Nouvelle-Aquitaine Émissions Enquêtes de région Nouvelle-Aquitaine
Enquêtes de région Nouvelle-Aquitaine
© Pixabay
Éoliennes, centrales solaires, barrages hydroélectriques,… autant de pistes pour générer de l’énergie dans le futur.
Par François Privat et Caroline Hubert Publié le 11/04/2019 à 13:21 Mis à jour le 06/05/2019 à 16:10
Enquêtes de région vous propose d’analyser les avantages et inconvénients de chacun de ces modes de production, qui pour l’instant, en France, restent écrasés par le nucléaire.
Panneaux photovoltaïques : la gironde au top !
La Gironde bénéficie d’un taux d’ensoleillement largement supérieur à la moyenne. C’est ce qui explique en partie, le foisonnement d’implantation de panneaux photovoltaïques. Installation chez les particuliers, centrales solaires… un marché qui rapporte ?
Reportage d'America Lopez et Sylvie Tuscq-Mounet :
Extrait E2R Panneaux photovoltaïques : la Gironde au top !
Reportage d'America Lopez et Sylvie Tuscq-Mounet
Éoliennes : surtout en ex-Poitou Charentes !
Depuis une dizaine d’années, des dizaines de parc éoliens ont « poussés » quasi exclusivement dans la partie nord de la Nouvelle-Aquitaine (poussés par Ségolène Royal, alors présidente de la région Poitou-Charentes). Enquête sur les démarches accomplies par les futurs exploitants, entre débats parfois tendus, méthodes engendrant la contestation et enthousiasme réel.
Reportage de François Bombard et Antoine Morel :
Dossier éoliennes
Reportage : François Bompard, Antoine Morel, Maxime Chauvegie et Jennifer Russeil Intervenants : Gérard Argenton (Maire de Liglet), Alain Giraud (Premier adjoint au maire de Liglet), Emmanuel Julien (Président du directoire de Sergies), Michelle Manselon (Présidente de l'association Mauprévoir environnement), Jean-Marie Rousse (Maire de saint-Savin), Françoise Coutant (Conseillère régionale EELV), Gisèle Jean (Maire de Queaux et Vice-présidente de la communauté de communes Vienne et Gartempe), Jean Saumur (Maire de Saint-Secondin), Florian Fillon (Chef de projet Valorem)
Isoler, chauffer sa maison : faire le bon choix
En Haute-Vienne, Enquêtes de région nous guide à la rencontre de propriétaires qui ont choisi l’énergie propre pour chauffer leurs maisons : isolation, pompes à chaleur, « puit canadien »… Mais parfois des entreprises peu scrupuleuses mais surtout soucieuses de réaliser une vente poussent certains de leurs clients à s’équiper en dépit du bon sens.
Reportage de Franck Petit et Romain Burot :
Extrait E2R Maisons passives
Reportage de Franck Petit et Romain Burot
Civaux : une centrale pour longtemps ?
Enquête autour de la dernière-née du parc nucléaire français : la centrale de Civaux (mise en service en 1997). Programmée pour fonctionner durant une quarantaine d’année, elle va probablement devoir jouer les prolongations… Enquêtes sur de réacteurs très surveillés.
Reportage de François Bombard et Stéphane Bourin :
Extrait E2R La centrale de Civaux
Reportage de François Bombard et Stéphane Bourin
Les plateaux sont enregistrés au barrage EDF du Saillant (Corrèze) et à proximité des éoliennes les plus hautes de France à Saint Bonnet de Bellac (Haute-Vienne).
Les invités :*
- Mathieu Chargueron, responsable du site du barrage du Saillant
- Vincent Vignon, délégué régional France Energie Eolienne
- Vincent Marmonier, directeur EDF Hydro vallée de la Dordogne
Tournage "Enquêtes de région" : les énergies vertes
Présentation : Vincent Dubroca
Réalisation : Bruno Villa
Diffusions :
- mercredi 17 avril 2019 après le Soir 3 sur France 3 Aquitaine, France 3 Poitou-Charentes et France 3 Limousin.
-
mardi 23 avril à 21h10 sur #NoA
Gironde Vienne Haute-Vienne Enquêtes de région à l'antenne vos rendez-vous
ndlr : panneaux solaires monocristalin à gros rendement
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Enquêtes de région Nouvelle-Aquitaine
Un mercredi par mois après Soir 3
Logo de l'émission Enquêtes de région Nouvelle-Aquitaine
La campagne, pour quelle vie ?
© François Privat (France Télévisions)
Vivre à la campagne : un rêve, le choix d’une rupture, une alternative aux modes de vie urbains ? À l’inverse, des territoires qui perdent leurs services publics, leurs habitants et se sentent délaissés.
Par François Privat et Caroline Hubert Publié le 26/11/2018 à 09:32 Mis à jour le 29/11/2018 à 18:28
À travers des initiatives personnelles, l’engagement d’élus, des volontés collectives, Enquêtes de région nous convie à la rencontre de celles et ceux qui portent une vision positive de la ruralité.
Enquêtes de région : la campagne pour quelle vie ?
Présentation du magazine par Vincent Dubroca :
Enquêtes de régions : campagne / Présentation de l'émission par Vincent Dubroca
Ils (ré)inventent la ruralité
Dominique Laveau et Antoine Morel nous proposent de découvrir quatre personnages qui ont choisi de porter un projet professionnel à la campagne. Coiffeuse ambulante, meunier, boulanger et éleveur : ils ont su convertir une volonté en réalité, en s’adaptant à un environnement rural souvent synonyme de contraintes et de difficultés.
Extrait E2R La campagne : Ils (ré)inventent la ruralité
La campagne hors services ?
Dans le Lot et Garonne, América Lopez et Sylvie Tuscq-Mounet se sont rendues dans des villages qui peu à peu ont basculé vers une forme d’isolement avec la perte de services (publics ou non). Les habitants, les élus sont-ils forcément résignés ? Pas sûr…
Extrait E2R Vivre à la campagne dans le Lot-et-Garonne
Une montagne singulière
Une série de témoignages recueillis par Philippe Mallet et Margaux Blanloeil nous font découvrir le village de Faux-la-Montagne dans la Creuse. S’entre aider, se prendre en charge, deux leitmotivs développés depuis quarante ans sur cette terre de résistance et de contestation : il en est né un modèle d’économie solidaire.
Extrait E2R Vivre à la campagne à Faux-la-Montagne dans la Creuse
Les plateaux :
Ils sont tournés à Saint-Pierre de Frugie dans le nord de la Dordogne (à quelques kilomètres de la Haute-Vienne). Sous l’impulsion de son maire qui a fait de son village une vitrine du bio (épicerie, école Montessori, brasserie communale…), la renaissance de cette communauté est en marche : elle a gagné près de 70 habitants en une année à peine.
LES INVITÉS :
- Gilbert Chabot (maire de Saint-Pierre de Frugie) : élu maire « par accident » en 2008, cet « enfant » du pays va mettre en application des principes de vie qui tiennent compte de l’environnement et de ses contraintes, dans un esprit de respect de la nature.
- Michel Périgord : professeur en Géographie à l’université de Poitiers, spécialiste de la ruralité et des paysages. Il apporte une analyse positive de l’évolution de nos campagnes, tout en soulignant que les « fractures » sont inévitables et que seules les initiatives portées par des particuliers ou des élus peuvent générer des solutions
Tournage "Enquêtes de région" : la campagne
Présentation : Vincent Dubroca
Réalisation : Bruno Vignolas-Villa
Diffusion le 28 novembre 2018 après le Soir 3 sur France 3 Poitou-Charentes, France 3 Limousin et France 3 Aquitaine.
Niort, Agen, Guéret, Enquêtes de région, à l'antenne, vos rendez-vous, Deux-Sèvres, Lot-et-Garonne, Creuse, société
ndlr : développement par et pour les habitants d'un terroir
par Giv Anquetil , Antoine Chao , Charlotte Perry - 56 minutes
Alors qu’un projet de loi sur la prise en charge de la dépendance est prévu à l’automne prochain, Comme un bruit qui court revient sur la situation explosive dans les Ehpad. Retour sur trois grèves, où le personnel soignant, les résidents et leurs familles luttent ensemble pour une fin de vie dans la dignité.
Grève à l'Ehpad de Buchy, mars 2018. © Radio France / Charlotte Perry
Début mai, Marcellin Meunier, médecin gériatre et coordinateur de l'Ehpad municipal de Notre-Dame du Mont (Vendée) a lancé un ultimatum au gouvernement: soit il obtient plus de moyens, soit il démissionne, refusant d’être complice de maltraitance institutionnelle qui s’installe et ne fait qu’augmenter.
Ehpad de Buchy, mars 2018. © Radio France / Charlotte Perry
Mais la situation de cet Ehpad n’est pas un cas isolé. Partout le manque chronique de personnel conduit à l’épuisement et à des situations indignes pour les personnes âgées. Les mouvements de grève se multiplient, avec le soutien des résidents et de leurs familles.
Retour sur trois reportages d’Ehpad en grève : en 2016, à Bordeaux, où les soignants dénonçaient les profits d’un Ehpad privé (groupe DomusVi, troisième opérateur sur le marché de l'or gris) au détriment des résidents. En 2018, à la veille de la grande grève nationale, avec Germaine, 103 ans, qui menait la lutte au sein du collectif "Vieux Debout" pour des conditions d’accueil dignes. Et à Buchy, en Seine Maritime, un Ehpad rural où les soignants passent leur temps à courir pendant que les résidents attendent.
Si la grève du 30 janvier 2018 a aboutit à ce que le gouvernement lance une grande consultation publique, qui a elle même aboutit au rapport du Docteur Libaul, il faudra attendre le projet de loi grand âge et autonomie à l'automne pour voir si les pouvoirs publiques ont réellement pris la mesure de l'urgence. Car la question de la dépendance est une véritable bombe à retardement: si aujourd'hui 1,5 millions de personnes sont âgées de plus de 85 ans, ils seront 4,5 millions en 2050, dont 2,3 millions dépendants. Et c'est aussi un véritable choix de société qui se pose à nous: quel avenir pour les vieux?
Un reportage de Charlotte Perry.
Les liens
Le scandale des EHPAD, Ella Kherief (éditions Hugo & cie) http://www.hugoetcie.fr/livres/le-scandale-des-ehpad/
Site de l'AD-PA https://ad-pa.fr/
Twitter du collectif "Vieux debout" https://twitter.com/vieux_debout
"Prendre soin de nos anciens" Ballast https://www.revue-ballast.fr/prendre-soin-de-nos-anciens/
Suzanne, Frédéric Pommier (éditions des équateurs) https://www.babelio.com/livres/Pommier-Suzanne/1059300
L'équipe Charlotte Perry Reporter Giv Anquetil Reporter Antoine Chao Reporter/producteur Clément Nouguier Réalisateur June Loper Attachée de production
Thèmes associés Société; Monde; animaux; insectes; nature; biodiversité; océan; glyphosate; climat; Environnement; écologie; Sciences; retraites; France; Ehpad; seniors; santé; médecine; Agnès Buzyn; hôpitaux; médecins
Enjeux et mutations liés au numérique dans les systèmes éducatifs et dans la formation professionnelle.
Le colloque «Distances, médiations des savoirs et des formations» https://education4-1.sciencesconf.org/, qui s'est tenu en janvier 2019, avait pour but d'examiner ce qui se cache derrière les discours, les illusions qu’ils véhiculent, mais aussi ce qui est appelé à rester des innovations ou des évolutions incessantes d’ordres très différents technologiques, pédagogiques et organisationnels qui marquent d’ores et déjà les réalités profondes de la formation à distance.
En privilégiant une perspective historique, généalogique et éventuellement « continuiste », le colloque a abordé, sous des angles thématiques variés, les enjeux et les mutations liés au numérique dans les systèmes éducatifs comme dans la formation professionnelle.
36 des interventions des spécialistes et chercheurs ont été enregistrées et sont mantenant accessibles sur la chaine CNED de Canal U. https://www.canal-u.tv/producteurs/cned/colloque_education_4_1_distances_et_mediations_des_savoirs
Au menu
Ouverture du colloque (2)
Les politiques et les enjeux (4)
Ingénierie (3)
Les modalités et les stratégies (3)
Culture informationnelle (2)
Atelier dispositifs et pratiques collaboratifs (2)
Atelier retour d'expériences 1 (4)
Approches pédagogiques 1 (4)
Motivation, autorégulation, autodétermination de l'apprentissage (3)
Atelier scénarisation, ingénierie (3)
Atelier retour d'expériences 2 (2)
Formation à distance : autorégulation et collaboration (2)
Approches pédagogiques 2 (2)
Clôture du colloque (1)Les modèles du climat continuent à s’améliorer. Mais la tendance qu’ils font apparaitre inquiète les scientifiques : le réchauffement en cas de doublement de la concentration de CO2 dans l’atmosphère serait plus important qu’on ne le prévoyait jusqu’à récemment.
L’auteur de cet article, Michel Damian, est professeur émérite à l’Université de Grenoble-Alpes (laboratoire Gael).
... Dans les cinq rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), publiés respectivement en 1990, 1995, 2001, 2007 et 2013, les fourchettes des prévisions à l’horizon 2100 ont évolué comme suit, toujours sous l’hypothèse du doublement de la teneur de l’atmosphère en CO2 par rapport à la période préindustrielle : 2-5 °C ; 1-3,5 °C ; 1,4-5,8 °C ; 1,1-6,4 °C et 1,5-4,8 °C.
...
Aujourd’hui, il existe une quarantaine de modèles de climat, dont deux français. Soumis à une hausse de la concentration en CO2, tous ces modèles simulent un réchauffement global du climat.
En revanche, l’amplitude de ce réchauffement varie selon les modèles, entre 2,5 °C et 4,5 °C pour un doublement de la concentration en CO2. Il y a en effet des incertitudes, qui concernent les rétroactions climatiques, qui ne sont pas prises en compte de la même manière par les modèles. Les deux principales rétroactions sont liées à la vapeur d’eau (qui est un autre gaz à effet de serre) et aux nuages (en particulier les nuages bas en altitude).
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"Si tu ne sais pas, demande ; et si tu sais partage"
Partez à la rencontre des militants du logiciel libre avec le documentaire INTERNET OU LA RÉVOLUTION DU PARTAGE, diffusé sur Arte mardi 7 mai, et disponible en replay jusqu'au 5 juin.
INTERNET OU LA RÉVOLUTION DU PARTAGE – 55’
Un film de Philippe Borrel, écrit par Philippe Borrel, Annabelle Jarry et Marion Chataing
Produit par Tancrede Ramonet et Jeremy Zelnik
Une coproduction Temps noir / ARTE France
Avec le soutien de la Procirep Angoa et du CNC
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amael@pe.ertu.be
il y a 1 jour
Est-ce que vous publierez ici le documentaire complet quand il ne sera plus disponible sur ARTE ?
Prévention du suicide en population générale : vers une prévention citoyenne, un réseau sentinel
19 - 0 - 1 - 0
M. Patrick Rivière - Coordination Territoriale Charente - CH Camille Claudel - Angoulême
M. Arnaud Jodier - Coordination Territoriale Charente - CH Camille Claudel - Angoulême
La Prévention à l'épreuve du suicide : 20 ans d'observation, de réflexion, d'action
20ème Journée Nationale pour la Prévention du Suicide 2016
15ème Journées d'Études Coordination Territoriale de la Vienne du Plan Régional de Santé
Prévention du Suicide et de la Dépression - Promotion de la Santé Mentale
Mardi 26 janvier 2016 - Salle La Hune - Saint-Benoit
Transcription :
... le monde agricole évoqué à 30:30 ...
Soutien téléphonique 24/7 – 1 866 APPELLE (1 866 277-3553)
Ce numéro sans frais vous permet de joindre à tout moment un intervenant professionnel et qualifié qui peut vous aider. N’hésitez surtout pas à nous appeler si :
Vous avez des inquiétudes pour un proche;
Vous recherchez conseils et soutien pour aider un proche qui a des idées suicidaires;
Vous avez vous-même besoin de soutien, car vous vous sentez ébranlé par une situation impliquant un proche en détresse.
Quels services pouvons-nous offrir à la personne ayant des idées suicidaires?
Les personnes en détresse peuvent obtenir de l’aide en téléphonant sur notre ligne d’intervention accessible 24/7 (1 866 APPELLE). Notre organisme offre également un service d’hébergement dédié exclusivement aux personnes suicidaires. En savoir plus
QUELQUES PISTES POUR AIDER UN PROCHE
Lorsqu’une personne de notre entourage pense au suicide, on peut se sentir impuissant et démuni, s’interroger sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour l’aider. Bien que le dialogue avec la personne vulnérable soit parfois difficile à amorcer, il demeure important : les proches jouent un rôle déterminant dans la prévention du suicide. D’ailleurs, chacun de nous peut devoir agir pour un ami, un parent ou un collègue.
Quoi faire?
Toujours prendre la personne au sérieux.
Abordez directement le suicide avec la personne en lui demandant « Est-ce que tu penses au suicide? ». En le demandant directement, vous ne lui suggérez pas l’idée, vous ouvrez la porte à l’expression de sa souffrance. Si elle pense au suicide, elle pourra se sentir soulagée de le confier.
Demandez-lui « Comment? », « Où ? » et « Quand? » elle pense s’enlever la vie. Cela vous aidera à avoir une idée claire de la situation et des intentions de la personne.
Être attentionné et rappeler à la personne qu’elle est importante.
Demandez-lui ce qui lui fait mal au point de vouloir s’enlever la vie afin de lui permettre d’exprimer sa souffrance.
Transmettez-lui l’espoir en lui faisant sentir que vous croyez en sa capacité de s’en sortir.
Encouragez la personne à aller chercher de l’aide en lui remettant les coordonnées de la ligne 1 866 APPELLE (1 866 277-3553), accessible 24/7 partout au Québec.
Que faut-il éviter?
Ne jugez pas la personne et évitez de donner votre opinion sur sa situation. Transmettez-lui plutôt votre compréhension de sa souffrance.
Évitez de donner vos propres recettes de bonheur, qui ne lui conviendront pas nécessairement. Demandez-lui plutôt ce qui lui ferait du bien.
Ne faites pas de promesses que vous ne pourrez pas tenir.
IMPORTANT : NE RESTEZ JAMAIS SEUL(E) AVEC CE SECRET
Dès que vous ressentez une inquiétude pour un proche, contactez-nous afin qu’un intervenant puisse vous soutenir et aider cette personne. Notre ligne d’intervention est disponible 24/7, autant pour la personne suicidaire que pour ses proches.
RECONNAÎTRE CERTAINS SIGNES DE DÉTRESSE ASSOCIÉS AU SUICIDE
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Taux de décès par suicide en population générale
En 2013, 9 653 décès par suicide ont été enregistrés en France métropolitaine correspondant à un taux de décès par suicide de 15,5 pour 100 000 habitants. Le nombre de décès par suicide est plus élevé chez les hommes que chez les femmes (respectivement 7 260 et 2 393), de même que les taux de décès par suicide [1] (respectivement 25,4 et 7,3 pour 100 000 habitants, soit un taux plus de trois fois supérieur chez les hommes).
Le taux de décès par suicide augmente fortement avec l’âge. En 2013, il s'élève à 5,7 pour 100 000 habitants âgés de 15 à 24 ans et à 37,2 pour 100 000 habitants de 75 ans et plus. En revanche, la part du suicide dans la mortalité générale représente 17 % du total des décès chez les 15-24 ans et moins de 0,5 % du total des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus.
Globalement entre 2000 et 2013, les taux de décès par suicide ont diminué de 22 % (graphique 1). La diminution est plus importante chez les sujets âgés (-32 % chez les 75 ans et plus) et les plus jeunes (-29 % chez les 15-24 ans). Par contre, on constate une augmentation chez les hommes de 45 à 64 ans (+4,3 % chez les 45-54 ans et +3,9 % chez les 55-64 ans entre 2000 et 2013).
Les taux de décès par suicide varient fortement selon les régions sur la période 2011-2013 (graphique 2). En Bretagne, les taux1 dépassent de 45 % le taux moyen de la France métropolitaine. Viennent ensuite la Basse-Normandie (+43 %), et les régions Provence-Alpes-Côte-D’azur, Nord-Pas-de-Calais, Picardie et Poitou-Charentes (> +15 %). Les régions Corse, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées enregistrent les plus bas taux de décès par suicide (< -20 % par rapport au taux moyen de la France métropolitaine). Entre 2000-2002 et 2011-2013, les taux de décès par suicide ont tendance à diminuer dans la plupart des régions.
Pour l’ensemble des 28 pays de l'Union européenne en 2013, le taux de décès par suicide s’élève à 11,7 pour 100 000 habitants1. La France se situe parmi les pays européens ayant un taux élevé de suicide. Les comparaisons internationales doivent cependant être interprétées avec prudence, du fait des différences en termes de qualité et d’exhaustivité des données. ...
http://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/au-havre-un-rendez-vous-pour-aborder-le-suicide-sans-tabou-KD12111902
Nous sommes tous à un moment ou un autre confrontés à la problématique du suicide de façon plus ou moins directe. Et nous nous posons alors tous les mêmes questions : « Pourquoi ? Comment repérer les signes avant-coureurs ? Comment sortir de cet engrenage infernal qui ne pourrait aboutir qu’à sa propre mort ? »
Depuis 2000, au Havre, un groupe de réflexion se réuni régulièrement pour échanger autour du thème de la prévention du suicide. Une initiative ayant abouti en 2003 à la création d’une association dont le but est de promouvoir toutes les actions concourant à prévenir le suicide sur le territoire de santé du Havre.
En février 2011, le Dr Limare constatant la difficulté de beaucoup de personnes à parler de leurs idées suicidaires à leur entourage et à leur médecin, estime pertinent d’ouvrir un lieu d’écoute, Havre de Vie, dédié à accueillir les souffrances suicidaires qui ne peuvent se dire ailleurs. « La fonction de nos accueils n’est pas de prendre en charge les personnes en difficulté de façon durable, explique le docteur Limare. Il s’agit plutôt de récupérer les personnes qui ont des difficultés à confier leurs idées suicidaires à un professionnel, qu’elles soient déjà suivies ou pas encore, et qui acceptent plus facilement de nous en parler dans la mesure où nous leur apparaissons à la fois plus neutres affectivement et spécialisés, donc sans risque d’être étonnés ou choqués par leurs propos. »
« Osons en parler ! »
Si l’on ose parler du suicide lorsqu’il touche un proche (famille, amis, travail) ou s’il concerne une personnalité publique (Dalida, par exemple), le reste du temps, le suicide reste un mot que l’on évite comme s’il pouvait être contagieux. « Il participe en effet du double tabou de la mort et de la folie. » Et de faire un parallèle avec le mot « cancer ». « Il devrait être possible de pouvoir évoquer le suicide, véritable cancer de l’âme. Notre mot d’ordre, c’est : Osons en parler ! » martèle le Dr Limare.
Et pour en parler, il faut mettre en œuvre des moyens : « Nos besoins sont avant tout humains : nous recherchons de nouveaux adhérents pour participer à la vie de l’association et à nos campagnes d’information, ainsi que des personnes se sentant aptes à devenir accueillant au Havre de Vie (nous assurons la formation). Nous avons aussi des besoins financiers… »
Alors qu’on meurt toujours en 2018 trois fois plus souvent par suicide que par accident de la route, les moyens de prévenir ce fléau se révèlent toujours insuffisants. « C’est pourquoi l’ARPS relaie depuis quinze ans au Havre la Journée Nationale de Prévention afin de manifester la gravité du phénomène et la nécessité de continuer à se mobiliser pour en diminuer les effets dévastateurs », poursuit le médecin. Et ce, dans un cadre dédramatisant : un film, un échange. « Une soirée dédiée à toute personne qui se pose des questions sur les conduites suicidaires et désire s’informer sur les possibilités de prévention. »
Projection lundi 5 février à 20 h 30 au Sirius
contactez le Dr Limare au 02 35 22 40 01.
Qu’en est-il localement ?
Les hommes meurent quatre fois plus par suicide que les femmes. Après la Bretagne, la Normandie est la région la plus touchée par le suicide en France. Mais étonnamment, le territoire de santé du Havre est celui où l’on se suicide le moins (au même niveau que la moyenne nationale), contrairement aux territoires de Dieppe, de l’Orne ou de la Manche où l’on meurt davantage par suicide (jusqu’à 62 % de plus que la moyenne française). Même Rouen-Elbeuf, avec une densité médicale et en particulier psychiatrique beaucoup plus importante, se situe 13 % au-dessus des chiffres nationaux. L’explication de notre meilleure efficacité serait à rechercher du côté justement d’une meilleure information du public et des professionnels de santé grâce au travail associatif.
le Mercredi 16 janvier 2019 à 19H00 (AGE – Dissolution)
ACCUEIL DES PERSONNES SUICIDAIRES ET DE LEURS PROCHES
DU LUNDI AU SAMEDI DE 17H00 A 19H00
115 RUE RICHELIEU – 76600 LE HAVRE
02 35 22 00 00
contacter le Dr Limare au 02 35 22 40 01
Informations légales
Propriétaire : ARPS – Association Réseau Prévention Suicide – Association (SIRET 49423129300023) – 13 quai George V 76600 Le havre
Créateur : Sebastien Grenet http://www.gretitude.fr/
Responsable publication : Jean-Marc Limare – drjmlimare@wanadoo.fr
Le responsable publication est une personne physique ou une personne morale.
Webmaster : Sebastien Grenet – sebastiengrenet@free.fr
Hébergeur : OVH
2004 Création de l'association
Objectifs de l'association:
- Créer une synergie Régionale en prévention de la dépression, du suicide et en promotion de la santé mentale.
- Promouvoir des actions de prévention à destination de tout public et particulièrement les populations les plus à risques et leur entourage.
- Soutenir les professionnels et les bénévoles au contact de ces populations.
- Promouvoir, organiser et financer des actions d'informations et de formation.
- Participer et financer des activités d'étude et de recherche.
- Créer des outils de prévention
- Développer et entretenir des relations partenariales avec des associations ayant la même finalité.
Le Conseil d'Administration
NOTRE BUREAU Patrick RIVIERE Infirmier en psychiatrie et en santé mentale Centre Hospitalier Camille Claudel, 16400 - LA COURONNE
Patrick RIVIERE Président
Jean-Jacques CHAVAGNAT Médecin psychiatre Centre Hospitalier Henri Laborit 86000 - POITIERS
Jean-Jacques CHAVAGNAT Vice-président
Arnaud JODIER Psychologue clinicien Centre Hospitalier Camille Claudel, 16400 - LA COURONNE
Arnaud JODIER Secrétaire général
Patrick BLOSSIER Cadre de santé Centre Hospitalier Henri Laborit, 86000 - POITIERS
Patrick BLOSSIER Trésorier général
Hélène CANDE Infirmière en psychiatrie et en santé mentale Centre Hospitalier, 79000 - NIORT
Hélène CANDE Trésorière Générale adjointe et chargée de l'évènementiel
AUTRES MEMBRES DU BUREAU
Thierry FOUET Cadre de santé Centre Hospitalier, 79000 - NIORT
Thierry FOUET Chargé des nouvelles technologies de l'information et de la communication
Christian POUPIN Cadre supérieur de santé Centre Hospitalier Henri Laborit 86000 POITIERS
Marion TURPIN Médecin Psychiatre Centre Hospitalier Marius LACROIX, 17000-LAROCHELLE
Corine RONDEL Cadre de santé Centre Hospitalier Marius LACROIX, 17000 - LAROCHELLE
Marie-Claire COTTIN Attachée administrative Centre Hospitalier Henri Laborit, 86000 - POITIERS
Renseignements administratifs
- N° SIRET : 492 277 082 00029
- Code APE - 88999B
- Siège social & Adresse Postale : 18 rue de Montbron - 16000 Angoulême
- Téléphone : 06.19.89.34.29
- Mail : arp.pc@free.fr
- Hébergement du site internet : ©OVH
- Création du site internet : ©RJ
Sebastien et son copain David Pelletant, au centre, lors de la manifestation du 15 décembre à Angoulême / Majid Bouzzit
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Qui sont les gilets jaunes ? Impossible de répondre en un mot tant le mouvement est divers. Il y a là des manifestants de gauche et de droite, beaucoup de femmes, des ruraux, des précaires, des fonctionnaires et des artisans. Mais trois grandes catégories se dégagent.
Les leaders
Premier à sortir du rang, chronologiquement, Yoan Lotellier. Organisateur du rassemblement du 17 novembre, ce trentenaire gondpontolvien reconnu handicapé a une activité d’animation-sonorisation en tant qu’auto-entrepreneur. Il est également très impliqué dans des mouvements de missionnaires évangélistes. C’est lui qui a attiré les caméras au départ et monopolisait la parole au milieu de 100 gilets jaunes lors de réunions à Girac ou Frégeneuil. S’il disait publiquement avoir quitté le mouvement, il n’en est rien: il est toujours très actif, motive les troupes sur les réseaux sociaux.
Autres figures du mouvement sur Angoulême, Sébastien, qui refuse d’afficher son nom, et son ami David Pelletant. Le premier est un routier, le second se dit «sophrologue», a une activité de masseur après avoir multiplié les emplois différents. Mis en examen dans le cadre de l’affaire du simulacre de décapitation de Macron, Sébastien est resté actif dans l’organisation du mouvement et des actions. Grosse différence avec Yoan Lotellier: il s’interdisait tout blocage de la RN 10 et réussissait à canaliser ses troupes. Lorsqu’il dirigeait la manœuvre, il n’y avait ni débordement ni dégradation. Il refuse toute déclaration aujourd’hui.
David Pelletant, la quarantaine, est toujours à ses côtés. Il a créé sur internet la «Coordination citoyenne Charente». Il milite pour le RIC et la hausse du pouvoir d’achat. «Le problème, ce n’est pas ce qu’on gagne, c’est ce que la vie coûte». Il récuse le terme de leader, mais il était en première ligne lors de deux tentatives de blocage de CL.
À Cognac, plusieurs figures se sont détachées. Magalie Blanchard a déclaré les premières manifestations, a organisé la marche citoyenne du 15 décembre. Elle a toujours eu le souci de «canaliser, temporiser», déplorant elle-même «les pommes pourries qui viennent gâter les autres» à l’intérieur du mouvement. Patrick Loiseau, ancien du Parti des Travailleurs, a préféré créer un nouveau groupe sur Jarnac. Karl Letourneau, jeune père de famille du Jarnacais, salarié, investi sur le handicap, a pris la tête de plusieurs actions et anime les réunions hebdomadaires du groupe. Gérard Faure, fer de lance du mouvement social chez Martell au début des années 2000, ex de la CGT puis de Sud, fait aussi partie des chevilles ouvrières du mouvement. Il a été chargé cette semaine d’apaiser les relations avec la presse.
Les modérés sincères
... immense majorité des gilets jaunes et ils sont souvent gênés par les extrémistes, même si certains laissent faire. Ils réunissent beaucoup de retraités, des travailleurs précaires, des salariés, des fonctionnaires, des artisans. Contrairement au cliché répandu, très peu de chômeurs. Ils viennent de tous horizons politiques. On retrouve tout ce qui fait la France... sauf des personnes d’origines immigrées ou des quartiers.
Les extrémistes
Ils sont là depuis le 17 novembre, ont fait fuir des modérés et prennent une place de plus en plus importante dans le mouvement. Avec eux, pas de discussion, que l’on soit policier, journaliste, élu. Parmi eux, on retrouve le dénommé Alixator, ultra-actif sur les réseaux sociaux et Youtube, avec sa chaîne conspirationniste «Alix a Toujours raison», lancée il y a plusieurs années (lire ci-dessous).
Clés : Gilets Jaunes Charente Cognac Angoulême Actualité
Dans facilitation, Médiation
Tag dialogue, écoute, facilitation, Grand Débat National, lien social
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https://undeuxtiers.com/2019/05/05/retex-mediateurs-grand-debat-national/#comment-9
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JLuc, médiateur 10 mai 2019 à 2 h 18 min
Bonjour,
merci pour ce retour d’expérience. J’ai une question :
quelle était à l’époque votre connaissance sur ce qui avait amené la CNDP à refuser les demandes du président Macron ? Qu’en pensez-vous aujourd’hui ?
Sincères salutations
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Un Deux Tiers 13 mai 2019 à 18 h 49 min
Merci pour votre question qui nous interpelle sur deux questions essentielles en médiation : le cadre et la relation avec le mandant.
La CNDP a refusé que le mandant lui impose un cadre, ou plutôt a souhaité pouvoir négocier ou faire préciser le cadre, pour conserver son impartialité, son indépendance, sa neutralité. Nous nous sommes posés la même question quand nous avons été contactés par des maires. Notre situation était différente car nous n’étions pas en situation de subordination et que nous avons pu négocier notre façon de faire. Nous avons proposé des protocoles d’animation qui ont été acceptés. Nous avons pu les expliquer en introduction des débats et répondre aux questions des participants.
Avec le recul, comme indiqué dans l’article, nous pensons que nous avons facilité l’expression et l’écoute. Nous avons le sentiment d’avoir préservé notre impartialité et notre neutralité. Là où nous rejoindrions a postériori la CNDP, c’est dans l’impossibilité d’approfondir les solutions proposées par les citoyens présents. Nous sommes restés dans un rôle de collecte, sans avoir la possibilité de travailler sur la concrétisation. Les citoyens ont été responsabilisés sur les constats et la recherche de solutions mais pas sur la définition collective de priorités, ni sur la concertation s’agissant de leur mise en œuvre concrète.
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Merci pour votre réponse que je comprends.
Elle suscite les éléments suivants :
- vous semblez être dans "l'injonction du neutre", ce n'est pas mon cas. Il est parfois un devoir de non-neutre.
- la duplicité apparaît au grand jour : https://twitter.com/MarianneleMag/status/1131155810988568576 "vous aviez laissé votre adresse mail durant le Grand débat ? Cette députée LREM s'en sert... pour faire campagne aux européennes"
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terminer ACT
Connu / corem
Notre ambition est de restaurer des relations fonctionnelles entre des personnes ou des équipes qui traversent des difficultés pour dialoguer, décider, travailler ou agir ensemble. Nous facilitons aussi les relations interpersonnelles dans les projets, les changements, les transformations et toutes les situations où la qualité des échanges entre les acteurs est essentielle.
Notre savoir-faire repose sur le questionnement des acteurs pour travailler la relation, mettre les choses à plat et faire émerger des solutions acceptables pour chacun. Nous établissons un cadre assez sécurisé pour libérer la parole, dans lequel il est possible de dire les choses, y compris ce qui est porteur d’émotions, de rancœurs, de tensions ou de conflits. Notre position de tiers permet aux personnes de prendre du recul, de poser un nouveau regard sur leur situation et de stimuler la créativité pour fonder une nouvelle relation.
Nous venons d’horizons différents, et avons fait connaissance sur les bancs du CNAM où nous nous sommes tous trois formés à la médiation. Un Deux Tiers est né d’un désir de mettre en commun notre savoir-faire de médiateurs au service des personnes dans la création, l’entretien ou la re-création de liens.
Nous concevons nos interventions en binôme et nous privilégions la co-médiation.
Nos modes d’action privilégiés sont la Médiation, la Facilitation et la Formation. Nous ajustons nos interventions en fonction des situations et des problèmes identifiés, dans un cadre et un esprit humaniste : faire tiers sans faire taire, responsabiliser les acteurs, rester neutres par rapport aux solutions et impartiaux par rapport aux parties.
Nous exerçons dans le respect du Code National de Déontologie du Médiateur et des valeurs fondatrices de l’association : la coopération, la responsabilité et le dialogue au service de la fraternité.
Jeanne Vaillant, Denis Tardiveau, Natacha Waksman
Nos adresses
Un Deux Tiers – Paris 27, rue Froidevaux 75014 Paris
Un Deux Tiers – Caen 4 rue Pasteur 14000 Caen
Un Deux Tiers – Nantes 38 rue Desgrées du Lou 44100 Nantes
contact@undeuxtiers.com51 minutes
Et si pour préserver ses propres intérêts, notre cerveau était devenu notre pire ennemi en nous poussant à détruire notre planète, en consommant et produisant toujours plus.
Pourquoi notre cerveau nous pousse-t-il à plus consommer ou produire ? © Getty / Martine Mouchy
Si je vous dis qu’à l’horizon 2100, le niveau des océans grimpera de 7 ou 8 mètres… Que plus d’1/3 des terres habitables seront submergées…
Il y a de fortes chances que vous trouviez cela moins gênant que de renoncer, maintenant, là tout de suite, à votre smartphone, à une connexion internet ou à un voyage en avion, facteur de réchauffement climatique.
Ne vous inquiétez pas, votre cerveau et le mien sont exactement câblés de la même manière.
Nous avons souvent du mal à nous projeter dans le futur et sommes soumis à la domination du « tout, tout de suite »…
Nous sommes quasiment tous menés à la baguette par un très vieux principe de plaisir, qui guide notre encéphale depuis qu’homo sapiens a couvert la surface de la Terre…
Nous verrons, pourquoi notre cerveau est notre pire ennemi, qu’il est doté de failles qui nous conduisent à mettre en danger notre planète, en produisant, en consommant, toujours plus…
Toutes vos questions et réaction au 01 45 24 7000, sur l’appli France Inter et sur la page Facebook de GBVF.
avec
Sébastien Bohler, Rédacteur en chef de la revue Cerveau & Psycho, docteur en neurosciences, auteur de Le Bug Humain ed.Robert Laffont
La petite philosophie de la vie quotidienne Thibaut de Saint Maurice
Thèmes associés Vie quotidienne Environnement neurosciences consommation
Transcription : ... la politique est une forme de conscience généralisée ...
PREMIUM
INFO JDD - Il y a plus de cinq mois, la Commission nationale du débat public avait mis en garde le gouvernement sur la "faisabilité sociale" de la fiscalité écologique. En vain.
La Commission nationale du débat public avait mis en garde le gouvernement sur la "faisabilité sociale" de la fiscalité écologique. (Reuters)
C'était le 30 août dernier. La Commission nationale du débat public (CNDP) – celle-là même qui est mandatée pour mener la grande consultation à venir – rendait 200 pages de conclusions, après plus de trois mois de débat sur l'énergie. Au total, plus de 8.000 participants, 86 rencontres publiques et 11.500 questionnaires remplis. Bref, précisément ce que veut rééditer en ce moment le gouvernement… mais en plus grand. Or voilà ce qu'on peut lire dans ce compte rendu : "La fiscalité environnementale fait l'objet de critiques acerbes, comme susceptible d'aggraver les injustices sociales. L'augmentation de la taxe carbone apparaît justifiée dans son principe mais inquiétante dans ses effets si elle ne s'accompagne pas d'une remise en perspective de la fiscalité en général. […] Exonérer les plus gros pollueurs de la taxe carbone crée une inégalité sociale manifeste et difficilement comprise."…
NDLR :
- preuve de fermeture du gouv :-(
SOCIAL Parti pris 107 commentaires
Emmanuel Macron a annoncé son intention de supprimer les « organismes inutiles ». La Commission nationale du débat public, qui n’a pas obtempéré à ses oukases pour organiser le grand débat à sa main, pourrait être visée. Une vengeance inélégante.
Mots-clés Chantal Jouanno Commission nationale du débat public Emmanuel Macron Grand débat national Stanislas Guerini
Article R581-2
La surface minimale que chaque commune doit, en vertu des dispositions du deuxième alinéa de l'article L. 581-13, réserver à l'affichage d'opinion et à la publicité relative aux activités des associations sans but lucratif est la suivante :
1° 4 mètres carrés pour les communes de moins de 2 000 habitants ;
2° 4 mètres carrés plus 2 mètres carrés par tranche de 2 000 habitants au-delà de 2 000 habitants, pour les communes de 2 000 à 10 000 habitants ;
3° 12 mètres carrés plus 5 mètres carrés par tranche de 10 000 habitants au-delà de 10 000 habitants, pour les autres communes.
Article R581-3
Modifié par Décret n°2012-118 du 30 janvier 2012 - art. 3
Le ou les emplacements réservés à l'affichage d'opinion et à la publicité relative aux activités des associations sans but lucratif doivent être disposés de telle sorte que tout point situé en agglomération se trouve à moins d'un kilomètre de l'un au moins d'entre eux.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Affichage_libre
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L’affichage libre est un mode d'expression par affiche dans un lieu public sur un support prévu à cet effet. ...
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