158.664 signatures (255.862 au 24/7)
A M. Le Président de l’ARCOM et les membres du collège
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le pluralisme et la qualité de l’information ne sont pas respectés ... 34 interventions ont été recensées en deux ans pour signaler des faits de désinformation, de racisme, de sexisme, d’incitation à la haine, de non-respect du pluralisme, d’un manque « d'honnêteté dans l’information » ou encore en raison de la prépondérance du temps de parole accordé à l’extrême droite en période électorale.
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Depuis 2015 et le rachat d’iTélé (ancêtre de CNews) par Vincent Bolloré, le nombre de journalistes employés par la chaîne a baissé de 17,5 %. En réduisant drastiquement et délibérément le temps d’antenne consacré à l’information, et en faisant la part belle à l’expression d’une opinion, sans aucun respect du pluralisme, CNews est devenue une chaîne d’opinion et ne peut plus être considérée comme une chaîne d’information comme l’indique sa convention avec l’Arcom.
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Cette pétition a également été publiée sur le site du journal l'Humanité sous la forme d'une lettre ouverte de Latifa Oukhouir, ex-journaliste et directrice du mouvement et Sophie Taillé-Polian, députée Générations du Val-de-Marne, vice-présidente du groupe Écologiste-Nupes.
Les PME du Loiret et de la région incitées à travailler pour les centrales nucléaires du Centre-Val de Loire
Des rendez-vous d'affaires nucléaires sont proposés, jeudi 9 mars, par EDF et la CCI Centre-Val de Loire, à Blois. Afin que les entreprises
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Connu / TG le 02/03/23 à 08:53
De nombreuses publications sur les communs et biens communs, récentes ou anciennes, enrichissent les rayons des librairies : l’Université du Bien Commun propose des rencontres avec leurs auteurs, animées par les membres de notre comité de pilotage. Nous avons volontairement choisi un format court et vivant, en visioconférence, centré spécifiquement sur un livre et dont l’auteur, pour clôturer l’échange, nous lira quelques extraits.
Nous vous invitons pour l’ouverture de ce nouveau cycle, ce lundi 31 janvier de 18h30 à 19h15 en compagnie de :
Benjamin Coriat qui nous présentera son livre
Le bien commun, le climat et le marché
(Editions Les Liens qui Libèrent, 2021)
Présentation animée par Corinne Ducrey
Benjamin Coriat est professeur émérite à l’université Sorbonne Paris Nord. Il est par ailleurs cofondateur des Economistes Atterrés. Spécialiste reconnu des communs, il a notamment codirigé Vers une république des biens communs ? (Editions LLL) et publié La Pandémie, l’Anthropocène et le bien commun, ouvrage pour lequel l’UBC l’avait reçu en mars dernier.
A propos de son livre Le bien commun, le climat et le marché :
« En 2016, Jean Tirole, prix Nobel d’économie, publie Economie du bien commun, un ouvrage vite porté aux nues par la critique. Pourtant cet ouvrage, à commencer par son titre même, ne laisse pas d’interroger et de susciter critiques et étonnements. En effet, ce qui est désigné par l’auteur comme « l’économie du bien commun » n’est en fait rien d’autre que son ancienne théorie des incitations et de la réglementation, à peine remise au goût du jour.
Les propositions de Tirole sont si éloignées de celles qui, à partir des travaux d’Elinor Ostrom - prix Nobel d’économie 2009 - constituent aujourd’hui l’approche par les communs qu’il m’a paru nécessaire ici, pour la clarté des choses et couper court au risque de confusion, de procéder à quelques mises au point.
En confrontant les deux approches, tant sur le plan de la théorie qu’à propos de ce bien commun essentiel qu’est le climat, les différences apparaissent dans toute leur ampleur. Alors que la proposition centrale de Tirole pour lutter contre le changement climatique consiste à promouvoir un marché des droits à polluer, la proposition d’Ostrom vise au contraire à faire obstacle aux ajustements de marché à partir d’une gouvernance qu’elle qualifie de « polycentrique », dont la Convention Citoyenne pour le Climat fournit une belle illustration.
Ces deux conclusions opposées le disent assez : en aucune manière une théorie du bien commun, plus vivante et nécessaire que jamais, ne saurait être ramenée à ce à quoi on a prétendu la réduire. » (Benjamin Coriat / Editions LLL 2021)
Dans Le bien commun, le climat et le marché, Benjamin Coriat prend donc pour fondement de sa réflexion la critique de l’Economie du bien commun, l’ouvrage de Jean Tirole qui traite des biens communs sans pour autant se référer à la longue genèse des travaux existants autour de ce concept. Pour Benjamin Coriat, le climat, bien commun mondial, ne peut être traité comme une marchandise et doit être placé « hors commerce ». Il démontre sur le fond en quoi la logique du marché est impuissante à combattre le phénomène systémique qu’est réchauffement climatique. Il confronte le point du vue libéral (toute-puissance du marché à même de résoudre tous les problèmes) à son opposé : la nécessaire "juste" gouvernance (polycentrique) de ce bien commun essentiel, dont les petites communautés constituent le socle (éclairant ainsi toutes les dimensions du travail d’Elena Ostrom sur les communs, en particulier ses analyses sur le climat en tant que bien commun mondial).
Cet échange sera également l’occasion de revisiter avec Benjamin Coriat des concepts essentiels, parfois mal connus ou mal compris, qui traversent le champ des communs : de la gouvernance polycentrique chez Ostrom à la théorie du voile d’ignorance en passant par le problème du passager clandestin.
Déroulé de cette visioconférence :
18h20 - Accueil des participants en connexion par Zoom
18h30 (précises) - Ouverture de la conférence
Présentation du livre par l’auteur
18h50 - Echanges avec l’auteur suivis des questions des membres de l’Université et du public (questions qui seront formulées par saisie dans Zoom et traitées par blocs thématiques).
19H15 - Brève lecture d’un extrait du livre par l’auteur pour clôturer ce premier échange.
Je vous demande de contribuer à cette mobilisation historique ... https://privatisercestvoler.fr et nous restons à votre écoute pour vous épauler dans le cadre de cette démarche.
Des villes comme Ivry-sur-Seine, Puteaux ou encore Bagneux ont déjà organisé des points de signatures au sein de leur mairies. Au delà de la privatisation d'Aéroports de Paris, il s'agit un enjeu démocratique décisif sur lequel les maires de France doivent prendre position, pour permettre à l’ensemble des citoyennes et des citoyens de pouvoir s'exprimer sur un sujet aussi crucial.
En tant que maire, vous êtes au contact des citoyennes et des citoyens de votre commune. Nous vous demandons de les informer, de les convaincre et de les aider à signer cette demande d'ouverture d'un référendum