3,18 k abonnés - 151+ - 13 864 vues - 16 commentaires
Avi Primor, ex-ambassadeur d'Israël en Allemagne, à l'Union Européenne, en Belgique et au Luxembourg, ancien porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères dans le gouvernement d'Yitzhak Rabin, déclare sur i24news:
« C'est le gouvernement israélien, c'est nous qui avons créé le Hamas, afin de créer un poids contre le Fatah à l'époque. Et nous avons pensé que ce serait une organisation de prière qui va se chamailler avec le Fatah , on n'a pas pu prévoir ce que ça allait devenir, mais c'est notre création, alors d'abord les faits. Ensuite conquérir Gaza, détruire le Hamas, à quel prix?.. »
Connu / TG le 13/10/23 à :47
Marianne
@MarianneleMag
·
20 janv.
[Médiologie] "Radicalisation" : une notion impropre, qui nous conduit à penser thérapie là où nos adversaires pensent affrontement
"Radicalisation" : une notion impropre, qui nous conduit à penser thérapie là où nos adversaires...
Cet article est à retrouver dans le "Carnet des médiologues", où vous pouvez retrouver Régis Debray et sa bande chaque semaine.
marianne.net
accès à : Le monde en face sur France 5 - france.tv
Le monde en face Daech, les enfants du soupçon
diffusé le mar. 21.01.20 à 20h53
disponible jusqu'au 20.02.20
société - 68 min - 2019 - tous publics
Ils ont souvent moins de cinq ans, mais un procureur les a qualifiés de “bombes à retardement”. Depuis, ils font si peur à l’opinion publique que le gouvernement préfère ne pas tous les rapatrier, malgré les conditions désastreuses dans lesquelles ils grandissent, sur les ruines d’un califat terroriste où leurs parents les avaient emmenés.
Ce film raconte sur une année l’histoire des enfants français de Daech. Et la manière dont la France les traite, au cas par cas. Trois cents d’entre eux restent retenus dans des camps de Syrie ou des prisons d’Irak. Une centaine d’autres ont déjà été rapatriés en France, depuis 2016. Sophie Parmentier et Hélène Lam Trong ont suivi leurs destins croisés, pendant plus d’un an.
Nous découvrons la djihadiste française Mélina Boughedir, dans une prison de Bagdad, après sa condamnation à une peine de 20 ans d'emprisonnement en juin 2018 : elle ne veut pas se séparer de sa fille de deux ans. Lorsque nous les rencontrons, Hakim et Hicham, trois et six ans, ont passé la moitié de leur vie sous l’Etat islamique. Ils sont placés dans des familles d’accueil françaises. Leur mère, Gladys, poursuivie pour terrorisme, espère récupérer leur garde. Lydie et Patrice sont des grands-parents désemparés depuis le départ à Raqqa en 2014 de leur fille unique, qui a donné naissance à quatre enfants sous Daech.
Quant à Suzanne et Marc, ils se battent pour faire rapatrier leurs quatre petits-enfants, retenus avec leur mère dans le camp de Roj en Syrie, alors que leur père a été condamné à mort en Irak.
Ce documentaire est éclairé par les témoignages inédits de juges, d’éducateurs et de psychologues qui prennent en charge ces enfants de djihadistes qui effraient tant l’opinion publique.
réalisé par : Sophie Parmentier, Hélène Lam Trong
1 210 vues - 118 - 6
[Média]
Un débat qui fait suite à la parution d'un rapport parlementaire sur la radicalisation dans les services publics. On stigmatise encore les musulmans et on évacue la question de l'extrême-droit radicalisée.
Catégorie Actualités et politique 29 commentaires
Catherine FAUVELLE il y a 3 semaines
Et si on s'interrogeait sur les causes de la radicalisation plutôt que de n'en considérer que les conséquences ?
Est-ce que le mal-être profond dans lequel sont plongées certaines couches de la population, avec des taux records de chômage et d'emplois précaires, ne serait pas la source de cette radicalisation, par hasard ?
Curieusement le débat n'est jamais allé dans cette direction !...