Le Pôle d’Interprétation de la Préhistoire et la Fondation Orange s’associent pour proposer un cours en ligne gratuit et ouvert à tous qui apporte un nouveau regard sur les modes de vie des hommes et des femmes préhistoriques.
... inscriptions ouvertes ... traite des sociétés de la préhistoire, en allant à la rencontre des chercheurs d’aujourd’hui.
De quoi allons-nous parler ?
Essentiellement de préhistoire européenne, des périodes Paléolithique et Mésolithique, réunies désormais sous l’appellation « Paléo-Mésolithique », en privilégiant le cœur de cette période, entre 400 000 et 6 000 ans environ. C'est le temps des chasseurs-collecteurs, presque toujours nomades, circulant et échangeant sur des territoires où ils trouvent leurs ressources et leurs lieux de vie.
Jacques Jaubert, professeur de Préhistoire à l'université de Bordeaux a assuré la direction scientifique de ce cours. Il en est l'intervenant principal. Des anthropologues, archéozoologues, pariétalistes et technologues interviennent également dans ce MOOC. Chacun, dans son domaine, fait connaître ces sociétés de chasseurs-collecteurs, Néandertaliens ou Hommes modernes. Ils partagent l’actualité de leurs recherches, leur façon de travailler et de construire leurs connaissances. la préhistoire est abordée à partir d’éléments concrets (sites archéologiques, objets...) permettant de percevoir le quotidien de ces hommes et femmes préhistoriques, loin des clichés encore trop souvent véhiculés aujourd'hui : non, les préhistoriques ne vivaient pas au fond des grottes, en butte à une nature hostile ! Ce MOOC propose de découvrir un univers beaucoup plus riche, sensible et complexe.
Les trois séquences centrales du cours permettent d’explorer les modes de vie des chasseurs-collecteurs :
- Les territoires de vie
Comment les chasseurs-collecteurs se sont-ils adaptés aux bouleversements climatiques ? Comment organisaient-ils leurs espaces et leurs déplacements ? - Les objets et activités du quotidien
À quoi ressemblaient les outils et les armes des chasseurs-collecteurs ? Comment se nourrissaient-ils ? - Le monde symbolique
Quelles furent les diverses formes d’expression artistique des chasseurs-collecteurs ? Comment traitaient-ils leurs morts ?
... une équipe d’animateurs et d’experts est disponible pour dialoguer avec les apprenants.
Environnement | Droits | Protection | Nature | Politique - 2711 lectures
Ferhat Taylan, philosophe
Université de Liège Date : 12/09/2017 Lieu : CCIC Cerisy Durée : 26:54
Cette communication a été enregistrée dans le cadre du colloque intitulé "L'alternative du commun" qui s’est tenu au Centre Culturel International de Cerisy du 8 au 15 septembre 2017, sous la direction de Christian LAVAL, Pierre SAUVÊTRE et Ferhat TAYLAN.
Actes du colloque
Publication du CCIC - L'alternative du commun
Christian Laval, Pierre Sauvêtre, Ferhat Taylan (dir.)
Hermann Éditeur — 2019
ISBN : 979-1-0370-0088-0
Présentation du colloque
Ces dernières années, on observe dans les pratiques comme dans les réflexions théoriques une véritable "explosion" du thème du "commun", devenu une référence centrale pour de multiples foyers de luttes et d’expérimentations politiques et économiques (mouvement altermondialistes et écologistes, défense des services publics, résistances paysannes, coopératives, expérimentations numériques collectives). Cette profusion a été accompagnée par un ensemble de travaux d’économie, de sociologie politique et de philosophie. Avec une vitesse rare pour une notion nouvelle, le commun s'est mondialement imposé en tant que grand concept politique de ce début de XXIe siècle. Il admet pourtant des acceptions fort différentes, parfois contradictoires. Si l’installation du concept est désormais bien avancée, l'on traverse une période de problématisation stratégique, au sens d’un ensemble de questionnements, de difficultés et de conceptions diverses quant à la manière de mettre en œuvre, face à l’impasse que représente la domination oligarchique néolibérale, l’alternative politique du commun.
Présentation de l'intervenant
Ferhat Taylan est chercheur postdoctoral à l'Université de Liège, dans le cadre de projet de recherche "Gouverner par l'environnement". Après avoir soutenu sa thèse de philosophie "La rationalité mésologique. Connaissance et gouvernement des milieux de vie (1750-1900)", il s'intéresse à l'épistémologie historique des savoirs environnementaux modernes.
Résumé de la communication
La reconnaissance de la rivière Whanganui comme personne juridique et "entité vivante" par le Parlement de la Nouvelle Zélande au mois de mars 2017 a été souvent interprétée comme un cas de protection de la nature de la part des cultures locales. Or, on tentera de montrer que pour les Maori qui ont mené un long combat pour cette loi, il s'agit surtout de faire reconnaître l'inséparabilité du collectif humain du milieu naturel, de sorte que tout dommage porté sur la rivière soit considéré au même titre qu'un dommage porté sur les personnes humaines. À travers ce cas juridique semble s'esquisser ce qu'on pourrait appeler un "milieu commun", où les composants bio-physiques du milieu fournissent les conditions d'existence aux humains qui se chargent à leur tour de faire vivre l'ensemble. Ainsi, les impasses d’une écologie posant l’humain en face d’une nature à protéger pourraient être évitées si on arrivait à penser ce milieu commun comme une entité où le collectif et son milieu sont juridiquement inséparables. A fortiori, penser en termes de "milieux communs" nous permettrait-il de formuler, comme étant une revendication forte en écologie politique, l’extension des droits des humains aux conditions de leur existence, aux êtres bio-physiques dont la survie est indispensable au maintien du milieu en question ?
L'intercommunalité, c'est l'union qui fait la force, a-t-on promis aux petites communes. Un discours démenti par Pierre-Emmanuel Bégny, maire de Saâcy-sur-Marne (77). Excédé par la complexité et l'opacité démocratique de ces structures, il ne se représente pas cette année. Rencontre.
...
« Je ne voulais plus de cette lutte quotidienne, pris en étau entre les exigences toujours plus grandes des administrés et le désengagement notoire de l'Etat », écrit-il dans un livre où il raconte tout ce qui l'a découragé : la violence, la solitude, la complexité de la tâche, l'absence de reconnaissance…
Les dégâts de la loi Notre
Et puis il y a, aussi, cette désagréable propension de l'Etat à compliquer la vie des « petits » maires. Assis dans son bureau à l'étage de la mairie, avec vue sur l'église, Pierre-Emmanuel Bégny raconte comment il a pris de plein fouet, en 2015, la loi Notre : loi portant nouvelle organisation territoriale de...
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loi_NOTRe-nouvelle_organisation_territoriale_de_la_République
Le(s) groupe(s) de solidarité
ANGOULEME
Jean-Luc LABORDE
snc.angouleme@snc.asso.fr
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https://www.qwant.com/?q=Jean-Luc+LABORDE+angoul%C3%AAme+charente&client=opensearch
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entreprise LABORDE JEAN LUC (BUNZAC - Charente - 16) Société enregistrée dans : Hébergement touristique / Hôtels et restaurants
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Gite de france à Bunzac(charente) pres La Rochefoucauld ...
gite.bunzac.pagesperso-orange.fr
Elisabeth & J.Luc Laborde La ... Jean Luc & Élisabeth vous accueillent dans le ... Proche de la Rochefoucauld et d'Angoulême de nombreuses activités ...
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Jean Luc Laborde (BUNZAC, France) | Viadeo
http://fr.viadeo.com/fr/profile/jean.luc.laborde
Jean Luc Laborde (BUNZAC, France ... Poitou-Charentes, ... depuis 2012, Responsable du groupe d'Angoulême depuis fin 2014 Accompagner des demandeurs d'emploi Améliorer les outils ...
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ndlr : lui signaler "demadeurs" ACT
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FREDERIC TOUBEAU, DIRECTEUR REGIONAL DE POLE EMPLOI NOUVELLE-AQUITAINE
La formation est un levier majeur pour le retour à l’emploi des demandeurs d’emploi que nous accompagnons, dans le cadre de la mise en œuvre des formations, Pôle emploi coopère avec les acteurs du territoire…
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Construire ensemble la formation
La formation est un levier majeur pour le retour à l’emploi des demandeurs d’emploi que nous accompagnons. Dans le cadre de la mise en œuvre des formations, Pôle emploi coopère avec les acteurs du territoire, en premier lieu le conseil régional, mais aussi tous les acteurs de terrain : élus, partenaires sociaux et partenaires. Ce travail d’équipe, sur le terrain, est essentiel pour coordonner nos actions, mais aussi pour anticiper les évolutions de l’environnement économique et apporter des réponses co-construites aux entreprises de la Nouvelle-Aquitaine.
S’adapter au besoin des territoires
Pour renforcer la détection fine des besoins en compétences et l’efficacité des formations, territoire par territoire, nous développons de nouveaux outils de diagnostic des besoins en formation.
Mieux identifier les besoins de compétences des entreprises, et donc les formations nécessaires, contribuera à améliorer la qualification des demandeurs d’emploi « peu qualifiés » et notamment des jeunes éloignés du marché du travail.
Construire avec le demandeur d’emploi son parcours de retour à l’emploi, en nous appuyant sur le bilan personnalisé et ses besoins en développement de compétence : c’est ce que nous mettons en œuvre au quotidien avec le Conseil en Evolution Professionnelle CEP.
Après la formation, notre rôle est, enfin, d’accompagner chaque demandeur d’emploi sortant de formation, dans son retour à l’emploi en réponse aux besoins des entreprises de Nouvelle-Aquitaine.
ndlr : est évoqué le retour à l'emploi, mais pas un mot sur la création d'entreprise ou la création de son emploi :-(
l'apprenti entrepreneur n'a-t-il pas - lui aussi - besoin de formation ?
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questionner ACT
SOCIAL
[Les métiers de demain] Payculteur, le chef d’orchestre des projets alimentaires sur les territoires
Deux tiers des écoliers de maternelle exerceront un métier qui n’existe pas encore. Toute la semaine, Novethic se projette dans le futur et vous propose quelques-unes des offres d'emploi que vous pourrez trouver demain. Si vous deveniez payculteur ? Ce métier, inventé par le réseau Fermes d'Avenir, est le maillon manquant entre les producteurs et les collectivités, les distributeurs et les investisseurs pour construire de nouvelles filières agricoles et alimentaires, plus durables.
Le payculteur est un chef d’orchestre de projets alimentaires territoriaux.
@fermesdavenir
OFFRE D'EMPLOI : PAYCULTEUR
Descriptif
Nous recherchons un payculteur pour bâtir des projets alimentaires qui mettent en lien l’amont, les financeurs, les distributeurs, les collectivités et l’aval, les producteurs. Le tout dans une démarche d’agroécologie.
Missions
Les payculteurs doivent accompagner les agriculteurs dans leur développement. Ils les conseillent, évaluent le potentiel foncier des terres, les poussent à lancer des activités complémentaires. Ils aident également au lancement de nouvelles fermes et leur trouvent des financements. L’enjeu est de les mettre en lien avec les distributeurs, les collectivités et les financeurs pour développer de nouvelles filières.
Ce chef d’orchestre de projets alimentaires territoriaux répond ainsi à la forte demande des consommateurs pour des produits bio et locaux mais aussi aux objectifs fixés par le gouvernement, comme, par exemple, 50 % de bio dans la restauration collective d’ici 2022. Il sécurise ainsi l’approvisionnement des collectivités en les mettant en lien avec des réseaux de producteurs qui répondent à ce cahier des charges.
Profil recherché
- Aisance relationnelle et un esprit d’entrepreneur.
- Bonne connaissance du territoire et des structures existantes pour pouvoir créer des liens entre chaque partie prenante.
- Formation ou expérience en agriculture, permaculture ou agroécologie afin de comprendre les enjeux des fermes.
Formation
- Avoir suivi la formation Fermes d'Avenir est un plus. Elle s'étale sur 60 jours et permet de comprendre les enjeux concrets du métier de payculteur.
- Être un paysan, qui détient déjà une ferme, est également valorisé. Il pourra ainsi lui même développer son activité et faire ses expérimentations pour le dupliquer à d'autres agriculteurs.
- Être membre d'une entreprise ou d'une collectivité territoriale qui souhaite développer une filière d'approvisionnement locale en bio est un atout.
Marina Fabre @fabre_marina
deviens ou devenir en français
Fort de son succès, le Pôle Eco-Industries relance sa démarche BECOME en Nouvelle-Aquitaine, avec le soutien de la Région et de l’ADEME. Son but ? Booster les projets qui misent sur l'éco-innovation. Toutes les entreprises du territoire sont éligibles.
Trois questions à Damien Deletraz, Responsable éco-conception au Pôle Eco-industries
Brainstorming, études de marchés, innovation, management, design, marketing… tous les outils sont déployés pour obtenir un avantage concurrentiel et mettre en œuvre des projets concrets.
Comment se décline l’accompagnement des entreprises ?
La démarche s'organise autour d'une première phase de formation collective, destinée aux fonctions stratégiques des entreprises : chefs produits, responsables marketing, RSE, R&D, directeurs. S’ensuit une phase de diagnostic individuel, pour faire émerger des projets et définir une stratégie, ainsi qu’un plan d’actions personnalisé pour chaque entreprise.
Par exemple, CAMIF, spécialisée dans la vente de meubles par correspondance, a pu créer une nouvelle gamme de produits éco-conçus, selon un “référentiel durable” exigeant. Parmi les critères d’analyse retenus : Qualité, Santé & Environnement, Co-création, Local & Transparent, Impacts positifs sur l’emploi en France, Insertion, Économie circulaire.
BECOME s’apprête à lancer sa nouvelle édition. Quelles en sont les nouveautés ?
Pour la seconde édition, les entreprises vont bénéficier d’un accompagnement étendu aux compétences de design et d’évaluation environnementale. Les consultants de BECOME transmettront les méthodes et outils associés, de sorte que les entreprises engagent ce changement dans la durée.
Par ailleurs, BECOME s’adresse désormais à l’ensemble des entreprises de Nouvelle-Aquitaine, et plus uniquement à celle de Poitou-Charentes. Ce périmètre élargi permettra de mobiliser de nouveaux réseaux et de démultiplier les opportunités.
Enfin, BECOME pourra compter sur l’appui de 2 nouveaux partenaires régionaux : l’Agence de Développement et d'Innovation (ADI) et la CCI Nouvelle-Aquitaine. Que ce soit pour les PME, ETI ou grands groupes, BECOME est plus que jamais un tremplin pour booster son entreprise et ses marchés.
Pierre Larrouturou a retweeté
Thibault Laconde @EnergieDevlpmt 31 janv.
Thibault Laconde a retweeté IRENA
Selon l'@IRENA, l'application de l'Accord de Paris pour les #renouvelables nécessiterait 1700Mds$ d'ici à 2030. Une autre façon de le voir : il suffirait d'allouer en 12 ans aux #EnR un tiers des 5300Mds$ utilisés CHAQUE ANNÉE pour subventionner les énergies fossiles.
Thibault Laconde ajouté,
IRENACompte certifié @IRENA
USD 1.7 trillion investment is needed by 2030 to implement the renewable energy targets contained in #ParisAgreement’s NDCs http://bit.ly/2jZUMEl #Renewables4Climate
1 réponse 14 Retweets 7 j'aime
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intégrer dans billet programme parti de l'anthropocène
ACT
Adopter des comportements vertueux « à l’insu de son plein gré » grâce à de petits coups de pouce psychologiques : tel est le principe des nudges, une théorie comportementale venue des États-Unis et qui vient d'être récompensée par le prix Nobel d'économie attribué à Richard Thaler. Mais ces incitations à « bien agir » ne sont-elles pas en train de façonner une forme de tyrannie soft ?
LA PALEO-ENERGETIQUE : une contre-histoire de l’énergie
Ressusciter les techniques disparues, montrer la capacité d’innovation, revaloriser des innovations oubliées et une capacité d’innovation sociale, vernaculaire, décentralisée, inattendue.
Cette recherche se veut ouverte et souhaite faire appel à l’intelligence collective ainsi qu’à la capacité collaborative du numérique.
Nouveau guide pratique pour les collectivités territoriales. Du soutien au co-investissement : comment faire ?
accompagnement
CONCLUSION
L’implication des collectivités et des citoyens est une condition essentielle de la réussite de la transition énergétique, que ce soit via la production d’énergie renouvelable, la promotion de l’efficacité énergétique ou l’engagement dans une démarche de sobriété énergétique.
Les opportunités de production d’EnR mises en avant dans ce guide doivent donc s’intégrer dans un projet plus global et créer les ressources à mêmes de le financer. L’engagement des collectivités dans l’EnR participative est un marqueur fort. Il peut sembler hors de portée des acteurs locaux, notamment des petites communes, mais de nombreux exemples de réalisations prouvent que c’est possible et de plus en plus de dispositifs se mettent en place pour accompagner ceux qui s’engagent.
N’hésitez pas à contacter les structures et acteurs mentionnés dans ces documents : leur vécu est éclairant.
Saluons ici le rôle de l’ADEME et de nombreuses régions qui contribuent à soutenir ce mouvement.
Nous espérons que ce guide vous incitera et vous aidera à vous lancer dans cette voie. Elle n’est pas toujours simple. Cependant, en plus des aspects économiques, elle est toujours source de dynamisme, d’expérimentations démocratiques et de montée en compétence. Soulignons également la fierté que l’on peut en retirer en contribuant à préserver l’avenir de nos enfants !
ADEME Presse
Tel : 01 58 47 81 28 (ligne directe)
Email : ademepresse@havas.com
ndlr : donc l'ademe confie sa communication à havas... bug?!
La fondation SEVE soutient les initiatives innovantes dans le domaine du savoir-être et du savoir vivre ensemble. Dans ce cadre elle organise, en partenariat avec Chemins d’Enfances, les Tremplins « Innovons pour l’Enfance ! ».
...lancer une réflexion de fond sur l'importance de développer dès le plus jeune âge les compétences sociales et émotionnelles à côté des savoirs académiques et ainsi de voir émerger des citoyens actifs et responsables, équipés pour relever les grands défis de demain.
Cette réflexion s’appuie sur des débats et est partagée à travers un évènement et une diffusion des meilleures pratiques post évènement.
...
Si le modèle concurrentiel crée des redondances et gâche des ressources sur la protection des idées, la publicité et autre, le modèle coopératif gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Entre ces deux modèles, la stigmergie, une nouvelle méthode de gouvernance inspirée du mode d’organisation des insectes sociaux, pourrait offrir un modèle alternatif plus adapté à la collaboration dans des grands groupes.
Basé à Aubusson, Adrien Demay, 33 ans, est designer de services. Avec ses collègues du collectif DTA (Design Territoires Alternatives), il accompagne les territoires ruraux. Rencontre avec une tête pensante aussi habile de ses mains.
Tags: adrien demay, Aubusson, design, design de services, designer, DTA