Incendie de l’office français de la biodiversité à Brest, sabotage de la voiture de la journaliste Morgan Large, menace ...
Connu / TG le 04/04/23 à 11:38
L’appel à manifester ce jeudi soir devant la sous-préfecture de Brest a été interdit par le préfet du Finistère.
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Connu / TG le 30/03/23 à 14:02
357 signatures
Destinataire(s) : François Cuillandre (Maire de Brest); Les représentants des huit communes de Brest Métropole Océane ; Maël DE CALAN (Président du Conseil départemental du Finistère); Les députés du Finistère
BREST Métropole : Stop au gaspillage énergétique !
Pour le climat et le pouvoir d'achat, stop au gaspillage énergétique !
Nous, citoyens et citoyennes de Brest Métropole, demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face
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Une quinzaine de militants de Greenpeace Brest ont couvert certains panneaux lumineux du centre-ville et éteint des enseignes ...
*Lieu : Port de Brest 12 Quai Armand Considère, 29200 Brest
Protection des océans : E. Macron au sommet de l’hypocrisie !
Dérèglements climatiques, pollution plastique, exploration minière en eaux profondes, surpêche… Les menaces qui pèsent sur les océans sont nombreuses. Indispensables à notre survie, ils produisent une grande partie de l’oxygène que nous respirons, sont une source de subsistance pour des millions de personnes et jouent un rôle essentiel pour lutter contre les changements climatiques.
Le 11 février, à Brest, Emmanuel Macron présidera le « One Ocean Summit » qui réunira des chefs d’État et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Auparavant, les 9 et 10 février, des ateliers auront réuni plusieurs centaines de participants, dont des parlementaires, des experts scientifiques et certaines ONGs, qui adresseront des recommandations aux chefs d’État.
Diverses associations et collectifs considèrent cet événement comme une véritable opération de « Blue Washing » : exploitation minière des grands fonds, aquaculture intensive, pêche industrielle… Les activités vantées lors de ce sommet constituent une menace pour les océans et pour ceux qui en vivent. Malheureusement, ce genre d’évènement qui prétend apporter des solutions à la crise des océans permet surtout à des multinationales de réaliser des profits en exploitant les écosystèmes et les travailleurs.
Les associations Greenpeace et Pleine Mer organisent donc un rassemblement public à Brest le 11 février, date de clôture du sommet. Nous vous invitons tous les citoyens conscients qui souhaitent lutter pour la préservation de la biodiversité marine à se joindre à la mobilisation.
Greenpeace rappelle qu’un enjeu crucial se négocie à l’ONU prochainement : la protection de la haute mer. Le traité international, s’il est suffisamment ambitieux, permettrait la création d’un vaste réseau de réserves marines sur 30 % des océans d’ici à 2030 – un objectif soutenu par Greenpeace et la communauté scientifique internationale.
Selon Pleine Mer, la croissance bleue ventée lors de ce sommet est une application des théories néolibérales aux écosystèmes marins. Cette approche menace les pêcheurs artisans et les communautés littorales en encourageant la pêche industrielle, l’exploitation minière de grands fonds ou encore le développement de complexes militaro-industriels.
Comme à son habitude, Emmanuel Macron joue surtout le jeu du double-discours : malgré de belles paroles en faveur des océans, il soutient le développement de l’exploitation minière en eaux profondes, une industrie néfaste qui pourrait être une catastrophe pour le climat et la biodiversité marine.
Pour défendre les océans, nous vous invitons à rejoindre le rassemblement public qui aura lieu le vendredi 11 février. Le lieu et l’heure du rassemblement seront précisés dans les jours qui viennent.
Organisé par Association Pleine Mer Greenpeace France - 68 participants · 465 intéressés
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Lucide sur ses capacités à supplanter Google, Framasoft s’est dévoué à proposer des infrastructures techniques alternatives, à l’instar du projet de CHATONS
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La solution passe par l’éducation populaire, incarnée sur le terrain par les médiateurs numériques et les bibliothécaires, qui, si on leur donne les moyens, peuvent faire bouger les lignes. » Car c’est à l’échelon local, par les associations, que se développe le mieux la mécanique de la médiation numérique, souvent soutenue par les pouvoirs publics.
En témoigne l’association Infini à Brest. La mairie bretonne lui fournit des locaux et des serveurs, en échange celle-ci mène des projets d’animation et de formation sur les outils informatiques auprès du public brestois. « C’est un exemple très intéressant de ce qui pourrait être reproduit à l’échelle nationale, pointe Pouhiou, à condition que les subventions de fonctionnement assurent une pérennité sur trois à cinq ans, pour établir une sécurité des services. »
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Selon des calculs militants https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ivGhlw, la dépense française publique et privée en outillage informatique auprès de Microsoft reviendrait de l’ordre du milliard d’euros annuel. À minima, le prix des logiciels constitue entre 10 et 25 % du prix d’achat d’un ordinateur. « Si on investissait ce montant dans les logiciels libres, ses quelques défauts ne resteraient pas des réalités très longtemps », relève François Poulain.
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Le premier confinement a provoqué l’accélération de l’expérimentation apps.education.fr. Désormais déployé sous sa version V.1, cette plateforme fournit aux académies françaises des logiciels libres à vocations éducatives : partage de documents avec Nextcloud, rédaction partagée sur Etherpad, diffusion de vidéos via PeerTube…
Des collectivités, telle Grenoble, ont fait la démarche d’installer des outils libres sur les postes des agents de leur ville, et de renouveler le parc informatique des écoles pour le basculer vers Linux. Des avancées à relativiser : nombreuses sont les collectivités et administrations, à l’instar du Ministère des Armées, à rester sous contrat avec Microsoft.