Seuil à 1000 habitants
...
Calendrier :
- Jeudi 27 février, à 18h00
Clôture du dépôt de candidature en préfecture ou sous- préfecture
L. 255-4 et R. 127-2 - Lundi 2 mars, à 00h00
Ouverture de la campagne électorale officielle
Mise en place des emplacements d’affichage
R.26 - L.51
...- Propagande électorale
Les moyens de propagande ne doivent pas être financés par des personnes moralespar exemple une commune, la métropole, un département, une région ou une
association - à l'exception des partis ou groupements politiques14.
- Propagande électorale
-
8.1.
Propagande électorale officielle
Le code électoral définit strictement trois types de documents imprimés qui
constituent ce que l’on appelle la « propagande officielle » : - les circulaires (terme réglementaire pour désigner la profession de foi du
candidat) ; - les bulletins de vote ;
- les affiches.
L’Etat ne rembourse aucune dépense engagée au titre de la propagande pour les
élections dans les communes de moins de 1 000 habitants. De même, il n’y a pas de
commissions de propagande dans ces communes, les candidats qui souhaitent
envoyer et distribuer des documents de propagande électorale doivent assurer ces
opérations par leurs propres moyens.
8.1.1.
Circulaires et bulletins de vote
8.1.1.1.
Circulaires
Les candidats sont entièrement libres de faire imprimer ou non des circulaires, dont
ils assurent la diffusion et dont l’impression est à leur charge.
Les circulaires ne répondent à aucune obligation de taille ou de grammage.
... Aucune disposition du code électoral ne prévoit de mentions obligatoires ...
a) Format du bulletin de vote
... être d’un grammage de 60 à 80 g/m2 ... être imprimés en une seule couleur sur papier blanc, être au format paysage
- 105 x 148 millimètres pour les bulletins comportant 1 à 4 noms ;
- 148 x 210 millimètres pour les listes comportant de 5 à 15 noms.
...
b) Règles de présentation sur le bulletin
Les bulletins doivent obligatoirement faire apparaître les nom et prénom du candidat
tel qu’ils ont été enregistrés lors du dépôt de candidature. Sur sa déclaration de
candidature, un candidat peut indiquer en plus de son nom ou ses prénoms d'état
civil, un nom d'usage ou un prénom usuel s'il souhaite que ce nom ou prénom figure
sur le bulletin de vote.
En cas de candidature groupée, figurent sur un même bulletin de vote les noms de
l’ensemble des candidats, dans l’ordre qu’ils auront choisi.
En revanche, les bulletins ne doivent pas comporter d’autres noms de personnes que
ceux des candidats.
Peuvent en outre être indiquées les mentions qui ne sont pas interdites, ni de nature
à troubler l’ordre public ou à introduire une confusion dans l’esprit des électeurs sur
les noms des candidats. Le bulletin peut ainsi comporter l’emblème d’un ou
plusieurs partis ou groupements politiques (art. L. 52-3)15. Il peut y être fait mention
des mandats électoraux, titres, distinctions16, âge, qualité et appartenance politique
des candidats.
...
...
3.2. L’immigration comme rétroaction et contradictions.
En fait, l’immigration s’inscrit dans le contexte des quatre rétroactions de base par lesquelles le Second Monde, champion du Réel, réplique à la Globalisation, propagatrice de virtuel.
Rétroactions qui, à travers elle, vont s’introduire au cœur même de la Société des individus, comme autant de dissonances fondamentales.
Ainsi, on constate que V 2 démarre précisément au moment (la deuxième moitié des années 70) où le Rebond asiatique R 1 (l’avènement de Deng Xiao Ping en 1978 ) et la Rente pétrolière R 2 (les deux « chocs » de 1973 et 1979) sèment, chez nous, les graines de ce qui va devenir un chômage de masse : les immigrés arrivent au moment où vont partir les emplois...
La deuxième vague importe aussi avec elle les différentes formes de Rente illégale R 2, fortement corrélées à l’immigration (trafics d’êtres humains, travail au noir, fraude sociale, commerce de drogues), dans une société se voulant transparente et se croyant à l’abri de la délinquance systémique.
À majorité musulmane, V 2 se relie également à la rétroaction du Refus R 3, qui a pareillement commencé à monter en puissance à la fin des années 70 (révolution iranienne, siège de la mosquée de la Mecque, invasion soviétique de l’Afghanistan), avec l’appui financier de la Rente pétrolière R 2 et, comme résultat, la transplantation massive d’une religion, en tous points exotique, dans un milieu français radicalement sécularisé.
Enfin, une bonne partie de ces flux humains émanent des « trous noirs » qui expriment la rétroaction du Rejet R 4, aux antipodes d’une société qui, comme la nôtre, s’auto-proclame « avancée ».
Mais, surtout, la deuxième vague, provenant de pays anciennement colonisés, porte en elle le ressentiment R 5, né d’un siècle ou plus d’humiliation ravalée. C’est là la dernière incohérence – mortelle celle-ci – d’une immigration, qui se met en branle vers l’ancienne métropole, à l’instant où la décolonisation vient d’établir un constat de divorce irréversible entre les deux parties.
En bref, V 2 présente toutes les caractéristiques d’un effet boomerang multiforme, typique du retour de l’Histoire Événement, qui va reproduire en abyme, sur le territoire français, la marmite dysfonctionnelle du monde globalisé.
C.-à-d. une plate-forme, où des flux, politiquement non contrôlés, amènent à se heurter, en désordre et à contretemps, des configurations de l’être ensemble et des contenus culturels, qui « logiquement », selon l’Histoire Évolution, auraient dû se succéder dans le temps, sans se télescoper dans l’espace, mais qui vont, là, entrer dans des collisions anachroniques – au sens littéral – pour se disputer le pouvoir sur un même territoire.
3.3. L’hégémonie de la Société des individus en toile de fond.
Pour être complet, il faut garder à l’esprit que tout ce que je viens de décrire est soumis à l’emprise de la strate dominante S 3, dont la moulinette ravageuse n’épargne personne : les immigrés pas davantage que les autochtones, ne serait-ce qu’à travers la décomposition, subie par tous, de la communauté naturelle de base qu’est la famille ou la néo-religion partagée de la consommation. De sorte qu’il serait plus juste de parler de néo-communautarismes et de néonationalismes, plus ou moins déglingués, mais néanmoins tenaces, par rapport aux idéaux types que j’ai décrit il y a quelques instants, dans une société que tout le monde s’accorde à considérer, par ailleurs, comme fragmentée ou, selon l’expression à la mode, archipelisée.
... distance « culturelle » ... déconstruction de l’État national ... commensurable / incommensurable ...
Chez S 3, en revanche, la commensurabilité se veut, d’emblée, universelle, grâce au « doux commerce », c.-à-d. aux mécanismes horizontaux d’équivalence et de conversion généralisées que j’ai déjà mentionnés : le marché (qui, par la monnaie, fixe un prix à toutes choses désirées, y compris celles qui n’en ont pas...), le juridique (qui ramène l’ensemble des rapports sociaux à la réciprocité des droits et des contrats entre sujets égaux) et la communication (dont le dénominateur commun, le mot transformé en « bits », est supposé arrondir tous les angles...).
La seule exception à cette identité universelle est la « diversité », soit le miracle par lequel la différence ne produit jamais de conflit : présentée comme une richesse, la diversité recouvre en fait l’idée que les particularités humaines ne sont que superficielles, décoratives et touristiques, et que, loin de créer de la distance entre les hommes, elles les rapprochent.
Avec cette conséquence que, s’il persiste de l’incommensurable et de l’incompatible dans la société, ils ne peuvent résulter que de la malveillance humaine, en l’occurrence celle, résiduelle, des nostalgiques de l’État national, au besoin qualifiés de « racistes », et des discriminations qu’ils s’obstinent à vouloir perpétuer : il suffit de combattre inlassablement ces dernières ou, en d’autres termes, de pratiquer un « antiracisme » militant à très large spectre, pour que l’écart culturel s’efface de lui-même.
4.2. L’effet de seuil, une évidence devenue tabou.
Le mot barbare de scalabilité, emprunté à l’anglais et au langage de l’informatique, recouvre l’idée simple qu’une grandeur peut augmenter en quantité sans que sa qualité en soit affectée, autrement dit qu’elle échappe plus ou moins aux effets de seuil.
Il est clair que l’immigration massive à fort écart culturel n’entre pas dans cette catégorie ...
Patrick Borie, maire de Marthon, a succédé à Michel Boutant à la tête de Seuil-Charente-Périgord en 2004. Photo Majid Bouzzit
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La communauté de communes crée une deuxième zone d’activité, à Montbron. Après s’être dotée de nombreux services. Et avoir rénové ses douze écoles.
...implantation de zones d’activité économique. Une première zone a été aménagée à Marthon en 2006, où trois entreprises se sont installées. Trois hectares sont encore disponibles. Une seconde zone va être créée à Montbron sur sept hectares, en face des Établissements Aupy, sur la route d’Angoulême. ... La collectivité réfléchit aussi à la construction d’un hôtel d’entreprises ... L’ex-CDC Val-de-Tardoire, qui regroupait les communes de Saint-Sornin, Vouthon, Vilhonneur et Orgedeuil, a rejoint Seuil-Charente-Périgord, la plus vieille CDC charentaise fondée dès 1992. Cette dernière comptait alors les communes de Montbron, Marthon, Charras, Écuras, Eymoutiers, Feuillade, Grassac, Mainzac, Rouzède, Saint-Germain-de-Montbron et Souffrignac.
La nouvelle collectivité rassemble donc 15 communes, ce qui représente un total de 8.000 habitants.
Clés : Actualité Michel Boutant Montbron Economie Val de Tardoire
Une simulation sugggère que sous l’effet du réchauffement du climat, un certain type de nuages, les stratocumulus, pourrait disparaître à partir d’un seuil de température critique. Un résultat qui reste à confirmer.
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Dans le cas des stratocumulus, deux mécanismes jouent un rôle important : la turbulence induite par les échanges d’énergie radiative entre le nuage et l’espace, et les mouvements turbulents au sommet des nuages, qui mélangent l’air sec de l’atmosphère avec l’air humide de la couche nuageuse. Dit autrement, un refroidissement radiatif au-dessus des nuages crée des mouvements descendants du sommet vers la base du nuage, qui forcent à leur tour la montée d'air humide dans le nuage.
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Avec une concentration de dioxyde de carbone de 1 200 ppm, le modèle de Tapio Schneider et de ses collègues prévoit déjà une augmentation de la température de 4 °C dans les tropiques par rapport à aujourd’hui. Mais au-delà de cette concentration, la dislocation des stratocumulus accentue l’augmentation de la température de 8 °C de plus dans les régions tropicales !
« Le seul élément nouveau dans cette étude est ce point de basculement », note Sandrine Bony, du Laboratoire de météorologie dynamique, à Paris, « mais le modèle utilisé est extrêmement idéalisé, simule un tout petit domaine (25 kilomètres carrés), et ne considère la réponse que d’un seul type de nuage. Il n’est pas du tout sûr que ce phénomène persisterait dans un modèle plus complet prenant en compte la réponse des nuages couplée à celle de la circulation atmosphérique. » En effet, dans le modèle de Tapio Schneider et ses collègues, la circulation atmosphérique de grande échelle (qui contrôle les régimes de vent à la surface du globe mais aussi l’intensité de la subsidence de l’air au-dessus des stratocumulus, un paramètre important dans le contrôle de ces nuages) n’évolue pas avec l’élévation de la température, ce qui est une hypothèse peu réaliste.
La question de l’évolution des nuages bas reste ouverte et ne sera résolue que grâce à une compréhension plus fine des processus mis en jeu et des simulations prenant en compte les interactions des nuages et de la circulation atmosphérique. Cependant, cette étude souligne une fois de plus l’importance des nuages dans l’évolution du climat. « Mieux comprendre et quantifier la réponse des nuages au réchauffement climatique, et son impact sur la sensibilité climatique, reste une priorité des sciences du climat », conclut Sandrine Bony.
Mots Clés Nuages Rechauffement climatique Giec Simulation numérique Modèles climatiques