Un invité de marque, NICK BRANDT, avec l’exposition « Inherit The Dust » le
premier opus de sa recherche sur l’impact de la vie humaine sur son environnement.
Des photographies d’animaux de la savane, à taille réelle, posées dans ce qui était leur environnement quelques années auparavant, occupé maintenant par l’espèce humaine.
Le changement climatique, du plus chaud avec Dorothée MACHABERT et
« L’été s’ra chaud », au plus froid du globe avec Thierry VEZON, « Grand Nord, un monde en sursis ? », de l’humain à l’animal ou bien de l’animal à l’humain quand Frédéric DAMATO avec « Le petit monde du silence » nous propose la découverte d’un site naturel charentais protégé par le secret tant ceux qui le connaissent prennent en compte sa fragilité alors que Serge FONCHIN avec « Black List » nous invite dans des lieux qui n’ont pas été, ou pas assez, protégés.
Des capsules temporelles ainsi que l’IA avec CUSHMOK, « Si demain je pouvais revivre hier » ou la photographie vernaculaire dans la création photographique avec Jean-Michel DELAGE : « Photographe en 1920, une enquête » sujets de discussions inévitables pour les photographes avec un tel thème.
L’humain au cœur de cette édition avec également l’utilisation de la photographie comme outil-témoin avec Dominique AGIUS et « Corium », ou pour se réparer, pour proposer un chemin alternatif, pour vivre en harmonie avec soi-même selon Anthony MOREL et « Ici commence la Voie Sauvage » ; tandis que l’humanité devient sujet d’étude pour Marie DEBITUS qui dans « Nan saidesu ka? (Quel âge as-tu ?) interroge les paradoxes humains dans sa course à la consommation ou la modernité et la conservation de son patrimoine.
Regarder aussi notre espèce de manière caustique, drôle mais sérieuse, dans ses dysfonctionnements pour faire réfléchir à l’urgence de trouver des solutions pour chez soi, son village, sa ville ou le reste du monde avec Yvon BOBINET et son « Grand atlas du monde d’hier et de demain… si tout va bien »
La compréhension de l’autre par le dialogue, l’échange et le partage se fera grâce à Eveline Soum BONKOUNGOU du Burkina Faso et son exposition « Peogo » qui trace une ligne de conversation sur le sujet de la dot vu par les burkinabé(e)s.
Pour ce qui est des allers-retours du présent au passé ainsi qu’au futur, et
inversement nous regarderons les travaux de Romain THIERY, « Requiem pour pianos », de Timothée FALCUCCI, « 1968-2018 », de Stéphane ROBIN, « Ses Majestés », « UKRAINE : la Culture sous cocon » de Christian BARBÉ et les expositions créées par la collaboration de la Plateforme des Aidants,(http://www.dynamiqueaidants16.fr/), Peggy CALVEZ-ALLAIRE et les étudiants de 1ère SAPAT du Lycée Professionnel Agricole Félix Gaillard de Salles de Barbezieux ainsi que celle de ABL PHOTOGRAPHIE et MOLOSSY, « POST APO-SITIF », cette dernière en partenariat avec l’association « Arc’image » de Saint Benoît dans la Vienne (https://www.arcimage.fr/).
Chacune de ces expositions amène une réflexion sur notre futur, que ce s it la
recherche pour restitution des pianos volés par le régime nazi pour le premier, l’interrogation cyclique sur les révoltes et les réponses politiques qui y sont données du deuxième, le recyclage ou le questionnement sur le choix de sa consommation du troisième ou la force de la culture ukrainienne qui protège ses sculptures et monuments des bombes dès le début du conflit russo-ukrainien. Pour la cinquième exposition de cette facette du festival les questions posées ont été : « De quoi les aidants et aidés ont-ils besoin ? » Et grâce à leurs témoignages nous pourrons ensuite nous poser la
suivante : « Comment pouvons-nous aider les autres ? ». Pour la première fois le festival présente une exposition photographie / BD, où l’espèce humaine réinvente son existence grâce à un père et sa fille, à méditer !
Des expositions pour donner ou trouver des idées, des propositions, des
solutions, un moyen d’être ensemble par le partage et d’échapper à la sidération ou l’inaction devant l’ampleur de la tâche.
Photographiquement vôtre
Peggy Calvez-Allaire
mail : emoiphotographique@gmail.com
Site internet : http://www.emoiphotographique.fr/
Page Facebook : https://www.facebook.com/Emoiphotographique/
Ndlr : la photographie, objet médiateur pour donner à voir l'urgence... fait action de Médiation de l'Urgence... VALORISER ACT
...
maître de conférences en géographie humaine en Suède et militant pour le climat. Son essai Comment saboter un pipeline, pourtant paru en 2020 aux éditions La Fabrique, a connu un retentissement l'année dernière car il a été cité en note de bas de page dans un décret du Ministère de l'Intérieur prononçant la dissolution de différentes associations militantes, dont les Soulèvements de la Terre. Dans quelle mesure sa pensée incarne-t-elle une rupture avec le pacifisme des mouvements écologistes actuels ?
Pour la distinction nature / culture
...
La crise climatique vue par le marxisme
Andreas Malm critique l'approche qui consiste à mettre en avant l'Anthropocène pour saisir la crise climatique : pour lui, c'est le système capitaliste qui est responsable de la crise, et non l'ensemble de l'humanité. Il préfère ainsi parler de Capitalocène.
Il appelle donc au sabotage des infrastructures qui soutiennent le processus capitaliste : "c'est du désarmement, c'est une manière d'éviter des massacres en maintenant les énergies fossiles sous terre". Andreas Malm précise très clairement qu'il est contre la violence envers les humains, mais estime que la destruction d'objets qui détruisent des vies est légitime.
"Il est difficile d'estimer l'ampleur de l'impact de cette forme de lutte, mais il est certain que le mouvement du climat doit devenir plus vaste pour qu'il ait des effets réels."
Ndlr : A.Malm valide ainsi par cette dernière phrase le chantier de MÉDIATION DE L'URGENCE car comment mieux accompagner la massification de ce mouvement qu'avec la médiation, tiers facilitant le dialogue ? À valoriser ACT
Jessica Rosenkrantz @nervous_jessica@mastodon.social
Corollaria Gyroid is a sculpture we created for the Albany Airport which explores the connections between mathematics and the natural world, highlighting the presence of mathematical principles in biological structures. blog: https://n-e-r-v-o-u-s.com/blog/?p=9386
corollaria gyroid sculpture held by the artists shimmers in the sunlight outside
ALT 19 oct. 2023, 18:00 · · 49 · 0
- 15 h Measuring almost 7 feet in diameter, it is made up of 121 flat aluminum panels connected by 1789 rivets into an undulating surface perforated by morphing cellular patterns
photo of corollaria gyroid installed at albany airport. it is suspended in the middle of a circular skylight ALT - 15 h The cellular filigree is inspired by the patterns seen in plant cross sections, bryozoans and the undersides of some mushrooms bryozoans growing on algae ALT
a hexagonal pored polypore ALT
bryozoans growing in a ruffley colony ALT
plant cell cross-section viewed under a microscope ALT - 15 h The design is generated via a computational system we created which breaks a surface into flat puzzle piece panels that can be assembled without any forming, jigs or instructions into a complex shape ALT GIF
- 15 h The sculpture will be on display at the ALB airport for the next 3 years. We are so excited to have our work on display at our local airport and also to have been able to realize ideas we’ve been working on in metal
- ... 17 h CM Harrington @octothorpe@mastodon.online Marian Dörk @nrchtct@vis.social @nervous_jessica this looks gorgeous! i think it might even better fit into a train station building - apropos connections to the natural world and biological structures
- ... 17 h Ron Jeffries @RonJeffries@mastodon.social MPgh@mastodon.world
Michael @MPgh@mastodon.world Aviva Gary @Aviva_Gary@noc.social - 16 h Dwayne Lasas @esee432@mastodon.social Hi! I use mathematics, natural music, and other earth shaking methods to bring back Indigenous languages in North America.
- ... 15 h Basmitharts @Basmitharts@weird.autos cobalt @cobalt@awscommunity.social Spooky Kat ♾️ @KatM@mastodon.social Mary Nelson @marynelson8@mstdn.social Aimee Daigle @aimeedaigle@mastodon.social Michael B. Johnson @Drwave@mastodon.social
- 14 h Luis Villa @luis_in_brief@social.coop
@nervous_jessica So awesome! Have you all ever tried a similar shape, horizontal, as a chandelier-like ceiling fixture? - 14 h Luis Villa @luis_in_brief@social.coop
@nervous_jessica I’ve long (1) been a fan of your work and (2) wondered how to get a modern chandelier that would honor this ceiling fixture without overwhelming it, and now I’m wondering if a radiolaria-like piece would do the trick… - 11 h Luis Villa @luis_in_brief@social.coop
@nervous_jessica Oh, I misinterpreted the orientation of some stuff from the blog. This is exactly what I want (smaller!) as a chandelier. (dreams) - 14 h Spooky Kat ♾️ @KatM@mastodon.social
@nervous_jessica Bravo! Art inspired by nature is frequently my favorite kind of #art. Mother Nature is the ultimate #artist. @cobalt - 16 min mediationPourTous Médiation pour Tous @mediationPourTous
@nervous_jessica Bonjour,
j'ai le sentiment que cette sculpture illustrerait bien les plaines et les déliés d'une médiation complexe comme celle nécessaire dans la médiation de l'urgence qui intègre urgence climatique, écologique, politique, etc.
Nous autoriseriez-vous à utiliser cette photo ou bien cet emblême ?
Merci pour votre réponse.
"Et si les morts pouvaient aider les vivants à transformer le monde ?", nous invite à penser Vinciane Desprets, dans son nouveau livre, "Les Morts à l'oeuvre". Revivre en travaillant moins, c'est l'utopie réaliste à laquelle nous convie Hadrien Klent, puisque "La vie est à nous"...
Avec
- Vinciane Despret Philosophe, professeure à l’université de Liège
- Hadrien Klent Écrivain
Vinciane Despret
Et s’ils étaient toujours là ? Dans les notes d’une musique, un jardin perpétuellement fleuri, une sculpture ? Et si nos morts, à travers la médiation d’une œuvre d’art créée en leur souvenir, avaient le pouvoir de nous faire bouger, nous transformer, nous augmenter, peut-être, même de changer le monde ? C’est la thèse de notre première invitée ce soir : la philosophe Vincianne Despret, dans son dernier ouvrage, Les morts à l’œuvre (La Découverte, 2023).
Hadrien Klent
Libérer les humains du travail, c’est la proposition d’Emilien Lelong, économiste fictif imaginé par Hadrien Klent dans son roman, Paresse pour tous (2021). Après le succès de ce premier tome, l’auteur revient avec La vie est à nous (2023) pour appliquer le programme de son héros devenu Président de la République. Il imagine un monde nouveau dans lequel la notion de « coliberté » remplace celle de « paresse », un monde où la durée légale de travail est passée à quinze heures hebdomadaires…sans que le pays ne s'effondre ! Convaincu qu'un modèle alternatif est possible, Hadrien Klent affirme qu’une utopie politique peut bel et bien être réaliste et nous explique pourquoi.
Chroniques
- Pierre Schneidermann de chez KONBINI nous emmène faire un tour sur Youtube, où se déroule une petite révolution quant au doublage automatique des vidéos... Fini les sous-titres ?
- Et Emmanuelle Vibert de la revue WE DEMAIN nous parle de ces médecins «ambulants» qui vont rejoindre la «flotte de services itinérants» qui sillonnent de nouveau nos régions suite à une annonce d'Elisabeth Borne en juin dernier.
Chroniques
- Comment les morts peuvent-ils augmenter la vie ?
- Et si les morts pouvaient aider les vivants à transformer le monde ?
- Comment les morts peuvent-ils augmenter la vie ? Comment peuvent-ils nous aider à trouver notre place, à transformer nos liens, nous faire voyager, enquêter et pourquoi pas transformer le monde ? C’est la thèse la philosophe Vincianne Despret. Des idées pour un monde nouveau 9 min
Clés Sciences et Savoirs Philosophie Vinciane Despret
5 minutes
C'est le phénomène cinéma des fêtes : le film "Don't Look Up" (sur Netflix). L'histoire de scientifiques qui découvrent qu'une comète géante se dirige droit vers la Terre, mais personne ne prend au sérieux la catastrophe à venir ! Le parallèle avec les spécialistes du climat est évident et voulu.
Photo Léonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence © Niko Tavernise / Netflix
... Valérie Masson-Delmotte ... co-présidente du GIEC ... le cynisme des puissants et la folie médiatique ... Peter Kalmus, climatologue de la NASA, dans une tribune publiée dans Le Guardian, intitulée "Don't Look Up capte la folie que je vois tous les jours".
D'autres chercheurs sont un petit peu moins emballés par le film, comme par exemple le sociologue Stéfan Aykut, de l'Université de Hambourg, spécialiste des politiques climatiques : "Comme métaphore pour le problème climatique, il fonctionne moyennement parce que la comète, finalement, il suffit de prendre une décision à un moment donné pour la stopper. Or, pour le climat, c'est des centaines de décisions, sur des longues années. Il me semble que l'image de l'astéroïde gomme un peu cette diversité sociétale qu'il faut mobiliser pour vraiment faire face au changement climatique."
Écouter la science, c'est une base, mais ce n'est pas une solution. Il faut construire des alliances, dit le chercheur, qui rend tout de même hommage au film : "Il faut plus de films comme ça parce que finalement, ça nous fait discuter. Et c'est ce qui est important."
Ce film titille aussi certains scientifiques, les vrais, quant au cri que bon nombre s'empêchent de pousser.
Are you fucking kidding me ?
"C'est le truc que je n'arrive pas à dire confesse Valérie Masson-Delmotte, quand je suis devant des gens qui manifestent une indifférence totale ou un déni total. On voit bien qu'ils ne captent pas les choses ou qu'ils font exprès de ne pas les capter."
Ndlr: "construire des alliances" selon le sociologue Stéfan Aykut, n'est-ce pas convoquer la médiation ? questionner, contacter? (dans le cadre de la médiation de l'urgence) ACT
... lancée officiellement début octobre, a présenté ses premières propositions pendant la COP26 de Glasgow. Parmi elles, il y a la reconnaissance de l'écocide, en écho à ce qu'avait aussi réclamé la Convention citoyenne pour le climat en France. Les 100 citoyens tirés au sort à travers le monde entier doivent travailler jusqu'à la fin de l'année pour répondre à cette question unique mais ô combien complexe : comment l’humanité peut-elle répondre aux crises climatique et écologique d’une manière juste et efficace ?
Un hôte communautaire de la Global Assembly, avec des participants potentiels en Inde.
@Swera Kumari, représentante de l'organisation Chandrama Kalyan Kendra, Bihar, Inde.
"Les citoyens doivent être au centre des discussions sur la crise climatique. Chacun d’entre nous compte, chacun a un rôle à jouer" a déclaré Vanessa Nakate, lors de la présentation de la Global Assembly, l’assemblée mondiale de citoyens sur le climat, le 1er novembre à la COP26. La militante ougandaise est devenue la porte-voix de l’Afrique avec un slogan devenu célèbre : "Le charbon ne se mange pas, le pétrole ne se boit pas." Elle a rappelé que si l’Afrique n’était responsable que de 3 % des émissions globales de gaz à effet de serre, les Africains subissent déjà les conséquences les plus violentes du changement climatique.
Et pourtant, ils ont très peu voix au chapitre. C’est pour y remédier que la Global Assembly a été imaginée, il y a deux ans, et lancée officiellement cette année. Elle regroupe 100 citoyens tirés au sort et représentatifs de la population mondiale. "La mission de cette assemblée citoyenne mondiale ait que tout le monde puisse avoir un siège à la table de gouvernance" résume Eva Sow Ebion, co-fondatrice de The Innovation for Policy Foundation, une organisation à but non lucratif spécialisée dans la démocratie participative basée à Dakar, au Sénégal.
...
On compte 18 Chinois, 17 Africains, 10 Européens, 18 Indiens ou encore 5 Américains. 70 % gagnent moins de dix dollars par jour.
...
Chaque citoyen est accompagné d’un "community host" sur le terrain qui met à disposition un lieu, l’équipement, la connexion et qui assure la traduction des échanges pendant les sessions délibératives
...
#Démocratie #Pouvoir #2022 - 27 808 vues - 1,8 k - 83 - 179 k abonnés - 94 commentaires
Pour faire un point sur la situation politique et les perspectives pour 2022 et en partenariat avec plusieurs médias indépendants et organisations, Blast vous propose une émission spéciale, ce lundi 28 juin, de 18 heures à 22 heures, 4 plateaux débats pour comprendre où nous en sommes et où nous pourrions aller.
Le programme : à 18h, Salomé Saqué de Blast animera le premier plateau pour faire un état des lieux et comprendre l’effondrement démocratique actuel avec François Boulo, Anne-Sophie Simpere d'Amnesty International, le chroniqueur Usul et l’historienne Mathilde Larrère.
57mn Laurie Debove, rédactrice en chef de la Relève et la Peste, animera le deuxième plateau à 19 heures sur le rôle des médias et des réseaux sociaux en 2022, avec le streamer politique Jean Massiet, les journalistes Anne-Sophie Novel et Samuel Gontier, et Arthur Messaud de la Quadrature du Net.
À 20 heures, Stacy Algrain du média Penser l’après animera le troisième plateau sur "Comment renouveler notre démocratie ?" Avec Priscillia Ludosky, la politologue Fatima Ouassak, Armel le Coz de Démocratie Ouverte, et Mathilde Imer de la Primaire Populaire.
Pour conclure, Paloma Moritz de Blast animera le dernier plateau à 21 heures sur cette question centrale : Comment reprendre le pouvoir et inverser le rapport de force dans la perspective de 2022 ? Avec l’avocat Arié Alimi, le réalisateur David Dufresne, l’activiste qui a suivi la campagne de Bernie Sanders, Clément Pairot, et la professeure et militante Lumir Lapray.
Gaël Faure, artiste engagé, cite Jean Giono "Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix" et chante
Tr.: ... Boulo "je ne suis pas allé voter" sic ...
Connu / https://twitter.com/blast_france/status/1409551583176794115
Ndlr : Arié Alimi a bien expliqué la médiation de l'urgence à opérer ++ => contacter ACT
Terrestres. Revue des livres, des idées et des écologies, vient de sortir son n°6. Laboratoire de nouvelles pensées complices du mouvement écologiste, cette revue en ligne décortique des livres clé, publie des analyses, fictions, chroniques et traductions. Son programme : Enquêter, Réfléchir, S’organiser, Éprouver et Imaginer !
Dans ce n°6 :
. Traversée des forêts et Grand cerf, Yuval Harari et crosse de hockey, cyanobactéries et écologie de Monsieur propre...
...
À noter aussi le passage au peigne fin https://www.terrestres.org/2019/07/19/ils-ont-20-ans-pour-sauver-le-capitalisme/ du livre On a 20 ans pour changer le monde, de Maxime de Rostolan : à l’heure où les alternatives agricoles et alimentaires gagnent en crédibilité devant les impasses du productivisme, faut-il vraiment « changer d’échelle » en s’alliant avec l’agro-industrie et la grande distribution pour réussir la « révolution agricole » ?
Cette livraison accueille également un texte stratégique d’une trentaine d’organisations et collectifs https://www.terrestres.org/2019/07/25/l-an-zero-de-lecologie-macroniste/, allant de Terre de Liens aux Naturalistes en lutte, d’Extinction Rebellion PACA aux Gilets jaunes Place des Fêtes, de Désobéissance Ecolo Paris à Greenpeace Rennes. Ce texte souhaite, après le mouvement des Gilets jaunes, que l’écologie ne sépare plus son combat de celui de la justice, et demande : « Comment éviter que tout transitionne en rond, sans que rien ne change vraiment ? » À une écologie co-optée par le pouvoir politique et par les intérêts économiques, il oppose une stratégie de non-coopération avec toute entité détruisant les conditions de la vie sur terre. La bonne nouvelle : certes moins médiatique, cette autre écologie indisciplinée et créatrice existe déjà sur le terrain !
Ndlr : Valide la stratégie insoumise de LFI. Valoriser ACT