Le projet de stockage RINGO de RTE prends forme , mais ce n'est qu'une goutte d'eau https://www.linfodurable.fr/technomedias/2021-le-plus-grand-site-de-stockage-delectricite-sur-batteries-en-france-20389
Le plus grand site de stockage d'électricité sur batteries en Franc...
Mardi 29 septembre, la France a inauguré son plus grand site de stockage d'électricité sur batteries. Il peut répondre à la consommation de quelque 10 000 foyers.
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Vidéoà https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?llDQfw
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 20/10/20 à 17:27 de freechelmi (livret énergie de LFI)
Info-eco.fr @infoecofr · 10 oct.
Cette semaine, Info-éco parle énergie avec Saft qui inaugure son bâtiment dédié à la fabrication de l'électrolyte, le premier parc photovoltaïque hybride grâce à une batterie de stockage ou encore la mise en service d'une centrale flotovoltaïque. Mais au… https://ift.tt/3i4TS6Z
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... baisse fulgurante des prix du solaire couplée à l’augmentation des performances, on connaissait déjà et cela n’est pas prêt de s’arrêter. Pour les batteries, l’évolution est identique. Baisse des prix, accroissement des performances, investissements massifs dans l’industrialisation, les statistiques techniques, économiques et financières de l’essor du stockage suivent les mêmes courbes que celles du photovoltaïque. A vitesse grand V. Elon Musk vient d’annoncer une division par deux des prix du kWh stocké d’ici 2023 et le remplacement du cobalt des batteries par des nanoparticules de silicium, matériau abondant et peu couteux, comme pour les cellules solaires… Ce nouveau paradigme va augmenter la résilience face aux catastrophes naturelles ... projets portés par « PSA-Total-Saft » https://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2020/09/les-groupes-psa-et-total-cr%C3%A9ent-automotive-cells-company-co-entreprise-d%C3%A9di%C3%A9e-%C3%A0-la-fabrication-de-ba.html, « Forsee Power » https://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2020/09/christophe-gurtner-pdg-de-forsee-power-sur-les-batteries-il-ne-faut-pas-lever-le-pied-sur-la-recherc.html ou encore « Envision » https://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2020/09/envision-veut-cr%C3%A9er-une-giga-usine-de-batteries-en-france-avec-1000-emplois-%C3%A0-la-cl%C3%A9.html avec au total près de quatre mille emplois à la clé.
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Qu’attend-t-on par ailleurs pour déployer massivement ces technologies dans nos « zones non interconnectées » de la France qui ont pourtant démontré leurs pertinences. L’Etat semble encore préférer les bonnes vieilles centrales électriques qui brulent du pétrole, à l’instar du projet de nouvelle centrale en Guyane. Comme un baroud d’honneur des jacobins de la politique énergétique…
Car c’est un truisme aujourd’hui. Le couple solaire-stockage constitue la « rupture technologique » que le monde attendait. Il représente la clé de l’avenir énergétique mondial, le facteur X de l’inexorable démocratisation de l’énergie solaire. Un cocktail détonant qui verra fleurir des micros réseaux locaux par millions sur la planète !
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Commentaires
la hulotte a dit... le stockage batterie ne pourra être économique que sur quelques heures (le stockage intersaisonnier est hors de portée à un horizon 10/20 ans). En France métropolitaine, le PV+stockage a un intérêt économique à terme car il permettra de mieux valoriser l'injection de l'électricité PV sur le marché mais ne sera en aucune manière en mesure d'assurer l'équilibre du système. ...
Andre Joffre a dit... constituer des micro-réseaux en commençant par les contrées où les réseaux « longue distance » n’existent pas. C’est le cas de certaines régions d’Afrique, d’Inde ou de Chine. C’est d’ailleurs comme cela qu’il faut interpréter l’entrée d’EDF au capital de d’Ecosun !
Guillaume Bourtourault a dit...
sans oublier que d'autres formes de stockage existent, pour l'instant encore sous utilisées : stockage journalier, hebdomadaire ou saisonnier du chaud et du froid, ce sont déjà des GWh d'électricité qui sont virtuellement stockés sous forme d'énergie finale chaud ou froid. C'est disponible, bon marché, leur impact est très faible et leurs avantages indéniables... complémentaires du stockage électrique, ils doivent contribuer à l'équilibre des réseaux et à notre sobriété en réduisant la taille de machines de conversion élec / chaud / froid, à savoir les machines thermodynamiques. Ce faisant, ils sécurisent nos process dans des secteurs vitaux : médical, pharmacie, alimentaire, data center... leur seule contrainte est d'être à proximité immédiate du besoin, les réseaux de chaud et de froid, ne pouvant, pour l'instant, pas transporter l'énergie sur de trop longues distances...
Sujets relatifs : Energie & Environnement, Matériaux & Chimie, Recherche
Une équipe internationale incluant des chercheurs de l’Université Paul Sabatier de Toulouse et du réseau sur le stockage électrochimique de l’énergie (RS2E) a développé un procédé innovant pour fabriquer des matériaux MXenes utilisables dans les électrodes négatives de systèmes de stockage électrochimique. Leurs travaux ont été publiés dans la revue Nature Materials le 13 avril dernier.
Découverts en 2011, les MXenes sont des matériaux en 2D synthétisés à partir de précurseurs dits « MAX ». M désigne un métal de transition (Titane, Indium,…), A un élément des colonnes 13 à 16 du tableau de Mendeleïev (Aluminium, Silicium,…), et X du Carbone ou de l’Azote. Les MXenes sont obtenus en éliminant les éléments A du précurseur MAX.
« En élargissant la gamme des précurseurs MAX utilisables tout en permettant de contrôler les fonctions de surface des matériaux MXenes synthétisés, notre méthode montre qu’ils ont le potentiel de changer la donne pour faire le pont entre supercondensateurs et batteries », affirme Patrice Simon, professeur à l’Université de Toulouse et auteur de l’étude.
Utilisation impossible dans les batteries jusqu'à présent
« Jusqu’à présent, nous ne savions pas utiliser les MXenes en milieu non-aqueux, indique M. Simon. Impossible, donc, de les utiliser avec des électrolytes de batteries au lithium. » La raison ? La nature de la surface des MXenes induite par leur procédé de synthèse.
Pour retirer l’élément A d’un précurseur MAX, celui-ci est généralement plongé dans une solution active d'ions fluorure - de l'acide fluorhydrique - qui dissout l'élément A. « Cela oxyde la surface du matériau qui[…]
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