Fondé en mars 2011, l’Institut Momentum est un laboratoire d’idées sur les issues de la société́ industrielle et les transitions nécessaires pour amortir le choc social de la fin du pétrole. L’Institut Momentum, qui réunit des chercheurs, des journalistes, des ingénieurs et des acteurs associatifs, se consacre à répondre au défi de notre époque : comment organiser la transition vers un monde postcroissant, postfossile et modifié par le climat ? Comment penser et agir les issues de l’Anthropocène ? Son point de départ se fonde sur une prise de conscience : nous vivons aujourd’hui la fin de la période de la plus grande abondance matérielle jamais connue au cours de l’histoire humaine, une abondance fondée sur des sources temporaires d’énergie concentrée et à bon marché qui a rendu possible tout le reste.
La transition post-pétrolière, post-nucléaire et post-carbonique s’attache à complètement redessiner et à repenser les infrastructures de la société mais aussi à œuvrer à un nouvel imaginaire social. Lieu convivial de recherche, l’Institut Momentum produit des diagnostics, des analyses, des scénarios et des propositions originales sur les stratégies de transition et de résilience. L’Institut Momentum est là pour les susciter et les faire connaître aux individus, aux collectivités, aux entreprises et aux gouvernements. Enfin, l’Institut Momentum a le souci de donner de la visibilité aux solutions émergentes, déjà mises en œuvre par les villes en transition, les coopératives de l’énergie, les Amaps, les entreprises d’insertion, les collectivités dotées d’éco-quartiers, la permaculture.
objet est de :
1/ de réunir des contributeurs sur les thèmes de la transition, de la décroissance et de la résilience
2/ de promouvoir leurs contributions par des séminaires et des publications
3/ d’organiser des conférences et des débats
4/ de produire des études et des rapports
5/ de favoriser la mise en œuvre concrète des idées développées au sein de l’institut
6/ de dispenser des formations.
Un noyau d’une dizaine de personnes s’est initialement rassemblé autour d’Agnès Sinaï (journaliste environnementale, maître de conférences à Sciences Po Paris) pour fonder l’Institut Momentum :
- Jean-Claude Besson-Girard (directeur de la revue Entropia, peintre, écrivain), - Philippe Bihouix (ingénieur spécialiste du cycle de vie des objets),
- Thierry Caminel (ingénieur énergéticien),
- Yves Cochet (mathématicien et député d’Europe Ecologie-Les Verts),
- Alain Gras (professeur de philosophie des techniques),
- Thomas Guéret (ingénieur antipub et transitionneur dans l’Yonne),
- Bernard Guibert (économiste),
- Christophe Laurens (architecte-urbaniste proche d’Entropia),
- Alice le Roy (journaliste et professeur d’écologie urbaine qui s’intéresse notamment à la question des biens communs),
- Thierry Salomon (ingénieur co-fondateur de l’association et de l’Institut Négawatt),
- Luc Semal (docteur en sciences politiques, maître de conférence à Sciences Po Paris)
- Mathilde Szuba (docteure en sociologie qui travaille sur le rationnement).
Les contributeurs :
- Paul Jorion, titulaire de la chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel
- Kim Pasche, spécialiste des techniques de vie primitive
- François Roddier, astrophysicien, connu pour ses travaux qui ont permis de compenser l’effet des turbulences atmosphériques lors de l’observation des astres.
- Thierry Salomon, Ingénieur énergéticien, co-fondateur et responsable-développement d'Izuba énergies, une société coopérative intervenant dans l'utilisation des énergies renouvelables et la maîtrise de l'énergie
- Raphaël Stevens, chercheur indépendant spécialisé dans les études prospectives, les sciences de la complexité et la modélisation qualitative.
- ...
L’association DynamOSE du Mastère Spécialisé OSE de MINES ParisTech vous a convié à son évènement annuel
En supposant qu’une prise de conscience écologique des sociétés humaines ne sera pas atteinte à temps pour échapper au principe de dissipation maximale d’énergie (Loi de Dewar ou “MEP”) qui jusqu’à présent a fait passer l’Humanité des énergies renouvelables aux énergies fossiles et à une mondialisation libérale et “croissanciste”, la conférence – débat consistait notamment à :
Interroger la pertinence de passer par la construction d’une Europe confédérale de nations souveraines (entreprises incluses) comme processus politique impulsant une démondialisation démocratiquement choisie et davantage maitrisée (processus auto-régulateur d’homéostasie) qu’un effondrement subi et violent (transition abrupte potentielle de la macrostructure “Union Européenne”) pour lutter contre le processus de criticalité auto-organisée et le principe de dissipation maximale de l’énergie auxquels est actuellement soumis le système physique dissipatif qu’est l’Europe.
Exposer de quelle manière et par quels leviers le système économique / entrepreneurial devait se transformer et se fondre dans le projet européen pour se décarboner efficacement et gérer durablement les “biens communs” au sens de Polanyi (euro monnaie commune, ressources naturelles et travail)
La soirée a été introduite et animée par Monsieur Sylvestre HUET, journaliste scientifique, spécialiste des questions énergétiques et climatiques, blogueur sur la plateforme du Monde.
Dans un premier temps, ont intervenu:
Monsieur François RODDIER, Physicien, Spécialiste de la thermodynamique de l’évolution, Institut Momentum
Monsieur Jacques SAPIR, Économiste, Spécialiste des politiques monétaires, de la souveraineté et de la mondialisation, Directeur du Centre d’Études des Modes d’Industrialisation (CEMI) de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Enseignant à l’Ecole d’Economie de Moscou, Membre étranger de l’Académie des Sciences de Russie
Puis deux spécialistes de la transition écologique et socioéconomique nous ont livré leurs clés de compréhension, analyses et conclusions :
Madame Geneviève FERONE-CREUZET, Docteure en Droit international, Pionnière de la notation sociale et environnementale des entreprises, Fondatrice et Présidente du cabinet de conseil CASABEE, co-Fondatrice associée du cabinet de conseil PROPHIL et Vice-Présidente de la FNH et du Shift Project
Monsieur Jean-Marc JANCOVICI, Ingénieur, Spécialiste du système énergétique et climatique, Développeur principal historique du Bilan Carbone® pour l’ADEME, Membre du conseil scientifique du Service de l’Observation et des Statistiques (SOeS) du Commissariat Général au Développement Durable (CGDD), Chroniqueur indépendant aux Echos, Enseignant à MINES ParisTech, Associé du cabinet de conseil Carbone 4, Fondateur & Président du Shift Project.
ndlr : terminer de visionner >2:08:50 (les questions/débat) ACT
Auteurs
CGT-e
CSP-Conlutas
laboursolidarity.
laboursolidarity.org
Solidaires (CM)
propriété collective, indivise et inaliénable du marais de Brière par ses habitants dont l'usage partagé, la gestion et l'exploitation économique collective sont attestés depuis le 15ème siècle (officialisé par lettres patentes sous Louis XVI)
(connu /commentaire de https://blogs.mediapart.fr/petronille25 dans https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/120418/cent-noms-pour-une-zone-d-agriculture-durable-notre-dame-des-landes/commentaires#comment-8770324
23 February 2018admin Videos digital labor, données personnelles, france culture, podcast, privacy, radio, vidéo
J’étais l’invité d’Olivia Gesbert à La Grande Table de France Culture pour parler de données personnelles, travail numérique, et fausses solutions à de vrais problèmes.
également sur
https://www.youtube.com/watch?v=iGX2fFqkRsw
et
transcription april à
https://www.april.org/les-travailleurs-de-la-donnee-antonio-casilli
/Mel
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le CRéDAVIS, association dont je suis le président, organise la seconde édition du festival Ma sexualité n’est pas un handicap, qui se déroulera les 28, 29 et 30 juin 2018 au CENT-QUATRE à Paris. C’est un événement national, éducatif et festif en lien avec l’accès, la prévention et l’éducation à la sexualité pour et par des personnes en situation de handicap notamment (mais pas que), à travers des stands, des conférences et des représentations artistiques, musicales et humoristiques.
Si ça vous intéresse, vous trouverez plus d’informations sur le site du festival: masexualitenestpasunhandicap.org
L’organisation est déjà bien entamée, mais il nous reste encore une partie du budget à boucler, c’est pourquoi je me rapproche de vous. 3€, 12€, 69€ … tous les soutiens nous feront avancer.
Alors si vous souhaitez nous soutenir, vous pouvez le faire par ici :
https://www.helloasso.com/associations/credavis/collectes/ma-sexualite-n-est-pas-un-handicap-1
Vous pouvez aussi nous aider par un simple petit partage de la campagne de don autour de vous et sur les réseaux sociaux.
Jean-Luc Letellier
Président du CRéDAVIS
06 78 79 14 27
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L’empathie a très bonne réputation. Mais comme de nombreuses aptitudes cognitives et émotionnelles, elle est sujette à des biais.
Mal gérée, l’empathie peut être contre-productive, paralysante.
Des travaux de recherches récents montrent également que c’est une capacité relativement fragile, qui peut s’allumer et s’éteindre très rapidement, et que nous avons tendance à entrer en résonance émotionnelle avec les membres de notre groupe.
Culture
Tout le monde est-il capable d’empathie ?
Alors comment fonctionne la résonance empathique ? Qu’est-ce qui fait que certaines personnes ont de l’empathie et d’autres moins ?
Dans les professions médicales ou humanitaires, la capacité d’empathie peut s’avérer à la fois être une force et une faiblesse. Comment trouver le juste milieu ?
Et quand l’empathie devient trop envahissante que faire? Peut-on apprendre à la gérer ?
En partenariat avec Cerveau et Psycho
14h10
La une de la science
Par Axel Villard
Les invités
Delphine Grynberg
maitre de conférences en psychologie de la santé
Sébastien Bolher
Journaliste
La médiation généraliste
La médiation est un acte volontaire posé par des personnes soucieuses de trouver une solution au conflit qui les oppose.
La médiation en entreprise
Que ce soit pour des conflits internes ou externes, pour des problèmes de démotivation, de productivité, de climat, la médiation est un outil.
Mes ressources humaines
Chacun d'entre-eux m'a donné sa part de réfléxion, d'enseignement, d'encouragement, de compréhension, de créativité.
Adresse
12 rue de Peusec
16400 Puymoyen
Charente - France
Téléphone
05 45 94 49 03
Email
saby.michel@gmail.com
Séminaire du Centre d’éthique contemporaine – Comprendre les émotions humaines – Humeurs, affects, émotions et sentiments ; de la phénoménologie à la science contemporaine
admin
2013-2014
7932012304_f141c521b9_zEn partenariat avec l’Ecole Montpeliéraine de Phénoménologie Clinique
Année 2013-2014
Organisé par Brigitte Leroy-Viémon, Gérard Bourrel et Pascal Nouvel.
Comprendre les émotions humaines – Humeurs, affects, émotions et sentiments ; de la phénoménologie à la science contemporaine.
Depuis environ deux décennies les émotions, les passions, les affects, les humeurs, suscitent une intense activité de recherche. Pendant cette période, en effet, les sciences de l’émotion, qui allient approches neurologiques et approches cognitives, ont connu un développement spectaculaire.
Ce développement a, en retour, stimulé la reprise de réflexions philosophiques sur le thème du sentir et des affects, menées soit à travers une réinterprétation de grandes traditions philosophiques (Aristote, les stoïciens, Spinoza, etc.), soit avec les moyens de la phénoménologie qui refuse de réduire le corps humain à une simple étendue présentant certaines formes et certaines figures mais propose de l’envisager du double point de vue du corps sentant (des sensations, des sentiments corporels, des affects) et du corps senti (représenté psychiquement).
Il a également stimulé la reprise en psychologie clinique et en psychanalyse d’une psychopathologie des sentiments qui se fonde, non pas sur la vie émotionnelle en général mais sur son négatif ; non sur les affects mais sur leur absence ou sur leur répression.
Le séminaire « Comprendre les émotions humaines » a pour ambition de présenter un panorama de ces courants de pensée en s’appuyant sur les présentations de ceux qui sont directement impliqués dans leur élaboration.
article remarquable écrit par un historien, Stéphane Trayaud (université de Limoges) sur l'activité de médiation des notaires au XVIIIe siècle. La médiation a une histoire et nous espérons que les historiens s’empareront de ce champ de recherche comme l’ont fait Anne Bozon, (Université Paris 8) en analysant la fonction de médiation du clergé catholique dans « Les curés médiateurs sociaux : genèse et diffusion d’un modèle dans la France du XVIIe siècle », Revue d’Histoire de l’Église de France, 2011, t. 97, n°238, p. 35-56 et Christian Grosse (université de Lausanne) pour les consistoires dans « Pour bien de paix”. La régulation des conflits par les consistoires en Suisse romande (XVIe-XVIIe siècles) », in Jean-Luc Chabot, Stéphane Gal, Christophe Tournu (éds.), Figures de la médiation et lien social, Paris, L’Harmattan, 2006, pp. 85-107
A noter que Christian Grosse a présenté son travail sur la régulation des conflits dans le « séminaire médiation » du Groupe d’Etude Médiation (http://25images.ish-lyon.cnrs.fr/Portails/mediation/fr)
Reprise d’un article publié sur le blog de Philippe Cazeneuve Savoir en actes en creative commons
Voici en avant-première de la conférence introductive des Assises de la médiation numérique qui se dérouleront à Ajaccio du 19 au 21 septembre 2011, quelques éléments de définition afin de proposer les bases d’un cadre de réflexion commun.
« La médiation numérique consiste à accompagner des publics variés vers l’autonomie, dans les usages quotidiens des technologies, services et médias numériques ».
Dans ce contexte, l’attitude idéale du médiateur consiste à ne formuler aucun jugement de valeur, qu’il soit positif ou négatif,sur les parties en présence, c’est à dire les publics et les technologies ou services. Cela suppose donc une neutralité vis à vis des technologies présentées.
Priorité à la relation
Nous reprenons à notre compte les propositions de Jean Caune à propos de la médiation culturelle (Voir Les conditions pour penser la notion de médiation
culturelle en France, ces cinquante dernières années, in Culture pour tous, Actes du Colloque international sur la médiation culturelle - Montréal – Décembre 2008), en les adaptant à la médiation numérique, ce qui donne les recommandations suivantes aux personnes chargées d’organiser la médiation :
-
Il faut « mettre l’accent sur la relation plutôt que sur l’objet » technologique
La relation du médiateur avec le public : il ne s’agit pas de savoir si le médiateur est
« aimable », « gentil »ou « pédagogue », mais s’il ou elle a le bon profil. L’idéal est de réduire la distance entre le médiateur et le public en terme de différentiel d’âge, de genre, de milieu socio-culturel, d’origine ethno-linguistique …La relation du public avec l’institution : certains lieux (musée, bibliothèque, école … ) peuvent être intimidants pour des publics qui n’y ont jamais mis les pieds ou en ont un mauvais souvenir.
La relation du public avec la technologie : ne pas sous-estimer l’importance des peurs, sentiment d’infériorité, croyance à l’aspect magique de la technologie, …
accompagnement vers l'autonomie
éducation informelle
Médiateur neutre ou critique ?
Le champs de la médiation numérique hérite de l'histoire riche de l'Education populaire, mais il lui appartient (selon moi, et je peux me tromper), de dessiner son propre avenir, au carrefour de la médiation culturelle et de la médiation scientifique & technique. Affaire à suivre ...
échanges de mels entre Philippe Cazeneuve, iferracci, Hedwige Cornet, Jean-Luc Poitoux, Hugues Aubin, Michel Briand
ndlr : encore un médiateur qui succombe à l'injonction "un médiateur doit être neutre" ce qui est trompeur.
prend en compte les émotions exprimées dans la rencontre de médiation familiale, le médiateur accompagne chacun dans la réflexion. La prise ...
...
Mes questions en lien avec mes pratiques dans le cadre d'une
association humanitaire :
la notion d'espace de liberté et de médiation ne serait-elle pas bien adaptée à l'étude de ces questions qui croisent intimité, famille et société dont droit ?
Quels pourraient être les autres apports d'un espace de liberté et de médiation garanti par un accompagnateur-médiateur sociétal chevronné et supervisé ?
La Maison des Humanités (lieu d'accueil de micro-proximité, apolitique et non confessionnel, lieu de vie et espace de liberté et de médiation) ne serait-il pas un des outils utiles pour traiter au bon niveau et sans institutionnalisation excessive, notamment les problèmes de sexualité, en lien avec l'ensemble des spécialistes, associations et travailleurs
sociaux ?
Ne pourraient-ils pas contribuer à co-construire des solutions consensuelles qui feraient la synthèse entre tous ces conflits qui concernent tous les citoyens malgré leurs valeurs parfois très différentes et leur état de santé ?
La médiation conjugale existe aux Etats-Unis d’Amérique, depuis un peu plus de dix ans sous le nom de « marital mediation ».
Dans ma pratique de la Médiation Familiale, beaucoup de couples en crise viennent me voir pour une médiation conjugal, n’ayant nulle envie d’entamer une thérapie de couple par exemple.
J’ai donc recherché des médiateurs qui étaient confrontés à ce phénomène et cela m’a naturellement ramené auprès de Marianne Souquet qui a travaillé sur cette déclinaison de la médiation familiale. En effet, elle a constaté que « la posture de médiateur familial, le cadre, le processus, les outils, la déontologie de la médiation familiale pour accompagner ces couples dans la transition qu’ils traversaient était particulièrement adapé ».
La médiation conjugale intéresse les conjoints, avec ou sans enfants, dans les situations de séparation ou de recherche de rétablissement d'une communication dégradée ou rompue.
Qui plus est, combien de fois entendons-nous au cours d’une médiation familiale divorce/séparation : « Ah ! Si nous avions su nous parler comme ça avant, nous ne serions peut-être pas en train de divorcer... » ?
Les couples se saisissent de ce lieu dans l’objectif de :
Prendre une décision ou gérer un différend sur un point particulier,
Gérer des conflits répétitifs et changer leur mode de communication qui est devenu destructeur.
« Le plus souvent, ces couples souhaitent rester ensemble et en même temps ont du mal à s’adresser la parole sans entrer dans des joutes verbales répétitives. Chacun apprend aussi à repérer ses besoins et ceux de l’autre. Les couples acquièrent une compréhension de ce qui se joue entre eux ; ils développent plus d’écoute, plus de tolérance, plus d'ouverture... Ils apprennent à reconnaitre et nommer leurs différences et leurs différends, sans pour autant entrer systématiquement dans le conflit. » M. Souquet.
La médiation conjugale est un accompagnement de brève durée : si la médiation conjugale tarde à avoir des effets, il est suggéré une thérapie de couple, pour un travail plus profond, plus substantiel.
Comment agit la sophrologie ?
Sentir et connaître son corps par des techniques de relaxation dynamiques efficaces pour renforcer la conscience des cinq sens et apprendre à ressentir son corps au travers de sensations.
Reconnaître et calmer le stress grâce à des exercices de respiration, pour évacuer les tensions et aboutir à un état de relaxation.
Gérer les émotions, se recentrer. La sophrologie aide à neutraliser l'état de tension interne que le comportement addictif était censé soulager. La personne apprend à être plus à l'écoute d'elle-même et à distinguer ses vrais besoins.
Reprendre confiance en soi, en sa capacité à réussir à se maîtriser jusqu’à devenir acteur de sa propre détente.
La Sophrologie que je pratique :
Remanier les conflits psychiques, les émotions, stimuler l'activité mentale, prendre conscience des capacités de plasticité du corps et de la psyché sont les enjeux de mon travail.
La sophrologie que je pratique est une psychothérapie d'expression corporelle, et non pas seulement une technique pédagogique ou médicale. Au plus près de la sophrologie caycédienne, en développant ces techniques dans le cadre d'une approche psychothérapeutique. Ce sont les techniques de relaxation dynamique pour amplifier les capacités de régulation physiologique, la mobilisation des processus cognitifs et de remaniements psychiques.
Elle répond aux valeurs suivantes :
Approche centrée sur la personne, d'inspiration humaniste (Carl Rogers, Maslow...). La personne doit être au cœur de son propre processus de transformation pour qu’elle ouvre son esprit à toute nouvelle expérience et retrouve confiance en elle.
Les outils privilégiés de mes interventions à travers la sophrologie sont le corps, la voix, la relaxation active. Guidée par un processus sophrologique axé sur la personne, sans analyser ses symptômes, je co-construis un chemin de réconciliation avec les personnes en développant, dans un espace protégé d’autorisation, une remise en conscience du corps, une remise en mouvement et une transformation de leurs souffrances en alliées de la création.
...phier la néo-neurogénèse et la tractographie des circuits imprégnés dans ... Jocelyne Dahan 10.Parents en conflit, enfants en souffrance : le juge aux affaires