Connu / TG le 15/04/23 à 11:03
Début avril, les eaux de surface des océans ont enregistré la température record de 21,1 °C, révèle l’Agence ...
Connu / TG le 14/04/23 à 10:37
Pesticides dans l’eau : le ministre de l’Agriculture veut noyer une décision de l’Anses – Libération
L’agence de sécurité sanitaire a annoncé vouloir interdire le S-métolachlore, pesticide dont les résidus ont ...
Connu / TG le 08/04/23 à 13:52
EN DIRECT - Réforme des retraites : Laurent Berger de la CFDT réclame un «bougé très fort» du gouvernement
A la veille d’une nouvelle journée de mobilisation nationale contre la réforme des retraites, l’exécutif multiplie
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Connu / TG le 28/03/23 à 09:10
La motion de censure déposée par le groupe LIOT peut-elle renverser le gouvernement, après le recours au 49.3 ? La réponse ...
Connu / TG le 18/03/23 à 01:00
Accueil / Politique
Chez Pol
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En cas de recours au 49.3 sur les retraites, plusieurs députés de droite sont prêts à tenter de faire tomber le gouvernement, en s’alliant au petit groupe Liot. Mais le groupe LR est, là encore, très divisé.
Photo Le député de la Marne Charles de Courson demande la parole à l'Assemblée nationale, le 16 février. (Ludovic Marin/AFP)
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la majorité absolue est actuellement à 287 votes ... petit groupe Liot https://www.liberation.fr/politique/libertes-independants-outre-mer-et-territoires-le-plus-petit-groupe-a-lassemblee-nationale-veut-peser-gros-20220708_SAXWDFFIGBBL7HY7ZXIT5JH6GM/
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Clés : Les Républicains (LR); Réforme des retraites ; Bruno Le Maire
Connu / TG le 17/03/23 à 01:04
La Première ministre a fait une réponse rassurante - mais en partie fausse - à une personne qui s’estime perdante avec la réforme ...
Connu / TG le 09/03/23 à 13:18
Elu depuis près de deux décennies dans cette petite commune d’Ardèche, le ministre du Travail y est désormais ...
Connu / TG le 08/02/23 à 13:11
Surveillance des militants anti-bassines : un traceur GPS retrouvé sous le véhicule de Julien Le Guet
Objets d’une surveillance policière et judiciaire, les opposants aux projets de méga-bassines dans les Deux-Sèvres ...
Connu / TG du 28/01/23 à 00:58
Transports, rénovation industrielle durable, végétalisation… En 2023, «Libé» explorera la thématique de la transition écologique lors d’une série de rendez-vous inédite. Objectif : témoigner des enjeux et trouver des solutions au plus près des territoires.
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A Bordeaux, la justice écologique et sociale
Comment actionner la transition écologique tout en préservant, voire en approfondissant, la justice sociale ? Voilà la question fondamentale sur laquelle ont décidé de se pencher le département de Gironde et la ville de Bordeaux. L’enjeu n’est pas des moindres dans un territoire marqué par une double dichotomie. Géographique, d’abord, car voisinent ici des zones très peu habitées et une métropole qui concentre, elle, plus de la moitié de la population sur seulement 5% de la superficie totale. Sociale, ensuite, matérialisée par un tenace croissant de pauvreté qui s’étend du Médoc jusqu’à l’Entre-deux-Mers.
Pour contourner le risque d’une transition à deux vitesses, il s’agit bel et bien de «coconstruire» des politiques publiques qui embarquent tout le monde : les grandes comme les petites communes, les hypers urbains comme les ruraux, les plus outillés comme les plus vulnérables. Les sujets sont des plus concrets : résilience énergétique, accès équitable à l’eau, alimentation bonne pour tous, ou encore transport, avec l’épineuse question du futur de la voiture individuelle, au moment où les coûts explosent et que les zones à faibles émissions se concrétisent.
Parmi les solutions qui font déjà leurs preuves : la participation citoyenne. Ou comment associer tout un chacun à la gestion de la transition. Exemple typique avec Solévent, ce groupement formé en 2017 par une dizaine de citoyens girondins, avec pour but la production d’une énergie renouvelable locale. S’y activent aujourd’hui 150 «actionnaires» (citoyens, associations, collectivités et entreprises) qui développent des centrales solaires sur les toits des écoles. Une manière de décider, ensemble et démocratiquement, de leur futur énergétique.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?vJwm5w
Les quarante entreprises du principal indice boursier français ont distribué 80,1 milliards d’euros à leurs actionnaires en 2022, ...
Connu / TG 9/01/23 à 14:37
Au petit guichet de Pont-en-Royans, comme dans la ville voisine de Saint-Marcellin, les usagers de la Poste voient d’un mauvais œil la transformation du timbre rouge en e-lettre depuis le 1er janvier.
Connu / TG du 07/01/23 à 09:05
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Environnement
Mégabassines : comment la justice traque les militants écolos
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Deux personnes soupçonnées d’avoir dégradé une réserve d’eau en Charente-Maritime sont jugées ce jeudi à La Rochelle. Fadettes, filature et géolocalisation… Pour les identifier, les enquêteurs ont déployé des moyens hors norme.
Manifestation près d’un chantier de bassine agricole, à Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres), le 6 novembre 2021. (Xavier Leoty /AFP)
par Pauline Moullot et Fabien Leboucq
publié le 4 janvier 2023 à 18h27
Des suspects géolocalisés en temps réel, leurs relevés d’imposition, de CAF ou d’assurance maladie disséqués, leurs factures téléphoniques analysées dans le moindre détail, leur entourage identifié ; une femme suivie et photographiée par des gendarmes alors que son portable ne la situait pas sur les lieux des faits (elle sera mise hors de cause)… Cette débauche de moyens a été déployée par les gendarmes afin de retrouver les personnes suspectées d’avoir dégradé une bassine agricole, en novembre 2021 à Cram-Chaban (Charente-Maritime). Alors même que cette retenue d’eau censée servir à l’irrigation ne pouvait pas être utilisée et a finalement été jugée illégale.
Ces investigations aboutissent au renvoi devant le tribunal correctionnel de La Rochelle, ce jeudi, de Nathanaël B. et Romain R., que les gendarmes estiment reconnaître sur des images prises lors des faits. Ils risquent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Protestant contre ces poursuites, les opposants aux retenues d’eau organisent un rassemblement devant le tribunal le même jour, pour y faire «le procès des bassines plutôt que des militants». Libération révèle le déroulement d’une enquête préliminaire qui illustre l’ampleur des efforts de l’Etat et de la justice pour réprimer les personnes suspectées de dégradations matérielles dans le cadre des contestations environnementales. Un groupe dédié de gendarmes a d’ailleurs été constitué à la section de recherche de Poitiers – un
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Connu / TG le 6/01/22 à 00:59
Né en Pologne, il émigre en Angleterre, où il obtient une chaire de sociologie. Il est décédé lundi, à 91 ans, en laissant les outils théoriques et politiques aptes à saisir la spécificité de nos sociétés, ...
Connu / TG du 9/12/22 à 20:56
Après la mobilisation en octobre de Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, 5 opposants aux réserves de substitution sont jugés ce lundi à Niort. Un procès qui s’inscrit dans un contexte de ...
Jeudi 24 novembre, l’Assemblée nationale devrait examiner la constitutionalisation du droit à l’avortement et à la contraception.
Connu / TG 23/11/22 À 10:12
Lors d’un discours fort à la tribune de Charm el-Cheikh, le Premier ministre d’Antigua-et-Barbuda a annoncé vouloir taxer les plus grandes entreprises pétrolières et gazières, pour financer l’adaptation des nations pauvres au réchauffement climatique.
🌱 Article : 4 minutes
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La mobilisation contre le projet de mégabassine dans les Deux-Sèvres est symptomatiques des grands choix, techniques et de société, ...
Connu / TG le 31/10/22 à 16:27
Une autre réforme de l’assurance chômage est possible.
➡️ Retrouvez la tribune de parlementaires de la NUPES dans Libération
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A la stigmatisation des demandeurs d’emploi, préférons une assurance chômage universelle et protectrice!
Alors que le gouvernement s’apprête à en durcir encore les règles, une autre réforme de l’assurance chômage est possible, affirment des ...
Connu / TG 28/9/22 à 12:32
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A vouloir décider qui est républicain ou pas chez les partis, et maintenant les associations écolos, le pouvoir abîme la République.
Photo de Jean-Marie Girier, préfet de la Vienne. (Jean-Francois Fort/Hans Lucas. AFP)
Un inquiétant détournement. En s’appuyant sur la loi dite «séparatisme» pour s’attaquer à l’association écolo Alternatiba, au motif que celle-ci avait prévu de délivrer des formations à la désobéissance civile le week-end dernier à Poitiers, le préfet de la Vienne et donc l’Etat instrumentalisent un texte dont ce n’est pas l’objet. Avec clairvoyance, 25 ONG avaient pointé ce risque après l’adoption du texte à l’été 2021, sans obtenir gain de cause devant le Conseil d’Etat.
Quand la loi visant à lutter contre le séparatisme a agité le débat public, l’exécutif n’affichait qu’un objectif : contrer l’influence de l’islamisme politique pour protéger la laïcité. Quel rapport avec une association comme Alternatiba ? Aucun. Pour justifier sa croisade, le préfet Jean-Marie Girier s’appuie sur un supposé «non-respect du contrat d’engagement républicain», notion très subjective qui l’a conduit à sommer, sans succès, la ville de Poitiers, désormais gérée par les écolos, et la communauté urbaine du Grand Poitiers de retirer leurs subventions (5 000 et 10 000 euros) au «Village des alternatives» organisé par Alternatiba Poitiers.
Démontage d’un McDo
Dans le viseur de ce préfet, qui a fait ses classes auprès de Gérard Collomb à Lyon avant de rejoindre Emmanuel Macron dès 2016 et d’être son directeur de campagne l…
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