial de l’OMS sur ce qui a été fait en Chine. Il montre que seule une mobilisation de « tout le gouvernement » (all-of-government) et « toute la société » (all-of-society) permet de vaincre l’épidémie. On se souviendra sans doute longtemps du fait que le lendemain, le samedi 29 février d’une année bissextile, le premier ministre Édouard Philippe a décidé de détourner un conseil des ministres « exceptionnel dédié au Covid-19 » pour annoncer l’utilisation de l’article 49.3 de la Constitution afin d’adopter sans vote la réforme des retraites. Alors que l’OMS démontrait l’urgence de l’action collective et solidaire face à une pandémie bientôt incontrôlable, le gouvernement s’est dit que le plus urgent était de profiter de la dernière fenêtre de tir pour faire passer son projet de loi tant décrié.
Lorsque le temps de la justice et des comptes sera venu, il nous faudra comprendre comment nous en sommes arrivés à la situation actuelle : une pénurie absolue de masques, ne permettant pas de protéger convenablement les soignant.es qui sont au front – qui sont infecté.es, et infectent à leur tour –, bien trop peu de tests de dépistage (ce qui semble avoir été une décision assumée, y compris aux temps où l’épidémie était encore balbutiante en France, et n’est pas une fatalité en Europe, comme le montre l’exemple de l’Allemagne), et finalement la décision de dernier ressort de confiner toute la population pour une période indéterminée, une arme non discriminante qui est terriblement coûteuse en termes humains, sanitaires (santé mentale) et économiques.
Ndlr : il est ici démontré de manière factuelle et prouvée à quel point le gouvernement a failli et aura de très nombreux morts sur la conscience. => Le faire savoir ACT
Lien court : https://link.infini.fr/covid-entraide-marthon
( colloque publié http://www.ccic-cerisy.asso.fr/bienscommunsTM18.html) Mise à jour 29/08/2018
DIRECTION : Nicole ALIX, Jean-Louis BANCEL, Benjamin CORIAT, Frédéric SULTAN - Animateurs de La Coop des Communs
ARGUMENT :
Mieux connu depuis l'attribution, en octobre 2009, du prix Nobel d'économie à Elinor Ostrom, le concept de "communs" ou de "biens communs" fait actuellement florès dans de nombreuses disciplines: économie, gestion, droit et science politique, mais aussi dans les programmes de militants et responsables politiques. Ainsi le Parlement européen a constitué un intergroupe dédié aux "services publics et biens communs". Surtout, de très nombreuses initiatives témoignent de la vitalité de nouvelles forces sociales du vivre et produire ensemble et autrement, pour promouvoir des laboratoires citoyens et économiques dans les domaines tels que l’économie collaborative, la santé, l’éducation, la transition énergétique, le domaine foncier et pour utiliser des logiques de biens communs pour une gouvernance plus démocratique de fourniture de services d’intérêt général et élargir les choix dans les partenariats publics/privés.
Dans ces temps de mutations économiques, technologiques, écologiques, sociales, majeures, ce colloque est conçu comme un carrefour pluridisciplinaire de rencontres et d'échanges entre chercheurs et acteurs, venant de plusieurs pays européens, pour cerner le contenu du concept de biens communs et sa capacité à permettre la construction d'une nouvelle manière de vivre en société.
Vous pouvez retrouver l'intégralité des enregistrements vidéo réalisés durant ce colloque, en accès libre, sur le site Internet suivant : http://www.colloque-tv.com/colloques/vers-une-republique-des-biens-communs
Environnement | Droits | Protection | Nature | Politique - 2711 lectures
Ferhat Taylan, philosophe
Université de Liège Date : 12/09/2017 Lieu : CCIC Cerisy Durée : 26:54
Cette communication a été enregistrée dans le cadre du colloque intitulé "L'alternative du commun" qui s’est tenu au Centre Culturel International de Cerisy du 8 au 15 septembre 2017, sous la direction de Christian LAVAL, Pierre SAUVÊTRE et Ferhat TAYLAN.
Actes du colloque
Publication du CCIC - L'alternative du commun
Christian Laval, Pierre Sauvêtre, Ferhat Taylan (dir.)
Hermann Éditeur — 2019
ISBN : 979-1-0370-0088-0
Présentation du colloque
Ces dernières années, on observe dans les pratiques comme dans les réflexions théoriques une véritable "explosion" du thème du "commun", devenu une référence centrale pour de multiples foyers de luttes et d’expérimentations politiques et économiques (mouvement altermondialistes et écologistes, défense des services publics, résistances paysannes, coopératives, expérimentations numériques collectives). Cette profusion a été accompagnée par un ensemble de travaux d’économie, de sociologie politique et de philosophie. Avec une vitesse rare pour une notion nouvelle, le commun s'est mondialement imposé en tant que grand concept politique de ce début de XXIe siècle. Il admet pourtant des acceptions fort différentes, parfois contradictoires. Si l’installation du concept est désormais bien avancée, l'on traverse une période de problématisation stratégique, au sens d’un ensemble de questionnements, de difficultés et de conceptions diverses quant à la manière de mettre en œuvre, face à l’impasse que représente la domination oligarchique néolibérale, l’alternative politique du commun.
Présentation de l'intervenant
Ferhat Taylan est chercheur postdoctoral à l'Université de Liège, dans le cadre de projet de recherche "Gouverner par l'environnement". Après avoir soutenu sa thèse de philosophie "La rationalité mésologique. Connaissance et gouvernement des milieux de vie (1750-1900)", il s'intéresse à l'épistémologie historique des savoirs environnementaux modernes.
Résumé de la communication
La reconnaissance de la rivière Whanganui comme personne juridique et "entité vivante" par le Parlement de la Nouvelle Zélande au mois de mars 2017 a été souvent interprétée comme un cas de protection de la nature de la part des cultures locales. Or, on tentera de montrer que pour les Maori qui ont mené un long combat pour cette loi, il s'agit surtout de faire reconnaître l'inséparabilité du collectif humain du milieu naturel, de sorte que tout dommage porté sur la rivière soit considéré au même titre qu'un dommage porté sur les personnes humaines. À travers ce cas juridique semble s'esquisser ce qu'on pourrait appeler un "milieu commun", où les composants bio-physiques du milieu fournissent les conditions d'existence aux humains qui se chargent à leur tour de faire vivre l'ensemble. Ainsi, les impasses d’une écologie posant l’humain en face d’une nature à protéger pourraient être évitées si on arrivait à penser ce milieu commun comme une entité où le collectif et son milieu sont juridiquement inséparables. A fortiori, penser en termes de "milieux communs" nous permettrait-il de formuler, comme étant une revendication forte en écologie politique, l’extension des droits des humains aux conditions de leur existence, aux êtres bio-physiques dont la survie est indispensable au maintien du milieu en question ?
Mission
Le Centre d’Études sur le Stress Humain (CESH) de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal vise l’amélioration de la santé physique et mentale des individus. À cette fin, la mission du Centre est d’accroître le niveau de connaissance actuel qu’ont les individus sur les effets du stress sur le corps et le cerveau. Les objectifs sont :
- Stimuler la recherche scientifique sur les effets du stress sur le corps et le cerveau.
- Servir de centre de référence pour les chercheurs, éducateurs et cliniciens qui tentent de diminuer le niveau de stress chez les enfants et/ou leur famille, et qui désirent évaluer l’efficacité de leurs programmes d’intervention, tant au niveau physique que cognitif.
- Faciliter le transfert de connaissances scientifiques aux décideurs politiques et à la population générale, particulièrement aux travailleurs et aux enfants.
Fondatrice : Sonia Lupien
publications :
- Souza-talarico, J. N., Marcourakis, T., Barbosa, F., Moraes Barros, S.B., Rivelli, D.P., Pompéia, S., Caramelli, P., Plusquellec, P., Lupien, S.J., Catucci, R.F., Alves, A.R., Suchecki, D. (2017). Association between heavy metal exposure and poor working memory and possible mediation effect of antioxidant defenses during aging. Science of the Total Environment, The, 575, 750–757. Pubmed
- etc
Contact : cesh-cshs@crfs.rtss.qc.ca
-
Pour des services d'écoute*
Suicide Action Montréal
Centre Tel-Écoute
Tel-jeunes
Les Déprimés Anonymes inc.
Centre de crise
Revivre
Ressources dans la communauté
Damien CAREME Globe terrestre Europe-Afrique @DamienCAREME ·
4h
Adaptée aux circonstances actuelles...Je veux partager. Ecoutez...
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Web conférence du Pr Philippe Sansonetti prononcée le 16 mars 2020.
Télécharger le support de la conférence :
https://www.college-de-france.fr/site/philippe-sansonetti/seminar-2020-03-16-13h00.htm
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Connue / https://framapiaf.org/@JLPM/103858616104092306
"
franceinter04 @france@framapiaf.org
.#COVID19 ou la chronique d une émergence annoncée Web conférence du Pr Philippe Sansonetti prononcée le 16 mars 2020. https://m.youtube.com/watch?v=JKY1i7IpK3Y
Covid-19 ou la chronique d'une émergence annoncée
1+
Jean-Luc @JLPM@framapiaf.org
CHRONIQUE D'UNE ÉMERGENCE ANNONCÉE
À 28:20 "Ces maladies émergentes sont des #maladies de l'#Anthropocène ... ce qui est valable pour le #CLimat l'est tout autant pour les #MaladiesInfectieuses" Professeur #PhilippeSansonetti
.#Coronavirus #COVID19 #MédiationDeLurgence @france
21 mars 2020 à 03:11 · Web · 0 · 0 · 0 · Ouvrir sur le web
"
Numéro vert gratuit 24h/7j : 0 800 130 000
Le présent questionnaire a été établi à partir des recommandations du ministère de la santé au corps médical du 16/03/2020. Il vise à faciliter la compréhension par la population des approches à suivre en cas de symptômes et d'interrogations sur le Coronavirus. Le questionnaire est mis à jour régulièrement avec les recommandations du ministère de la santé.
Je m'informe :
Les mesures barrières
Se laver les mains
La situation épidémiologique actuelle
Patient à domicile
Qu'est ce que le Coronavirus ?
Confinement
Personnes fragiles
Contact avec un cas confirmé
Je suis un professionnel de santé :
Je prends en charge un patient avec au moins un signe d’infection respiratoire
J’évalue des sujets contacts
Je travaille dans un établissement de soins habilité en contact avec un cas confirmé
Je travaille dans un service d’accueil
Mesures de protection respiratoire
Établissements de soins habilités Covid-19 & Définition de cas d'infection
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Site développé par la société Nabla, sous la direction médicale des docteurs Anne-Laure Rousseau et Stanislas Harent, infectiologue aux hôpitaux de Bichat et Pontoise.
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