connu / la transcription d'une émission de RFI
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Thèmes : Place des femmes, Internet, Inclusion numérique
L’Atelier des médias reçoit la journaliste Mathilde Saliou, qui publie Technoféminisme – Comment le numérique aggrave les inégalités chez Grasset. Elle montre comment le milieu de la tech s’est fermé aux femmes et propose des pistes de solution pour davantage d’égalité dans le numérique.
Média d’origine
Personne⋅s : Mathilde Saliou - Steven Jambot
Source : Podcast
Lieu : L’Atelier des médias - RFI
Date : 04/03/2023
Durée : 25 min
Autres liens : Page de présentation de l’émission
Références
[1] Acrimed - Action-Critique-Médias
[2] Prenons la Une - Pour une juste représentation des femmes dans les médias et l’égalité dans les rédactions
[3] Ada Lovelace
[4] Annie Cannon
[5] Hedy Lamarr
[6] Grace Murray Hopper
[7] Annie Easley
[8] Dorothy Vaughan
[9] ChatGPT
[10] Résultats de la recherche « Antonio Casilli » sur Libre à lire !
[11] SISTA - Faire émerger une génération de leaders DIVERSIFIÉS
À propos de Libre à lire :
indexation, réutilisation et accessibilité
Depuis 2006, le groupe Transcriptions de l'April repère sur le Web, des enregistrements, vidéos de conférences, d’interviews, qui traitent des thèmes chers à l’April, afin de mettre noir sur blanc, d’écrire tout ce qui se dit, tout ce qu’on entend : on obtient un texte de cet enregistrement, on obtient un fichier texte et à partir de ce fichier texte on crée un fichier HTML qui est ensuite publié sur le site de l’April.
À propos de l'April, association :
Depuis 1996, l'April est animée par une conviction : « logiciel libre, société libre ». Prenez le contrôle de vos libertés informatiques et suivez l’actualité du logiciel libre. Découvrez les enjeux, des outils et des moyens d'actions.
Pionnière du logiciel libre en France, l'April, constituée de 2547 membres (2245 personnes physiques, 302 entreprises, associations et collectivités), est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du logiciel libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone.
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Surfer sur Internet, utiliser une application, regarder une vidéo en streaming, discuter en visio… toutes ces activités qui paraissent aujourd’hui naturelles à nombre d’entre nous sont loin d’être anodines pour l’environnement.
| 37mn
Anne-Cécile Orgerie est chargée de recherche CNRS au sein de l'équipe Myriads du laboratoire Irisa, à Rennes.
Laurent Lefèvre est chargé de recherche de l’Inria au sein du Laboratoire de l’informatique du parallélisme, à l’École normale supérieure de Lyon.
L'essentiel
Derrière Internet et les objets connectés que nous utilisons se cache une architecture complexe de réseaux, de centres de données et d’équipements terminaux déployés dans le monde entier.
Toutes ces infrastructures ont un impact environnemental considérable et très complexe à estimer dont on commence à mesurer l’ampleur.
Des pistes se dessinent pour réduire leur consommation énergétique et informer les usagers sur le vrai coût des équipements qu’ils utilisent.
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les flux de données vidéo représentent 80 % du trafic mondial qui circule sur Internet. Ces flux sont majoritairement composés de vidéos en ligne (vidéos à la demande, pornographie, etc.) et en direct (télésurveillance, vidéoconférences).
Alors que les techniques de diffusion hertziennes reposent sur du broadcast, c’est-à-dire une diffusion d’un unique émetteur vers beaucoup de récepteurs, la vidéo sur Internet exploite fortement des échanges de type « un émetteur vers un récepteur », où un flux de données est généré pour chaque utilisateur. Ce type d’échange accroît le trafic réseau proportionnellement au nombre d’utilisateurs, là où la diffusion hertzienne n’était pas dépendante du nombre d’utilisateurs, mais uniquement du nombre de contenus visibles simultanément à un instant donné.
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infrastructures de type CDN (pour content delivery network, « réseau de diffusion de contenu ») où les données vidéo sont répliquées aux bons endroits dans les infrastructures mondiales, au cœur des réseaux et dans des centres de données, et géographiquement proches des utilisateurs. ... en 2018, Timm Böttger et ses collègues, de l’université Queen Mary de Londres, ont estimé que Netflix utilisait au moins 8 500 serveurs de distribution de contenu localisés dans plus de 600 centres de données, ces derniers n’appartenant pas à Netflix, mais à des opérateurs de réseaux.
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L’organisation internationale de normalisation a standardisé ces analyses de cycle de vie sous les normes ISO 14040 et ISO 14044, qui fournissent des directives pour les mener. Dans le contexte des équipements connectés, le cycle de vie se décompose en quatre phases : fabrication, transport, utilisation et fin de vie, chacune avec de nombreux paramètres.
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Les protocoles qui assurent l’émission et la réception des données dans ces réseaux ont été conçus pour assurer robustesse, performance et qualité de service des réseaux. Ils ne sont pas prévus pour réduire leurs impacts environnementaux.
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De 2010 à 2015, le projet de recherche international GreenTouch http://www.greentouch.org/, qui mêlait instituts académiques et groupes industriels, a démontré qu’il était possible de construire une infrastructure des réseaux de l’internet mondial qui réduirait de 98 % la consommation d’énergie en 2020 par rapport à celle de 2010, et ce en tenant compte de l’explosion du trafic et pour une qualité de service équivalente. ... impliquerait de nombreux changements structurels et technologiques tant au niveau matériel que logiciel
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de nombreuses pistes se dessinent pour réduire les impacts environnementaux d’Internet et sont explorées par les académiques et les industriels. Certaines, comme l’amélioration de la proportionnalité énergétique, le ciblage des gaspillages et l’écoconception matérielle et logicielle, visent à améliorer l’efficacité énergétique. D’autres, comme l’allongement de la durée de vie et de l’usage des équipements ou la conception de métriques rendant compte de l’impact environnemental réel des équipements afin de les rendre comparables, tant pour sensibiliser le grand public que pour informer les pouvoirs publics, tendent vers une sobriété numérique. ... usage raisonné.
Clés : Centre de calcul Cloud Data center Empreinte carbone Équipement informatique Impact environnemental Internet Numérique Obsolescence Obsolescence programmée Smartphone Tablette
Le numérique est souvent présenté comme un atout potentiel de la transition écologique, par les optimisations de fonctionnement et nouveaux comportements qu’il peut soutenir. Est-ce vraiment le cas ? Il y a de quoi s’interroger quand on étudie l’impact environnemental de la prolifération des nouveaux gadgets connectés, de l’explosion des flux vidéos, ou de la 5G qui arrive.
Eric Vidalenc, auteur du livre Pour une écologie numérique, Maxime Efoui-Hess, chef de projet au sein du Shift Project et co-auteur du rapport Déployer la sobriété numérique échangeront avec Édouard Toulouse, membre de la Compagnie des négaWatts et fondateur du réseau de recherche sur la sobriété énergétique ENOUGH, afin de comprendre si le secteur du numérique a les moyens de devenir écologiquement vertueux et contribuer à des modes de vie durables, et en quoi la notion de sobriété numérique devient essentielle.
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Connu / https://www.negawatt.org/Universite-negaWatt-2020-programme
L'expression de « contrat open bar » utilisée par la presse pour définir le contrat passé entre le ministère des armées et Microsoft est erronée.
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L'attestation d'exclusivité fournie par Microsoft a montré que cette société est la seule capable à fournir les prestations demandées, dans le cadre d'une offre globale et intégrée.
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Quant à l'utilisation de logiciels libres, le ministère soutient la politique interministérielle de support des logiciels libres, publiée dans la continuité de la loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique (articles 2 et 16). Des actions ont été engagées en application des directives interministérielles, en particulier dans le domaine des serveurs et infrastructures puisqu'environ 60% des serveurs administrés par le ministère opèrent désormais avec un système d'exploitation libre. En revanche, la présence du logiciel libre dans la gestion des bases de données et dans les services aux utilisateurs est plus contrastée. Le ministère s'est donc engagé dans une politique logicielle (publiée en avril 2019 et accessible à tous) qui prône l'ouverture aux logiciels libres sous réserve d'un coût global de risques et d'efficacité comparables à ceux des grands éditeurs.
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favoriser l'interopérabilité par un recours aux standards, protocoles et formats d'échanges ouverts, de garantir la souveraineté (tant sur la confiance que la sécurisation) numérique, de maitriser et rationaliser les choix technologiques, de promouvoir le partage et la réutilisation des composants logiciels et d'exposer les ressources (données et services). Dans la continuité de ses directives pour le recours aux logiciels libres, le ministère mène actuellement une étude pour s'équiper d'un poste de travail entièrement libre (système d'exploitation et logiciels de bureautique), sur le périmètre de son réseau internet dédié. L'accès au code source des solutions numériques est effectivement un facteur facilitant la maîtrise de ces solutions, dans une optique tant de sécurité que de souveraineté numérique.
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Concentrer l'effort de maîtrise, y compris à travers l'accès au code source, sur quelques technologies-clé qui jouent un rôle prépondérant dans la sécurité et la maîtrise de l'emprise numérique de l'État. C'est par exemple le cas des technologies critiques pour la sécurité, telles que les moyens de chiffrement des données ou de détection des attaques, sur lesquelles l'effort de maîtrise passe en premier lieu par le recours à des solutions qualifiées par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI). le ministère des armées dispose, au même titre que l'ensemble des ministères, d'une licence libératoire permettant une utilisation sans limite de quantité de l'ensemble des outils de chiffrement de la société française Prim'X, qualifiées par l'ANSSI ...
Ndlr : connu / l'April
Votre structure labellisée Point d'Appui au Numérique Associatif (PANA)
Demande faite ATT
... répondre à un petit questionnaire avant le 20 décembre 2019
En lançant fin 2017 la campagne Contributopia, nous partagions avec vous le constat que trouver le service web libre et éthique qui correspond à ses usages demande de nombreuses connaissances et reste difficile d’accès aux personnes les moins à l’aise avec l’outil numérique. À ce jour, il nous semble toujours pertinent de rappeler que le principal objet de l’association Framasoft est l’éducation populaire aux enjeux du numérique.
... Framasoft étant une petite structure (35 membres dont 9 salarié⋅es), il nous est souvent difficile de répondre positivement à ces invitations. C’est parce que nous trouvons frustrant de ne pas avoir les moyens de davantage accompagner celles et ceux qui émettent ces besoins ... Que ce soit l’adhérent·e d’un GULL à titre bénévole, un⋅e médiateur⋅ice numérique, un⋅e formateur⋅ice indépendant⋅e ou un⋅e salarié⋅e d’un organisme de formation, toutes ces personnes sont légitimes à répondre
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Classé dans : Contributopia ; Communaute, Éducation, formation, logiciels libres, médiation
Une quinzaine d’accompagnateurs sont en formation.
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Les outils numériques, ordinateurs, tablettes, smartphone, prennent de plus en plus de place dans nos vies personnelles et familiales. La maitrise de ces outils…
Montbron Marthon
Vincent Huault est maître de conférences en paléontologie à la Faculté des sciences et technologies de Vandoeuvre-lès-Nancy depuis 1998. Il a été chargé de mission Responsabilité sociétale des universités pour l’Université de Lorraine de 2013 à 2015 et il est actuellement vice-président " Immobilier et transition énergétique" à l’Université de Lorraine. Il assure la prise en compte des évolutions d’usage et la transition numérique et poursuit la mise à niveau et en conformité du parc immobilier, le rendant plus attractif et contribuant ainsi au bien-être des personnels et des étudiants.
Pour la rentrée 2019, l'Université de Lorraine a lancé d'autre projets, comme le guide"zéro déchet" http://www.factuel.univ-lorraine.fr/node/12084 ou encore la plateforme participative "onsengage" https://onsengage.univ-lorraine.fr/.
Actualité, Infos
Patrick Levy-Waitz, Président de la Fondation Travailler autrement a remis ce mercredi 19 septembre 2018 à Julien Denormandie, secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Cohésion des territoires, le rapport de la mission Coworking : Territoires, Travail, Numérique qui lui avait été confiée en janvier 2018.
Aujourd’hui, le phénomène des tiers lieux, conjugué à la volonté du gouvernement de fournir à l’intégralité du territoire une couverture Très Haut Débit, donne l’opportunité de résorber la fracture numérique, de valoriser et de revitaliser nos territoires, en créant les conditions favorables à une activité nouvelle et hybride.
Dispositif de la Mission
Avec l’appui du Commissariat Général à l’Égalité des Territoires (CGET) et après la mise en place d’un comité de pilotage réunissant plus d’une quinzaine d’acteurs incontournables des tiers lieux, une centaine d’organismes, structures et porteurs de projets ont été consultés depuis le 5 février : réseaux nationaux, réseaux locaux, porteurs de projet, spécialistes du coworking, spécialistes du télétravail, entreprises, associations d’élus, élus, collectivités, ministères, administrations…
12 régions visitées avons pu consulter les acteurs locaux des tiers lieux dans les territoires.
initié une consultation publique nationale réunissant particulièrement des experts de la sphère du coworking et des tiers lieux. plus de 1 100 contributions sur la plateforme ce dernier nombre illustre la volonté des contributeurs de partager du contenu qualitatif, détaillé et argumenté.
six ateliers de travail thématiques organisés sur des sujets clés :
modèles économiques, communauté, gouvernance, compétences et l’accompagnement, L’immobilier, La ruralité.
Quels constats ?
... la mission a répertorié en France près de 1800 tiers lieux dont 46 % se situent en dehors des métropoles.
Carte de France tiers lieux-min
... Patrick Levy-Waitz tire quatre enseignements majeurs :
- L’émergence de ces tiers-lieux, loin d’être marginal, s’inscrit dans un mouvement de fond touchant l’ensemble du territoire ;
- Ces tiers-lieux sont localement porteurs de dynamiques économique et sociale très structurantes ;
- L’essor de ces lieux préfigure celui des nouvelles manières de travailler (télétravail, travailleurs indépendants) ;
- Enfin, en contribuant à développer des activités de proximité et à encourager les circuits courts, ces lieux sont des acteurs essentiels de la transition numérique et écologique dans les territoires.
28 recommandations pour redynamiser l’activité dans les territoires
... des catalyseurs de développement local. La mission a émis 28 propositions dont 6 propositions principales qui constituent l’ossature du projet :
- Créer une structure nationale des tiers lieux, porteuse des actions de soutien ;
- Appuyer l’émergence de 300 fabriques des territoires ;
- Adosser le mouvement à un fonds d’amorçage qui pourra être abondé par des fonds privés pour lancer le dispositif d’accélération ;
- Professionnaliser le métier d’animateur des tiers lieux ;
- Créer un fonds d’investissement socialement responsable (ISR) de 50 M€ pour aider à la reconversion d’espaces en tiers lieux ;
- Favoriser la coordination public-privé en encourageant la mise à disposition de locaux par les collectivités et en formant les agents publics aux Tiers lieux.
Le rapport http://s3files.fondation-ta.org.s3.amazonaws.com/Rapport%20Mission%20Coworking%20-%20Faire%20ensemble%20pour%20mieux%20vivre%20ensemble.pdf
Extraits : ... p27 l’importance de la coordination des acteurs ... p29 l’Observatoire National de la Politique de la Ville (ONPV) 43 identifie plus de 200 quartiers prioritaires, particulièrement fragilisés. Ces quartiers, dont
tous les indicateurs sont « au rouge », exigent une action rapide et disruptive pour enrayer leur dysfonctionnement. ... p31 espace ouvert, hybride, qui facilite
la rencontre entre des acteurs hétérogènes et la mutualisation de ressources aux services de projets individuels et collectifs. Il en ressort que les tiers lieux sont à la fois des espaces physiques dédiés au travail et aux activités collectives mais aussi des espaces sociaux d’échanges entre acteurs. ... Pour Ray Oldenburg, le tiers lieu (« third place ») n’est ni le lieu de travail, ni le domicile, mais bien un espace entre-deux qui présente des caractéristiques communes aux sphères privée et professionnelle. Il précise qu’il est un
espace neutre, accessible à tous et qu’il ne peut avoir un coût financier ou des conditions d’accès restreintes. Sa fonction principale est de stimuler les interactions sociales, de développer les rencontres, conversations, échanges, collaborations... Cette approche se retrouve dans les valeurs des tiers lieux proclamées par Fork the world du réseau des tiers lieux Libres et Open Source 47 https://world-trust-foundation.gitbooks.io/fork-the-world/content/ - Gitbook rédigé par un réseau d’acteurs des Tiers-Lieux lors de l’Expérience Tiers-Lieux «Fork The World» de la Biennale de Design de Saint-Etienne (9 mars - 9 avril 2017) consacrée aux mutations du travail. MOVILAB ... P35 Les Living Labs participent donc à l’arrivée d’un nouveau système d’innovation où les personnes ne sont plus de simples utilisateurs mais deviennent acteurs et collaborateurs. ... p36 Cartographie béta des « espaces hybrides », version 2 - 07/05/2017 de Prima Terra ... p74 France Boissons, filiale de distribution du groupe néerlandais Heineken, organise l’opération Mon Café 2.0, sous l’impulsion du député du Vaucluse Jean-François Cesarini (LaREM), ... p97 concept de Tiers-jardin 126 que l‘hybridation entre espaces de vie,
de travail, de détente et de production agricole opère ... développement de tiers lieux à finalité écologique, ... p112 le télétravail ... p133 Exemple de transformation d’une bibliothèque en tiers lieu La Bibliothèque Oscar Niemeyer au Havre – Dans le mouvement des Bibliothèques Troisième Lieu ... p135 un tiers lieu, mais avec cette particularité de garder la philosophie de la Croix-Rouge, à savoir le don, l’échange, l’humanité. ... p145 7, lieu totem du numérique dans la Métropole de Lyon qui ouvrira ses portes en avril 2019, permettra de réunir des dispositifs d’accélération de projets d’innovation sociale, l’écosystème numérique Lyon French Tech ainsi qu’un espace dédié à la culture. Il sera exploité par un consortium composé du Groupe SOS, premier groupe français de l’entrepreneuriat social, d’Arty Farty, acteur de l’innovation culturelle, et d’1kubtor, réseau d’incubateurs.» ... p158 Les tiers lieux portent l’exigence d’une société à s’auto-organiser, s’émanciper, se démocratiser ... p171 Jouer le rôle de médiateur / facilitateur avec
les différentes administrations pour simplifier le parcours des créateurs de lieu ...
Ndlr :
- du blabla, des contradictions comme "acteurs essentiels mais nécessité de les appuyer", sur "fabrique des territoires" : peut-on "fabriquer" exnihilo un territoire ? cf https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?W-XvTw
- pas de soubassements conceptuels sur le tiers ou le co (« Nous entrons dans l’âge du co. : coopérer, co‑construire, collaborer ». Élu rural – Membre de l’Association des Maires Ruraux de France)
- réfugés dans le postulat de la neutralité sous couvert d'un chercheur américain caution.
- des collusions (Heineken / LREM-LaREM), du favorisme (les copains GR SOS /ex)
- le couteau suisse des poliltiques publiques ! Un idéal en contradiction avec le fonctionnement quotidien du gouv.
- p166 "l’opposition centre-périphérie qui a servi de base de colère aussi bien aux Frontistes qu’aux Insoumis" phrase partisanne !
- sujet très politique ne retrouve pas dans ce rapport ce qui est initialement projeté ? ACT