Angoulême
Sébastien Bechereau, le coordonnateur de Médecins du monde en Charente, et Amélie Brunet, assistante de délégation, attendent leurs nouveaux bénévoles de pied ferme.
Photo archive CL - 0
publié le 8 mars 2024 à 16h10, modifié à16h11.
Les bénévoles interviennent quelques heures par semaine sur des missions variées.
Dans le cadre de la mise en œuvre de son projet de médiation en santé, la délégation départementale de Médecins du monde recherche ses nouveaux bénévoles et organise une réunion d’information, le lundi 11 mars, à 18h30, dans ses locaux, au 193 rue Saint Roch à Angoulême. Ces bénévoles seront dédiés à l’accueil du public à la permanence, à l’écoute et à des missions d’accompagnement médical.
En effet, l’association reçoit par exemple des personnes étrangères à la situation administrative précaire ou des demandeurs d’asile sans hébergement et se charge d’enclencher le parcours de prévention et de les aider à trouver un médecin ou un dentiste. Pas facile dans notre département. Ces bénévoles sont formés et doivent pouvoir donner deux à trois heures de leur temps par semaine environ. L’an passé, suite à une précédente réunion, Médecins du monde avait été renforcé de cinq bénévoles.
Les sujets associés Angoulême Social Charente France
2 Commentaires
- Fario 8 mars 2024 à 17:04 @Belbel Oui mais nous sommes Français !
- Belbel 8 mars 2024 à 16:20 Nous aussi, on cherche des médecins, en zone rurale, prêts à s'installer, pour palier, aux départs, des médecins âgés, désirant profiter, de leur retraite!
(Vidéo également à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?K4qMSw)
Causes Environnement
Nicolas Hulot, Aurélien Barrau, Cyril Dion, Arthur Keller... Pour rappeler l'urgence, cette vidéo reprend des discours forts.
Tr.:
...
Arthur Keller : "l'avenir sera sobre ou l'avenir sera sombre" #SobriétéÉnergétique
résistance : "se mettre devant les bulldozors, le déclic ou le déclin"
Le bateau prend l'eau, créons des bateaux de sauvetage, sortons les rames !
Et souquons ferme... ensemble !
Aux rames citoyens !
Connue / https://twitter.com/CoulombelAlain/status/1350549617964945410
"
Tournesol Js Herpin Drapeau arc-en-ciel Tête de licorne #JusticePourLunaAvrilFouad a aimé
Alain Coulombel @CoulombelAlain · 4h
« L’ancien monde doit mourir » : une vidéo puissante rappelle les véritables enjeux de notre époque https://positivr.fr/?p=259697 via @ThePOSITIVR
"
Analyse de l’Association négaWatt, sur la base des travaux du GIEC
La France fête cette semaine le cinquième anniversaire des Objectifs de développement durable (ODD) instaurés par les Nations Unies. Alors que le gouvernement intensifie depuis plusieurs mois ses efforts à Bruxelles pour que le nucléaire soit reconnu comme une « énergie durable », il est légitime de se poser la question de la soutenabilité de cette source d’énergie, et plus largement de l’ensemble des options possibles.
Sur ces sujets, en dépassant certaines interprétations hâtives, l’analyse détaillée du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C publié par le GIEC en 2018 apporte de nouveaux enseignements que l’Association négaWatt présente dans cette note d’analyse.
Résumé de la note
De multiples leviers existent pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). Pour le CO2 (qui représente environ deux-tiers des émissions), les principales actions envisageables sont : la réduction de la consommation d’énergie, le déploiement des énergies renouvelables - électriques ou issues de la biomasse -, et l’utilisation d’autres moyens décarbonés comme le nucléaire ou la capture et séquestration de carbone associées à la combustion d’énergies fossiles.
Ces différentes options ne présentent pas toutes le même niveau de soutenabilité au regard de l’ensemble des 17 objectifs de développement durable (ODD) - parmi lesquels figure la lutte contre le changement climatique, la protection de l’environnement, l’éradication de la faim et de la pauvreté, la protection de l’environnement, etc. - adoptés par l’ONU en octobre 2015, quelques semaines avant l’Accord de Paris. C’est ce qui ressort d’une évaluation de 23 actions de réduction des émissions de GES menée par le GIEC dans son Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C :
- arrivent en tête les actions visant à réduire la demande d’énergie (sobriété et efficacité énergétique), à remplacer des énergies fossiles par des énergies renouvelables électriques ou encore à améliorer la gestion du bétail et du fumier ;
- viennent ensuite celles visant à renforcer l’usage de la biomasse, avec toutefois une très forte sensibilité aux conditions de mise en œuvre (environnement local, choix des espèces, modes de culture, usages, etc.) ;
- viennent en dernier celles recourant à la capture et séquestration du carbone (CSC), à la géo-ingénierie océanique et au nucléaire - cette dernière option étant même la moins bien notée parmi les 23.
...
Si le nucléaire apparaît ici comme étant le levier de décarbonation le moins soutenable, il reste tout de même présent dans les quatre trajectoires proposées par le GIEC dans le résumé pour décideurs du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf.
...
Si les quatre trajectoires principales proposées par le GIEC comportent toutes une part de nucléaire, d’autres options existent et permettraient de rester en-dessous des 1,5°C sans utiliser ni cette technologie ni la capture-séquestration de carbone. Comment ? En combinant à la fois une réduction de la consommation et un recours ambitieux aux énergies renouvelables (électriques et bioénergies). Le recours même modeste au nucléaire ou à la capture et séquestration du carbone - options clairement identifiées par le GIEC comme étant les moins soutenables - n’est donc pas indispensable pour atteindre l’objectif 1,5°C.
Document(s) téléchargés note nW, Communiqué de presse (pdf)
Présentation
Labo de l'école Urbaine @École urbaine de Lyon
Conférence
Afin de donner une vision d’ensemble de l’Anthropocène, François Gemenne, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, chercheur à l'Université de Liège, enseignant à Sciences Po et à l’Université libre de Bruxelles et membre du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), présentera l’Atlas de l’anthropocène (Presses de Sciences Po, 2019). Cet ouvrage, réalisé avec Aleksandar Rankovic et l’Atelier de cartographie de Sciences Po, multiplie les points de vue et mobilise tant les sciences sociales et que les sciences expérimentales pour montrer le caractère systémique des problèmes environnementaux qui surgissent de manière éparse. Il connecte les questions de réchauffement climatique, de chute de la biodiversité ou encore de pollution avec leurs conséquences sociales et politiques.
Intervenants François Gemenne, politiste, chercheur dans un département de géographie
En coopération avec The Shift Project
Transcription : ... holocène ... l'homme est devenu la principale force de transformation de la planète. Anthropocène, concept politique ... cission des sciences naturelles d'un côté et des sciences humaines et sociales, de l'autre. Nous en payons un peu les pots cassés. ... On se trouve face à un pb dont on doit faire notre nostra coulpa. La terre et le monde ne sont pas deux entités séparées. Ces transformations sont en réalité provoquées par un petit groupe, essentiellement d'hommes. Capitalocène, oligoanthropocène. Sens par rapport à la perspective de sortie. Avant tout terriens et terriennes. /asile, immigration et a : interrogation la plus brutale faite à la manière de notre identité collective. savoir si nous allons considérer celui qui est au-delà de nos frontières comme un étranger ou une partie de nous-mêmes. Notre responsabilité. On fait tous partie du même TOUT, du même groupe social, d'une même humanité. Déterminer comment les accueillir : les repousser ou les accueillir comme partie de nous-mêmes. Q centrale de la nouvelle encyclique du pape. Nos frères, nos semblables ou des étrangers ? Kent /concept d'hospitalité universelle à partir du constat que la terre est sphérique. Impossible d'établir un droit de propriété car nous sommes réduits à cette sphère.
/relations internationales
signaux passé au rouge. Conscience plus grande dans l'opinion grâce aux marches et grèves des jeunes. /publicité de life en 1962 par entreprise pétrolière faire fondre des glaciers, publicité holocénique. N'imaginait pas notre impact sur la terre. L'impossible de l'époque s'est réalisé. État d'esprit où nous séparions la terre et le monde. Depuis, records de températures battus tous les ans depuis 2014, Tendance de long terme. >1990 que des hausses de temp ! ~50 ans >sec guerre mondiale consommation repartie à la hausse, baby boom, golden sixties, très forte croissance des émissions de gaz à effet de serre. Peu connu : 2 générations entre émissions et impacts (nos actions et les conséquences).Ça va aller de mal en pis pendant les 50 prochaines années. En démocratie, temps du mandat court, résultats à long terme pas vendeur. Grave difficulté que nous sous-estimons. Prisonniers de ces contraintes de court terme. Obj avec des termes qui dépassent ceux qui s'y engagent. ex en 2015 accords de Paris. Horizon lointain, mais rien sur le chemin à parcourir et baliser. ex perdre 100 g/mois ou 3 g/j pour 10kg en 2050. Nous laissons filer les concentrations de GES dans l'atmosphère. fixe sous l'holocène. 337 ppm né now 416 ppm. 450 limite des 2°C. 2-3 ppm/an. La crise covid-19 nous place sur la bonne trajectoire (7-8%/an de baisse). Aveu d'impuissance. Permet d'avoir conscience de l'effort.
...
La fonte de la glace antartique provoque une hausse du niveau des mers de 60m et pourrait intervenir dans 150 à 200 ans. Cela génère un défi pour les États dont les limites actuelles sont tout sauf inéluctables. ... Qui est responsable ? Les États, les gens, les entreprises ? Qu'est-ce qu'on considère comme équitable ? Les engagements de l'accord de Paris est notoirement insuffisant et ne sont même pas respectés. Ce qui m'inquiète le plus c'est de ne voir l'action que dans le cadre des frontières nationales. Sur une terre sphérique, ça ne suffira pas. La lutte contre le changement climatique : la France doit faire bien plus que sa part, ensemble et avec les autres. Prisonniers de 3 pb fondamentaux : - pas de liens entre les ém de GES et les impacts subis par ce pays. Aucun pays n'a intérêt à agir. Donc agir pour tous et non pas pour soi. - Décalage entre les ém de GES produits par une génération et les impacts subis par cette génération. Agir pour des gens pas encore nés. - Énormément de gens souhaitent encore le statu quo ! Donc la notion de transition est obsolète. Nous gardons des instruments qui datent de l'holocène. Défi collectif de la vision du monde dans lequel nous souhaitons vivre. Agir au-delà de nos frontières, en TERRIENS, les 9 limites planétaires définies sous la houlette de rochtrom?? se définir en tant qu'HUMANITÉ.
1:27 : questions
/incendies en Californie impact mais on ne peut pas relier pour mécanisme de compensation.
/littoral : repli stratégique du conservatoire du littoral, volonté de le faire partager. L'amée Fr aussi à 50/60 ans. Enjeu sur l'adaptation des sonars sous-marins. Vision de long terme. Mais globalement, le politique dans posture réactive plutôt que proactive. ex. asile/migrations. >>enjeu /démocratie Chambre du long terme à la place du sénat, droit de vote pondéré selon l'age de l'électeur.
/rendre ces ressources plus disponibles : sont dans le domaine public coûte 25 € transformer une partie en matériaux pédagogiques à disposition des enseignants
et /participation de groupes comme convention /démocratie il n'y a pas de majorité démocratique aujourd'hui ex inde, usa, brésil, australie, élus sur anti-climat/anti-biodiversité. Comment la construire ? /alphabétisation écologique de la population dont pers âgées par des conv citoyennes ressorties comme 150 greta thunberg ; l'étendre aux mairies comme processus délibératif. Gens aliénés /choix collectifs qu'ils peuvent faire. Résoudre la crise de la démocratie représentative IMPÉRATIF.
/angoisse : lignes de lumière ? Le confinement a été une catastrophe. Ce n'est pas une crise car pas éphémère. Pas de retour à la normale ! C'est ce que nous dit l'anthropocène, transformation durable. Réapprendre à vivre pour tenir dans le long terme. ARRÊTER DE PARLER DE CRISE
Comment on fait ?
- Faire son deuil du monde d'avant. Conditions de vie vont changer, renoncer à colonisation généralisée, rendre à l'état sauvage. Zones habitables ou non, objectivations ?
- Ne pas se voiler la face.
- Se ré-approprier les choix collectifs
- Construire un projet politique
Arrêter de percevoir ça comme des contraintes temporaires à échapper. En faire un VRAI projet POLITIQUE ENTHOUSIASTE ex. construction européenne, s'en inspirer. Déléguer à des entités supra-nationales.
revue gratuite anthropocène 2050 ++
/the conversation /pierre charbonnier /mobilisation du gouv chinois /annonce à la tribune de l'ag de l'onu de relever obj de lutte contre chgt, neutralité carbone en 2060, obj ambitieux, renonce à l'idée de croissance infinie IMPORTANT : voie de passage possible bien que non démocratique : tragique car dictature alors que nos démocraties n'y sont pas arrivées à avoir le même niveau d'ambitions. La chine a des pressions intérieures sociales et position unique d'être coupable et victime. Peut donc prévoir à long terme.
Connu / https://twitter.com/RaphieJarrige/status/1313511088525377537
"
Raphaëlle @RaphieJarrige Niveau 1 :
En place pour la conférence sur l'atlas de l'anthropocene avec @Gemenne
organisée par les collègues de @CSTI_UJM
@Univ_St_Etienne
dans le cadre de #FDS2020. Salle comble limitée par la jauge réduite, bravo pour la mobilisation !
6:07 PM · 6 oct. 2020·- 1 Retweet 1 Tweet cité 5 J'aime
Raphaëlle @RaphieJarrige · 6 oct. Niveau 2 :
Un évènement qui marque la rentrée de l'anthropocene de l' @EcoleUrbaine. Une question qui dynamise complètement leurs recherches: comment penser la ville et l'urbanisation dans cette aire de l'anthropocene. Une mission qu'ils s'imposent: être acteur du debat
"
Ndlr : le contacter à l'Université de Liège en tant que chercheur ? ACT
Des repères pour orienter les décisions vers un monde plus solidaire
Résumé
Les Agendas 21e siècle locaux (A21L) sont des processus participatifs de prise de décision participatifs. Les décisions humaines sont imprégnées d’une éthique ou de valeurs et quand elles sont prises en groupe. Ces valeurs peuvent se contredire. Les valeurs du développement durable peuvent offrir aux acteurs des A21L des points de repère pour orienter leurs décisions vers un monde plus solidaire.
- L’éthique : c’est abstrait et ça décrit toujours des utopies !
- L’éthique : c’est très général et ça ne s’applique pas aux situations concrètes
- Oui, mais comment faire pour savoir quelle est la meilleure décision dans les circonstances ?
- Qu’est ce que la « moraline ? »
- Y-a-t-il quand même des balises plus précises pour prendre des décisions qui vont dans le sens du développement durable ?
- L’éthique, c’est tellement compliqué, n’est-ce pas plus sûr de se tourner vers la science ?
- Que retenir ?
Extraits
...réflexion sur un idéal ... pratique quotidienne ... vise à changer le monde ... trouver une cohérence interne entre les croyances, les valeurs, les prescriptions culturelles et les choix personnels.
Alors que la science tente de démêler le vrai du faux, l’éthique s’occupe de distinguer le bien du mal.
... tente de définir des principes universels ... L’éthique dans l’action s’inspire de ces règles générales, mais accepte les contradictions entre les valeurs morales et oblige à faire des choix. Les éthiciens appellent cela : « prendre la meilleure décision dans les circonstances » et pas « prendre la bonne décision ». ... alimenter les réflexions des personnes impliquées dans des processus participatifs
- impartiale ?
- réciproque ?
- exemplaire ?
... « bien penser » et s’exercer par la « culture psychique » ... une auto-éthique qui responsabilise ... recherche la multidisciplinarité et la complexité, intègre les émotions et la raison, la science et l’éthique
En complément
L’environnement et la santé humaine http://demarchesterritorialesdedeveloppementdurable.org/environnement-et-sante-humaine/
Pour aller plus loin...
BEAUCHAMP, A. (2006). « Éthique du développement durable ». Dans VILLENEUVE, C. (dir) Le développement durable : quels progrès, quels outils, quelle formation ?, Actes n°6, IEPF, Canada, 225 p.
CAMERINI, C. (2003). Les fondements épistémologiques du développement durable. Entre physique, philosophie et éthique, L'Harmattan, Ouverture philosophique, Paris, 143 p.
JACQUARD, A. (1998). Surconsommation / appauvrissement : l'urgence d'agir !, Conférence organisée par l’ACEF de l’Est de Montréal, Cégep Maisonneuve, Montréal, 8 septembre 1998.
JACQUARD, A. (2003). Dieu ?, Stock/Bayard, Paris, 156 p.
JONAS, H. (1998). Pour une éthique du futur, Éditions Payot et Rivages, Paris, 144 p.
MORIN, E. (1999). Les sept savoirs nécessaires à l'éducation du futur, Seuil, Paris, 129 p. [Le document a été mis en ligne par l’UNECO]
MORIN, E. (2004). La méthode 6, Éthique, Seuil, Paris, 240 p.
REEVES, H., et F.LENOIR (2003). Mal de Terre, Seuil, Science ouverte, Paris, 272 p.
Par Nicole Huybens titulaire d'une maîtrise en communication de l'Université Catholique de Louvain en Belgique et d'une maîtrise et d'un doctorat en théologie pratique, option praxéologie. Sa thèse portait sur l’analyse des aspects éthiques et symboliques de la controverse socio-environnementale sur la forêt boréale du Québec. Elle a enseigné en Belgique, en France et en Suisse, avant de devenir professeure au département des sciences fondamentales de l’Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre des programmes d’enseignement en éco-conseil. Elle est spécialisée dans l'enseignement des matières liées au pôle social du développement durable.
57 minutes
Jeremy Rifkin assure qu'en 2028, la civilisation fossile va disparaître. Pour sauver l'espèce humaine de l'extinction il faut transformer radicalement notre économie et faire une troisième révolution industrielle.
L'invité du jour : Jeremy Rifkin, spécialiste de la prospective
Après avoir théorisé la troisième révolution industrielle, il développe son grand projet de New Deal vert mondial. Il s’agit d’un véritable plan de transformation de la société pour faire face au changement climatique en construisant un monde post-énergies fossiles.
Sciences
La troisième révolution industrielle, verte et numérique selon Jeremy Rifkin
Jeremy Rifkin, qui travaille main dans la main avec les gouvernements pour promouvoir cette nouvelle donne verte - aux États-Unis, en Europe ou en Chine - propose un véritable mode d’emploi. Un manuel de transition globale qui permettrait de produire 100 % de l’électricité à partir de sources propres et renouvelables ; d’améliorer et d’augmenter l’efficacité du réseau énergétique, du réseau des transports ou du secteur du bâtiment ; d’investir dans la recherche et le développement de technologies vertes ou de proposer de nouveaux emplois nés de cette nouvelle économie.
Ouvrage : Le New Deal Vert Mondial: Pourquoi la civilisation fossile va s'effondrer, éditions Les liens qui les libèrent
Transcription : ... on peut de plus en plus se passer des terres rares pour les enr (éoliennes, solaire, voiture électrique, etc) ACT
Autres points de vue/controverse :
- https://twitter.com/MaximCombes/status/1184804856890118144
"Maxime Combes @MaximCombes · 15h Faire des marchés "les alliés de la transition énergétique" comme #JeremyRifkin constitue à la fois une erreur d'analyse grave et une impasse stratégique majeure.
Quand 1$ est investi dans les "énergies vertes", 3$ le sont dans les énergies fossiles Inchangé depuis 2015 @LaTacfi"
9Milliards
Nouveau look, rubriques inédites… Alternatives Economiques se fait moins austère, mais conserve sa rigueur et son ambition pédagogique.
...
Pour conforter le projet de Denis Clerc, lorsqu’il a créé Alternatives Economiques il y a près de quarante ans. Une ambition que l’on peut résumer ainsi : pour changer le monde, il faut d’abord le comprendre.
Journalisme d’explication
Débat d’idées
Climat, Communs globaux, Gouvernance mondiale
00:00
00:00
Utilisez les flèches haut/bas pour augmenter ou diminuer le volume.
Navigation de l’article
Un nouveau droit pour l’administration partagée de biens communs
Site officiel
Luttons ensemble contre un grand projet inutile et imposé.
Proposons de belles alternatives, pour un territoire vivant, diversifié et attractif.
L’autoroute A45, c’est quoi ?
Une deuxième autoroute Lyon Saint-Etienne
L’A45 est un projet de 48 kilomètres d’autoroute qui relierait Brignais (au sud de Lyon), à la Fouillouse (au nord de St Etienne). L’A45 serait raccordé à la voie rapide A450 existant déjà entre Lyon et Brignais. Il récupérerait l’A72 (qui part au nord de St Etienne, direction Clermont) au niveau de la Fouillouse.
Son tracé provisoire (en orange foncé sur la carte) montre que l’A45 est parallèle à l’A47 existante, qui est une autoroute gratuite.
Les alternatives à l’A45 existent !
Elles permettraient d’éviter le gaspillage de l’argent public dans un grand projet inutile et imposé, d’éviter la destruction de plusieurs centaines d’hectares de terres, de préserver un milieu naturel unique et protégé.
1. Améliorer l’A47
Entre Saint-Chamond et Saint-Etienne, à Givors, plusieurs pistes sont étudiées depuis 10 ans :
Rénover et isoler phoniquement au droit de la section de Rive-de-Gier
Terminer la « requalification » dans la traversée de Givors
Améliorer la sécurité des entrées et des sorties d’autoroute
Créer des bandes d’arrêt d’urgence et des refuges
Améliorer la régulation de vitesse, avec un vrai affichage dynamique pour coller aux exigences de sécurité du trafic, sans exaspérer les utilisateurs des heures creuses
Poursuivre les améliorations de la rocade stéphanoise tant pour les entrées et sorties d’autoroute que pour l’isolation phonique
2. Développer les alternatives à la voiture
Par les transports collectifs, par le changement de nos modes de vies
Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles psychomoteurs chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui a choisi la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.
Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans; la moitié des papillons en vingt ans; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Ce monde qui s’efface est le nôtre et chaque couleur qui succombe, chaque lumière qui s’éteint est une douleur définitive. Rendez-nous nos coquelicots ! Rendez-nous la beauté du monde !
Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection.
Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides de synthèse en France. Assez de discours, des actes.
130 576 ont signé. Objectif 320 000 !
8 Set - Rise for Climate - Journée mondiale d'action pour le climat
François dubreuil François Dubreuil (selon le support mobilisé)
Vanessa yannick erard Pays d'Aix en Transition
Marielle ROGER Top
Jean-Luc : Prendre le parti de l'anthropocène
Coralie Orléans en Transition depuis la
David Gabriel, Grenoble
Liste de personnes qui sont OK pour échanger via messenger sur la préparation / l'animation du 8 septembre notamment l'événement Parisien
Marielle Roger
François dubreuil
Coralie
...
Mobilisation réseaux sociaux
dièse "#MarchePourLeClimat"
est le hastag officiel ou #RiseForClimate
Plan du pad
- mobilisation réseaux sociaux
- Liste des villes
- Liste des organisations qui soutiennent la mobilisation
- revue de presse
- Suggestions d'actions en amont du 8
- Suggestions d'actions / d'organisation pour l'événement du 8
- Actions envisagées dans la suite du 8
Actions en aval du 8
Lo
Quelles suites envisager ?
==> des rendez vous réguliers partagés, soutenus de façon unitaire. Ex. World clean up day, arrivée tour alternatiba ... Par exemple un par mois.
==> une fédération / coordination permanente avec tous les acteurs de l'écologie, assos env, partis, enrteprises env, profesions env ...
==> la poursuite du déroulement de l'opération PRENDRE LE PARTI DE L'ANTHROPOCÈNE
https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?pRZLaQ
---> Mener un travail de "reliance" entre les organisations, collectifs, groupes d'amis pour former un ARCHIPEL CITOYEN qui respecte l'identité de chacun (et son autonomie) tout en convergeant ensemble
Voir par exemple http://colibris-wiki.org/collectif-reliance/wakka.php?wiki=PagePrincipale
PROPOSITION D'AGENDA (à compléter)
du 8 au 15 septembre 2018 : https://france.attac.org/se-mobiliser/prenons-le-controle-sur-la-finance-et-sur-notre-avenir/article/carte-et-liste-des-actions-pasavecnotreargent-du-8-au-15-septembre
du 15 septembre au 30 septembre 2018 https://fete-des-possibles.org/
27 octobre à Lille : https://www.colibris-lemouvement.org/projets/chant-colibris
le 10 Novembre à Grenoble : https://www.colibris-lemouvement.org/projets/chant-colibris
6/12: Conférence Cyril Dion et Stéphane Henry à Annecy
du 9 au 16 mars 2019 à Grenoble : Biennale des Villes en Transition
=>
partager avec son réseau ACT
Environnement
Une marche pour le climat à Paris en décembre 2015
photo archives AFP
17
La lutte contre le changement climatique sera source de croissance et créatrice de richesses, plaide un rapport d'experts internationaux publié ce mercredi, qui veut, en évaluant les gains potentiels, convaincre les Etats et les entreprises de s'engager plus activement.
26.000 milliards de dollars de gains économiques supplémentaires d'ici à 2030, 65 millions d'emplois en plus par rapport à la tendance actuelle. Un rapport d'experts internationaux publié ce mercredi veut démontrer que la lutte contre le changement climatique sera source de croissance et créatrice de richesses. Avec ces arguments sonnants et trébuchants, ils veulent convaincre les Etats et les entreprises de s'engager plus activement.
La transformation de notre modèle économique vers une économie peu émettrice de CO2 "recèle de nombreuses opportunités", avance ce rapport de la Commission mondiale sur l'économie et le climat, créée en 2013 et soutenue par d'anciens dirigeants politiques, des chefs d'entreprises ou encore des économistes.
Grâce à l'émergence de villes moins polluées, le développement d'une énergie propre, d'infrastructures et d'une agriculture plus compatibles avec l'environnement, "nous obtiendrons une productivité plus élevée, des économies et une plus grande inclusion sociale", ajoutent encore les auteurs du rapport.
Selon eux, les bénéfices d'un changement de modèle pourraient représenter 26.000 milliards de dollars de gains économiques supplémentaires d'ici à 2030, et générer 65 millions d'emplois en plus par rapport à la tendance actuelle. Les Etats pourraient également engranger 2.800 milliards de dollars de recettes par an en 2030 (soit le PIB actuel de l'Inde) en supprimant les subventions aux énergies fossiles d'ici à 2025 et en mettant en place un prix du carbone efficace, entre 40 et 80 dollars la tonne en 2020, alors qu'il est beaucoup plus faible actuellement dans les différents mécanismes mis en place ou envisagés par 70 Etats ou juridictions.
Mais "le rythme de ces transformations n'est pas assez soutenu" par rapport à l'enjeu, estiment les auteurs de l'étude, dans la lignée du discours de nombreux scientifiques. "Nous sommes à un moment charnière décisif. Les responsables politiques devraient lever le pied du frein et donner un signal clair", affirme l'ancienne ministre des Finances du Nigeria Ngozi Okonjo-Iweala, co-présidente de la Commission mondiale sur l'économie et le climat, aux côtés de du PDG d'Unilever Paul Polman et de l'ancien vice-président de la Banque mondiale Nicholas Stern.
Le rapport défend notamment une accélération des investissements dans les infrastructures durables (réseau d'énergie, de transports, d'eau, bâtiments). A ce titre, les banques multilatérales et de développement doivent multiplier par deux leurs investissements, à 100 milliards de dollars par an d'ici à 2020.
Enfin, les entreprises privées doivent aligner leurs stratégie avec l'impératif climatique et être encore plus encouragées à innover en faveur du climat, à l'image du soutien public qui a permis l'essor des énergies renouvelables ces dernières années.
Ce samedi, une journée mondiale d'action pour le climat est organisée partout dans le monde.
Clés :
Environnement Monde Economie Actualité
ndlr : ok pour l'investissement, mais pour la croissance économique, on peut avoir de gros doutes. Questionner ACT
guides de poche de l'enseignant
Un projet pour...
00999000773575 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - 371.5 - DIS
->
SOMMAIRE
déjouer la logique du conflit
- recadrage
- la technique de confusion
- l'effet miroir
- l'interprétation décalée
- la prescription du symptôme
- la riposte approbative
- les détours tactiques
Quelques phrases "picorées" :
- Être cultivé, c'est avoir construit un ensemble de connaissances et de compétences qui nous permettent d'analyser et de comprendre le monde qui nous entoure... mais aussi d'agir sur lui !
- démarche ouverte ... état d'esprit ...
- noblesse de la résistance de l'élève envers le prof => maîtriser quelques stratégies d'influence ... certaine tolérance /exubérance juvénile ... dialogue ... éthique (pas dévaloriser ni mépris ni vexations)... ménager une issue... levier du paradoxe, la non contradiction... recadrage... écoute, observation, sagacité, débrouillardise, créativité...
fiche de lecture :
- faire l'apprentissage du pouvoir éthique et faire l'éloge de la complexité maîtrisée, de la subtilité me semblent résumer ce que je tire de ce livre
- valoriser pour l'enseignement en général, notamment pour les professeurs de collège et de lycée, notamment ceux qui débutent
- question : tous ces éléments ne se retrouvent-ils pas dans la situation actuelle de plpdla de médiation auto-instituée face à des citoyens non éduqués sur l'anthropocène ? => questionner les psychologues
ACT
11 954 vues - 79 - 0
Albert Meslay, le réchauffement Climatique.
Issue du DVD "L'Albertmondialiste" (2015, Tacet, L'autre Distribution)
Albert Meslay est Albertmondialiste. L’humoriste défend, avec véhémence et conviction, un courant de pensée qui grossit et qui s’intéresse à une période qui va du Big-Bang à la fin du monde. Du début de l’écriture, « Les premiers écrits ressemblaient à des emails gravés dans la pierre et à consulter sur place » à la fin du monde, « Le jour de l’apocalypse, en un instant, les fortunes des nantis seront anéanties et les dettes des pauvres, annulées : on aura une fin du monde de gauche ! ». Albert Meslay a son avis sur tout -l’emploi, les poissons, la fin du pétrole, la mort, le réchauffement de la planète, sans oublier les dangers du cyclisme et de la retraite, la croissance des inégalités ou la littérature érotique celte -, même sur des sujets qu’il ne connaît pas. « Le droit de se tromper est un privilège qui ne doit pas être réservé qu’aux experts »
www.tacet.fr - www.albertmeslay.com
connue / https://twitter.com/JMJancovici/status/1028979198428364801
Une nouvelle façon de réfléchir en phase avec les grands changements qui caractérisent le monde contemporain
Fondé en 2011 par le sociologue Michel Wieviorka et dirigé par Laetitia Atlani-Duault, le Collège d'études mondiales est un espace intellectuel où des projets dirigés par des chercheurs internationaux se développent dans un cadre résolument pluridisciplinaire.
Il promeut de nouvelles façons de réfléchir et de travailler : la recherche du philosophe et de l'économiste, celle du médecin et du politiste, du littéraire et de l'anthropologue se nourrissent mutuellement dans la compréhension des changements qui caractérisent le monde contemporain.
3 axes de recherche
L'activité scientifique du Collège est organisée autour de trois axes qui visent à étudier ces changements, individuels et systémiques :
Nouvelles normes et institutions
Pratiques du vivre-ensemble
Subjectivités : productions et savoirs
Le fonctionnement du Collège s'articule autour de chaires, d'initiatives (incubation de programmes) et de séminaires de recherche.
Équipe
Fondateur : Michel Wieviorka
Directrice : Laetitia Atlani-Duault
Directrice adjointe scientifique : Sara Guindani
Directrice adjointe coordination, partenariats : Gwenaëlle Lieppe
Communication : Thaïs de Rodez
Coordinatrice scientifique : Marie Guérin
Responsable budget et finance : Maxime Neveux
Logistique : Gilles Desfeux / Djamila Benomari
Informations pratiques
Contact : college.info@msh-paris.fr
Adresse
Collège d'études mondiales | Fondation Maison des sciences de l'homme
54 boulevard Raspail | 75006 Paris
La mondialisation des systèmes alimentaires est entrée dans une nouvelle phase que la prospective MOND’Alim 2030, pilotée par le Centre d’études et de prospective, a cherché à caractériser. Les processus de gouvernance sont en rapide évolution, et si les règles multilatérales structurent toujours les systèmes alimentaires, ce cadre est de plus en plus concurrencé. Les régulations actuelles tendent à faire converger les politiques agricoles et les normes alimentaires, mais leur coordination reste parfois limitée. Alors que
les initiatives privées se multiplient, l’action des États se renforce dans plusieurs domaines. Cette note explique et décrit ces principales tendances.
L’association DynamOSE du Mastère Spécialisé OSE de MINES ParisTech vous a convié à son évènement annuel
En supposant qu’une prise de conscience écologique des sociétés humaines ne sera pas atteinte à temps pour échapper au principe de dissipation maximale d’énergie (Loi de Dewar ou “MEP”) qui jusqu’à présent a fait passer l’Humanité des énergies renouvelables aux énergies fossiles et à une mondialisation libérale et “croissanciste”, la conférence – débat consistait notamment à :
Interroger la pertinence de passer par la construction d’une Europe confédérale de nations souveraines (entreprises incluses) comme processus politique impulsant une démondialisation démocratiquement choisie et davantage maitrisée (processus auto-régulateur d’homéostasie) qu’un effondrement subi et violent (transition abrupte potentielle de la macrostructure “Union Européenne”) pour lutter contre le processus de criticalité auto-organisée et le principe de dissipation maximale de l’énergie auxquels est actuellement soumis le système physique dissipatif qu’est l’Europe.
Exposer de quelle manière et par quels leviers le système économique / entrepreneurial devait se transformer et se fondre dans le projet européen pour se décarboner efficacement et gérer durablement les “biens communs” au sens de Polanyi (euro monnaie commune, ressources naturelles et travail)
La soirée a été introduite et animée par Monsieur Sylvestre HUET, journaliste scientifique, spécialiste des questions énergétiques et climatiques, blogueur sur la plateforme du Monde.
Dans un premier temps, ont intervenu:
Monsieur François RODDIER, Physicien, Spécialiste de la thermodynamique de l’évolution, Institut Momentum
Monsieur Jacques SAPIR, Économiste, Spécialiste des politiques monétaires, de la souveraineté et de la mondialisation, Directeur du Centre d’Études des Modes d’Industrialisation (CEMI) de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Enseignant à l’Ecole d’Economie de Moscou, Membre étranger de l’Académie des Sciences de Russie
Puis deux spécialistes de la transition écologique et socioéconomique nous ont livré leurs clés de compréhension, analyses et conclusions :
Madame Geneviève FERONE-CREUZET, Docteure en Droit international, Pionnière de la notation sociale et environnementale des entreprises, Fondatrice et Présidente du cabinet de conseil CASABEE, co-Fondatrice associée du cabinet de conseil PROPHIL et Vice-Présidente de la FNH et du Shift Project
Monsieur Jean-Marc JANCOVICI, Ingénieur, Spécialiste du système énergétique et climatique, Développeur principal historique du Bilan Carbone® pour l’ADEME, Membre du conseil scientifique du Service de l’Observation et des Statistiques (SOeS) du Commissariat Général au Développement Durable (CGDD), Chroniqueur indépendant aux Echos, Enseignant à MINES ParisTech, Associé du cabinet de conseil Carbone 4, Fondateur & Président du Shift Project.
ndlr : terminer de visionner >2:08:50 (les questions/débat) ACT
Auteurs
CGT-e
CSP-Conlutas
laboursolidarity.
laboursolidarity.org
Solidaires (CM)
La Coredem cultive l’information partagée en tant que catalyseur d’initiatives, de réflexions critiques pour porter et élever des propositions au sein d’un large panel d’associations, de syndicats, de médias indépendants et d’instituts de recherche. Pour la Coredem, il importe de favoriser des liens privilégiés entre ces acteurs.
Lancé en mai 2009 à l’initiative de Ritimo et de la FPH (Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme), la Communauté des sites ressources pour une démocratie mondiale, la (Coredem) rassemble des organisations qui ont décidé de se fédérer, de mutualiser leurs informations et analyses et de faciliter l’accès à leurs ressources documentaires respectives.
Elles sont rassemblées par les constats communs :
- L’information est un bien commun ce qui, dans la tradition des logiciels libres, se traduit dans les concepts d’émancipation et de partage de la connaissance ;
- L’information est un bien stratégique qui se multiplie en se partageant ;
- Les techniques actuelles de l’information et de la communication multiplient l’accès aux connaissances ;
- Le partage des savoirs, l’échange d’expériences nées de l’action, la sélection d’informations pertinentes pour un changement social, tout ceci fait partie sont parties intégrantes des conditions de la démocratie.
Espace ouvert et multiple de partage des savoirs et de pratiques par et pour les acteurs de changement, ouvert aux organisations, réseaux, mouvements et médias qui font de leurs expériences, de leurs propositions et de leurs analyses, des outils libres au service de sociétés solidaires, durables et responsables.
+vidéo de présentation de Suzanne Humberset de RITIMO
L’Anthropocène : une nouvelle ère géologique pour le meilleur... et pour le pire ? / SOPHIE CHAPELLE
La fin de l’Holocène
« Nous ne sommes plus dans l’Holocène mais dans l’Anthropocène ! »,
lance le prix Nobel de chimie Paul Crutzen devant un parterre de scientifiques1
[1] Colloque du Programme international Géosphère-Biosphère à Cuernava (Mexique).
...
La thèse la plus acceptée fait commencer l’Anthropocène à la fin du 18e siècle.
Paul Crutzen avance précisément l’année 1784, date du brevet de James Watt sur la machine à vapeur, et symbole du commencement de la révolution industrielle.
...
Dans ces conditions, experts et savants vont-ils devoir prendre les commandes d’une planète déréglée ? « Une tâche redoutable attend les scientifiques et ingénieurs qui auront à guider la société vers une gestion environnementale soutenable à l’ère de l’Anthropocène », prédit Paul Crutzen.
...
« Nous nous méprenons à jouer à Dieu avec l’avenir de notre planète », alerte l’économiste australien Clive Hamilton7. « Pour les vrais Prométhéens, réguler le climat d’aujourd’hui ne suffit pas.
L’objectif est de prendre le contrôle de l’histoire géologique elle-même. »
[7] HAMILTON Clive, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.
...
Une poignée de banques internationales se partagent le gâteau des énergies fossiles
...
Des premières victoires grâce à une mobilisation citoyenne
qui va croissante
...
« Pour empêcher que la température du globe n’augmente de deux degrés Celsius, les émissions de gaz à effet de serre doivent être réduites entre 40 et 70% d’ici à 2050 et dans presque leur totalité d’ici à 2100. Si nous ne changeons pas de modèle, nous risquons la famine, le manque d’eau, des déplacement de populations et de grands conflits ». Ainsi commençait l’intervention de Rajendra Pachauri à la conférence de Lima (COP 20: vingtième conférence de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques), alors Directeur du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
...
[4] Si le but est d’éviter un réchauffement global de plus de 2oC on ne pourrait rejeter dans l’atmosphère que 565 gigatonnes de CO2. Cependant les réserves connues de gaz, de pétroles, de charbons représentent 2795 gigatonnes.
...
trouvé à https://www.coredem.info/rubrique67.html