À l’annonce de la société La Poste de diminuer les heures d’ouverture de l’agence située place Grande à Puybrun et la possibilité ...
Connu / TG le 26/02/23 à 19:35
Connu / mel de l'April Sujet : [EDUC] Suite bureautique opensource
Date : Tue, 21 Sep 2021 13:42:46 +0200 De : FMB ... expérimenter une suite bureautique en ligne
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Pour dépanner un proche ou pour le travail, TeamViewer est devenu un outil incontournable lorsqu'il s'agit de prendre le contrôle d'une machine à distance. Il se distingue par sa simplicité d'utilisation, sa fluidité et par ses fonctionnalités de partage de fichiers. S'il est difficile de lui trouver des défauts manifestes, les alternatives sont légion ! Revue d'effectif dans notre sélection
- AnyDesk : l'outil portable et réactif
- VNC : le préféré des professionnels
- Chrome Remote Desktop : la solution signée Google
- NoMachine : multiplateforme même sur mobiles
- LogMeIn : taillé pour le travail collaboratif
Logiciel propriétaire de télémaintenance disposant de fonctions de bureau à distance, de téléadministration, de conférence en ligne et de transfert de fichiers.
TeamViewer GmbH est une société fondée en 2005 à Uhingen en Allemagne. TeamViewer est un partenaire unique de GFI Software (en)1.
... fonctionne sous Windows, OS X2,3, Linux4, iOS5 (uniquement comme client), Android6, Windows Phone, Windows 10 Mobile et Windows RT7.
Un navigateur Web peut communiquer avec un ordinateur grâce à ce logiciel8.
Même s'il est conçu dans un but de contrôle à distance, il offre différents services facilitant la collaboration et la présentation9.
Il existe une version gratuite pour un usage privé.
France / Économie - Temps de lecture : 11 min
Espace de travail répondant à l’isolement des travailleurs indépendants de l’économie créative il y a encore 10 ans, le coworking se diffuse et se voit comme la future norme en matière de bureau. Au-delà des tables de ping pong et les apéros networking, c’est l’avenir de l’immobilier de bureau qui se joue.
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Un vent d’audace souffle par bourrasques sur le complexe de bureaux Coeur Défense, dans le quartier d’affaires du même nom. Au rez-de-chaussée de sa tour A, on inaugure en cette rentrée 2016 les locaux du deuxième «espace de travail collaboratif et flexible» Nextdoor. Le pitch: la rencontre du coworking à la californienne et des milieux d’affaires des Hauts de Seine.
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La Cogip à l’assaut du coworking
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La filiale de Bouygues n’est pas le seul acteur de l’immobilier de bureau à avoir troqué les pots de fleur et les open spaces à moquette des années 1990 pour les aménagements guillerets du coworking. Les historiques du centre d’affaires ont également fait un pas vers le concept: Multiburo avec Spot, entre centre d’affaires et coworking, et son concurrent Regus avec Stop & Work, qui cible plutôt les salariés qui télétravaillent en périphérie pour éviter les déplacements domicile-travail. Même ciblage et stratégie d’implantation pour Blue Office, le service de bureaux flexibles du concurrent de Bouygues, Nexity. Une myriade d’indépendants se lancent au même moment sur des créneaux de centre-ville de zones denses, plus directement destinés au coeur de cible historique du coworking, le nouveau salariat intellectuel et «créatif» composé d’indépendants. Remix Coworking, Cool & Coworkers, Now, les initiatives foisonnent sur le territoire à Nantes, Orléans ou Paris, avec pour certains l’ambition de se déployer rapidement sur tout le territoire.
Nicolas Molle a créé en 1999 le bureau d’études ETAMINE, dont il a été le gérant puis le Président Directeur Général, après le passage du statut de SARL à celui de SA début 2014. L’architecte et journaliste Dominique Gauzin-Müller l’a interrogé sur son parcours, ses recherches et ses motivations.
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Je suis de la génération des deux chocs pétroliers des années 70 ! Je me suis intéressé à l’énergie solaire dès mes études à l’École Centrale Paris, avec un travail personnalisé en deuxième année sur une école maternelle solaire combinant murs Trombe et apports solaires passifs. Mon stage à la Direction Études et Recherches d’EDF en 1977, consacré à la modélisation des capteurs solaires à air et la ventilation pariétodynamique, avait déjà pour objectif de diminuer la consommation énergétique des bâtiments en exploitant les énergies renouvelables. J’ai démarré ensuite ma vie professionnelle comme coopérant technique au Venezuela.
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j’ai monté un groupe d’études sur l’énergie solaire au sein de l’IUT de Caracas. Nous avons implanté en 1979 la première balise solaire photovoltaïque (1 kWc) pour l’aéroport international de Caracas, et développé plusieurs projets de séchage solaire ou de dessalement de l’eau de mer dans le cadre d’un diplôme d’études approfondies (DEA) de thermique, monté en collaboration avec l’École Centrale. Souhaitant poursuivre dans cette voie, j’ai décidé ensuite de faire une thèse de doctorat en thermique au sein du Laboratoire d’Énergie Solaire de l’Université Antilles-Guyane à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. Entre 1981 et 1984, j’ai donc développé « à plein temps » une modélisation thermique dynamique de logements, l’objectif étant de déterminer les conditions du confort dans les régions chaudes et humides, sans recourir à la climatisation. Il est amusant de constater que ce qui relevait à cette époque d’un travail de recherche a mis vingt ans à se généraliser dans les projets de construction. Une des démonstrations de ma thèse est qu’il est important de privilégier une toiture claire dans les immeubles non climatisés, plutôt que chercher à les isoler thermiquement, comme certains le préconisent encore ! En revenant sur place au début des années 2000, j’ai constaté avec plaisir que les toitures blanches, inexistantes à l’époque de mon séjour en Guadeloupe, se sont généralisées depuis !
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Nous nous intéressons tout particulièrement à l’étude de concepts innovants, dans lesquels le recours à la simulation permet de pallier le manque de retours d’expérience. Le secteur du bâtiment est en effet très conservateur. Le coût élevé de la réparation des désordres sur la durée de vie des édifices valorise la reproduction de modèles et le suivi de démarches normalisées ou certifiées. Mais en même temps, les enjeux du développement durable exigent une remise en question de ces modèles et l’exploration de nouvelles pistes. C’est là que l’expertise d’ETAMINE trouve tout son sens. L’objectif est de fiabiliser une démarche innovante tout en restant dans les coûts du marché, en déplaçant intelligemment les équilibres entre toutes les contraintes économiques d’un projet. C’est ce que nous avons fait, entre autres, avec le puits canadien de l’école de La Tour de Salvagny en 2001, la cheminée solaire de l’Hôtel de Ville d’Échirolles en 2004 et le rafraîchissement par humidification adiabatique de la gare SNCF de Montpellier en 2011.
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alors que nos premières missions se focalisaient principalement en esquisse ou en avant-projet, nous avons progressivement accompagné les concepteurs sur la durée du projet, de façon à garantir la performance énergétique et environnementale après la réception. Notre première référence sur ce sujet est le projet en partenariat public-privé (PPP) du nouvel hôpital de Bourgoin-Jallieu avec Bouygues en 2007, suivi par les simulations pour l’engagement de performance du ministère de la Défense à Balard (Paris XVe) en 2011, toujours avec Bouygues.
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En 2000, à l’occasion de la restructuration du lycée technique de Voiron, dans l’Isère, j’ai transposé cette méthode selon les 14 cibles de la démarche HQE. Ce travail a intéressé Gilles Olive, père fondateur de la HQE en France, qui devait produire un « référentiel explicite de la qualité environnementale des bâtiments » pour le compte du ministère du Logement. Mon travail a ainsi servi de base au premier référentiel de certification HQE proposé par le CSTB en 2002… mais entre-temps, je m’étais rendu compte sur le lycée de Voiron que cette méthode était bien trop lourde, et valorisait très mal les innovations du projet ! Mais la machine était lancée et l’association HQE, présidée à l’époque par Dominique Bidou, a préféré une certification non aboutie, susceptible d’être améliorée, à pas de certification du tout !
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Maintenant que la démarche HQE est un standard de la profession, concurrencé d’ailleurs par des labels internationaux comme BREEAM et LEED, que peut être la vocation d’ETAMINE ?
...explorer les chemins qui aideront la profession à continuer d’avancer vers un monde plus durable. De très nombreux sujets sont devant nous : la rénovation énergétique des bâtiments, la performance environnementale garantie et vérifiée, l’accompagnement des utilisateurs et des gestionnaires à la maîtrise de l’énergie et de l’environnement pendant la vie du bâtiment, etc. L’objectif de notre implication pendant les phases de conception et de réalisation d’un projet est en effet que les résultats espérés soient in fine au rendez-vous ! Le suivi et le monitoring de bâtiments performants nous donnent un retour d’expérience qui permet d’enrichir en continu notre méthodologie de conception, nos techniques de simulations et les solutions à privilégier, entre frugalité, simplicité, robustesse et nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Ce savoir-faire est enrichi chaque jour avec le suivi que nous faisons de l’immeuble WOOPA à Vaulx-en-Velin, où se situe le siège d’ETAMINE. Nous avons par ailleurs développé avec Bouygues Energies Services une méthodologie pour fiabiliser la garantie de résultats dans les contrats de performances énergétiques (CPE), comme par exemple pour les lycées de la région Rhône-Alpes…
l’avenir d’ETAMINE ?
Notre bureau d’études est une SCOP : tous les salariés ont donc vocation à être associés et la gouvernance est démocratique, selon le principe « un homme, une voix ». C’est ensemble que nous présidons aux destinées de notre projet commun. Vers la fin de ma vie professionnelle, j’ai à cœur que mes collaborateurs poursuivent l’aventure dans les meilleures conditions, et nous travaillons résolument à cet objectif !
...autres sujets émergents autour de l’économie circulaire, de l’utilisation volontariste de matériaux biosourcés, de la promotion de la biodiversité, de la santé... Ce n’est pas seulement la « valeur verte » des bâtiments qui nous anime, mais le sens que ces initiatives peuvent avoir auprès du plus grand nombre pour une société plus durable et plus solidaire. Comme le colibri cher à Pierre Rabhi, nous voulons être, à notre échelle, un des modestes mais dynamiques acteurs de cette révolution en marche !
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Architecte française installée en Allemagne depuis 1986, Dominique Gauzin-Müller est spécialiste de l’urbanisme et de l’architecture écoresponsables : matériaux, énergie, implications sociales et culturelles… Commissaire de plusieurs expositions, elle a déjà publié onze ouvrages, dont certains traduits en huit langues : Construire avec le bois, Moniteur 1999 ; L’architecture écologique, Moniteur 2001 ; L’architecture écologique du Vorarlberg, Moniteur 2009. Rédactrice en chef du magazine EcologiK/EK depuis sa création en 2007, elle collabore avec de nombreuses maisons d'édition et revues internationales. Professeure honoraire de la Chaire UNESCO-CRAterre des cultures constructives, elle enseigne dans les écoles d’architecture de Strasbourg et de Stuttgart, tout en intervenant dans d’autres universités à travers le monde. Elle est membre de la Compagnie des négaWatt pour la transition écologique.
- hot desking -> partage de bureau (euphémisme?! j'aurais dit "siège éjectable" on trouve aussi "bureau mobile ;-)
- fablab -> atelier collaboratif (laboratoire de fabrication labfab)
- social learning -> apprentissage par les réseaux (collaboratif)
- MOOC -> cours en ligne ouvert à tous (massivement)
- think tank -> laboratoire d'idées (réservoir)
- brainstorming -> remue-méninges
- geek -> technophile
- GIF -> image animée
- troll -> semeur de trouble
- bad buzz -> idem ! (polémique ?)