pour ceux qui ont besoin d'une plateforme de visioconférence en lançant simplement un navigateur web récent (pas besoin de télécharger un plug-in ou une application)
*Quand c'est possible, privilégier les audioconférences avec / ex. :
Skeptikón est une plateforme de vidéos en ligne autour de la zététique, de l'esprit critique, du scepticisme de manière plus générale.
Cette plateforme est une instance de Peertube, une solution d'hébergement décentralisé de vidéos et basée sur du logiciel libre. Elle ne contient aucune publicité et ne trace pas vos activités dessus (contrairement à d'autres plateformes bien plus connues). Elle est mise à disposition bénévolement et à titre gracieux.
Le nom Skeptikón (σκεπτικόν) est la forme neutre de l'adjectif en grec ancien σκεπτικός / σκεπτική / σκεπτικόν, signifie « Qui observe, qui réfléchit. ». Le choix du neutre vise à être inclusif, indifféremment du genre.
Si vous réalisez des vidéos autour des sujets cités plus haut et que vous souhaitez les voir apparaître sur la plateforme, je serais ravi que nous prenions contact pour en discuter par mail : florent.peertube@zeteo.me.
C’est dans l’air du temps et c’est tant mieux. Comme à chaque fois que Twitter (ou Facebook) se signale par ses errements manifestes (et comment pourrait-il en être autrement ?), s’ensuit une vague de migrations.
Voici par exemple Laura Kalbag. Cette designeuse britannique qui est la moitié de indie.ie avec Aral Balkan et qui a publié le guide Accessibility for everyone a récemment pris ses distances avec Twitter pour expérimenter Mastodon au point de piloter sa propre instance…
Elle explique ses raisons et sa démarche au long de deux articles successifs sur son blog que Framalang s’est fait un plaisir de traduire tous les deux pour vous : What is wrong with Twitter et What is Mastodon and Why should I use it.
...En bref, le problème avec Twitter c’est le capitalisme de surveillance. Au cas où ce terme vous serait étranger, le capitalisme de surveillance est le modèle économique dominant en matière de technologie grand public. La technologie nous traque, observe nos actions : c’est l’aspect surveillance. Cette information est alors utilisée afin de mieux nous vendre des biens et services, souvent par le biais de la publicité « pertinente », c’est l’aspect capitalisme. Pour dire les choses clairement, Aral Balkan appelle cela le people farming que l’on peut traduire par « élevage humain ».
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