L'ACPA (Association des Cinémas de Proximité en Aquitaine) était une association fondée en 2000 qui fédérait les 5 associations départementales qui structurent l'exploitation cinématographique indépendante de proximité en ex-région Aquitaine. L'association représentait 84 établissements cinématographiques de la région[1] en 2017.
Suite à la réforme territoriale de 2015 qui a redessiné la carte des régions de France, les réseaux d'exploitation cinéma régionaux ACPA, CLAP Poitou-Charente et ALCP (Limousin) ont fusionné le 1er décembre 2017 pour donner naissance à CINA (Cinémas Indépendants de Nouvelle-Aquitaine)[2].
Missions
- interface professionnelle et force de proposition pour l'aide à l'exploitation en Aquitaine,
- coordination d'actions régionales relevant de la diffusion,
- animation des territoires,
- professionnalisation et formation du personnel des cinémas
Dispositifs ACPA
- Cinémémoire : soutenir les salles dans l'instauration de rencontres régulières autour du cinéma de répertoire. Diffusion de sept films de répertoire par saison.
- CinéQuaDoc : diffusion de documentaires sur grand écran.
- Le mois du film documentaire : développer des ponts entre les salles et les médiathèques autour de films documentaires.
- LE CLAP/les avants-programmes : favorise la diffusion de contenus de création diversifiés en avant séance, courts-métrages, documentaires, images d'archives etc.
- Journées Pro : organisation de journées de diffusions de films Art et Essai, réunions d'informations et de formations
Associations départementales Ciné Passion 24 ; ACPG (33) ; Ecrans 47 ; Du Cinéma Plein Mon Cartable (40) ; Objectif Ciné 64
Contact 7 rue des Poilus 33600 Pessac
Notes et références
1- http://acpaquitaine.com/0809/?page_id=3
2- « Les réseaux de cinémas de Nouvelle-Aquitaine fusionnent », sur http://www.lefilmfrancais.com/cinema/134847/les-reseaux-de-cinemas-de-nouvelle-aquitaine-fusionnent
source : https://www.zotero.org/herv_le_crosnier/items/itemkey/JJX8QUQA
L'IDPF, pour International Digital Publishing Forum, se charge de promouvoir et de développer le format standard du livre numérique, l'EPUB. Et il se trouve que ce dernier a toujours été très proche du web, aussi bien au niveau du design que de la technique. L'IDPF a donc prévu d'intégrer le W3C, le World Wide Web Consortium, l'organisme de standardisation du web. Mais certains membres de l'IDPF sont circonspects...
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brevet RAND, pour Reasonable and Non-Discriminatory
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Bill McCoy revient sur les accusations relatives à la propriété intellectuelle : les apports au format EPUB des membres de l'IDPF étaient placés, au sein de l'IDPF, sous un brevet RAND, pour Reasonable and Non-Discriminatory, qui accorde au détenteur des droits de propriété intellectuelle, mais l'invite à accorder des licences pour un montant juste et non prohibitif. Il y a deux ans, rappelle Bill McCoy, l'IDPF avait démarré les procédures pour que ce système soit abandonné au profit d'une absence de droits sur les contributions, « pour que l'EPUB reste gratuit et ouvert ».
Le directeur exécutif précise que l'autorisation des membres accorde « une licence non exclusive » au W3C : ils conservent donc leurs droits sur les contributions, sauf si leur utilisation est indispensable aux développements futurs du format.
Bill McCoy évoque également sur le processus qui a mené au rapprochement entre W3C et IDPF, qui lui semble tout à fait démocratique.