Ton téléphone portable devient shérif-adjoint ! Tracking : un mot entre traque et crack. ... tellement simple que même Castaner a compris
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À Singapour, l’Etat et la police ont accès aux données de localisation des smartphones. Mais aussi aux données bancaires et aux éléments extractibles des caméra de vidéosurveillance. Les cas suspects doivent envoyer plusieurs fois par jour leurs coordonnées GPS. S’ils ne le font pas, leur passeport est confisqué. Il faut croire que ce n’est pas si payant que ça puisque malgré cette méthode, Singapour a été obligé de passer en confinement généralisé début avril.
Un autre exemple est cité souvent. Celui de la Corée du Sud. Les données de géolocalisation en temps réel des personnes testées positives sont accessibles à tous !
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Taïwan. Le téléphone de tout cas suspect transmet en temps réel les données de géolocalisation à la police ! Celle-ci peut donc à tout moment permettre ou interdire ceci ou cela à l’intéressé. D’ailleurs la police intervient si la personne éteint son téléphone ou le met en « mode avion » ! Ce n’est pas tout. La police peut appeler la personne deux fois par jour sur son téléphone pour vérifier qu’elle est bien au même endroit !
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Ndlr : ne cite pas que c'est anonymisé et avec le Bluetooth vérif ACT