Le mensonge dans le couple : faut-il se mentir ou tout se dire ? Mentir par omission ? La vérité est-elle toujours bonne à dire dans la vie à deux ? Pourquoi la découverte d’un mensonge est-elle souvent vécue comme un drame ? Faut-il plutôt cultiver la transparence ou le goût du secret ?
Aujourd'hui dans Grand bien vous fasse !, Ali Rebeihi se demande s'il est bon de toujours tout se dire en couple...
© Getty / Eugenio Marongiu
Dans Le Mensonge, la pièce de Florent Zeller, Pierre Arditi nous dit :
Si tout le monde se disait la vérité, il n’y aurait plus aucun couple sur Terre.
Imaginez deux secondes, que nous disions constamment la vérité à notre moitié, sans que l’on puisse s’en empêcher… :
« Tu as pris dix kilos et ça te rend très moche ».
« Chéri, désolé du retard, je t’ai trompé avec l’agent immobilier »
« Notre fils aîné n’est pas de toi ».
« Ton ragoût est tout simplement dégueulasse ».
Évidemment, cette transparence absolue serait invivable…
Mais alors doit-on tout se dire dans le couple ?
Quelles sont les vérités bonnes à dire, et les mensonges par omission bénéfiques ? Comment dire la vérité sans blesser ?
Pourquoi la découverte d’un mensonge est-elle souvent mal vécue ? Comment se réconcilier après la découverte d’un mensonge ?
Peut-on établir une confiance durable dans le couple, sans devoir tout se dire ? Et si oui, comment ?
Pour aborder la question, Ali Rebeihi reçoit :
• Lisa Letessier, psychologue clinicienne, auteur de l'ouvrage Le mensonge dans le couple (éditions Odile Jacob)
• Fabienne Kraemer, psychanalyste, auteur du livre Solo/No solo. Quel avenir pour l'amour ? (aux éditions PUF) et 21 clés pour l'amour slow (aux éditions PUF également)
À l'antenne également, la chronique "Choses Vues" de Sophie Cadalen
Une émission en partenariat avec Femme Actuelle (avec Marie-Laure Zonszain)
Programmation musicale
DALIDA
PAROLES PAROLES
ODETTA HARTMAN
YOU YOU
2018
Mots-clés :
Vie quotidienne psychologie Amour jardin secret (espace psychique)
Auteurs :
Xavier Poux, Chercheur associé
Pierre-Marie Aubert Chercheur Iddri, Coordinateur de l'initiative Agriculture européenne
Les signaux alarmants sur la nécessité d’une transition du système agricole et alimentaire en Europe s’accumulent depuis plusieurs années et l’attente sociale pour une telle transition s’exprime de plus en plus nettement. Comment peut-on nourrir l’Europe - et la nourrir bien - tout en préservant la nature et le climat ? Tel est l'objet de l'étude dont ce papier résumé les principales conclusions.
Messages clés :
- Les régimes alimentaires actuels, trop riches et déséquilibrés (trois fois trop de sucres, deux fois trop de protéines, déficit en fruits et légumes et en fibres) :
contribuent à l’accroissement de nombreuses affections (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires) ;
conduisent l’Europe à dépendre du reste du monde pour se nourrir, à travers l’importation de 40 millions de tonnes de protéines végétales, représentant pus de 20 % de sa surface agricole utile et dépassant de loin le niveau de ses exportations. - Le scénario TYFA repose sur l’abandon des pesticides et des fertilisants de synthèse, le redéploiement des prairies naturelles et l’extension des infrastructures agroécologiques (haies, arbres, mares, habitats pierreux) et sur l’adoption de régimes alimentaires plus sains (moins de produits animaux, davantage de fruits et légumes).
- Malgré une baisse induite de la production de 35 % par rapport à 2010 (en Kcal), ce scénario :
satisfait aux besoins alimentaires des Européens tout en conservant une capacité d’exportation sur les céréales, les produits laitiers et le vin ;
conduit à une réduction des émissions de GES du secteur agricole de 40 % par rapport à 2010 ;
permet de reconquérir la biodiversité et de conserver les ressources naturelles. - L’extensification de l’élevage herbivore joue un rôle clé dans le scénario. Elle permet le maintien et le redéploiement des prairies naturelles, maximisant la production de légumineuses spontanées et donc la gestion de la fertilité des sols, et contribue à la reconquête de la biodiversité, à la lutte contre le changement climatique et à une production animale de qualité.
Connu / MEL
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Sujet : Flash info IESF N°81 : bilan PMIS de la campagne 2017-2018, une nouvelle représentante IESF à la Cti, fête de la science 2018…
Date : Thu, 6 Sep 2018 16:13:17 +0200
De : flashinfo@iesf.fr
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Les bioénergies : une alternative au pétrole ?
Pour présenter les technologies, enjeux et applications concernant la bioénergie, ASPROM vous propose de participer les 10 et 11 octobre à Paris à un séminaire rassemblant de nombreux experts français qui présenteront les derniers développements en matière de biomasse qui contribuent à la meilleure performance énergétique.
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10/10/2018 09:00 à 18:00 au 11/10/2018 09:00 à 18:00
La bioénergie s’appuie sur l’utilisation de la biomasse : cultures à vocation énergétique (miscanthus), déchets et sous-produits agricoles (paille de céréales) et forestiers, fumier et biomasse microbienne. Tous ces matériaux permettent la production d’une énergie renouvelable.
Solution d'avenir, la biomasse constitue la 1ère source d'énergies renouvelables produites en France, devant l'énergie hydraulique, éolienne et géothermique.
Pour présenter les technologies, enjeux et applications concernant la bioénergie, ASPROM vous propose de participer les 10 et 11 octobre 2018 à Paris à un séminaire rassemblant de nombreux experts.
Programme et Inscription
http://www.asprom.com/biotech/programme.pdf
ILS NOUS SOUTIENNENT dga - gifas - dge - GIM
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ndlr : 1ère enr biomasse ? vérifier ACT
Comment réussir sa séparation ? Évidemment, il n’est pas question d’angélisme, je sais parfaitement ce qu’est un divorce, je me souviens à quel point ça peut faire mal, à quel point ça peut vite tourner au règlement de comptes. N’empêche, je reste persuadée que ce n’est pas une fatalité.
Parfois, les rencontres amoureuses ne durent pas et chacun reprend son cheminParfois, les rencontres amoureuses ne durent pas et chacun reprend son chemin © Getty / Klaus Vedfelt
Mon père s’est marié trois fois. Il a eu quatre enfants de son premier mariage, il m’a eue moi avec sa deuxième épouse, puis il a élevé les deux fils de la troisième. Ma mère, elle, a refait sa vie avec un homme qui avait la garde de ses trois enfants. Gamine, quand on me demandait si j’avais des frères et sœurs, je répondais : « Ça dépend. Vous avez du temps ? »
Après leur divorce, mes parents se sont cordialement évités pendant vingt ans. Chaque fois qu’ils se retrouvaient dans la même pièce, j’étais en alerte maximale, toutes antennes dehors, prête à servir de bouclier humain en cas de reprise des hostilités. Je n’étais pas seulement leur fille, non, j’étais une émissaire de l’ONU, un casque bleu en mission secrète.
Et puis, à la naissance de ma fille aînée, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai fait remarquer que ça allait être un peu relou, toutes ces fêtes, tous ces anniversaires à multiplier par deux pour ménager les susceptibilités. Alors ma mère, cette sainte femme, a mis ses rancunes dans sa poche et un mouchoir par dessus. On s’est mis à célébrer Noël tous ensemble. On s’est même retrouvés en vacances. La guerre des Rose était enfin finie et j’ai cessé de protéger mes parents.
La vie étant ce qu’elle est, moi aussi je me suis séparée du père de mes Ados. Ma fierté, c’est qu’il ne nous a pas fallu vingt ans pour réaliser qu’on peut ne plus s’aimer mais s’aimer bien quand même. On n’a pas réussi en un clin d’œil, j’avoue, on n’est pas des héros de cinéma, mais on a réussi. On s’appelle, on se voit, on fête Noël ensemble. On est redevenus amis. Je sais que certains trouvent ça bizarre. Sauf que pour moi, la famille, c’est exactement ça : on s’adapte, on s’adopte, on s’invente.
Au programme, des spécialistes de la séparation et de ces questionnements :
- Philippe Rebbot, comédien, co-auteur et co-réalisateur avec Romane Bohringer du film « L’Amour Flou »
- Adeline Daste, avocate à Versailles, spécialiste en droit de la famille et autrice du livre « Divorce, séparation de corps et de fait », aux éditions Dalloz.
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Sabrina de Dinechin, médiatrice familiale auteure de « Rester parents après la séparation », chez Eyrolles.
La chronique de Sabrina Champenois en partenariat avec Libération : la bouée en plastique.
Programmation musicale :
"Arc-en-ciel" Polo & Pan
"Tieduprightnow" Parcels
"Porque te vas" Jeanette
L'équipe
Marie Sauvion Productrice
Céline Illa Chargée de réalisation
Sophie Hoffmann Attachée de Production
Marion Philippe Attachée de production
Colin Gruel Stagiaire
Audrey Abraham Stagiaire
Mots-clés : Culture Amour divorce Société
Transcription
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la coparentalité positive
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45: la médiatrice familiale
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congruence, empathie, assertivité (rester en harmonie avec soi-même, dire ce qui est important pour soi sans détruire l'autre, pouvoir exprimer ce qu'on a au fond de soi et rester surtout dans la bienveillance, être aligné avec soi-même, tout en étant ouvert à l'autre)
47:07 Chronique tendance avec partenaire Libération
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terminer la transcription, billet /mediation.i avec fichier baladodiffusé ACT
L’empathie a très bonne réputation. Mais comme de nombreuses aptitudes cognitives et émotionnelles, elle est sujette à des biais.
Mal gérée, l’empathie peut être contre-productive, paralysante.
Des travaux de recherches récents montrent également que c’est une capacité relativement fragile, qui peut s’allumer et s’éteindre très rapidement, et que nous avons tendance à entrer en résonance émotionnelle avec les membres de notre groupe.
Culture
Tout le monde est-il capable d’empathie ?
Alors comment fonctionne la résonance empathique ? Qu’est-ce qui fait que certaines personnes ont de l’empathie et d’autres moins ?
Dans les professions médicales ou humanitaires, la capacité d’empathie peut s’avérer à la fois être une force et une faiblesse. Comment trouver le juste milieu ?
Et quand l’empathie devient trop envahissante que faire? Peut-on apprendre à la gérer ?
En partenariat avec Cerveau et Psycho
14h10
La une de la science
Par Axel Villard
Les invités
Delphine Grynberg
maitre de conférences en psychologie de la santé
Sébastien Bolher
Journaliste