Connu / TG le 7/03/24 à 23:48
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La chaleur renouvelable, en particulier la géothermie, occupe une place grandissante dans la transition énergétique voulue par le Gouvernement. Des entreprises comme HGE France recrutent davantage de tuyauteurs et de soudeurs pour renforcer la filière.
Pour en savoir plus :
https://www.emploi-environnement.com/news/video-emploi-geothermie-recherche-jeunes-profils-transition-energetique-HGE-France-693.html
La filière de la géothermie recherche activement des tuyauteurs et des soudeurs, pour constituer des « duos » indispensables au déploiement de cette énergie renouvelable. « Ils travaillent conjointement, en binôme, pour réaliser l'interface entre le réseau de chauffage urbain et le branchement de ce réseau à un bâtiment, explique Jérôme Nunes, chargé d'affaires travaux chez HGE France, à l'occasion du salon Bepositive 2023. Ils réalisent toute l'installation d'une sous-station ou d'une chaufferie. »
Les entreprises comme HGE France, qui installe des sous-stations géothermiques et de biomasse, restent néanmoins confronter à un vieillissement de leurs effectifs et à de sérieuses difficultés de recrutement de jeunes professionnels, davantage attirés par d'autres secteurs industriels, comme l'agroalimentaire ou la pétrochimie. « Il faudrait sans doute ouvrir plus de classes dans les lycées professionnels et plus de cursus manuels sur ce type de métiers pour avoir la main-d'œuvre suffisante en France », souligne le chargé d'affaires. D'autant qu'à en croire Jérôme Nunes, « du fait de la rareté de ces métiers, il y a de très bons salaires » proposés dans la géothermie. En exerçant ces métiers dans une filière de la transition énergétique, « on peut aussi avoir cette fierté de se dire qu'on participe à cette transition et qu'on essaie d'arrêter le plus possible l'utilisation des énergies fossiles ».
Connu / TG le 05/06/23 à 15:23
13 soudeurs, avec des certificats de compétences falsifiés, ont été découverts sur le chantier ultrasensible du réacteur nucléaire Iter… C'est d'autant plus gênant que les réparations sur les vieilles soudures se multiplient dans les centrales d'EDF. ...
Connu / TG le 31/05/23 à 13:17
Grand angle : Le métier de soudeur, omniprésent mais en perte de vitesse - 26/05/2023 | France Inter
à Vierzon, pour le nucléaire SIC
Mercredi 15 juin 2022, par Bernard Laponche, Jean-Claude Zerbib, Jean-Luc Thierry
Clés: Nucléaire centrale nucléaire Sûreté nucléaire Rapports
L’information d’EDF à l’ASN, le 21 octobre 2021, de la détection de fissures sur un circuit de refroidissement de secours du réacteur n°1 de la centrale de Civaux, puis de l’arrêt des trois autres réacteurs de 1500 MW de puissance électrique nette (palier N4 [1]) et du réacteur de Penly n°1 (1300 MW) pour le même motif, réduisant la capacité théorique du parc de 10% environ, suivis de la découverte des mêmes défauts sur un nombre important de réacteurs à l’occasion de leurs arrêts programmés, a plongé le monde des « observateurs » dans la sidération, la perte de production entraînée par cette décision étant la preuve même de la gravité de cette découverte.
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En tout état de cause, si la vulnérabilité des 900 MW était confirmée, la question de l’allongement de la durée de fonctionnement de ces réacteurs au-delà de 40 ans devrait être réexaminée. Il faudrait également examiner la possibilité que les réacteurs EPR de Flamanville, Olkiluoto et Taïshan, ainsi que ceux en construction à Hinkley Point, soient eux-mêmes concernés, dans la mesure où ils ont été conçus sur la base du palier N4 de 1500 MW.
Lire le rapport complet : https://www.global-chance.org/IMG/pdf/gc_fissures_analyse_historique_20220619.pdf
[1] Les documents émanant de l’IRSN et de l’ASN font systématiquement référence aux « réacteurs de 1450 MW » pour les réacteurs du palier N4, deux à Civaux et 2 à Chooz B. En réalité, la puissance électrique nette de ces réacteurs est de 1495 MW pour Civaux et 1500 MW pour Chooz B (source : CEA - Elecnuc). Nous avons donc indiqué une puissance nette de 1500 MW pour ces 4 réacteurs dans l’ensemble de ce rapport.
Lire aussi
- Fiches du cycle 1 de la phase « Controverses » du débat CNDP EPR2-Penly de 2022 | 8 mars 2023
- Nouvelles demandes d’analyses de l’IRSN sur le vieillissement de Fessenheim | 27 février - https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/1979-les-calculs-du-president-d-edf-et-le-risque-de-fissure-dans-les-centrales-nucleaires |textebrut|couper{200})"]>1979 : les calculs du président - Commentaires sur l’avis de l’IRSN Sur le rapport d’EDF sur la VD4 de Tricastin 1 | 8 février 2022
- Débat public CNDP #EPR2-Penly : le cahier d’acteur de Global Chance | 26 décembre 2022
- Débat public CNDP #EPR2-Penly : déclaration de Bernard Laponche | 26 décembre 2022
- État des lieux des projets d’enfouissement des déchets radioactifs | 31 octobre 2022
Connu / TG le 11/03/23 à 11:49
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3 sortes de fissures... celles de 2022 : corrosion sous contrainte, et en 2023 fissures sur soudage de réalignement, et enfin fatigue thermique...
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Clés : DECISIONS PUBLIQUES, ETM / OTEC / SWAC
Polynésie Française – Lundi 22/03/2021 – Arrivées par conteneur d’Italie, les portions du futur Swac de Taaone ont été déposées sur les bords de la baie de Phaeton, à Papeari.
Elles font douze mètres chacune et 710 mm de diamètre. Depuis janvier, des tuyaux sont soudés entre eux par «polyfusion», lestés avec des blocs de béton, protégés et petit à petit mis à l’eau le long d’un rail, où leur étanchéité est testée… Des petits tronçons – jusqu’à 650 mètres de long tout de même – sont déjà stockés en mer, non loin de la passe Teputa. Quand la dernière section de 2,4 km de dimension sera terminée, au mois de juin 2021, le «pipe», sera remorqué vers l’extérieur du lagon, et autour de Tahiti jusqu’au large de Pirae.
L’installation Swac doit permettre au Centre Hospitalier de la Polynésie Française dirigée par Claude Panero depuis janvier 2020, première polynésienne à diriger l’établissement, de réduire sa facture d’électricité de 350 millions de Fcfp par an, avec une énergie entièrement renouvelable.
C’est, face au centre hospitalier, que le Swac (Sea-water air conditioning ou climatisation à eau de mer) sera immergé le long du tombant et du récif, de 900 mètres de fond jusqu’à la côte. Le tuyau doit permettre, pendant 30 ans, de pomper de l’eau de mer à 5°C pour l’amener vers le système de climatisation à eau de l’hôpital, qui pourra donc se passer de ses refroidisseurs si gourmands en électricité. L’eau doit être ensuite rejetée à environ 12°C dans le lagon, qui d’après les études préparatoires ne subira « aucun impact environnemental ».
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Ndlr : "aucun impact environnemental" ? Questionner ACT
Le président de l'ASN a estimé ce jeudi que les solutions envisagées par l'EPR de Flamanville face aux problèmes de soudure ne garantissent pas toutes le respect du calendrier.
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EDF envisage trois options : consolider le piquage avec des colliers de maintien, couper et remplacer les tronçons en question, ou réparer les soudures. Or, seule la première option permettrait selon le président de l’ASN « d’espérer rester dans le calendrier visé ». Une décision est attendue d’ici à l’été sur la faisabilité de cette option, privilégiée par EDF.
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Connu / https://wegreen.fr/post/191879
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Christiane Carron-Fourt a partagé un post dans le groupe Nucléaire & Renouvelables Il y a 32 minutes Public - 1 like
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Rousselet Yannick @plutonyck 4h
#Nucléaire : à l'usine de #LaHague, la « supercherie » d'une entreprise de soudure démasquée via @actufr
Une entreprise sous-traitante, implantée en Croatie, a falsifié des documents afin que trois soudeurs puissent intervenir sur l’un des plus gros chantiers actuels de La Hague.
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INTERVIEW. Malgré une première alarme, l'incendie qui couvait dans la charpente n'a pas été détecté. Pourquoi ? Réponse d'un spécialiste en sécurité incendie. Propos recueillis par Julie Malaure
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Le lendemain de l'incendie, des professionnels de la restauration des monuments historiques nous livraient déjà les scénarios les plus plausibles. Celui d'un mauvais contrôle d'un « permis de feu », comme cela s'est déjà produit dans la nuit du 22 juillet 1997, lorsque les 4 000 mètres carrés de toit du palais de Chaillot s'étaient embrasés comme un fétu de paille. Une soudure dont une étincelle part se lover sous un nid de poussière ? Un détecteur qui se déclenche, mais ne révèle aucun départ de feu… avant que tout ne s'embrase ? Thierry Fisson, consultant en sécurité incendie au Centre national de prévention et de protection, s'est largement familiarisé avec l'environnement spécifique des cathédrales en réalisant les règlements de sécurité de celle de Poitiers et d'Angoulême. Il évoque la piste la plus vraisemblable. Entretien.
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