Jean-Luc : "Demain samedi 2 novembre 2019 #Concert de Guvetc…" - 1 novembre 2019 à 23:53 - Framapiaf
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Jean-Luc @JLPM@framapiaf.org
Demain samedi 2 novembre 2019
.#Concert de Guvetch et #Bal BULGARE à #marthon
à la #Chapelle-porte par l'#association #LaTourSaint-Jean
.#CultureBulgare #Chant #GroupeVocal dans un lieu d'#Histoire à #ArchitectureMédiévale
La commission nationale du débat public rappelle dans une lettre adressée à Matignon datée du 15 décembre qu'un débat public ne peut être un outil à la solde du pouvoir. Si l’exécutif ne respecte pas les règles, elle menace de se retirer du jeu.
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rappelle fermement ses principes et son indépendance.
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un débat public ne peut être un outil à la solde du pouvoir : la commission "veillera à ce que les réunions du "grand débat" ne soient en aucun cas" des "meetings politiques", ni pour le gouvernement, ni pour la majorité", écrit-elle. La commission rappelle qu'elle est neutre, indépendante et qu'elle seule décide de la méthode pour organiser le débat et en restituer les conclusions.
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Après avoir mené, elle aussi, une série de consultations préalables, la CNDP met en garde l’exécutif : la défiance est forte. Elle lui déconseille d’évoquer "des lignes rouges"et de persister à employer des termes comme "pédagogie", ou "explication" au risque de vider les salles ou de les radicaliser. Elle réclame du gouvernement qu’il "s’engage à répondre par écrit, de manière argumentée et détaillée à toutes les positions et propositions" et à ne prendre pendant les deux mois et demi de concertation aucune décision qui n’en tienne pas compte.
En cause notamment, la réunion convoquée mardi 18 décembre au soir à l’Elysée pour préparer le grand débat national, en présence du Premier ministre, qui fait bondir certains membres de la commission, selon franceinfo. L’un d’entre eux évoque une "réunion jupitérienne" en contradiction absolue avec les principes de l’institution. "Emmanuel Macron ne peut pas en faire une affaire personnelle", s’indigne l’un des représentants de la société civile qui y siège.
Emmanuel Macron envoie pourtant le signal parfaitement contraire quand il déclare comme il l’a fait hier que finaliser le débat public et en clarifier les règles avant le Conseil des ministres impose qu’il n’aille pas à Biarritz. C'est une "priorisation normale de mon agenda" a déclaré le chef de l'État, qui se fait remplacer par Jean-Yves Le Drian, son ministre des Affaires étrangères, à la réunion de préparation du G7.
Sujets associés
Gouvernement d'Edouard Philippe Emmanuel Macron "Gilets jaunes" Politique Eco / Conso Transports
ndlr :
- sur la notion de neutralité, affirmer "être neutre" n'a aucun sens. cf travaux de recherche sur ce thème
- il a été dit (ailleurs ?) que la cndp dans un débat précédent avait fait émerger des éléments annonciateurs d'un risque de type "gilets jaunes" transmis au gouv macron/phiippe qui n'en avait tenu aucun compte => chercher réf ACT
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https://www.lejdd.fr/Politique/taxe-carbone-le-gouvernement-etait-averti-du-risque-de-grogne-3821522
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info déjà éclairante de fin juin 2018 : https://reporterre.net/Le-debat-public-sur-l-energie-a-produit-des-conclusions-utiles-a-condition-que
CHÔMAGE : LA FIN DU MODÈLE FRANÇAIS ?
magazines d'actu | 64min | tous publics
La réforme de l'assurance-chômage est l’un des dossiers chauds de l’exécutif en cette rentrée. Alors que se sont achevées cette semaine les rencontres bilatérales entre le gouvernement et les partenaires sociaux, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a confié que le gouvernement « n'avait aucun tabou », y compris sur la dégressivité des allocations. Cette idée de dégressivité a été avancée récemment, pour les cadres, par le député LREM Aurélien Taché. Mais le gouvernement pourrait même aller plus loin : « Ce n’est pas forcément un sujet de ‘cadres’, a glissé la ministre. On est un des rares pays d'Europe qui indemnise les demandeurs d'emploi deux ans, trois ans pour les séniors, sans dégressivité ».
Supprimé par le PS en France en 2001, l’intérêt de ce système dégressif fait débat. La CFE-CGC s'est insurgée contre cette mesure, de même que FO et la CGT. Quand dans l’opinion, selon un récent sondage Elabe, si 67 % des Français accueilleraient favorablement un tel dispositif pour les seuls cadres, ils seraient moins nombreux à soutenir une dégressivité qui s'appliquerait à tous (55 %). Et ils seraient partagés sur l'effet d'une telle mesure, 54 % considérant qu'elle accélérerait le retour à l'emploi, 46 % pensant le contraire.
Dégressivité du montant versé, réduction de la durée d'indemnisation ou limitation dans le temps des règles de cumul allocations/revenus du travail : dans un entretien au Monde publié ce vendredi, Muriel Pénicaud a rappelé qu’elle n’est « attachée à aucune piste en particulier » pour rééquilibrer les comptes de l’assurance-chômage, tout en précisant que « la réduction de la dette de l’assurance-chômage est une condition de viabilité de l’Unédic ».
Ce faisant, la ministre du Travail n'a fait que raviver les craintes des partenaires sociaux qu'au-delà des objectifs politiques affichés - lutte contre la précarité et meilleur retour à l'emploi - ce soit le prisme budgétaire qui domine. Selon eux, l'exécutif viserait une fourchette de 800 millions à 1 milliard d'euros d'économies supplémentaires par an dans les dépenses de l'Unédic. « Une fois de plus, on prend le problème à l'envers », a affirmé Jean-Michel Pottier pour la CPME. « Nous sommes d'accord pour négocier », a déclaré pour sa part Laurent Berger, le numéro un de la CFDT, mais pas question « de faire moins sur l'indemnisation des demandeurs d'emploi que ce qui est fait aujourd'hui ». « Si la logique est purement budgétaire, ce sera ‘niet’ », a-t-il ajouté.
Les partenaires sociaux doivent retrouver la ministre du Travail le 17 septembre pour débuter la phase de concertation. Alors quelles sont les principaux axes de cette réforme ? Qu’est-ce que la dégressivité de l’allocation chômage ? Comment fonctionnent les systèmes d’assurance chômage en Europe ? Rendre les indemnités dégressives serait-il efficace en termes de retour à l'emploi ? Enfin pourquoi certains secteurs n'arrivent pas à recruter malgré de nombreuses offres ?
Invités :
- Bernard Vivier, directeur de l’Institut Supérieur du Travail
- Fanny Guinochet, journaliste spécialiste des questions économiques et sociales à L’Opinion
- Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, directeur adjoint au Département Analyse et Prévision
- Robin Rivaton, économiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol.
Transcription :
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Magali Pontal, assistante maternelle à mi-temps, conflit entre patronnat et syndicats de salariés, ... c'est très "Bercy" plus que "ministre du travail" ... La permittence sera réformée : enchaînement de contrats de travail très courts et de périodes de chômage ... malus pour les cdd bonus pour les cdi ? ... besoins de plus de flexibilité du travail (fondapol) ... si les chômeurs sont plus contrôlés, il faut que les entreprises acceptent le bonus/malus ... en espagne (16,1% de chômeurs), diminution au bout de six mois ex xavier martinez rodriguez webmarketing, 35 ans à Atocha, il l'ignorait 175€/semaine ... la vraie réponse est dans l'aide, la formation, l'accompagnement ... mais il faut faire des économies que dans deux ans le système d'assurance chômage ne perde plus d'argent ... crée des files d'attente car prend le travail des moins qualifiés, ce n'est donc pas la bonne solution ...
difficile d'isoler les résultats quand on a bougé plusieurs paramètres ... assurance là en cas de coup dur dans une période difficile ... /baisser l'indemnité des cadres c'est pas la mission de l'assurance chômage ... ensemble de mesures, coûteuse pour les entreprises, pour les salariés, les retraités (csg) ... le marché de l'emploi est spécifique rester universel ?
ya 5 millions de chômeurs en france, >100 000 à 180 000 emplois à pourvoir dans l'hôtellerie/restauration alain fontaine resto le mesturet paris, recruter des migrants, demandeurs d'asile ? Pour aurélien taché lrem ... mieux intégrer les réfugiés ... étude pôle emploi 3,9 millions d'offres ont abouti 5% des offres n'ont pas abouti /manque d'attractivité ou autre ... miser sur la formation mais salaires doivent correspondre aux qualifications ... en centre ville, effet de coût des loyers où ya ces emplois -> effets de rétention pas assez pris en compte. 2è point aides matérielles tickets cantines, etc, non mesurées, facteur explicatif
ya pas que l'argent, ya la formation, la grande distrib a créé des écoles /métiers de bouche, la promotion sociale ex rachat du bar, dynamique collective
fanny g : /droit refus emploi : théoriquement oui, mais le ctrl 1500 contrôleurs augmente, plan pauvreté passer au crible le mille feuilles des aides sociales, compliqué, trouver les bons arbitrages,
/prime d'activité coûte cher car marche bien a des freins, le tx de recours a augmenté
Q : 1- licencié à 57 ans n'a pas retrouvé un travail, être au chômage n'est pas un cadeau
/seniors, très difficile, pbt de dérogation, patienter jusqu'à la retraite
/rapport cese évolue car différent dans autres pays, le regard s'améliore
tendance fatale, <<retour à l'emploi = trappe,
2- que des mesures pour les derniers de cordée (Anna)
/peur risque, jeu politique pas si évident
/cadres cotisent plus que reçoivent ! mais ont indemnités de chômage élevés >6k€ quelques 100 personnes ! et 20000 à >4k€
3- chasser le chômeur professionnel
certains optimisent mais pas énorme 50% non indemnisés ! et peu ont 2 ans d'indemnités !
/pauvreté /chômeur tx >>élevé
4-plafonner les allocations ?
assurance mais cotisations transférées vers la csg payé /retraités aussi