...nos chers membres du Conseil Scientifique (Camille Bosqué, Constance Garnier, Matei Gheorghiu) ...
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http://www.fablab.fr/wp-content/uploads/2019/04/Livre-blanc-Panorama-des-Fablabs-en-France-web.pdf
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Les animateurs – indispensables acteurs de ces espaces :
· Quels types d’animateurs ?
Bien que les modalités de gestion des ressources humaines
(GRH), le lexique et le contexte varient fortement d’un Fablab à l’autre, au sein de ces structures des profils/rôles types se retrouvent régulièrement sous des formes différentes. Les «
Technicien(e)s », « Animateur(trice)s », « Formateur(trice)s
» se retrouvent chacun dans 65% des lieux étudiés. Ils semblent dans certains cas pouvoir être assimilés au concept de « Fabmanager », profil coché par plus de 80% des répondants.
Dans une majorité de lieux, les rôles de « communicant(e) / social-media manager », « d’administrateur(trice) » sont également assurés et dans 40% des cas celui de « médiateur(trice)/ modérateur(trice)
». L’étude se focalise (voir ci-dessous) sur la gestion des «
animateurs », compris comme les individus permettant la mise en place d’ateliers et activités spécifiques au sein du Fablab.
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Faire de la médiation numérique
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4.2 LE RFFLABS – DES ATTENTES MULTIPLES (DES RÉPONSES À CO-CONSTRUIRE)
Quelles attentes de la part des membres ?
La diversité des Fablabs tant dans leurs modèles d’organisation qu’au niveau de leur ancienneté et phases de développement actuelles se reflète dans les attentes formulées à l’égard du
RRFLabs par ses adhérents.
Parmi les répondants, les adhérents du réseau formulent trois principales attentes souvent combinées : le RFFLabs doit être un outil de communication, de représentation, voire d’« évangélisation » auprès des institutions publiques et privées. Il est attendu du RFFLabs qu’il porte et représente les intérêts (communs) de ses membres et remplisse des missions relevant de la « défense des intérêts », du « lobbying ». Au-delà de
cette représentation institutionnelle, deux axes distincts de communication doivent être parallèlement alimentés :
– Auprès du grand public, notamment à travers des activités de
médiation de type « nuit des Fablabs51 » pris en exemple par plusieurs
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Huguet F., 2016, « (Re)coudre avec du sans fil. Enquête sur les pratiques de médiation infrastructurelle. » Thèse en sciences de l’info-com sous la direction de Annie Gentès et Jérôme Denis soutenue en juin 2016 à l’ENST
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*Connu /
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RFFLabs @fablab_fr 10 juin
“Avant d’être un lieu pour fabriquer « n’importe quoi », le Fablab est un lieu où l’on fabrique du commun, du savoir-vivre ensemble, où l’on favorise l’apprentissage de compétences politiques vers la solidarité, l’adaptation, l’intégration.”
"
Planète Climat
Le climatologue Hervé Le Treut, qui dirige le comité scientifique du projet AcclimaTerra, pointe la vulnérabilité de la région au changement climatique à l’horizon 2050.
Pompage de l'eau du gave de Pau, une rivière du Sud-Ouest, pour l’arrosage de cultures de maïs. Régine Rosenthal/Biosphoto
La région Nouvelle-Aquitaine est la première à avoir conçu une stratégie d’adaptation au dérèglement climatique.
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On a trop pensé qu’on pourrait empêcher le changement climatique, ou le maintenir à un niveau assez bas. Par ailleurs, il y a toujours eu une crainte que, en disant qu’il fallait s’adapter, les gens comprennent qu’on peut s’adapter à tout et ne fassent rien pour lutter contre le réchauffement. Aujourd’hui, l’hypothèse que le réchauffement dépassera 3 °C fait l’objet d’un niveau de probabilité important et une partie de la population se rend compte que le changement climatique n’est plus une menace lointaine, mais est déjà à l’œuvre.
Audrey Garric
Ndlr :
- cela laisse-t-il à penser qu'on a renoncé à limiter le réchauffement climatique ? ACT
La directive européenne sur l’utilisation des nitrates en agriculture se fonde sur un mauvais calcul, nous explique l’autrice de cette tribune. Pourtant, en estimant mieux les flux d’azote dans le sol, on pourrait réorienter le système agricole vers plus un modèle plus vertueux.
Cathy Neill est docteure en écologie. Sa thèse a porté sur les flux de carbone et d’azote dans les sols.
Bilan « prévisionnel » contre bilan « comptable »
méthode dite du bilan « prévisionnel ». Avec cette méthode, un hectare de maïs peut recevoir en moyenne 200 kg d’azote pour produire un rendement moyen de 100 quintaux de grains [5].
Mais si l’on effectue plutôt ce que l’on appelle un bilan « comptable », il est possible d’évaluer la quantité d’azote perdu sur cet hectare dans l’environnement. En effet, si un hectare de maïs reçoit 200 kg d’azote, que l’on estime que 100 kg sont prélevés à la moisson et que le stock total d’azote n’augmente pas d’une récolte à l’autre dans le système [sol+plantes] [6], c’est que 100 kg d’azote au moins sont « perdus » chaque année sur cet hectare.
Cet azote est perdu essentiellement sous la forme de nitrates qui, faute d’être utilisés par des plantes (notamment en début et en fin de cycle de culture), sont lessivés par les pluies hivernales et printanières. Ces nitrates en excès peuvent provenir des engrais ou de la décomposition de l’humus et sont le symptôme d’une gestion défaillante du cycle de l’azote dans le champ. Ainsi, des quantités d’azote équivalent à la moitié des engrais apportés se retrouvent dans les rivières et les nappes et expliquent que l’on y mesure des concentrations de nitrates aussi élevées que 50 mg/l [7].
Faire un bilan comptable de l’azote (apports, exports, variation du stock) à l’échelle du système entier (plantes et sol)
...
Sous une apparence de rigueur, la méthode du bilan prévisionnel masque l’essentiel, c’est-à-dire le fait que la moitié du « besoin » de fertilisation préconisé sert en réalité à compenser les fuites d’azote.
Un simple bilan comptable de l’azote (apports-exports-variation du stock) à l’échelle du système entier (plantes ET sol) sur une année complète permettrait d’évaluer les pertes et de les limiter efficacement. Cette mesure unique donnerait aux agriculteurs la possibilité de repenser par eux-mêmes leurs systèmes de culture. C’est à eux de trouver, en fonction de leur terroir, les bonnes associations de cultures qui permettent d’obtenir un couvert végétal continu et de retenir les nitrates [8]. Les agriculteurs ont à y gagner des sols plus riches en humus, donc moins sujets à l’érosion et retenant mieux l’eau, des cultures moins vulnérables aux aléas climatiques et à la pression des parasites, de substantielles économies d’intrants (engrais, pesticides) et une réhabilitation de leur profession. Tous les citoyens ont à y gagner des sols qui stockent du carbone [9], une moindre contamination par les pesticides, une biodiversité et des rivières en meilleure santé, une eau potable sans traitements coûteux. Ce qui est en jeu ici c’est le modèle agricole dans son ensemble et son basculement vers l’agroécologie.
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Avec Yves Marignac (Negawatt), Philippe Bihouix (ingénieur), Nicolas Haeringer (350.org) et Clara Paillard (One million climate jobs)
Catégorie
Actualités et politique
45 commentaires
Christophe L
il y a 7 mois (modifié)
Merci a Philippe Bihouix d'essayer d'être le plus honnête possible. Peut-être que les autres ont raison de dire que la rupture vers une sobriété et un mode décroissant n'est pas fédérateur et porteur dans l'opinion mais pour quelqu'un de rationnel, je trouve que c'est plus parlant que des slogans de lendemain (verts) qui chantent. Vendre un énième rêve qu'on sait irréaliste me semble très dangereux.
Et puis ce qu'il préconise revient a se désintoxiquer. C'est compliqué et ca demande des efforts mais on finit par se sentir mieux. Personnellement je m'y mets petit a petit sans pour autant croire que ca changera grand chose... mais simplement parce que j'ai l'impression de vivre plus "justement" et ca redonne finalement du sens dans un monde qui en manque.
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Super Elliott
il y a 6 mois
Une voiture 1 tonnes de matériaux pour bouger 80 kilo.
Un vélo 30 kilos pour en bouger en 80.
Donc la voiture électrique on oublie.
6
brinbrin62 62200
il y a 7 mois
Tant que les gens pourront consommer des biens, des services et de l'énergie, ils le feront. Il n'y aura aucune remise en cause politique du système. Seul un effondrement (euro, UE, pétrole ou autre) apportera un changement de politique.
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Un Colibri
il y a 2 ans
Un grand MERCI à Mediapart de nous offrir des reportages aussi intéressants !! :)
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Super Elliott
il y a 6 mois
4 expert tous d'accord pour changer de model ! Aujourd’hui en 2018 heureusement on a suivie leur conseils et on a voter le renouvellement OUF !
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Pat Barabas
il y a 7 mois
Moins de 10.000 vues !!! Ce monde mérite la catastrophe qui va lui tomber sur la gueule :-)
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José LLopis
il y a 5 mois
Super infos, comme d’habitude. Petite question, est-ce que l’éclairage des lampes d’arrière plan, sont en LED, ou à filament ?
Commencez par montrer l’exemple. Charité bien ordonnée...
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Benoit Mangin
il y a 5 mois
Pourquoi faire suer Bihouix pour "dé-spécialiser" ? C'est de la CENSURE. Sauf à "dé-spécialiser" parce qu'on considère que l'auditeur, en tant que clampin ou bouseux moyen, n'est pas en mesure de comprendre ??? Est-ce qu'il y a de ça chez vous, à Mediapart ?
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G D
il y a 2 ans
Je n'ai pas encore vu les 3 vidéos, mais quelque chose m'échappe : cette soirée était bien un 25 novembre 2015 à Paris ? Je veux bien que Mediapart mette un peu de chauffage chez lui mais au point de pouvoir rester un bon moment sans bouger sur une chaise en étant en t-shirt ou sans manches.... Y a quelque chose qui m'échappe...
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Charles-Edouard Lecomte
il y a 1 an
Le problème, c'est que personne n'a intérêt (au moins dans les pays industrialisés) à changer, ni les riches, ni les pauvres.
Actuellement, la consommation d'énergie, c'est pour moitié du chauffage. Le reste, c'est le transport, de la consommation de biens plus ou moins utile. Pour diminuer notre consommation, c'est renoncer à un certain confort (chauffer à 15°C permet de diviser par 4 la consommation du chauffage par rapport à 22°C), mais aussi moins se déplacer, moins consommer.
Bien sûr, rien n'interdit de diminuer notre consommation de façon intelligente (partager, réparer, moins gaspiller, éviter les biens inutiles), mais ça ne suffira pas.
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GuitarsMatrix
il y a 2 jours
Les commentaires de Yves Marignac sont intéressants mais ça reste encore très utopique.
Ne serait ce que dans le fossé qu'il y a entre l'urgence qui est devant nous et qui se heurte à une mentalité toujours plus consumériste.
Il parle de développer l'accès à l'énergie pour les pays sous développés, chose qui doit se faire en parallèle de plus de sobriété dans les pays du nord...
c'est bien joli mais nous sommes déjà en 2018 et les consensus humains et les changements de mentalités prennent trop de temps.
Souvenez-vous de Bush père qui disait il y a déjà 25 ans: "le train de vie des américains n'est pas négociable"
Cette phrase résume beaucoup de chose et il avait malheureusement raison.
25 ans après, est ce que les mentalités ont changé ? la réponse est non.
En europe on ne fait pas beaucoup mieux, il n'y a qu'à voir tous les projets de développement du charbon en cours en Allemagne!
alors imaginer que nous pourrions évoluer sur la question d'ici 2050 est tout à fait utopique.
Nous allons évoluer, certes, mais ça ne sera pas par la concertation et l'éveil de tous partout, ça sera plutôt par la force des choses et contre le gré de la majorité avec un timing déjà hors limite et des conséquences dramatiques pour beaucoup au cours de ce siècle.
migrationcoincoin
il y a 1 jour
Je regarde cette emission de mon ordinateur portable en mangeant du quinoa avec des graines de goji bio
permavillage
il y a 3 semaines
Toujours un grand bonheur d'entendre Monsieur Bihouix tant il est lucide comparé aux discours naïfs et rêveurs de celles et ceux qui pensent encore pouvoir "changer" le monde mais qui ne prennent jamais en compte le pétrole "caché", c'est-à-dire celui qui est nécessaire à la fabrication de tout objet, en tant que matière première et pour l'extraction de ses minerais, métaux et métalloïdes.
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Transcription :
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Quitte à changer, autant le faire franchement => adaptation radicale de nos modes de vie
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c'est pas une question technique. C'est d'abord une question sociale et de choix de société... au coeur des travaux de Temoti Michel livre "carbon democracy" paru ya 3 ou 4 ans aux éditions la découverte ??? VÉRIF ACT
Contribuer à inventer un avenir qui limite le réchauffement climatique à 1,5°C à la fin du siècle est encore possible. Le Parti de l’anthropocène s’y attelle. Rejoignez nous !
Lien court : https://wp.me/p7HNdj-2x
6 août 2018
Catégories Économie, Entreprise, médiation, Parti de l'anthropocène
Mots-clés Afrique, anthropocène, émancipation, changement climatique, climat, colonisation, communs, conflit, coopération, cyberespace, logiciel libre, UDTIC
Extraits en rapport avec la médiation :
- - Partir du but à atteindre à moyen terme et faire émerger des moyens co-construits par les citoyens du monde pour que chacun puisse orienter ses actions dans la meilleure direction possible, et le plus rapidement possible. En d’autres termes, cadrer, susciter et accompagner le désir de comprendre et la capacité d’agir concrètement, CHACUN À SON NIVEAU, MAIS PLEINEMENT.
C’est donc typiquement une problématique de médiation. Elle s’appuie sur une approche éthique ainsi que sur l’état de l’art des recherches sur la théorie de la médiation. Sa particularité est qu’elle prend parti le temps de faire émerger un Pouvoir capable de piloter l’action vers le but. Elle est donc VOLONTAIREMENT NON NEUTRE (réf.5). D’oû le nom proposé à valider :
LE PARTI DE L’ANTHROPOCÈNE.
- - 1 – MÉDIATION
RECHERCHES SUR LA THÉORIE ET LA PRATIQUE DE MÉDIATION
Poursuite et amplification des travaux d’organismes comme le COREM, Médiation pour Tous, etc. (Réf. 5).
Autres modes de recherche comme la recherche-action, la science participative, etc.
FORMATION À LA MÉDIATION
Mettre au point des modules de formation adaptés au fur et à mesure de l’avancement du projet.
LANCEMENT D’OPÉRATIONS DE MÉDIATION AUTO-INSTITUÉES
Le PARTI DE L’ANTHROPOCÈNE en est une !
Pourquoi auto-instituées ? Parce qu’il n’existe pas encore d’institution mondiale chargée du pilotage de l’arrêt des émissions de gaz à effet de serre. On ne peut donc négocier le cadre qu’avec soi-même, c’est-à-dire entre pairs médiateurs…
Et le premier élément de la médiation consiste à informer : recueillir et diffuser un ensemble d’informations structurées de manière à mettre en évidence leur sens. C’est ce que nous tentons de faire ici.
- - Consigner dans le portail des alternatives, de manière structurée, les approches sociétales, les méthodes et outils qui induisent la meilleure combinaison entre efficacité et sobriété. Cela se fera d’autant mieux si les médiateurs, les spécialistes/experts, les citoyens, réussissent une confrontation constructive en ligne et en vis-à-vis, avec exigence mais en bonne intelligence.
- - AUTRES :
Notre Dame des Landes, débarrassée de la construction d’un nouvel aéroport et du conflit centré sur la notion de GPII (Grand Projet Inutile Imposé), va pouvoir épanouir et amplifier les alternatives éthiques que la ZAD avait permis de développer (les autres devraient être découragées ou le faire d’elles-même). Accueillir le conflit entre une vision classique et unilatérale de la propriété (privée et c’est tout), et celle des Communs plus que millénaire qui prend tout son sens dans un monde à capacités finies comme celui de l’anthropocène, nécessite des capacités accrues de médiation. Le Parti de l’anthropocène peut y contribuer notamment pour éclairer la compréhension des ZADistes qui ne sont rien d’autres que des pionniers d’un nouveau peuple premier en devenir, adapté à l’anthropocène, si le gouvernement français accepte une confrontation constructive avec eux. Ne pas y consentir ne pourrait pas être interprété autrement que comme un refus d’expérimenter toute innovation sociétale susceptible d’apporter sa pierre à l’édifice de la limitation de la température moyenne à 1,5°C. C’est pourquoi rassurer et conforter l’ensemble des parties prenantes ne sera peut-être pas si difficile que cela. En effet, il est passionnant d’inventer l’avenir, surtout en revisitant le passé ce qui a le mérite de rapprocher les générations. Une des conditions de réussite est que le gouvernement français (et plus généralement l’ensemble des institutions) comprenne et accepte dans la gouvernance d’un Commun, de n’être qu’une partie prenante au même titre que les autres, sans prérogative particulière. (UN POUR TOUS, TOUS POUR UN, la ressource du Commun).
À contrario, il est en France de nombreux conflits centrés sur la notion de PUC (« PROJET UTILE CONTESTÉ »). Je prendrai pour exemple les éoliennes. Dans la logique de la transition énergétique, et avec le même niveau d’exigence éthique, il faudrait en installer massivement sur tous les gisements de vent en France… Nous en sommes bien loin car les professionnels et les élus ont souvent du mal à accepter d’impliquer les citoyens et l’ensemble des parties prenantes dès les prémisses des projets, dans une logique de co-réflexion. Et du côté des opposants, ils ont parfois du mal à prendre un peu de hauteur par rapport à l’effet « NIMBY (accronyme pour « Not In My Back Yard » – pas dans mon jardin). (Réf. 15)
GPII ET PUC sont donc en fait la résultante des mêmes causes… C’est pourquoi le Parti de l’Anthropocène prévoie de mutualiser les expériences acquises en intégrant dans ses pratiques de médiation le concept de ZAD partout. (Réf. 15)
- - 5 -Recherches sur la théorie et la pratique de médiation
COREM- COllectif de REcherche sur les pratiques de Médiation
NEUTRALITES PLURIELLES EN MEDIATION
Quand les médiateurs s’interrogent
https://corem.internetrie.fr/spip.php?breve27« APPEL A SOUSCRIPTION » pour publier chez « Médias et Médiations » un Recueil de témoignages sur le thème de « La Neutralité en médiation », ou, en d’autres termes, sur les tensions vécues par les médiateurs dans l’exercice de leur fonction.
Autres.
- - 26 – Le mouvement des COLIBRIS de Pierre Rabhi
Il a popularisé l’expression « FAIRE SA PART », c’est-à-dire commencer par « balayer devant sa porte » avant d’exiger des autres. Tenter d’être EXEMPLAIRE, en somme.
https://www.colibris-lemouvement.org
Il est sujet à controverse mais a tout de même une forte dynamique comme on peut le constater en approfondissant. Cependant, il avance, se structure, notamment avec une initiative d’intermédiation de projets et de personnes prêtes à aider les porteurs de projet : https://www.colibris-lafabrique.org.
- - Voir aussi les quelques documents indexés par Médiation pour tous dont « Climat : choisir ou subir la transition ? »
...
ndlr :
La controverse s'adresse d'abord à Pierre Rabhi lui même, plus qu'au mouvement des Colibris si j'ai bien compris => creuser
ACT
Frédéric Denhez, journaliste spécialiste de l'environnement
entièrement revoir l'architecture de nos villes
Guillaume Sainteny consultant spécialisé des questions environnementales, auteur de "le climat qui cache la forêt"
la question de l'urbanisme est clé. Les villes méditerranéennes traditionnelles sont un bon modèle avec une prépondérance de l'aspect culturel
Le japon permet aux salariés d'adapter leurs vêtements
Louis Bodin, météorologue
Les feux de forêts en suède, grèce, californie.
30°C au cercle polaire !
Françoise Vimeux climatologue à l'institut de recherche pour le développement
la librification de l'eau de fonte n'est pas prise en compte dans les modèles de climat
l'hémisphère nord a plus de continents, il se réchauffe donc plus que l'océan. Mais ce dernier accumule plus de chaleur qui va ressurgir plus tard (jusqu'à 1000 ans !. Plus de banquise.
Faire les 2 : s'adapter et limiter le changement climatique.
ACT
ancrage adaptatif® mémoriel