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PÔLE EMPLOI, ACTEUR DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
En Auvergne-Rhône-Alpes, Pôle emploi noue des partenariats innovants avec les acteurs de l’écosystème emploi pour travailler en synergie sur l’implantation d’entreprises et la création d’emplois.
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Le club RH de Pôle emploi Auvergne-Rhône-alpes, qu’est-ce que c’est ?
Pôle emploi Auvergne a fait évoluer son club RH pour l’ouvrir en direction de l’ensemble des acteurs de l’écosystème emploi : Branches professionnelles, OPCA, Organismes de formation et aussi des différents acteurs du développement économique.L’objectif : ouvrir de nouveaux espaces d’interactions dédiés aux différents partenaires en charge de la création d’emploi et de l’attraction de nouveaux emplois sur le territoire.
Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien : Le club RH de Pôle emploi Auvergne-Rhône-Alpes, qu’est-ce que c’est ?
https://www.pole-emploi.fr/region/auvergne-rhone-alpes/informations/le-club-rh-de-pole-emploi-auvergne-rhone-alpes-qu-est-ce-que-c-est--@/region/auvergne-rhone-alpes/article.jspz?id=695031 -
Un partenariat unique en France !
Depuis 2006, L’ADERLY (Agence de Développement Economique de la Région Lyonnaise) et Pôle emploi Auvergne-Rhône-Alpes sont associés afin d’accompagner et de répondre aux besoins en matière de recrutement des entreprises françaises ou étrangères qui ont un projet d’implantation sur l’aire économique lyonnaise.A chaque étape du projet et du recrutement, l’expertise des équipes de l’ADERLY et de Pôle emploi est engagée. De la connaissance du secteur à la présélection des candidats en passant par l’analyse des besoins, les entreprises sont accompagnées et conseillées.
Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien : Un partenariat unique en France !
https://www.pole-emploi.fr/region/auvergne-rhone-alpes/informations/un-partenariat-unique-en-france--@/region/auvergne-rhone-alpes/article.jspz?id=697851
ndlr : accompagner et conseiller ne sont-ils pas contradictoires en terme de posture de tiers ? cf TdM
Chercheur militant et essayiste, Benoît Borrits s’est spécialisé sur les coopératives, dans lesquelles il perçoit une alternative possible au capitalisme. En 2015, il publie « Coopératives contre capitalisme » (Syllepse), avant de récidiver en 2017 avec « Travailler autrement : les coopératives » (éditions du Détour). Il est par ailleurs animateur de l’association Autogestion. Il vient de sortir « Au-delà de la propriété : pour une économie des communs », aux éditions La Découverte, préfacé par Pierre Dardot, un des grands spécialistes de la question des communs. Il revient avec nous sur cet ouvrage et sur ses solutions pour sortir du dilemme entre économie de marché et étatisation.
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Le phénomène des reprises d’entreprises par les travailleurs, que ce soit en Argentine ou en Europe (Fralib devenu Scop-TI, par exemple), relève de la même logique : les utilisateurs des outils de production contestent aux propriétaires le droit de fermer une usine et entendent bien poursuivre leur activité productive.
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Deux formes de coopératives existent à ce jour selon la nature des sociétaires : la coopérative d’usager.e.s et la coopérative de travail.
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C’est donc la combinaison de ces deux communs, les communs productifs (correspondant aux entreprises actuelles) et les communs sociaux qui permettent d’envisager un dépassement de la propriété grâce à un équilibre des pouvoirs.
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Le principe de base de cette économie des communs est que ce sont les citoyen.ne.s, qui peuvent être parfois en position de salarié.e.s, parfois en position d’usager.e.s, qui codécident. Donc, les citoyen.ne.s seront les acteurs de la transformation sociale et non l’État et/ou quelque parti d’avant-garde.
Terre de Liens se félicite et soutient la proposition faite par une cinquantaine de juristes et chercheurs de subordonner juridiquement, dans la Constitution, la défense de la liberté d’entreprendre et de la propriété privée à la défense de l’intérêt général. Dans ce sens, Terre de Liens salue l’initiative d’élus appartenant à plusieurs groupes politiques (PCF, FI, PS, LREM, MODEM) menés par le député Dominique Potier d’amender le projet de loi constitutionnelle pour insérer une référence aux « biens communs » dans la loi fondamentale française.
// Ne pas abandonner le bien commun //
// Le foncier exemple d’une régulation nécessaire, mais à renouveler //
Contact presse :
Tanguy MARTIN
- 33 (0)6 42 68 97 31
t.martin@terredeliens.org
Est-ce que les gestes écologiques individuels suffisent pour enrayer la destruction de la planète ? "Certainement pas", écrivait l'écrivain américain Derrick Jensen dans un texte provocateur en 2009. Faut-il alors baisser les bras ? "Non plus" répond l'écologiste Cyril Dion. Explications.
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Pour Cyril Dion, ces petits gestes sont intéressants à partir du moment où :
1 - Ils créent une conversation
... qui potentiellement ensuite peut amener à un changement d'imaginaire, un changement de représentation des choses. Quand vous dites que vous devenez végétarien, quand vous dites que vous allez en vélo au boulot, c'est l'occasion de raconter une histoire qui peut se propager, au point que des villes peuvent se dire "on va faire 1400 km de piste cyclables" et on va faire plus de place au vélo
2 - Ils sont le début de la révolution
J'arrête d'être prisonnier de ce système où je dois simplement aller travailler pour ramener un salaire (être un bon petit soldat de la machine productiviste et consumériste) et je me dis « Non je suis sur cette planète pour faire quelque chose qui me passionne, pour exprimer quels sont mes talents et pour faire quelque chose qui est utile et qui participe à construire un monde dans lequel j'ai envie de vivre ».
Et l'écologiste conclue, optimiste :
La meilleure façon de changer le monde, c'est de faire le truc qui nous passionne le plus.
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Parce que pour changer nos actes, il faut changer de discours
George Marshall a montré également que les histoires sont fondamentales pour le fonctionnement cognitif : les récits permettent au cerveau émotionnel de donner du sens aux informations recueilles par les cerveau rationnel. Et pour toute action, il faut que les deux s'accordent…
si je vous fais peur, vous allez chercher des confirmations scientifiques dans votre cerveau rationnel avant d'agir de quelque façon.
si je vous donne des éléments scientifiques seuls, vous n'allez pas agir parce que votre cerveau émotionnel (qui est celui qui nous meut) ne va pas se déclencher.
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Il est essentiel et urgent, pour les écologistes, de changer de discours pour se faire entendre : mobiliser les gens autours d'histoires qui font rêver, proposer une vision du futur qui nous embarque ("c'est ce que font les politiques !" souligne Cyril Dion). Susciter de la créativité, de l'enthousiasme, une envie d'agir... plutôt que du déni.
On a besoin de remporter une bataille culturelle d'abord.
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Cette migration montagnarde est également perçue par les chercheurs comme un indicateur de la "grande accélération" : il s'agit d'une phase de l'Anthropocène, l'ère de l'humanité durant laquelle un certain nombre de paramètres, tant dans la nature que dans les sociétés humaines, tendent à augmenter de manière accélérée. C'est valable pour la technologie, la population, mais aussi les gaz à effet de serre et l'utilisation des ressources naturelles. Avec des conséquences sur les écosystèmes.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
22 juin 2018 Par cartographe encarté Blog : Chroniques d'un cartographe encarté
Petite contribution cartographique (en vidéo) au débat sur la loi Asile-Immigration. Il est question des réfugiés syriens.
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Si les chiffres retenus datent de mi 2015 et ont pu évoluer, ce qui compte ici c’est avant tout la démonstration. Notre propos est avant tout pédagogique. Il focalise en premier lieu l’attention sur le rôle des cartes dans notre perception de la crise migratoire syrienne. Que nous disent-elles ? Quel est l’effet de différents choix (graphiques, textuels, etc.) sur les cartes. Nous dessinent-elles objectivement la réalité de ce phénomène migratoire ? N’y a-t-il pas là un risque de manipulation ? Bref, peut-on vraiment faire confiance aux cartes...
/Mel
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le CRéDAVIS, association dont je suis le président, organise la seconde édition du festival Ma sexualité n’est pas un handicap, qui se déroulera les 28, 29 et 30 juin 2018 au CENT-QUATRE à Paris. C’est un événement national, éducatif et festif en lien avec l’accès, la prévention et l’éducation à la sexualité pour et par des personnes en situation de handicap notamment (mais pas que), à travers des stands, des conférences et des représentations artistiques, musicales et humoristiques.
Si ça vous intéresse, vous trouverez plus d’informations sur le site du festival: masexualitenestpasunhandicap.org
L’organisation est déjà bien entamée, mais il nous reste encore une partie du budget à boucler, c’est pourquoi je me rapproche de vous. 3€, 12€, 69€ … tous les soutiens nous feront avancer.
Alors si vous souhaitez nous soutenir, vous pouvez le faire par ici :
https://www.helloasso.com/associations/credavis/collectes/ma-sexualite-n-est-pas-un-handicap-1
Vous pouvez aussi nous aider par un simple petit partage de la campagne de don autour de vous et sur les réseaux sociaux.
Jean-Luc Letellier
Président du CRéDAVIS
06 78 79 14 27
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La diplomatie économique : une priorité politique pour le prochain quinquennat ?
Le contexte mondial marqué par des risques géopolitiques accrus, une montée du protectionnisme et la révolution technologique qui efface de plus en plus les frontières entre Etats, entreprises et acteurs de la société civile, a augmenté l’incertitude et la complexité liées au métier de diplomate et à la diplomatie en général. Les acteurs non-étatiques sont de plus en plus présents sur ce segment traditionnellement réservé aux seuls Etats. L’efficacité du dispositif de la diplomatie économique peut être un atout considérable pour un pays, ses entreprises et ses citoyens. Et elle peut faire en sorte que le déficit commercial de la France ne soit pas une fatalité.
Par Abdeldjellil Bouzidi, Antoine Hardy, le 20/06/2017
Assouplir le code du travail, comme le gouvernement projette de le faire à la rentrée, est-il efficace pour lutter contre le chômage ?