Irrigation en Charente: un avenir en pointillés
Jean-Jacques Blanchon, président sortant de Cogest’eau: «Derrière cette problématique, il y a des familles.»
Photo archives Majid Bouzzit
Irrigation en Charente: un avenir en pointillés
Jean-Jacques Blanchon, président sortant de Cogest’eau: «Derrière cette problématique il y a des familles».
Archives Majid Bouzzit
Irrigation en Charente: un avenir en pointillés
Jean-Jacques Blanchon, président sortant de Cogest’eau: «Derrière cette problématique, il y a des familles.»
Photo archives Majid Bouzzit
Irrigation en Charente: un avenir en pointillés
Jean-Jacques Blanchon, président sortant de Cogest’eau: «Derrière cette problématique il y a des familles».
Archives Majid Bouzzit
Un jugement du tribunal administratif attendu le 9 mai pourrait balayer l’arrêté qui réglemente l’irrigation en Charente. L’organisme de gestion menace de se saborder. La préfecture temporise.
Un sacré pavé dans la mare et un retour redouté à la case départ. L’arrêté interpréfectoral qui réglemente pour les quatre départements de l’ex-Poitou-Charentes les autorisations de prélèvements d’eau destinés à l’irrigation agricole, en place depuis le printemps 2017, pourrait bien être balayé le 9 mai. Un arrêté établi sur le bassin de la Charente et de ses affluents amont, valable jusqu’en 2032.
Son annulation demandée par Nature Environnement 17, Charente Nature, la Ligue pour la protection des oiseaux et les fédérations de pêche des deux Charentes est hautement probable. C’est le sens des conclusions du rapporteur public du tribunal administratif de Poitiers qui, le 11 avril dernier, a très sèchement démonté le document élaboré en Charente par la préfecture et Cogest’eau, l’organisme unique de gestion collective, en charge de la gestion de l’irrigation dans le département. Les conclusions du rapporteur...
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