dans Communiqués de presse, Le groupe parlementaire à l'Assemblée nationale
revendication des personnels hospitaliers à l’hôpital ? Pouvoir soigner efficacement et dignement. Quel est le but du pouvoir ? Faire des économies dans le service public et favoriser les profits du réseau de santé privé.
Huit mois de lutte des personnels de toutes les catégories ont permis de faire prendre conscience de l’état désastreux du système de santé public. C’est le résultat de plus de 12 milliards d’économies sur les dépenses de santé depuis le début du quinquennat. Plus personne ne croit que les « réorganisations » et « redéploiements » soient fait pour le bien commun.
Mais au lieu de proposer une refondation globale de la politique de santé publique le gouvernement organise un saupoudrage destiné à éteindre l’incendie social sans rien changer. L’annonce d’une augmentation du budget des hôpitaux de 1,5 milliards sur 3 ans dont 300 millions en 2020 est incohérente. Dès 2018, Macron avait déjà baissé le budget des hôpitaux d’un milliard d’euros !
Encore une entourloupe ! Où sont les recrutements ? Où est l’arrêt des suppressions de lits ? Où sont les créations de lits demandées ?
Les personnels infirmiers français sont les plus mal lotis des grands pays de l’OCDE, avec une rémunération inférieure de 5% au salaire moyen en France. Mais pas d’augmentation générale des salaires dans la profession. Seulement quelques primes pour certaines catégories de soignants.
Ce n’est pas un plan santé c’est le sauve-qui-peut d’un pouvoir qui a organisé lui-même un désordre qu’il ne sait plus réparer.
/ députés la France insoumise la réponse des personnels hospitaliers est la sienne. Rendez-vous le 30 novembre et le 5 décembre pour défendre l’intérêt général.
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Henri Sterdyniak revient sur les 3 derniers mois et décrypte les nombreuses arnaques, entourloupes, biais et questions orientées qu'a utilisé le gouvernement pour, surprise, obtenir des résultats qui valident d'avance leur programme inique.
Catégorie Actualités et politique 153 commentaires
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ENQUÊTE
Des candidates fantômes à l'UDI pour éviter de payer une amende de non-respect de la parité, une pirouette financière qui fait gagner 850 000 euros au MoDem, une faveur de 800 000 euros pour le Parti radical de Gauche … Mediacités a repéré plusieurs arnaques et bizarreries dans le financement public des partis politiques.
6 minutes
Par
Pierre Januel
26 novembre 2018
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dessin-financement-législativeIllustration: Jean-Paul Van der Elst.
«Si la démocratie a un coût, elle n’a pas de prix », dit l’adage. Pour les législatives de juin 2017, le coût s’élève à 68 millions d’euros : c'est le montant du financement public des partis politiques. Un joli magot que s'est partagé une trentaine de partis selon des règles très précises, en fonction du nombre de parlementaires élus mais aussi du dépassement – ou non – d’un seuil de 50 candidats ayant récolté plus de 1 % des voix. Mediacités s’est penché très attentivement – et non sans mal (voir l’encadré « . . .
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