En parlant de nationalisation d’EDF, le gouvernement espérait abattre toutes les oppositions. Il a suscité toutes les inquiétudes. Beaucoup redoutent que la sortie de la cote du groupe
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Connue / TG le 20/12/22 à 15:35
présenté par : Caroline Roux, Axel de Tarlé
Un confinement national est décrété en Corée du Nord, où le régime qui n’avait jusqu’ici déclaré aucun cas à l’OMS vient d’annoncer son premier mort du Covid depuis le début de la pandémie. Le leader nord-coréen Kim Jong-un qui est apparu pour la première fois masqué jeudi à la télévision a juré d’éliminer le virus à la racine. Pour y parvenir il a décidé de verrouiller toutes les villes et régions du pays ainsi que de renforcer le contrôle aux frontières. Sachant que le pays est complètement isolé depuis deux ans.
La Corée du Nord semble donc se diriger vers un contrôle sanitaire drastique alors que plus de 187 000 personnes ayant de la fièvre sont déjà "isolées" et que le virus s’est répandu "dans tout le pays" a précisé le régime. Une décision pas étonnante quand on sait que le système de santé déficient aurait du mal à faire face à une épidémie majeure et que la Corée du Nord n'a vacciné aucun de ses 25 millions d'habitants, après avoir rejeté les offres de vaccination de l'Organisation mondiale de la santé, de la Chine et de la Russie.
Alors que se passe-t-il dans le pays ? À quoi pourrait ressembler la politique zéro Covid de la Corée du Nord ? Déjà sous cloche, le pays fait le choix d’un confinement très strict peut-être à l’image de ce qui est déjà mis en place dans plusieurs villes et provinces de Chine voisine. L’empire du Milieu, confronté à une vague de Covid qui a pulvérisé les chiffres "officiels" des contaminations au mois d'avril, poursuit dans sa politique du zéro Covid au risque de provoquer des tensions de plus en plus importantes et des émeutes. Et ce alors qu’une étude prédit une nouvelle vague de contaminations entre mai et juillet qui pourrait s'avérer dévastatrice pour la deuxième économie mondiale avec 112 millions de cas symptomatiques, plus de 5 millions d'hospitalisations et 1,6 million de morts.
Une situation en Asie qui contraste avec celle que connaît aujourd’hui la France qui a décidé de mettre fin au masque obligatoire dans les transports à partir de lundi. "Les choses s'améliorent" a affirmé Olivier Véran. Mais en a-t-on vraiment fini avec le Covid en France ? Le pays compte toujours plus de 36 000 cas positifs par jour, 20 000 patients hospitalisés et 100 décès par jour en moyenne depuis début mars. "La pandémie n'est pas terminée" a d’ailleurs souligné le ministre de la Santé. "Le scénario le plus probable, partagé par la communauté scientifique, est qu'il y aura d'autres variants, vraisemblablement issus d'Omicron, contre lesquels nous pourrons lutter avec l'immunité que nous avons acquise" a-t-il expliqué alors qu’en Afrique du Sud une cinquième vague commence, provoquée par deux nouveaux sous-variants d'Omicron nommé BA4 et BA5.
Mais que sait-on de ces sous-variants ? Doit-on craindre une nouvelle vague dans le pays ? Enfin quels sont les symptômes du Covid long ? Quelle est leur prise en charge ? D’après le site sante.gouv , 1,7 million de personnes ont présenté des symptômes persistants du Covid-19, un mois après l’infection initiale et pas moins de 700 000 personnes, plus de trois mois après. Des personnes qui ont besoin d’une prise en charge lourde dans des structures spécifiques.
Invités :
- Patrick Pelloux, édecin urgentiste au SAMU de Paris - Président de l’AMUF
- Sylvie Matelly, économiste - Directrice adjointe de l’IRIS
- Géraldine Zamansky, journaliste - "Magazine de la Santé" sur France 5
- Nicolas Berrod, journaliste – Le Parisien – aujourd’hui en France
- Pr Christian Bréchot, virologue - Président du Global Virus Network
Tr.: tous encouragent à garder le masque. ACT
Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1439914761353932800
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Vincent Feltesse et 85 autres suivent
Reporterre
@Reporterre
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11h
La candidate masquée #Akira s’invite à la présidentielle 2022.
Candidature multiple et masquée, le mouvement entend secouer l’élection présidentielle à venir.
La candidate masquée Akira s'invite à la présidentielle 2022
Candidature multiple et masquée, le mouvement Akira 2022 entend secouer l’élection présidentielle à venir. Sa première apparition publique, au cœur de Paris, a vu l’une de ses candidates affichées...
reporterre.net
13 - 30 - 29
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INSA Lyon a retweeté Science & Vie TV @ScienceetvieTV · 8 déc.
Quelle est la composition des masques chirurgicaux ? Comment sont-ils fabriqués ? Comment pourrait-on les réutiliser ? Les recycler ?
Le spécialiste des polymères (plastiques) Jean-François Gérard, de l'institut de Chimie au @CNRS, nous répond. #Covid_19
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Les reportages
On les connait plus souvent sous le nom de surveillant, surveillante, pion ou pionne. Les assistants d’éducation, les AED, étaient en grève mardi 1er décembre.
Rassemblés devant le métro Solférino dans le 7ème arrondissement de Paris - à proximité du Ministère de l’Education Nationale - ils réclament de meilleures conditions de travail, un meilleur salaire, et une reconnaissance de leur statut. Ce statut créé depuis 2003 est jugé trop précaire. Employés en CDD pour un an, renouvelable six fois, ils réclament également la titularisation des AED, pour ceux qui souhaiteraient continuer sur cette voie. La crise du COVID-19 n’a évidemment rien arrangé à leurs conditions de travail. Travaillant dans des établissements exigus et au contact des élèves au moment où ces derniers ne portent pas leurs masques, les AED semblent particulièrement exposés au virus. Le Média TV s’est rendu sur place pour rencontrer ces assistants d’éducation et couvrir leur mouvement.
Clés : Coronavirus ; Gouvernement
L’école et les enseignants sont-ils les grands sacrifiés de la crise sanitaire ? Depuis le 18 septembre dernier, nous sommes passés en état d’alerte maximale. Les bars, les salles de sport sont priés de fermer. Les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits. Les facs doivent réduire de 50 % leurs capacités d’accueil. Samedi prochain, un couvre-feu sera instauré dans huit grandes communes de France. Pourtant dans les écoles, rien ne change. Pire. Olivier Véran et Jean-Michel Blanquer ont décidé, le 22 septembre, d’alléger le protocole sanitaire dans les établissements scolaires. Une décision jugée catastrophique par les enseignants.
Pourtant, la situation n’est pas au mieux. Malgré les propos « rassurants » de Jean-Michel Blanquer, la carte interactive mise en place par les stylos rouges indique plus de 4 000 cas répartis dans pas loin de 3 000 établissements. Selon la dernière étude de Santé Public France, les écoles, collèges et lycées sont le deuxième plus gros foyer de contamination dans le pays, parmi les clusters recensés.
Devant la gravité de la situation, plusieurs collectifs d’enseignants, les Stylos Rouges en première ligne, ont décidé de porter plainte contre les deux ministres pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Bernard Salengro a retweeté
CFE-CGC hôpitaux APHP
@AphpCfeCgc · 30 août
Dans les endroits où la majorité des gens avaient respecté le port du #masque, les personnes infectées par la #COVID19 sont moins susceptibles de développer une forme sévère, car la dose de virus lors de l’infection détermine la gravité de la maladie
Masques et protection : inhaler moins de coronavirus signifie tomber moins gravement malade
Dans les lieux où le port du masque est respecté, les formes sévères de Covid-19 semblent moins fréquentes. Les masques protégeraient donc non seulement les autres, mais aussi leurs porteurs.
theconversation.com - 3 - 42 - 40
Mathilde Panot était l’invitée politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce lundi 13 juillet. La députée (LFI) du Val-de-Marne a déploré que le Premier ministre ne fasse son discours de politique générale qu’après l’allocution d’Emmanuel Macron du 14 juillet. Selon elle, cela illustre bien le fait que Jean Castex se contentera d’appliquer la politique du président de la République au lieu de véritablement diriger le gouvernement. Sur la question de l’obligation du port du masque dans les lieux clos, Mathilde Panot s’est dite favorable à condition d’appliquer le principe de la gratuité des maques. Elle était au micro Oriane Mancini.
15mn
Discours d'Emmanuel Macron le 14 juillet : « J'espère que le Premier ministre sera devant la télévision en train de prendre des notes pour savoir ce qu'il pourra dire le lendemain lorsqu'il fera enfin son discours de politique générale » « Personne ne croit que Monsieur Castex va diriger l’action gouvernementale. Il va simplement appliquer ce que va dire le Président de la République »
Relance économique : « Cette semaine nous allons faire une proposition d'un plan de ce que nous appelons une planification du déconfinement économique parce que nous nous ne sommes pas pour relancer pour relancer »
Possible création d'un Haut-commissariat au plan par Emmanuel Macron : « On ne sait pas s'il va vraiment le faire mais c'est évident que c'est une victoire culturelle pour nous. On était les seuls à parler planification »
Périmètre du ministère de la Transition écologique : « Vous n'avez toujours pas l'Agriculture dans le ministère de l'Ecologie [...] Barbara Pompili arrive à un ministère qui n'a pas tous les tenants et les aboutissants pour mener une politique réellement écologiste »
Port du masque obligatoire dans les lieux clos ? « Oui nous sommes favorables au port du masque dans les lieux clos mais à une condition extrêmement importante : nous demandons depuis maintenant des mois la gratuité des masques »
Signature d'un accord au Ségur de la Santé : « Oui il y a une petite augmentation qui est faite, c'est le minimum, des créations de postes mais de l'autre côté on continue à réduire l'offre de soins. Pour moi c'est un problème » « Les syndicats, j'imagine, ont cet esprit de dire "on prend tout ce qu'on peut récupérer", ça ne veut pas dire que derrière il n'y aura pas de revendications qui vont continuer. Et elles sont légitimes »
Stratégie pour les élections régionales : « Nous sommes en train d'aller voir différents partenaires, notamment le Parti communiste, et de réfléchir [...] On n'a pas été voir le PS »
Connu / https://twitter.com/MathildePanot/status/1282347002362310657
Bertrand Pancher est député de la Meuse. Ce juppéiste – il a soutenu l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac lors la primaire de la droite en 2017 – est coprésident du groupe Libertés et territoires.
Il vient de publier « Carnet d’un député au temps du Coronavirus », livre dans lequel il revisite les mois de pandémie à la lumière de son expérience de terrain.
« Tout a été fait à l’envers », explique-t-il, en dénonçant le centralisme et la bureaucratie de nos institutions. Il pointe du doigt Emmanuel Macron, « homme seul » entouré d’une « petite équipe de hauts fonctionnaires » qui appliquent au service public les « méthodes du privé ».
Pénurie de masques et de tests, incohérence dans les décisions politiques, mensonges, Bertrand Pancher n’épargne personne.
Pour lui, le pays, passablement ébranlé par la crise des Gilets Jaunes puis la mobilisation des retraites est sorti « encore plus abîmé » du confinement. « La France est malade de ses institutions. Les Français ont raison d’être en colère », souligne encore le député. Il avance une batterie de propositions pour prévenir la crise sociale et politique : élection d’un tiers des députés à la proportionnelle, **abaissement du seuil des référendums citoyens à un million de signatures, prise en compte du vote blanc, augmentation de la taxation des transactions financières, création de 500 000 emplois aidés, autonomie financière et fiscale des collectivités territoriales, 20 milliards d’euros chaque année pour l’environnement…
Autant de mesures qui, selon lui, devraient permettre à la France de se relever. Car sinon, affirme-t-il « À un moment, c’est la rue qui va l’emporter ».
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Dur dur de le faire entendre, dans les médias, que la croissance ne fait plus le bonheur...
Mon rapport sur les violences policières : https://francoisruffin.fr/affaire-chouviat-une-proposition-de-loi-pour-linterdiction-du-decubitus-ventral/
Mon livre : https://francoisruffin.fr/leur-folie-nos-vies/
6 085 ont signé
Serge LE QUÉAU a lancé cette pétition adressée à Tous les citoyen.nes de notre pays.
Pour sauver des vies, fabriquons des masques
Après la crise sanitaire du coronavirus, il nous appartient toutes et tous ensemble d’inventer le monde d’après .
Dans cette perspective, nous soutenons la réalisation du projet de création de la SCIC « Fabrique de santé », où se trouvait l'ex-usine Honeywell/Spérian.
L’affaire Honeywell raconte le désinvestissement tragique de l’État dans la production de matériels de protection ainsi que la désindustrialisation du territoire dans un marché mondial de moins en moins régulé, où la recherche du profit maximum prime avant toute autre considération, en particulier sanitaire ou sociale.
Huit jours après le début du confinement décrété par Emmanuel Macron pour lutter contre la pandémie de coronavirus Sras-Cov-2, l’Union syndicale Solidaires des Côtes-d’Armor publie un communiqué « Que se cache-t-il derrière la fermeture de l’usine Honeywell de Plaintel ? Un scandale d’Etat ! » Elle propose de redémarrer une production locale et industrielle de masques respiratoires grâce aux compétences locales en créant une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). la proposition est rapidement défendue par l'intersyndicale CGT, FSU et Solidaires des Côtes-d'Armors
Aujourd'hui, elle peut être appliquée.
Les collectivités locales (région Bretagne, département des Côtes-d’Armor, ville et agglomération de Saint-Brieuc) discutent du montage d’une Société coopérative d’intérêt collectif, dans laquelle d’ancien·nes salarié·es d’Honeywell Plaintel pourraient de nouveau exercer leurs compétences.
La société coopérative d’intérêt collectif permet d’associer tou·tes les acteur·ics du territoire régional et de la filière. Salarié·es, collectivités locales, associations et groupements d’acheteurs siègent à son conseil d'administration.
Ces coopératives savent combiner de meilleures conditions de travail, la stabilité de l’emploi et la qualité de la production. Nous défendons l’idée d’emplois utiles, relocalisés et où les travailleuses et travailleurs ont leur mot à dire sur leur travail.
Dans ce cadre la concurrence faite au projet par un investisseur “classique”, milliardaire qui cherche le profil et non l'intérêt général doit être repoussée.
La situation de la SCIC de Plaintel est un symbole de la situation et des choix de société que nous devons aujourd’hui mener.
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Oiw8sw
Spontané, populaire, efficace : le mouvement des couturières a permis, en pleine pénurie de masques, de pallier les carences de l’État de façon inédite. Mais depuis que le gouvernement a décidé que tout le monde devait être masqué, il tente d’encadrer la production des masques en tissu, au détriment des collectifs de couturières auto-organisées.
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Le 27 mars, l’Afnor a donc publié un référentiel [1] afin de guider industriels et particuliers. « Pour être honnête, bien que ces initiatives solidaires soient magiques, elles m’ont rendue un peu folle, confie Rim Chaouy, qui a piloté le projet masques barrières de l’Afnor. Je voyais notamment les gens reprendre le modèle du CHU de Grenoble, qui n’avait pas de bonnes capacités de filtration à cause de la couture sagittale [au milieu du visage]. Il fallait apporter une solution aux personnes qui n’étaient pas au contact de malades du Covid-19, tout en encadrant. »
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[1] Le document n’est pas une norme – cela demanderait des mois à être mis en place – mais un guide.
20 098 ont signé
collectif bas les masques a lancé cette pétition adressée à ministère de l'économie, et à 4 autres
« Notre savoir-faire, notre temps, notre travail ne valent-ils PLUS RIEN ?? »
Le 28/04/2020_ Nous sommes un regroupement de couturier.ère.s et costumier.ère.s professionnel.le.s sur le territoire français ; indépendant.e.s, artisan.e.s, intermittent.e.s, atelier.ère.s, salariées et nous participons depuis un mois au mouvement bénévole et solidaire de la confection de milliers de masques et blouses en tissus.
Alors que nous sommes nombreux.ses à être sans travail, souvent sans aides ou revenus, nous avons déjà passé des centaines d’heures à travailler gratuitement en puisant dans nos stocks ou achetant de la matière première à nos frais afin de répondre aux nombreux appels à l’aide.
D’abord fustigé, le masque en tissu est devenu une nécessité, surtout pour le personnel médical, et notre métier est devenu indispensable. Devant l’urgence et la pénurie de masques et blouses et la carence du gouvernement, les soignant.e.s, les hôpitaux, puis l’ensemble des catégories de la population ont fait directement appel à nous.
LES PROBLEMES PRINCIPAUX ACTUELS LIES A CE MOUVEMENT BENEVOLE :
Le mouvement a dépassé, de loin, le cadre normal du bénévolat et en vient à concurrencer, voire remplacer une industrie existante qui devrait être plutôt soutenue par le gouvernement,
- Les centres de soins, hôpitaux, commerces, administrations et collectivités locales lancent des appels aux bénévoles pour la confection de masques et de blouses ainsi que des appels aux dons de tissus ;
- Des compensations financières dérisoires sont proposées par certaines personnes morales ;
- Des usines utilisent la main d’œuvre carcérale rémunérée à moindre coûts ;
- Des professionnels de la couture au chômage confectionnent bénévolement des masques et blouses de leur propre chef ;
- L’État paye des commandes passées à la Chine ou à la Turquie, mais n’hésite pas à exploiter la main-d’œuvre locale.
Parallèlement, des normes et un process complexe d’homologation sont instaurés pour pouvoir vendre les masques, favorisant les grandes entreprises au détriment des nombreuses petites entreprises et des indépendants ; d’autant qu’aucun encadrement des prix n’est prévu.
LES RISQUES LIES A CE MOUVEMENT BENEVOLE :
Nous attirons l’attention des pouvoirs publics sur l’urgence d’une régulation au vu des écueils constatés et des risques suivants, non exhaustifs :
- dévalorisation d’un métier et d’une profession,
- exploitation par l’état du travail gratuit au lieu d’embaucher et de promouvoir une main-d’œuvre et un savoir-faire réels,
- perte de droits sociaux et revenus des indépendant.e.s et intermittent.e.s,
- travail dissimulé et prêt illicite de main d’œuvre,
- manquement aux obligations de sécurité et hygiène au travail,
- défaut d’assurance,
- concurrence déloyale,
- trafic de masques…
LES PROPOSITIONS D’ACTIONS A ENVISAGER :
De nombreuses solutions peuvent être envisagées pour répondre à cette crise en valorisant un secteur d’activité et une population et en répartissant les richesses financières et humaines ; le but étant de prioriser l’emploi des professionnelles de la couture et utiliser les caisses de l’état :
- Réquisitionner les ateliers et les fonctionnaires d’état qui sont au chômage technique; opéras, théâtres nationaux…,
- Réquisitionner les ateliers et usines des grands groupes de fabrication textile et de luxe pour la confection exclusive des masques et blouses et de leurs employés au chômage ; certains grands groupes en fabriquant déjà sans bénéfice pour l’ARS,
- Employer les ateliers et indépendant(e)s de la couture et du costume,
- Proposer aux bénévoles qui le souhaitent un accompagnent par des associations et des structures, leur donner les moyens techniques et matériels d’agir et ainsi valoriser des centres, actions sociales ou culturelles ,
- Proposer aux non-professionnelles des revalorisations du temps effectué en CPF,
- Proposer des services civiques ou de volontariat avec indemnités et sécurité sociale aux non-professionnels,
- Prendre en compte les heures de travail effectuées par les professionnel.les. de la couture pour les hôpitaux et centre de soins par une rémunération (sur justificatif),
- Rembourser les investissements financiers avancés pour le travail envers les hôpitaux et centre de soins (sur justificatif).
Nous souhaitons, par ce communiqué, interpeller les syndicats, journalistes et tous autres acteurs médiatiques afin de nous aider à porter au-devant de la scène notre cause. Le mouvement solidaire et bénévole s’est répandu à une vitesse fulgurante dans une population animée par la bienveillance et soucieuse de pallier les manquements gouvernementaux, mais cet élan a pour conséquence désastreuse le dépouillement de toute une profession pourtant emblématique de l’identité et du savoir-faire français, profession à 95% composée de femmes, ce qui suscite également des questionnements quant à la valeur accordée dans notre pays au travail des femmes.
Nous espérons que le gouvernement sera attentif à nos qualités et l’engagement dont nous avons fait preuve depuis le début de la crise, indépendamment de nos intérêts personnels, et qu’il entendra nos revendications sans nous obliger à recourir à la voie judiciaire pour faire valoir nos droits.
Collectif « Bas les masques ! » Union.Baslesmasques@gmail.com
13 635 ont signé
Journal L'Humanité a lancé cette pétition adressée à gouvernement et à
Par Patrick Le Hyaric, directeur de l'Humanité
L’affaire des masques de protection devient le sparadrap rouge collant aux basques du pouvoir.
66 commentaires - Mots-clés covid-19 masques Mondialisation Montebourg souveraineté
Au programme de notre émission quotidienne en accès libre : un grand entretien avec Arnaud Montebourg sur cette crise et la mondialisation, retour sur nos enquêtes sur les masques « grand public », Usul et Cotentin, et Clara Ysé.
«À l’air libre », numéro 34 : la rédaction est toujours confinée, cela ne nous empêche pas de penser et de vous informer.
Entretien avec Arnaud Montebourg, " masques grand public " ? © Mediapart
Au menu :
- Masques « grand public » : un tissu de doutes
- Valentine Oberti reçoit :– Antton Rouget, journaliste à Mediapart ; – Christophe Lambert, président de la Société française des sciences de la stérilisation ; – Jackie Tadeoni, couturière et membre du collectif Bas les masques !.
- La crise vue de Chine avec Jordan Pouille, journaliste à Mediapart
- La minute Clara Ysé
- Arnaud Montebourg : le grand entretien
Par Mathieu Magnaudeix et Fabien Escalona. Les Confinautes, d’Usul et Cotentin
Pour nous écrire, deux adresses :
alairlibre@mediapart.fr pour vos témoignages
covid@mediapart.fr pour vos informations et documents
https://www.youtube.com/watch?v=Nko02jhP4uk
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.#Masques #Étranger #Chine
A l'air libre (34) Entretien avec Arnaud Montebourg, « masques grand public » ? - •Première diffusée il y a 8 heures / Mediapart
10 287 vues - 145 - 13 - 324 k abonnés
▶️ #Masques "grand public" : un tissu de doutes
▶️ #Étranger : la crise vue de #Chine
▶️ #MinuteMusique avec Clara Ysé
▶️ #Politique : Arnaud Montebourg : le grand entretien
Catégorie Actualités et politique 25 commentaires
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Notre pays connait une crise sanitaire sans précédent. Un état de guerre suivant les mots du Président de la République. Comme en 1870, il ne devait pas manquer un bouton de guêtre à nos combattants. On a vu ce qu’il en a été. Des soignants désemparés par le manque d’équipement de base et notamment les masques.
Nos soignants de la première ligne ont dû faire face à la pénurie.
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Aujourd’hui, la consternation s’allie au dégoût.
Toute guerre a ses profiteurs. C’est malheureusement une loi intangible de nos conflits. Comment s’expliquer que nos soignants n’aient pas pu être dotés de masques quand on annonce à grand renfort de communication tapageuse des chiffres sidérants de masques vendus au public par certains circuits de distribution.
Où étaient ces masques quand nos médecins, nos infirmiers, nos pharmaciens, nos chirurgiens-dentistes, nos masseurs-kinésithérapeutes, nos pédicures-podologues, nos sages-femmes mais aussi tous nos personnels en prise directe avec la maladie tremblaient et tombaient chaque matin ?
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L’heure viendra, nous l’espérons, de rendre des comptes.
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Signataires :
Patrick BOUET, Président du Conseil National de l'Ordre des Médecins
Anne-Marie CURAT, Présidente du Conseil National de l'Ordre des Sages-Femmes
Patrick CHAMBOREDON, Président du Conseil national de l’Ordre des Infirmiers
Serge FOURNIER, Président du Conseil National de l'Ordre des Chirurgiens-Dentistes
Pascale MATHIEU, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Masseurs-Kinésithérapeutes
Eric PROU, Président du Conseil National de l’Ordre des pédicures-podologues
Carine WOLF-THAL, Présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens
Nous sommes des soignant.e.s et professionnel.le.s de la santé d’horizons divers. Bouleversé.e.s et en colère, nous décidons de nous lever et de crier haut et fort « Bas les masques ! » Nous sommes des soignant.e.s et professionnel.le.s de la santé d’horizons divers. Bouleversé.e.s et en colère, nous décidons de nous lever et de crier haut et fort « Bas les masques ! »
Nous disons stop aux mensonges, à l’hypocrisie et au cynisme du gouvernement !
-> https://www.youtube.com/watch?v=KH4lhDYYMR8
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Et continuons de déposer des plaintes en justice .
Sortons de l’isolement et retrouvons-nous (sur les réseaux sociaux dans un premier temps). Partageons nos témoignages, nos idées, nos actions. Rejoins-nous sur Facebook, Instagram, Telegram, Mastodon, Twitter, Diaspora, Youtube
« Bas les masques ! » n’est affilié à aucun parti, aucun syndicat, aucune organisation préexistante. Ça n’est pas un collectif figé et délimité, mais une initiative plurielle ouverte à tous et toutes. N’hésitez pas à la diffuser partout autour de vous !
Contact: baslesmasques2020@riseup.net
Pour les médias baslesmasquesmedia@riseup.net
Connu / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Q6lQzw
... indispensable de généraliser le port du masque dans la population et le rendre obligatoire dans les lieux publics. Pour ce faire, il faut que ceux-ci soient accessibles, donc disponibles, mais aussi gratuits. Même si le coût unitaire du masque peut sembler modique, il ne sera pas à la portée des personnes les plus démunies déjà fortement touchées par la crise sociale.
Pour que le port obligatoire du masque soit possible, il faut que personne ne se pose la question de s’en passer. Pour qu’il soit efficace, il faut que personne ne doive économiser les masques par manque d’argent.
Politique
Né après, du côté de La Place de la Nation, sur la Ligne 9 du métro parisien, sensible Au chic ouvrier, ce qui n’interdit pas l’Eloge de la fourrure et moins encore celui de La France du Tiercé, Guy Konopnicki redoute Le silence de la ville, s’inquiète de La gauche en folie, assume La faute des juifs et avoue avoir un peu évolué depuis Le jour où De Gaulle est parti… Ces titres et quelques autres le définissent, romancier et journaliste, Konop dans la Série Noire et chroniqueur à Marianne.
"Elle a découvert, comme tout le monde, le risque épidémique quand il ravageait déjà la Chine, et elle proposait d'arrêter le virus aux frontières, quand il les avait déjà franchies."
Cet article est à retrouver dans le magazine n°1206 en kiosques cette semaine "Marchés, salariés, contribuables... Qui va payer ? Et qui morfle déjà", disponible en ligne pour seulement 1,99 euros (afin de mieux survivre à votre confinement).
Afin que le monde d'après ressemble au monde d'avant, toute intervention du président de la République ou du Premier ministre doit être immédiatement suivie d'une intervention de Marine Le Pen sur une grande chaîne de télévision. La présidente du Rassemblement national ne surprend guère : elle répète, à chaque prestation, qu'il aurait suffi de l'écouter pour éviter les insuffisances dramatiques auxquelles nos soignants ont été confrontés.
En 2017, Marine Le Pen se bornait à dénoncer une fraude sociale, attribuée, comme tous nos maux, à l'immigration, et elle promettait de revoir le tiers payant, pour engranger les voix des praticiens libéraux
Ainsi a-t-elle commencé par dénoncer la liquidation des stocks de masques constitués en 2010, lorsque Roselyne Bachelot était ministre de la Santé. Un journaliste de France Inter lui rappelle que le FN criait alors au gaspillage des fonds publics, elle rejette la faute sur son père. Elle ne se contente pas de se montrer ingrate envers Jean-Marie Le Pen, qui a tous les défauts sauf celui d'avoir été un mauvais père, mais elle ment effrontément, car elle avait elle-même tancé vertement Roselyne Bachelot, en l'accusant de constituer des réserves inutiles. Elle récidive, après l'intervention d'Edouard Philippe. Elle jure alors, sur France 2, que nos hôpitaux et nos soignants n'eussent pas été pris de court si l'on avait tenu compte des propositions du RN. Or, en 2017, le...
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L'agence Santé publique France avait alerté sur l'état des stocks dans une note adressée en 2018 au directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. En 2019, un collège d'experts recommandait quant à lui de stocker un milliard de masques en prévision d'une pandémie.
Ils étaient prévenus. Comme le révèle Challenges ce jeudi 23 avril, le ministère avait été averti dès 2018 du nombre insuffisant de masques stockés en prévision d’une pandémie comme le Covid-19. Selon nos confrères, l’agence Santé publique France avait fait remonter l'information il y a deux ans au gouvernement dans une note adressée au directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.
Lire aussi Ministres négligents et technocrates envahissants : aux origines de la pénurie de masques https://www.marianne.net/politique/ministres-negligents-et-technocrates-envahissants-aux-origines-de-la-penurie-de-masques
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Le ministère de la Santé, à l’époque piloté par Agnès Buzyn, était donc au courant de l’état des stocks dès 2018. Qui plus est, un collège d’experts formé en 2016 - toujours à la demande du ministère - par Santé publique France pour définir une "stratégie de constitution d'un stock de contre-mesures médicales face à une pandémie grippale" avait clairement signifié que les réserves ne suffiraient pas à éviter une pénurie en cas de pandémie.
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Le ministère de la Santé, à l’époque piloté par Agnès Buzyn, était donc au courant de l’état des stocks dès 2018. Qui plus est, un collège d’experts formé en 2016 - toujours à la demande du ministère - par Santé publique France pour définir une "stratégie de constitution d'un stock de contre-mesures médicales face à une pandémie grippale" avait clairement signifié que les réserves ne suffiraient pas à éviter une pénurie en cas de pandémie.
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