... composée de hauts magistrats, de personnalités qualifiées d’horizons différents, de représentants d’associations de consommateurs agréées ainsi que de représentants de fédérations professionnelles (Arrêté du 25 mars 2019).
Elle a pour rôle d’évaluer l’activité des médiateurs de la consommation et d’en contrôler la conformité avec les exigences du Code de la consommation relatives à la médiation des litiges de consommation. Elle est chargée d’établir et de mettre à jour la liste des médiateurs qu’elle notifie auprès de la Commission européenne.
Clé de voûte du dispositif de médiation de la consommation, elle permet de garantir aux consommateurs l’accès à des médiateurs de qualité en termes d’indépendance et de compétence.
Ndlr : connue / https://www.energie-mediateur.fr/debat-liberalisation-des-marches-quels-benefices-pour-les-consommateurs/
SOMMAIRE DU N° 4 Éditorial (Marie Rousseau) P 2
Questions autour de l'évaluation de la médiations familiale (Claire BONNELLE) P3
Autour de ce texte nos réflexions P6
Synthèse concernant l’évaluation de la médiation familiale proposée par la CNAF (O. Hayreaud) P9
Textes venus d'ailleurs P15
Notamment "évaluation de la médiation" avec remarque de JLP page 8 et avant.
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Source de vexation, de discrimination, la note est souvent mal vécue par les élèves, voire par une partie des enseignants et des pédagogues. Quels sont les exemples de systèmes scolaires ayant abandonné l’évaluation sous cette forme ? Pour quels résultats ?
Les notes sont-elles sources de stress et d'angoisse pour les élèves ou peuvent-elles leur permettre d'être confronté à leurs capacités réelles ?
Les notes sont-elles sources de stress et d'angoisse pour les élèves ou peuvent-elles leur permettre d'être confronté à leurs capacités réelles ? © Getty / Imgorthand
Faut-il envisager son existence sous le règne de l'évaluation permanente ?
Dans notre vie professionnelle, nous pouvons être amenés à voir notre travail, nos compétences, jugés par d'autres, ou à juger ceux des autres. Sur nos téléphones, nous avons la possibilité, avec des étoiles, avec une note, d'évaluer la qualité du service que nous avons utilisé, du bien que nous avons acheté et même de partager notre avis sur les réseaux sociaux. Des réseaux sur lesquels nous sommes également invités à évaluer ce que publient nos amis, nos relations ; le nombre de J'aime étant souverain en la matière.
9 adultes sur 10 favorables à l'évaluation traditionnelle des élèves
Et pour cause : nous avons été conditionnés tout au long de notre scolarité, univers dans lequel nous sommes constamment évalués. Une évaluation qui s'exprime par la note, généralement de 1 à 20.
La notation est un système créé au XVIème siècle par les collèges jésuites tournés vers la sélection des élites, et institué officiellement sous la IIIème République en 1890. Si beaucoup ont grandi avec l'angoisse de la note, rares sont ceux qui s'y montrent défavorables. A chaque tentative de réforme de la notation, les défenseurs de cette institution se font entendre : 9 adultes sur 10 interrogées dans les enquêtes se déclarant favorables à l'évaluation traditionnelle des élèves.
Pourtant, de nombreuses études et recherches menées dans ce domaine démontrent le caractère souvent subjectif et inégalitaire de la notation, qui bénéficie généralement aux catégories socio-professionnelles favorisées. La note est souvent source de dilemme entre enfants et parents, parfois entre parents et enseignants, et plutôt synonyme de découragement que d'encouragement pour ceux qui sont mal notés.
Devons-nous persévérer dans ce système dont on connaît les limites ? Ou devons-nous envisager sa modification, sinon sa suppression ?
Les invité·e·s du Débat de midi
Pierre Merle, professeur de sociologie à l'École supérieure du professorat et de l'Education (ESPE) de Bretagne, auteur de Les pratiques d'évaluation scolaire (PUF) (en duplex depuis les studios de France Bleu Breizh Izel à Rennes)
Laetitia Ferrari, professeure de lettres en collège privé sous contrat en Seine-et-Marne, coach, formatrice d'enseignants, membre de l'équipe de Sciences cognitives appliquées à l'apprentissage et à la formation dirigée par Jean-Luc Berthier.
Loys Bonod, professeur de lettres classiques en lycée à Paris, blogueur sur laviemoderne.net
Et par téléphone, Raphael Pasquini, professeur formateur spécialisé en évaluation certificative des apprentissages, en évaluation formative et dans les processus d’orientation scolaire, Haute École Pédagogique du canton de Vaud (Lausanne, Suisse).
Programmation musicale
Halo MAUD - Wherever
JUNGLE - Happy man
ARTHUR H - J'ai dix ans
L'équipe
Didier Si Ammour Chroniqueur
Frédéric Milano Réalisateur
Martin Broyer Attaché de production
Fanny Cohen Moreau Attachée de production
Nathan Gallo Attaché de production
Gaétan Lévy Stagiaire
Aurore Mancip Stagiaire
Mots-clés :
Idées éducation école enfants
Comment réussir à valider l’envie du marché et l’usage réel d’un produit ou d’un service alors même que ce produit n’existe pas ? Plus encore, comment le faire sans dépenser une petite fortune ! Je vous propose de vous dévoiler une pratique qui permet de résoudre cette équation, pratique nommée le Pretotyping. Elle permet cette validation, procure une mesure tout en engageant un niveau de dépense très faible. Elle a été inventée par un entrepreneur et un intrapreneur à succès, Alberto Savoia. Il est notamment à l’origine du célèbre Google Adwords, un produit qui génère plus de 15 Milliards de Dollar par an !
accompagnement, formation
conclusion : pas grand chose ? relire ACT
Par Sarah Sermondadaz @datisdaz
Le 22.12.2016 à 14h39
Le gouvernement a annoncé la création d'une plate-forme scientifique avec l'Inria afin d'évaluer la responsabilité et la transparence des algorithmes. Entretien avec Nozha Boujemaa, directrice de recherche Inria et chef de projet TransAlgo.
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Les technologies big data provoquent un climat de suspicion (cf. la publication d'essais comme L'Homme nu de Marc Dugain, ou encore La vie algorithmique d'Eric Sadin) qu'il nous faut démystifier. C'est la mission de Transalgo : apporter une aide à la décisions aux régulateurs dans le cadre de la loi pour une république numérique, et émettre des recommandations aux concepteurs. Mais avant tout il faudra définir ce que l'on appelle un logiciel transparent, neutre, loyal, ou équitable, notions juridiques à la base.